Luçay-le-Mâle

commune française du département de l'Indre

Luçay-le-Mâle
Luçay-le-Mâle
Le château d'Oublaise en 2011.
Blason de Luçay-le-Mâle
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Centre-Val de Loire
Département Indre
Arrondissement Châteauroux
Intercommunalité Communauté de communes Ecueillé-Valençay
Maire
Mandat
Bruno Taillandier
2020-2026
Code postal 36360
Code commune 36103
Démographie
Gentilé Lucéens
Population
municipale
1 313 hab. (2021 en diminution de 5,2 % par rapport à 2015)
Densité 19 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 07′ 51″ nord, 1° 26′ 32″ est
Altitude Min. 97 m
Max. 182 m
Superficie 68,08 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Valençay
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Luçay-le-Mâle
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Luçay-le-Mâle
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Luçay-le-Mâle
Liens
Site web lucaylemale.fr

Luçay-le-MâleÉcouter est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune est située dans le nord[1] du département, à la limite avec le département d'Indre-et-Loire. Elle est située dans la région naturelle du Boischaut Nord.

Les communes limitrophes[1] sont : Veuil (7 km), Vicq-sur-Nahon (7 km), Langé (8 km), Villentrois-Faverolles-en-Berry (8 km), Écueillé (9 km), Gehée (10 km), Jeu-Maloches (10 km) et Nouans-les-Fontaines (11 km).

Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Valençay (10 km), Châteauroux (40 km), Issoudun (46 km), Le Blanc (62 km) et La Châtre (74 km).

 
Localisation de la commune de Luçay-le-Mâle

Hameaux et lieux-dits modifier

Les hameaux et lieux-dits de la commune sont : la Séverie, le Plessis, la Chauvelière et Fertay[2].

Géologie et hydrographie modifier

La commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible [3].

Le territoire communal est arrosé par la rivière Modon[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 708 mm, avec 11,2 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Lye à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 673,1 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Voies de communication et transports modifier

Le territoire communal est desservi par les routes départementales : 13, 15F, 22, 33, 109, 151 et 960[10].

La ligne de Salbris au Blanc passe par le territoire communal. La gare de Luçay-le-Mâle fut le terminus de la ligne "Blanc-Argent" du TER Centre jusqu'en 2009, année où cette dernière fut limitée à la gare de Valençay, qui est désormais la gare ferroviaire exploitée la plus proche (12 km). Un peu plus loin se trouvent les gares de Saint-Aignan et de Selles-sur-Cher, sur la ligne de Vierzon à Saint-Pierre-des-Corps.

Les deux gares situées sur la commune, la gare de La Foulquetière et la gare de Luçay-le-Mâle, ne sont desservies qu'à la saison estivale, par le train touristique du Bas-Berry.

Luçay-le-Mâle est desservie par la ligne S du Réseau de mobilité interurbaine[11] et par la ligne 7 du réseau d'autocars TER Centre-Val de Loire[12].

L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 42 km.

Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays de Valençay[2].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Luçay-le-Mâle est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[13],[14],[15]. La commune est en outre hors attraction des villes[16],[17].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (80,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (80,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (67,9 %), forêts (18,2 %), prairies (7,5 %), zones agricoles hétérogènes (4,9 %), zones urbanisées (1,4 %)[18]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Logement modifier

Le tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[19] de la commune :

Date du relevé 2013
Nombre total de logements 916
Résidences principales 80 %
Résidences secondaires 11,2 %
Logements vacants 8,8 %
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale 70,3 %

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Luçay-le-Mâle est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible)[20]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[21].

Pour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Rrouard et de Gâtine, est classée au niveau de risque 4, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[22].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Luçay-le-Mâle.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[23].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 92,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 918 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 908 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[24],[25].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1993, 2011 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[20].

Toponymie modifier

Durant la Révolution française, pour suivre le décret de la Convention du 25 vendémiaire an II invitant les communes ayant des noms pouvant rappeler les souvenirs de la royauté, de la féodalité ou des superstitions, à les remplacer par d'autres dénominations, la commune, anciennement nommée Luçay-le-Mal, change de nom pour Luçay-le-Mâle, une appellation plus facile à porter que la précédente[26].

Ses habitants sont appelés les Lucéens[27].

Histoire modifier

Pour la seigneurie, Luçay passa au XVIe siècle des Châteauneuf aux Rochefort (une maison comtoise et bourguignonne), par le mariage en 1518 d'Antoinette de Châteauneuf, dame de Luçay et de Gargilesse, avec Jean de Rochefort de Pluvault ; au XIXe siècle, le célèbre polémiste Henri Rochefort (1831-1913) appartenait à cette famille.

Politique et administration modifier

La commune dépend de l'arrondissement de Châteauroux, du canton de Valençay, de la deuxième circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Écueillé - Valençay[28].

Elle dispose d'un bureau de poste[29] et d'un centre de première intervention.

