Les Vans
Les Vans | |||||
Vue des Vans. | |||||
![]() Blason |
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Administration | |||||
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Pays | ![]() |
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Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Ardèche | ||||
Arrondissement | Largentière | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Pays des Vans en Cévennes (siège) |
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Maire Mandat |
Jean-Marc Michel 2020-2026 |
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Code postal | 07140 | ||||
Code commune | 07334 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Vanséens | ||||
Population municipale |
2 663 hab. (2018 ![]() |
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Densité | 86 hab./km2 | ||||
Population agglomération |
3 432 hab. (2009) | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 24′ 21″ nord, 4° 07′ 58″ est | ||||
Altitude | Min. 126 m Max. 948 m |
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Superficie | 31,09 km2 | ||||
Unité urbaine | Les Vans (ville-centre) |
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Aire d'attraction | Commune hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton des Cévennes ardéchoises (bureau centralisateur) |
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Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
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Les Vans [le vɑ̃s][1],[2] — Los Vans en occitan — est une commune française, située dans le département de l'Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes[3]. Les Vans fait partie d'une structure intercommunale : la communauté de communes Pays des Vans en Cévennes.
GéographieModifier
SituationModifier
Bureau centralisateur de canton du sud de l'Ardèche, Les Vans occupe le centre d'un bassin près de la rivière Chassezac. Il est dominé au sud par le serre de Barre, dernier sommet oriental des Cévennes ardéchoises. En 2001, la localité est devenue « ville-porte » du parc naturel régional des Monts d’Ardèche, tout en faisant également partie de la zone périphérique du parc national des Cévennes.
Communes limitrophesModifier
Gravières | Chambonas | Les Assions | ||
Malons-et-Elze Bonnevaux |
N | |||
O Les Vans E | ||||
S | ||||
Malbosc | Banne | Berrias-et-Casteljau |
Quartiers et lieux-ditsModifier
- Les Vans (le bourg) :
- Les Armas
- Champfagou
- Le Pradal
- Le Barret
- Le Roussillon
- Le Bourdaric
- La Clairette
- Champvert
- Les Bourgades
- La Roucheyrolle
- Les Armas le Haut
- Le Savel
- Les Coulets
- Les Grads
- Naves
- Les Grads de Naves
- Les Coulets de Naves
- Les Ayres
- Mas du Cocu
- Le Barret
- Chassagnes
- Chassagnes-le-Bas
- Plaine de Chabiscol
- Saint-Eugène
- Le Germanion
- Les Grads de Chassagnes
- Brahic
- Murjas
- Les Angligeos
- Martrimas
- Perriès
- La Coste
- Vénissac
- La Prade
TransportsModifier
Les Vans est accessible via plusieurs lignes d'autocars en provenance de la gare de Valence TGV, Montélimar et Aubenas (Ligne 74 des Cars Région Auvergne Rhône-Alpes) ainsi que d'Alès (Ligne 13 du réseau Le Sept).
UrbanismeModifier
TypologieModifier
Selon la terminologie définie par l'Insee et le zonage publié en 2020, Les Vans est une commune urbaine[Note 1]. Elle appartient en effet à l'unité urbaine des Vans, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[4] et 4 791 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[5],[6]. La commune est en outre hors attraction des villes[7],[8].
ToponymieModifier
Le nom « Vans » viendrait soit d’un terme celtique signifiant « versant »[9], soit plus sûrement du radical oronymique ligure (préceltique) VAN-/VEN- fréquent dans les Alpes (Vence, Vanoise, Venosc, Venanson, Vénéon...).
Les habitants des Vans s'appellent les Vanséens et les Vanséennes.
HistoireModifier
Les chanoines de Saint-Ruf, dont l'ordre est établi depuis 1039 à Avignon, fondent une première église romane[9].
En 1208 une bulle d'Innocent III ratifie la donation des Vans à l'abbaye de Saint-Gilles-du-Gard[10]. Du XIVe siècle au XVIIIe siècle inclus, un barri entourait le bourg ; ce « mur de ville » était haut de quelques mètres et large de soixante à quatre-vingts centimètres. Il était doublé d'un fossé ou ruisseau qui longeait occasionnellement les maisons. Il comportait quatorze tours et quatre portes ; une cinquième, très étroite, fut percée au XVIIIe siècle.
Vers le milieu du XVe siècle Charles VII institue deux foires aux Vans : l'une du 21 au , l'autre les 8 et - cette dernière bientôt remplacée par la foire de la Saint-Thomas le [11].
