Manonville

commune française du département de Meurthe-et-Moselle

Manonville
Manonville
Église Saint-Laurent.
Blason de Manonville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meurthe-et-Moselle
Arrondissement Toul
Intercommunalité Communauté de communes Terres Touloises
Maire
Mandat
Hervé Dohr
2020-2026
Code postal 54385
Code commune 54348
Démographie
Gentilé Manonvillois, Manonvilloises[1]
Population
municipale
238 hab. (2021 en diminution de 2,06 % par rapport à 2015)
Densité 25 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 49′ 51″ nord, 5° 54′ 45″ est
Altitude Min. 218 m
Max. 307 m
Superficie 9,43 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Nancy
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton du Nord-Toulois
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Manonville
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Manonville

Manonville est une commune française située dans le département de Meurthe-et-Moselle, en région Grand Est.

Géographie modifier

 

Ce village est situé sur la route départementale n° 4 de Nancy à Verdun, à 32 kilomètres environ de Nancy et de Saint-Mihiel. Il s'étend sur les dernières ondulations de cette contrée montagneuse appelée la Haye, qui viennent mourir contre la plaine de Woëvre. Au nord-ouest, dans un vallon très encaissé, coule le ruisseau d'Esch(e) qui reçoit la Réhanne[2]. Le territoire est également arrosé par le ruisseau de Naly-fontaine qui n'est pas recensé par le SANDRE.

D’après les données Corine land Cover , le ban communal de 950 hectares comprend en 2011, plus de 64 % de terres arables et de prairies, 29 % de forêt et seulement près de 3 % de zones urbanisées[3]. (Fig. 1 ban communal).

communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 833 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche à 16 km à vol d'oiseau[6], est de 10,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 690,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 40,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Manonville est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[11],[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nancy, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 353 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (66,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (66,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (52,7 %), forêts (25,7 %), prairies (12,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,9 %), zones urbanisées (2,7 %), zones agricoles hétérogènes (1,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Mannonis villa (977), Monoldi villa (sans date), Menovile (1262), Menonville (1275), Magnonvilla (1402) et Manonville-le-Chastel (1477), sont les différentes formes recensées dans le Dictionnaire topographique du département de la Meurthe[17].

Du nom propre germanique Manno, au cas régime, que l'on retrouve dans Manneville-ès-Plains (Seine-Maritime, Manonis villam vers 1023), dans Manonviller, Manoncourt, etc. Le second élément est l'ancien français vil[l]e au sens de « domaine rural », puis « village ». Ce type de toponyme s'est formé au haut Moyen Âge[18].

La micro-toponymie de la commune est riche avec des lieux dits oubliés comme la Justice, au Moulin Bois, au Pressoir , Dieulouard (Dieu le garde) etc. (Fig. 1).

Histoire modifier

Antiquité et préhistoire modifier

Les traces d'occupations humaines anciennes ne sont pas absentes puisqu' E OLRY signale la découverte de substructions non datées au lieu dit le Breuil[19] sur la commune et que des artéfacts de l'age de pierre ont été trouvés sur la limite avec la commune de Lironville[20].

Moyen Âge et Renaissance modifier

Il est déjà parlé de Manonville dans une charte de l'empereur Othon II, en 977 par lequel il confirme les biens et privilèges de l'abbaye de Saint-Pierre de Metz[21] et En 1105, le patronage de la cure fut donné à l'église Saint-Gengoult de Toul, par Pibon, évêque de cette ville[22].

A partir du XIIIe siècle des seigneurs de Manonville dont H. Lefevbre a détaillé la généalogie dans son ouvrage[23] sont nommés dans les chroniques. Depuis cette époque jusqu'à la Révolution, le château et la seigneurie ont été l'apanage de trois familles principalement, d'abord l'ancienne maison de Manonville éteinte depuis longtemps, jusqu'au milieu du XVe siècle. Louis XI roi de France, autorise alors son conseiller au pays d"Anjou à recevoir "les foi et hommage" de Jeanne de Manonville (fille de Jean et de Allarde de Chambley), veuve de Jean de Beauvau (1421 - 1468) pour le château de Rorthey. Puis la maison de Beauvau depuis le milieu du quinzième siècle jusqu'au commencement du dix-septième, et enfin la famille Barrois qui forma la seconde maison de Manonville, jusqu'à la Révolution[23].

