Le Lonzac

commune française du département de la Corrèze

Le Lonzac
Le Lonzac
La rue principale en direction de Madranges et Treignac.
Blason de Le Lonzac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Corrèze
Arrondissement Tulle
Intercommunalité Communauté d'agglomération Tulle Agglo
Maire
Mandat
Henri Jammot
2020-2026
Code postal 19470
Code commune 19118
Démographie
Gentilé Lonzacois, Lonzacoises
Population
municipale
818 hab. (2021 en augmentation de 2,89 % par rapport à 2015)
Densité 23 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 27′ 53″ nord, 1° 43′ 46″ est
Altitude Min. 321 m
Max. 568 m
Superficie 35,97 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Seilhac-Monédières
Législatives Première circonscription
Localisation
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Le Lonzac
Liens
Site web lelonzac.fr

Le Lonzac (Olonzac en occitan) est une commune française du Massif central, au pied du massif des Monédières dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine. La commune est située dans le parc naturel régional de Millevaches en Limousin. Ses habitants sont appelés Lonzacois et Lonzacoises.

La commune du Lonzac compte 810 habitants (recensement 2020) répartis sur un territoire d'une superficie de 35,97 km² classé en zone de montagne[1]. 247 mètres de dénivelés séparent le point le plus bas (pont du Verdier) au point le plus haut (Aiguepanade).

Géographie modifier

Localisation modifier

Le Lonzac fait partie de la Communauté d'agglomération Tulle Agglo. Adossée au flanc du massif des Monédières, son altitude moyenne est de 461 mètres, le point culminant se situant à 568 mètres (au lieu-dit Aiguepanade) et le point le plus bas à 321 mètres (sur le pont du Verdier qui enjambe la Vézère). Elle fait partie des 124 communes du parc naturel régional de Millevaches réparties sur les départements de la Corrèze, la Haute-Vienne et la Creuse.

 
Panorama depuis le lieu-dit La Tronche, à la sortie du Lonzac. Vue sur le Puy de la Monédière et la partie septentrionale du Suc au May.

Le taux de maisons secondaires par rapport à l'ensemble des logements de la commune (24%), la classe au 9ème rang des villes du département où l'on compte le plus de maisons secondaires[2] et augmente d'autant la population durant les mois d'été.

Voies routières modifier

La sortie 20 de l'A89 se trouve à 18 km et la sortie 44 de l'A20 est à 19 km. La RD940, axe qui relie Figeac à Bourges, via Tulle et Guéret, traverse la commune. Au sud, Tulle et Brive-la-Gaillarde sont respectivement localisées à 26 km et 43 km. Au nord Limoges se trouve à 72 km. A l'ouest Périgueux est à 103 km. A l'est enfin, Clermont-Ferrand est distant de 139 km. L'accès au sommet du Suc au May se fait par le col du Bos.

La desserte de la commune est complétée par d'autres routes départementales, notamment la D26 en direction de l'ouest vers Uzerche via Eyburie et au sud en direction de Sarran via Saint-Augustin. La D173, toujours vers le sud, permet de rejoindre l'A89 via Saint-Salvadour. La D121 à l'est mène au massif des Monédières via Madranges. La D24 au nord file vers Chamberet via Peyrissac.

Communes limitrophes modifier

Hydrographie modifier

 
Ruisseau le Boulou au Lonzac.

La commune du Lonzac est arrosée par la Vézère et deux de ses affluents, le ruisseau de Boulou et la Madrange. L'étang de Gane-Torte sur la commune est un lieu de pêche et de pique-nique. À proximité se trouve le lac des Bariousses, labellisé « Pavillon bleu »[3].

Toponymie modifier

Le toponyme de la commune trouve son origine au Xe siècle. Une église dédiée à Saint-Martin est bâtie dans la « villa Olonziacus ». Elle deviendra plus tard « Olonzac » puis Le Lonzac. L'origine du nom viendrait d'Avellanica qui signifie le noisetier[4].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 307 mm, avec 13,5 jours de précipitations en janvier et 8,1 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Uzerche à 14 km à vol d'oiseau[8], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 097,9 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Le Lonzac est une commune rurale[Note 1],[12]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[13],[14]. La commune est en outre hors attraction des villes[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (71,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (70,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (46 %), forêts (26,5 %), prairies (25,4 %), zones urbanisées (1,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,6 %)[17].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Transport routier modifier

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune du Lonzac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].

