Liniers (Vienne)

commune française du département de la Vienne

Liniers
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Vienne
Arrondissement Poitiers
Intercommunalité Grand Poitiers
Maire
Mandat
Pascal Faideau
2020-2026
Code postal 86800
Code commune 86135
Démographie
Gentilé Linarois
Population
municipale
582 hab. (2021 en augmentation de 3,01 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 36′ 39″ nord, 0° 32′ 14″ est
Altitude Min. 97 m
Max. 138 m
Superficie 16,19 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Poitiers
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Chasseneuil-du-Poitou
Législatives Première circonscription
Localisation
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Liniers
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Liniers
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Liniers
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Liniers

Liniers est une commune du Centre-Ouest de la France, située dans le département de la Vienne en région Nouvelle-Aquitaine.

Ses habitants sont appelés les Linarois[1].

Géographie modifier

Géologie et relief modifier

L'altitude maximale s'élève à 131 m, le point bas est à 97 m.

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 729 mm, avec 11 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Biard à 18 km à vol d'oiseau[5], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 695,3 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Liniers
Montamisé La Chapelle-Moulière
Bignoux   Bonnes
Lavoux

Voies de communication et transports modifier

La commune de Liniers se situe au carrefour de deux routes départementales, la D 1 (axe Saint-Julien-l'Ars-Bonneuil-Matours) et la D 6 (axe Bonnes-Poitiers). La commune est voisine des communes de Bignoux, Lavoux, Bonnes et La Chapelle-Moulière.

Le centre-bourg s'étale le long de la D 1. Les habitants se répartissent dans une bonne vingtaine de hameaux.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Liniers est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Poitiers, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 97 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (77,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (80,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,5 %), forêts (19,8 %), zones agricoles hétérogènes (19 %), zones urbanisées (2,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Liniers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].

Risques naturels modifier

Liniers est exposée au risque de feu de forêt. En 2014, le deuxième plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2015-2024[17]. Les obligations légales de débroussaillement dans le département sont définies dans un arrêté préfectoral du [Note 3],[18], celles relatives à l'emploi du feu et au brûlage des déchets verts le sont dans un arrêté permanent du [19],[20].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Liniers.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines) et des tassements différentiels[21]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[22]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[23]. 59,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (79,5 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 4],[24].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1992, 1993, 1999 et 2010, par la sécheresse en 1989, 1991, 1998 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[15].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous la forme Linarius en 923.

L'origine du nom du village est multiple. Il pourrait provenir du latin linarium qui indique une terre où l'on cultive du lin. Le nom pourrait aussi dériver du patronyme gallo-romain Linarius. enfin, il pourrait dériver d'un autre patronyme, d'origine germaine, Lewonhard[25].

Le lieu-dit les Tiffalières, à l'ouest du village, est la trace de l'installation de Taïfales comme foederati par les Romains à la fin de l'Antiquité[26].

Histoire modifier

La présence humaine à Liniers remonte au moins à l'époque[27] gallo-romaine, des traces subsistant au château des Meurs, à la Chevralière, à la Vieille Chaise et au Marchais, villages autrefois alignés sur une importante voie romaine reliant Poitiers à la vallée de la Vienne et à la vallée de la Creuse jusqu'à Yzeures-sur-Creuse.

Les principales agglomérations gallo-romaines étaient établies aux hameaux de la Pigealière, de la Loge et de la Boulardière.

À l'époque carolingienne, Liniers était la principale localité d'un vaste secteur couvrant tout le plateau entre Vienne et Clain et s'appelait alors Linarinsis Vicaria. Au Xe siècle, Liniers était le chef-lieu d'une viguerie, territoire de juridiction du viguier, magistrat. Le nom de Liniers évoque dès son origine la culture du lin.

De 1851 à 1885, la commune accueille la colonie pénitentiaire agricole de la Bradière qui regroupe jusqu'à 150 enfants difficiles, délinquants, vagabonds ou orphelins provenant de la région et de l'assistance publique de Paris[28],[29].

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1983 1995 Philippe Thomas DVD  
1995 2014 Brigitte de La Rochelambert[30] DVD  
2014 En cours Dominique Brocas    

Instances judiciaires et administratives modifier

La commune relève du tribunal d'instance de Poitiers, du tribunal de grande instance de Poitiers, de la cour d'appel de Poitiers, du tribunal pour enfants de Poitiers, du conseil de prud'hommes de Poitiers, du tribunal de commerce de Poitiers, du tribunal administratif de Poitiers et de la cour administrative d'appel de Bordeaux, du tribunal des pensions de Poitiers, du tribunal des affaires de la Sécurité sociale de la Vienne, de la cour d’assises de la Vienne.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[31]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[32].

En 2021, la commune comptait 582 habitants[Note 5], en augmentation de 3,01 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1872 1876 1881 1886 1891 1896
343321302417483524441426430
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
428410403399374363344340358
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
321306324414472486504545566
2021 - - - - - - - -
582--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[33] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

En 2008, selon l’Insee, la densité de population de la commune était de 31 hab./km2 contre 61 hab./km2 pour le département, 68 hab./km2 pour la région Poitou-Charentes et 115 hab./km2 pour la France.

Économie modifier

Agriculture modifier

Selon la direction régionale de l'Alimentation, de l'Agriculture et de la Forêt de Poitou-Charentes[35], il n'y a plus que 9 exploitations agricoles en 2010 contre 11 en 2000.