Il y avait très anciennement à Manonville un hôpital Il était situé à l'extrémité du village à droite de la route en allant vers Noviant, le pressoir banal existe encore, il appartient au château (cf. rue du Pressoir), il y avait également deux moulins sur l'Esche dont un a laissé son empreinte cadastrale au lieu-dit Moulin au bois[24]. La présence d'un gibet ou de fourches patibulaires est possible au lieu-dit la Justice

les habitants possédaient un droit d'usage sur un bois appelé la Rappe, de quatre-vingts arpents environ qui explique l'excroissance communale sur la carte (Fig. 1) . L'église renfermait le tombeau d'Alophe de Beauvau, mort en 1548 et de Charles de Beauveau.

La construction du château qui servit de tous temps d'abri aux seigneurs de ce lieu remonterait au siècle des premiers barons, soit vers 1240 au plus tard.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
Après 1660 Avant 1722 Joseph VIVILLE    
1993 2014 Denis Vautrin    
avril 2014 mai 2020 Patrick Thiery[25]   Agriculteur exploitant
mai 2020 En cours Hervé Dohr[25],[26]   Technicien

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[28].

En 2021, la commune comptait 238 habitants[Note 4], en diminution de 2,06 % par rapport à 2015 (Meurthe-et-Moselle : −0,26 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
232260292262296300307304298
1856 1861 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
297306309302300271281263239
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
253227235224204226211222189
1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009 2014
175182191189205230238244244
2019 2021 - - - - - - -
236238-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

L'abbé Grosse indique dans son dictionnaire statistique pour cette commune vers 1836[31] :

«Territ : 709 hect. , dont 440 en terres labour. , 200 en forêts, 30 en prés et 20 en vignes, dont les qualités ne sont pas vantées.»

Indiquant les traditions agricoles et viticoles du village avant les épidémies qui ont détruit les vignes du Toulois. (cf. vignoble lorrain).

Secteur primaire ou Agriculture modifier

Le secteur primaire comprend, outre les exploitations agricoles et les élevages, les établissements liés à l’exploitation de la forêt et les pêcheurs. D'après le recensement agricole 2010 du Ministère de l'agriculture (Agreste[32]), la commune de Manonville était majoritairement orientée[Note 5] sur la production de céréales et d'oléagineux sur une surface agricole utilisée[Note 6] d'environ 434 hectares (en deçà de la surface cultivable communale) stable depuis 1988 - Le cheptel en unité de gros bétail s'est réduit de 79 à 53 entre 1988 et 2010. Il n'y avait plus que 2 exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune employant 4 unités de travail[Note 7].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Château de Manonville.
  • Château du Moyen Âge XIVe, ayant appartenu aux barons de Manonville[33] Jean IV de Beauvau et ses descendants, remanié XVe/XVIe, puis XVIIIe/XIXe (gîte rural) : enceinte fossoyée. Un donjon quadrangulaire existait vers le milieu de la cour, il disparut à la fin du XVIIe.
  • Église Saint-Laurent XVIIIe : gisant XVIe.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Jean-Charles Louis Tardif d'Hamonville[34] (1830-1899) fut propriétaire du château de Manonville et y rassembla au XIXe siècle une importante collection ornithologique dont un inventaire a été constitué par le peintre animalier Roger Reboussin.

Héraldique modifier

  Blason
D'or à la croix de sable frettée d'argent, cantonnée de quatre lionceaux de gueules, armés, lampassés et couronnés d'argent.
Détails
Il s'agit des armes des seigneurs de Manonville, d'ancienne chevalerie auxquelles on a ajouté les quatre lions du blason de la famille de Beauvau. En effet cette famille fut seigneur du lieu aux XVIe et XVIIe siècles. Ainsi les armes de la commune de Manonville sont différentes de celles de Domèvre-en-Haye, chef-lieu de canton. En effet, ce chef-lieu adopta en 1953 le blason des premiers seigneurs de Manonville à la croix frettée.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Annexes modifier