Risques naturels modifier

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux du Lonzac.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 13,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 660 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 13 sont en aléa moyen ou fort, soit 2 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[20],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[21].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[18].

Risques technologiques modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de Monceaux la Virolle, un ouvrage de classe A[Note 2] situé dans la Corrèze et disposant d'une retenue de 20,5 millions de mètres cubes[23]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[24].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune du Lonzac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[25].

Histoire modifier

L'histoire de Le Lonzac et le commerce sont étroitement liés. À la fin du XIXe siècle et jusqu'au XXe siècle, les rues de la commune étaient souvent animées par des foires aux bestiaux. C'était l'époque où l'on comptait plus de 30 hôtels, bistrots et guinguettes. La ligne du PO-Corrèze (Paris - Orléans - Corrèze) fonctionnait encore et la gare accueillait les nombreux visiteurs. Aujourd'hui, cette tradition séculaire des foires se perpétue : foires aux bovins gras une fois par an, foire aux veaux de lait trois fois par an, et chaque deuxième lundi du mois un grand marché s'installe au centre du village[26].

« Le 3 avril 1944 vers 10 heures, une colonne blindée allemande traverse Le Lonzac. A 14 heures, six camions revenant de Treignac s’arrêtent sur le champ de foire et leurs occupants se dirigent vers le château de la Guéronnière. Le propriétaire, Lusigny De La Gueronnière, s’apprête à déjeuner en compagnie de sa sœur et de quatre responsables de maquis FTP : Paul Estève, dit « Raoul », Louis Faye dit « Azaïs », Pierre Mathevet dit « Maurice » et Bernard Ballin, dit « Professeur ». Apercevant les Allemands dans le parc, les maquisards tentent de s’enfuir dans des directions opposées. Paul Estève et Louis Faye parviennent à s’échapper ; Paul Mathevet et Bernard Ballin, blessés et refusant de parler, sont achevés par balles. Lusigny De La Gueronnière est sauvagement frappé et exécuté sur le champ, le domaine familial, y compris la ferme annexe, est entièrement incendié. Les Allemands regagnent Treignac, entraînant avec eux Madame Jean De La Gueronnière, Monsieur Miginiac, fermier du château, Jean Demichel, maire du Lonzac et Antoine Arpaillanges, secrétaire de mairie »[27].

En avril 1944, deux mois avant les massacres de Tulle, 18 habitants de Le Lonzac sont fusillés par les SS de la Division Brehmer lors de leurs exactions dans le département. Désormais, la commune est reconnue village martyr et honore les disparus sur son Chemin de la Mémoire[26].

Politique et administration modifier

 
La mairie.
 
Le monument aux morts 1914-1918.
 
Le monument aux morts 1939-1945.
 
L'église.
 
De 1904 à 1970, la commune du Lonzac fut desservie par le chemin de fer du PO-Corrèze.
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1989 2001 Daniel Chasseing RPR Conseiller général (1979-2015)
mars 2001 2008 Jean-Louis Dupuy    
mars 2008 En cours Henri Jammot[28]
Réélu pour le mandat 2020-2026
DVG Retraité

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[30].