Les surfaces agricoles utilisées ont diminué et sont passées de 664 hectares en 2000 à 520 hectares en 2010. 60 % sont destinées à la culture des céréales (blé tendre essentiellement et orge), 28 % pour les oléagineux (tournesol) et 3 % pour le fourrage.

L'élevage de bovins, de moutons et de volailles a disparu au cours de cette décennie. Pour les moutons, cette évolution est conforme à la tendance globale du département de la Vienne. En effet, le troupeau d’ovins, exclusivement destiné à la production de viande, a diminué de 43,7 % de 1990 à 2007[36].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Notre-Dame-de-Liniers modifier

Petite église romane placée sous le patronage de Notre-Dame, dont la nef remonte au XIe siècle et les chapelles latérales au XIXe siècle. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[37]. L'église, menaçant de s'écrouler en 1996, a été sauvée par d'importants travaux de restauration en 1997-1998 avec l'aide de la Région, du Conseil général de la Vienne, de l'association Patrimoine Linarois et d'une souscription.

Des vitraux contemporains en dalle de verre ont été créés par le maître verrier Michel Guével en 1999 et 2006. Le modelage à chaud de blocs de verre qui ont leur dynamique propre, et leur assemblage avec une résine utilisée dans l'industrie aéronautique, donnent une lumière caractérisée par la douceur des teintes : rose, orangé ou bleu qui inonde l'intérieur de la petite église.

La construction du corps central du bâtiment actuel est du XIe siècle (le vaisseau unique ainsi que le clocher-porche). Des travaux furent effectués en 1668 par le curé Pierre Tribouillard, comme en témoignent les inscriptions de la travée du clocher. Au XIXe siècle, deux chapelles latérales et une sacristie sont construites.

Un des deux chapiteaux du portail occidental représente deux colombes buvant à un calice. Elles représentent les âmes qui boivent à la source de la mémoire. C'est un emprunt de l'Église à l'iconographie traditionnelle romaine. Pour le chrétien, cette image est le symbole de l'Eucharistie : "Vous puiserez l'eau avec joie aux sources du salut" (Isaïe,12-3). Elle est courante dans les églises romanes du département de la Vienne. On la retrouve à l'église Saint-Pierre de Chauvigny, au prieuré de Villesalem, à l'église de Bonneuil-Matours, à l'église de Civaux, à l'église Notre-Dame de Lencloître.

Travaux récents :

Motte des Jollis modifier

Les vestiges de la motte sont situés au lieu-dit les Jollis. Elle est mentionné dans l'ancien cadastre de 1820 sous le nom de « Motte de la Forge » et est appelée localement « La Motte de Terre »[38].

En 1957, la motte a été arasée afin de faciliter les labours Elle mesure 30 mètres de diamètre et 4 mètres de hauteur résiduel. Elle ne présente ni basse-cour, ni de fossés, ni d'enceinte. Sur le site ont été retrouvés un gisement archéologique et une fosse qui contenait des fragments de poteries médiévales. Un souterrain, à environ 2,50 mètres sous le sol, s'étendait sur toute la longueur de la motte selon un axe nord-sud[38].

Patrimoine naturel modifier

La forêt de Moulière. D'une superficie de 5 000 ha, elle est située au nord-est de Poitiers et couvre neuf communes : Bignoux, Bonneuil-Matours, La Chapelle-Moulière, Dissay, Montamisé, Saint-Cyr, Saint-Georges-lès-Baillargeaux et Vouneuil-sur-Vienne.

La forêt de Moulière occupe 14 % du territoire de la commune. De très nombreux chemins permettent des promenades ou des randonnées.

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le brûlage des déchets verts à l’air libre ou à l’aide d’incinérateurs individuels est interdit toute l’année et sur l’ensemble du département de la Vienne.
  4. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Vienne Moulière - Conseils maison et jardin », sur Vienne Moulière (consulté le ).
  2. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Orthodromie entre Liniers et Biard », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Poitiers-Biard » (commune de Biard) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Poitiers-Biard » (commune de Biard) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Poitiers », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Liniers », sur Géorisques (consulté le ).
  16. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  17. « Protection de la forêt contre les incendies », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  18. « Arrêté relatif aux obligations de débroussaillement - Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  19. « Règlement permanent de l'emploi du feu et du brûlage des déchets verts », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le ).
  20. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  21. « Dossier départemental des risques majeurs de la Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Liniers », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  24. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  25. Le Patrimoine des communes de la Vienne en 2 tomes – Edition FLOHIC – 2002 – (ISBN 2-84234-128-7).
  26. Albert Curtet, « Les rochers gravés de Saint-Aubin-de-Baubigné » dans Bulletin de la Société préhistorique de France, vol. 55, no 7-8, 1958.
  27. « Vienne Moulière - Conseils maison et jardin », sur Vienne Moulière (consulté le ).
  28. L'Illustration, no 870 du 29 octobre 1859.
  29. [PDF] Thérèse Charmasson, Michel Duvigneau, Anne-Marie Lelorrain, Henri Le Naou, L'enseignement agricole, 150 ans d'histoire sur le site Chlorofil.fr.
  30. Site de la préfecture de la Vienne, consulté le 10 mai 2008
  31. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  32. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  33. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. Fiches communales 2000 - 2010 de la Vienne
  36. Agreste – Bulletin n°12 de Mai 2013
  37. « Église paroissiale », notice no IA86000225, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. a et b Sébastien Noël et Luc Stevens, Souterrains et mottes castrales : Émergence et liens entre deux architectures de la France médiévale, Paris, Éditions L'Harmattan, , 422 p. (ISBN 978-2-343-07867-0), p. 154-157.