En 1478 le bourg appartient aux coseigneurs Rochebaron[12], en 1643 aux de La Fare, en 1672 au comte du Roure et de La Garde-Chambonas et en 1762 au duc d’Uzès. La ville passe à la Réforme au XVIe siècle ; en 1629, elle retourne au catholicisme.
En 1790, la région est rattachée au département de l'Ardèche[13].
La place de la Grave fut le théâtre d'exécutions après la révolte des Masques et du massacre de Saillans et de ses compagnons en juillet 1792.
En 1799 (à l’arrivée de Bonaparte) le barri est démantelé, n'ayant plus de raison d'être ; seuls quelques vestiges demeurent[9].
La révolution de 1848 est bien accueillie en Ardèche, et notamment par le maire de Vans, qui collabore activement avec les commissaires du gouvernement en leur indiquant quels sont les bons républicains susceptibles d’occuper les fonctions de maire dans les communes voisines, et quels sont les maires opposés au régime et qu’il juge préférable de révoquer[14].
En 1851 Les Vans est l'une des onze communes dans le Vivarais cévenol où la densité de population dépasse 150 habitants/km2 — plus que dans le Vivarais de la vallée du Rhône. À l'époque, les Hautes Cévennes sont plus peuplées que les plaines des Basses Cévennes, peut-être grâce à la présence du châtaignier dans les hauteurs où il se plaît mieux. Dans les plaines plus basses, c'est le développement du mûrier dès le début du XVIIIe siècle qui a accompagné la croissance démographique commencée au XVIIe siècle. Ainsi en 1860 Les Vans abrite quatre filatures de soie sur les 13 existant dans les Cévennes. Ces filatures emploient surtout des femmes ; les hommes, eux, pratiquent l'émigration saisonnière, surtout pendant la période creuse des travaux agricoles. Les revenus sont précaires : vers 1850, 50 % des familles du canton des Vans sont endettées[15].
À la mort du professeur Ollier (1900) qui habitait près de l’église des Vans, une souscription mondiale permit d'élever deux statues monumentales en bronze, réalisées par Alfred Boucher, l'une aux Vans sur la place Léopold-Ollier, l'autre sur la place Ollier à Lyon. Pendant la seconde guerre mondiale, la ruse des Vanséens préserva la statue des Vans de la convoitise des Allemands, tandis que la statue de Lyon fut fondue pour les besoins de la Wehrmacht en 1941.
En 1973, la commune des Vans fusionne avec celles de Brahic, Chassagnes et Naves pour ne former qu'une seule et même commune (arrêté préfectoral du ).
Les Vans reçut le président de la République (Nicolas Sarkozy) le [16],[17] ; la précédente visite présidentielle officielle en Ardèche datait de 1961 (Charles de Gaulle).
Politique et administrationModifier
Tendances politiques et résultatsModifier
Jusqu'en 2013, la commune des Vans disposait de quatre sections électorales différentes correspondantes aux 4 anciennes communes fusionnées en 1973 (Les Vans, Brahic, Chassagnes et Naves) et les électeurs pouvaient panacher les noms des candidats sur les différentes listes. La loi du (dite Acte III de la décentralisation) a supprimé ces différentes dispositions. Désormais la commune des Vans représente une circonscription électorale unique élisant l’ensemble du conseil municipal selon un mode de scrutin unique déterminé en fonction de la population de la commune. Le chiffre de la population des Vans étant inclus entre 2 500 et 3 499 habitants, le conseil municipal est composé de 23 élus.
Par ailleurs, la commune des Vans dispose de 9 sièges au sein de l'assemblée communautaire de la Communauté de communes Pays des Vans en Cévennes.
Liste des mairesModifier
Depuis les élections départementales de , Les Vans est le bureau centralisateur d'un canton agrandi. Le canton des Vans a été réuni notamment à une partie de celui de Joyeuse, de Valgorge et de Largentière (qui perdront leur statut de chef-lieu de canton)[18].
JumelagesModifier
Population et sociétéModifier
Les habitants sont appelés les Vanséens et les Vanséennes.
DémographieModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[24].
En 2018, la commune comptait 2 663 habitants[Note 2], en diminution de 2,1 % par rapport à 2013 (Ardèche : +1,94 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
Personnalités liées aux VansModifier
- Hugues Meunier (1721-1792), général des armées de la République y est décédé.
- François Athanase Charette de La Contrie[27].