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires depuis la Libération
Période Identité Étiquette Qualité
? Louis Baudry ? ?
Jean Thibault RPR Député de l'Indre de 1978 à 1981
1999[30],[31] mars 2014 Jean-Pierre Rabier DVD Exploitant agricole
mars 2014[32] En cours Bruno Taillandier DVD Cadre

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

En 2021, la commune comptait 1 313 habitants[Note 2], en diminution de 5,2 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 3891 3461 4541 5201 6861 8671 8451 8401 642
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7371 7331 7751 7501 7091 7111 7371 7401 870
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 8901 9501 9751 7891 8321 8431 8011 8411 734
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 8732 0082 0772 3342 1601 7061 5871 5381 480
2015 2020 2021 - - - - - -
1 3851 3241 313------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

La commune dépend de la circonscription académique d'Issoudun.

Manifestations culturelles et festivités modifier

Chaque année plusieurs fêtes sont organisés dans la commune comme : la « foire Saint-Denis » (connue aussi sous le nom de « foire aux Mâles ») a lieu tous les 1er octobre, la « fête de l'École » et la « fête de Noël » (cette fête a lieu souvent au vers la dizaine de décembre et l'assemblée aux forges, qui a lieu vers le mois de mai près de la gare).

Équipement culturel modifier

Santé modifier

Sports modifier

Un site de baignade non surveillé[39] (plage de la Foulquetière) est présent dans la commune.

Médias modifier

La commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.

Cultes modifier

Économie modifier

La commune se situe dans la zone d’emploi de Romorantin-Lanthenay et dans le bassin de vie de Valençay[28].

La viticulture est l'une des activités de la commune, qui se trouve dans la zone couverte par l'AOC valençay.

La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage des fromages Valençay[40] et Sainte-maure-de-touraine[41].

Un camping est présent dans la commune. Il s'agit du camping municipal de La Foulquetière qui dispose de 30 emplacements[42].

Culture locale et patrimoine modifier

 
Le château d'Oublaise vers 1900.
  • Château d'Oublaise[43] (anciennement Oublesse) bâti au 19e siècle par Gaston de Préaulx (1821 - 1886), 9e marquis de Préaulx, qui y vécut jusqu'à sa mort. Il fut construit sur les fondations d'un ancien château édifié en 1675, rasé pour faire place au nouveau. Il devint ensuite la propriété d'un des quatre enfants du 9e marquis de Préaulx, sa fille Marie Charlotte de Preaulx, dernière marquise d'Aligre. Cette dernière en fit don dès sa naissance en 1906 à Amaury de Preaulx, 11e et dernier marquis de Preaulx (né le dans l'Eure (Le Fresne), mort le en Maine-et-Loire). Le château resta dans cette même famille jusqu'à sa vente en 1935.
  • Château de l'Allemandière[43]
  • Église[43]
  • Falaise de pierres[43]
  • Lavoir[43]
  • Manoir de La Foulquetière[43]
  • Monument aux morts
  • Musée de la Pierre à Fusil[44],[43]

Héraldique, logotype et devise modifier

  Blason
D'or aux trois tours soudées d'argent, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys du champ.
Variante : D’or à trois tours d’Argent (sic) au chef d’Azur chargé de trois fleurs de Lys d’Or.
Détails
Les armoiries[45] de métal sur métal, ou de couleur sur couleur sont dites à enquerre, du vieux mot enquerre, s’enquérir, s’informer, parce que comme elles sont contraires aux lois héraldiques, elles donnent occasions de demander pourquoi on les porte ainsi.
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b et c « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
  2. a b et c « Luçay-le-Mâle » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
  3. « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  6. « Orthodromie entre Luçay-le-Mâle et Lye », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Lye », sur la commune de Lye - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Station Météo-France « Lye », sur la commune de Lye - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  10. a et b « Luçay-le-Mâle », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
  11. « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
  12. « Fiches Horaires », sur le site SNCF TER Centre-Val de Loire, consulté le 2 septembre 2018.
  13. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  18. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  19. Site de l'Insee : Luçay-le-Mâle, consulté le 6 septembre 2016.
  20. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Luçay-le-Mâle », sur Géorisques (consulté le )
  21. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
  22. « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur www.centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le )
  23. « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur www.indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  24. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  25. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  26. Les changements de noms de lieux en 1792-1793, Archives & Culture.
  27. « Nom des habitants des communes françaises, Luçay-le-Mâle », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
  28. a et b « Commune de Luçay-le-Mâle (36103) », sur le site de l'Insee, consulté le 28 octobre 2018.
  29. Site de La Poste : Un bureau de poste, consulté le 22 août 2012.
  30. « Résultats des élections municipales 2001 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  31. « Résultats des élections municipales 2008 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  32. « Résultats des élections municipales et communautaires 2014 », sur le site du Ministère de l'Intérieur, consulté le 16 avril 2018.
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  38. « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
  39. « Le Mag 36 #1 », sur le site du Conseil départemental de l'Indre, p. 19, consulté le 3 juillet 2017.
  40. Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
  41. « Sainte-maure-de-touraine », sur le site de l'Institut national de l'origine et de la qualité, consulté le 19 février 2018.
  42. « Camping municipal La Foulquetière », sur le site de campingfrance.com (consulté le ).
  43. a b c d e f et g Site de la communauté de communes Écueillé - Valençay : Territoire, consulté le 18 janvier 2016.
  44. « Un dimanche patrimonial et artistique », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre,‎ .
  45. Abrégé méthodique de la science des armoiries de Maigne : BNF MSS-FR - 15913, fiche 1013.