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Bibliographie modifier

  • E. Olry, « Répertoire archéologique de l'arrondissement de Toul, cantons de Domêvre, Toul-Nord et Thiaucourt. Manonville », dans Mémoires de la Société d'archéologie lorraine, 1871, p. 315-317 (lire en ligne)
  • H. Lefèbvre, « Manonville et ses seigneurs », dans Mémoires de la Société d'archéologie lorraine et du musée lorrain, tome 41, 1891, p. 147-358 (lire en ligne)
  • G. Hamm, Carte Archéologique de la Gaule. 54. La Meurthe-et-Moselle, Paris, 2005.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Orientation technico-économique de la commune : production dominante de la commune, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel de l'ensemble des exploitations agricoles de la commune à la production brute standard.
  6. Superficie agricole utilisée : superficies des terres labourables, superficies des cultures permanentes, superficies toujours en herbe, superficies de légumes, fleurs et autres superficies cultivées de l'exploitation agricole.
  7. Unité de travail annuel : mesure en équivalent temps complet du volume de travail fourni par toutes les personnes intervenant sur l'exploitation. Cette notion est une estimation du volume de travail utilisé comme moyen de production et non une mesure de l'emploi sur les exploitations agricoles.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Meurthe-et-Moselle », sur habitants.fr (consulté le ).
  2. « Ruisseau d'esche [A71-0200] - Cours d'eau », sur sandre.eaufrance.fr (consulté le ) : « Ruisseau d'esche [A71-0200] affluent Ruisseau la Rehanne (10 km) ».
  3. « Fiche Ma Commune - SIGES Rhin-Meuse - ©2019 », sur sigesrm.brgm.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Manonville et Nonsard-Lamarche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Nonsard », sur la commune de Nonsard-Lamarche - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  11. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. Henri Lepage, Dictionnaire topographique du département de la Meurthe, Paris, Imprimerie impériale, 1862
  18. Aude Wirth, Les Noms de lieux de Meurthe-et-Moselle : Dictionnaire étymologique, Haroué, Gérard Louis, , 313 p. (ISBN 2-914554-43-5).
  19. Société d'archéologie lorraine Auteur du texte, « Revue historique de la Lorraine / publiée tous les deux mois par la Société d'archéologie lorraine et du Musée historique lorrain », sur Gallica, (consulté le ), p. 107.
  20. Jules (18-1921) Auteur du texte Beaupré, Répertoire archéologique pour le département de Meurthe-et-Moselle, époques préhistoriques, gallo-romaines, mérovingiennes , par le Cte J. Beaupré,..., (lire en ligne), p. 87-88.
  21. Lepage, Communes de la Meurthe, art. Manonville. Cartul. des évêques de Toul
  22. Lepage, Stat. de la Meurthe
  23. a et b H LEFEBRE MÉMOIRES DE LA SOCIÉTÉ D'ARCHÉOLOGIE LORRAINE ET DU MUSÉE HISTORIQUE LORRAIN. TOME XLI (3e SÉRIE, XIX. VOLUME)
  24. Le 6 octobre 1603, Claude Dayer, admodiateur de la terre de Manonville, amodie à François Gratian les deux tiers des moulins et pilons dudit Manonville avec les appartenances et dépendances,appelés communément les Moulins au Bois moyennant la quantité de cinquante-six quartes de bled. Arch. du chât. de Manonville
  25. a et b « Résultats des élections municipales 2020 », sur le site du Télégramme de Brest (consulté le ).
  26. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Grosse, E. abbé., Dictionnaire statistique du Département de la Meurthe contenant une introduction historique sur le pays avec une notice sur chacune de ses villes, bourgs, villages, Creusat, (OCLC 611479374, lire en ligne).
  32. « Ministère de l'agriculture et de l'alimentation - agreste - La statistique, l'évaluation et la prospective agricole - Résultats - Données chiffrées », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ) : « Principaux résultats par commune (Zip : 4.4 Mo) - 26/04/2012 - http://agreste.agriculture.gouv.fr/IMG/zip/Donnees_principales__commune.zip ».
  33. Le château de Manonville (Extrait d’un article paru dans les « Mémoires de la Société d’archéologie lorraine » – 1891)
  34. Jean-Charles Louis Tardif d'Hamonville, biographie en langue anglaise sur l'encyclopédie Wikipedia