- Odilon Barrot (1791-1873), né à Villefort, qui fut propriétaire du château du Scipionnet sur la commune voisine de Chambonas.
- Louis Bastide de Malbos.
- Jules de Malbos.
- Eugène de Malbos, né en 1811 aux Vans, peintre pyrénéiste de l'époque romantique.
- Louis Xavier Edouard Léopold Ollier (1830-1900), né aux Vans, créateur de l'orthopédie et de la chirurgie réparatrice.
- Léonce Vieljeux (1865-1944), né aux Vans, maire de La Rochelle, colonel de réserve et agent du réseau de résistance Alliance, fusillé au Struthof en 1944. Le collège des Vans porte son nom.
- Jean-Marie Roux, maire, conseiller général, député, vice-président du conseil général.
ÉconomieModifier
TourismeModifier
Promenade, escalade, spéléologie, équitation, mais aussi canyoning, parapente, randonnée, baignade, pêche, camping et canoë-kayak dans les gorges du Chassezac
Culture locale et patrimoineModifier
Lieux et monumentsModifier
Les VansModifier
- Église Saint-Pierre-aux-Liens (XVIIe siècle), beau retable dans le chœur en noyer et en chêne, de style baroque, probablement réalisé par Jean Enghelbert qui vécut aux Vans pendant 6 ans, s'y maria et revint y mourir. La première mention de l’église Saint-Pierre-aux-liens et de son bourg apparaît en 1208 (bulle du Pape Innocent III). Église romane fondée tout d'abord par les chanoines de Saint-Ruf, elle est reprise par les moines de Saint-Gilles au XIIIe siècle ; les Protestants s’y établissent ensuite en 1563, jusqu'au retour des catholiques entre 1658 et 1681. L'église romane est en partie détruite après 1564 alors que Les Vans passe à la Réforme. La nouvelle église est construite à partir de 1664 d'après les plans de l’architecte Brun, sous l’égide de Claude de Roure, abbé de Malons[9]. Le clocher abrite 4 cloches fondues en 1854 par Burdin-Aîné à Lyon. La plus grosse pèse un peu plus d'une tonne.
- Temple protestant à colonnes, inauguré le
- Centre historique ancien, nombreuses demeures du XVIe siècle au XIXe siècle
- Gorges du Chassezac
- Le bois de Païolive
- Les Vans est le point de départ de nombreuses excursions et randonnées dans le Vivarais cévenol
- L’espace muséal du pays des Vans : la maison de l'olivier, le musée de France René Evesque (archéologie, géologie, tradition locale) et le musée Léopold Ollier[28]
- La Réserve naturelle régionale Grads de Naves est sur le territoire de la commune.
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Naves possède le label « village de caractère de l'Ardèche[29] » et connaît son heure de gloire au XIXe siècle avec le développement de la sériciculture et de l’élevage du ver à soie, activité qui, déclinant peu à peu, le fait tomber dans l’oubli. Le village, son église et ses vieilles ruelles ont fait l’objet d'importantes rénovations depuis le milieu des années 1980.
Éléments remarquables :
- l’église romane Saint-Jacques des XIIe et XIIIe siècles restaurée vers 2009 ;
- les vieilles rues pavées faites de calades et de passages voûtes ;
- les ruines de l’ancien château et des remparts ;
- Naves est le point de départ de randonnées.
ChassagnesModifier
Village situé à quelques kilomètres des Vans.
Le château fut la propriété de la famille Barthélémy de Laforest (juge-mage de Joyeuse) au XVIIIe siècle.
Le ChassezacModifier
Le Chassezac, remarquable par ses plages de sable et de galets, et Chassagnes sont surplombés par l’ermitage Saint-Eugène bâti sur une falaise calcaire. L’ermitage, a fait l’objet d’une restauration en 1956[30] qui lui a permis de retrouver, après plus de deux siècles d’abandon, sa destination originelle[31].
BrahicModifier
Brahic est niché sur le flanc sud du serre de Barre.
Éléments remarquables :
- le vieux village de Brahic et ses maisons rustiques en pierre ;
- le panorama surplombant toute la vallée ;
- l’église romane de Notre Dame de l'Assomption et son clocher à arcades (XIIe siècle) ;
- les chemins de grande randonnée aux alentours du village ;
- les hameaux pittoresques de Murjas et Perriès.
Festivités et événementsModifier
- Marché le samedi matin
- Marché artisanal nocturne le mardi en été
- Fête foraine du 1er au
- Fête de l'olivier le 3e dimanche de juillet
- « Castagnade », fête de la châtaigne, le dernier samedi d'octobre
- « Marché des potiers » et « marché cuir-bois » en juillet
- Fête de la randonnée le lundi de Pentecôte
- Festival Ard'Afrique en août : culture africaine, jazz, animations culturelles, concerts, expositions, danses. Il est à noter que l'édition 2015 a été la dernière à être organisée du fait des difficultés rencontrées par les organisateurs.
- Stage international de judo des Vans
Les Vans au cinémaModifier
Plusieurs films ont été tournés sur la commune :
- 2003 : Rencontre avec le Dragon de Hélène Angel
- 2005 : Alex de José Alcala
- 2009 : Le missionnaire de Roger Delattre
- 2014 : Trois cœurs de Benoît Jacquot, tourné aux Vans, ainsi qu'au Bois de Païolive[32] pour ses dernières scènes.
Héraldique logotype et deviseModifier
Les armes des Vans se blasonnent ainsi : La bordure cousue est une augmentation de l'ancien « d'azur au soleil d'or » (blason de droite). |
Voir aussiModifier
Articles connexesModifier
Liens externesModifier
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Une commune rurale est une commune n'appartenant pas à une unité urbaine. Les autres communes sont dites urbaines.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
RéférencesModifier
- « TV07 - Le Mag - Le marché des Vans (Septembre 2018) »
- « Panorama sur le Village des Vans en Ardèche »
- http://www.medarus.org/Ardeche/07commun/07comTex/vans.htm
- « Unité urbaine 2020 des Vans », sur https://www.insee.fr/ (consulté le 6 novembre 2020)
- « Base des unités urbaines 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 6 novembre 2020)
- Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 6 novembre 2020)
- « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 6 novembre 2020)
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc, Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur https://www.insee.fr/, (consulté le 6 novembre 2020)
- Les Vans sur le site Patrimoine d'Ardèche, société de sauvegarde des monuments anciens d'Ardèche. Plan de l'ancienne bourgade.
- L’ordre de Saint Ruf en Cévennes et en Vivarais, de 1197 à 1774. Marie-Lucy Dumas, avec la collaboration d’André Claveirole. Sur le site Histoire et Patrimoine des Hautes Cévennes.
- Ardèche, terre de châteaux. Michel Riou, 2002.
- « Château de Rochebaron », sur Château de Rochebaron (consulté le 6 septembre 2020).
- Annuaire du département de l'Ardèche pour l'année 1866
- Éric Darrieux, « L'accueil de la Seconde République au village en Ardèche », in Rives nord-méditerranéennes, Paysans et pouvoirs local, le temps des révolutions, mis en ligne le 22 juillet 2005, consulté le 16 mai 2013
- Bozon Pierre. La population de la Cévenne vivaroise. Dans Revue de géographie alpine. 1958, Tome 46 No 4. p. 683-715. doi : 10.3406/rga.1958.1848. Accessed on 28 janvier 2015.
- « Sarkozy, des Vans à Joyeuse », Le Dauphiné libéré, .
- « Visite de Sarkozy: les Vans sous très haute protection », Le Dauphiné libéré, .
- http://www.legifrance.gouv.fr/affichTexte.do?cidTexte=JORFTEXT000028621829
- MairesGenWeb: http://www.francegenweb.org/mairesgenweb/resultcommune.php?id=4005
- Henry Strohl, L'histoire d'une Famille des Vans, p. ?
- Éric Darrieux, « de la Seconde République au village en Ardèche », in Rives nord-méditerranéennes, Paysans et pouvoirs local, le temps des révolutions, mis en ligne le 22 juillet 2005, consulté le 16 mai 2013
- « Liste des maires du département de l'Ardèche » [PDF], sur le site de la préfecture de l'Ardèche, (consulté le 30 août 2015).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- « Une mère ardéchoise », sur blog.com, Histoire et histoires, (consulté le 6 septembre 2020).
- Le musée sur le site du Parc Naturel Régional des Monts d'Ardèche.
- http://www.villagesdefrance.free.fr/dept/page07_ardechemeridionale.htm.
- « J'ai visité pour vous : L’Ermitage Saint-Eugène, à Chassagnes (Ardèche). », sur blogspot.fr (consulté le 6 septembre 2020).
- Voir sur Commons des reproductions des fresques de style byzantin réalisées dans la chapelle par un peintre iconographe.
- Tournage du film, journal Le Dauphiné, du 11/11/2013.