En 2021, la commune comptait 818 habitants[Note 3], en augmentation de 2,89 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
2 0111 8571 9551 9962 3562 4842 6442 7672 772
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
2 7902 7032 4142 4602 5142 5952 6842 7692 749
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 7372 5152 5032 0442 0231 8171 8811 4921 334
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1 1851 084992929855772835825782
2014 2019 2021 - - - - - -
793810818------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église Saint-Martin du Lonzac. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[33]. Détruite au XIIIe siècle, l'église Saint-Martin, essentiellement romane, fut reconstruite au XVIe siècle. Le clocher date quant à lui du milieu du XVIIe siècle[34]. L'ancien presbytère a été transformé en médiathèque en 2018.[réf. souhaitée]
  • Dans le périmètre de l'église, plusieurs maisons subsistent, datant de la Renaissance, dont certaines sont à pans de bois. Située plus à l'écart du village, la chapelle Notre-Dame du Châtenet est typique du style corrézien avec sa façade d'entrée en clocher mur-pignon.[réf. nécessaire]
  • La gare du Lonzac était située sur la ligne Seilhac - Treignac du réseau PO-Corrèze. Ouverte en 1904 et fermée le 3 novembre 1969, la station et le bâtiment de voyageurs ont été conservés et sont devenus propriété de la commune. C'est la seule gare de l'antique ligne PO-Corrèze qui ait été conservée. Le tracé de l'ancienne voie autour du Lonzac a été aménagé pour devenir un chemin de randonnée qu'on emprunte à pied ou à vélo[35].
  • Le pont de la Garenne enjambe la Vézère et relie Le Lonzac à Peyrissac. C'est ici le point de départ du parcours de canoë-kayak « Sports nature » qui chemine sur la Vézère sous le pont du Verdier, le pont de Vernéjoux, et file jusqu'au cœur de la ville d'Uzerche[36].
  • Le château de Boissy, construit au XVIIe siècle, se situe non loin de la cascade du même nom sur la Madrange, aussi appelé Gour du Sault.
  • Des points de vue sur les puys du massif des Monédières se détachent du plateau corrézien en direction de l'est[37].

Personnalités liées à la commune modifier

  • Barthélemy Profit (1867 - 1946), pédagogue, y est né[38] ;
  • Gabriel Boissy (1879-1949), journaliste à l'Intransigeant, resté célèbre pour son idée de la flamme sur la tombe du Soldat inconnu, y est né ;
  • Jacques Delors (1925-2023), en est originaire par sa famille paternelle (hameau de la Balaudie). Il fréquente régulièrement le village jusqu'aux années 2010, principalement l'été. Sa fille, Martine Aubry, maire de Lille depuis 2001 et ancienne première secrétaire du Parti Socialiste, venait également au Lonzac[39] ;
  • Luc Rabat, directeur technique national adjoint, à la Fédération française de football (FFF).

Héraldique modifier

  Blason
D'azur à trois poissons d'argent nageant contre-nageant l'un sur l'autre.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Vie pratique modifier

Service public modifier

Enseignement modifier

Culture modifier

  • Association Art à tous les étages organise une exposition d'art contemporain dans les rues du Lonzac.
  • Association théâtrale d'amateurs, La clef des champs,
  • Galerie d'art éphémère l'Épicerie, espace de rencontres culturelles qui expose peintres, plasticiens, céramistes, sculpteurs...

Activités sportives modifier

Le canoë-kayak sur la Vézère ainsi que la randonnée, le parapente et le Vélo tout terrain de descente depuis les sommets des Monédières sont pratiqués[37].

Écologie et recyclage modifier

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Daniel Borzeix, Le Pays de Treignac autrefois, Treignac, éditions de L'Esperluette, 2011.
  • Monique Borzeix, Histoire des écoles du canton de Treignac, éditions de L'Esperluette, 2013.
  • Yves Lavalade, Les noms de lieux du canton de Treignac, éditions de L'Esperluette, 2014 (dont évidemment Le Lonzac, pp. 68-79).
  • Témoignage, Les années noires d'un village martyr. Le Lonzac, 1943-1944, éditions La Veytisou, 2006.

Articles connexes modifier

Lien externe modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[22].
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Territoires en Nouvelle Aquitaine », sur Territoire Nouvelle Aquitaine, .
  2. Insee, « insee, statistiques tourismes commune de Le Lonzac 2020. », sur INSEE, .
  3. « Tourisme : 5 Pavillons Bleus décernés au Limousin en 2020 », sur France 3 Nouvelle-Aquitaine, (consulté le ).
  4. Département de la Corrèze, « Le Lonzac, origine du nom et du blason. », sur lacorreze.com (consulté le ).
  5. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  8. « Orthodromie entre Le Lonzac et Uzerche », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Uzerche » (commune d'Uzerche) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Uzerche » (commune d'Uzerche) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. a et b « Les risques près de chez moi - commune du Lonzac », sur Géorisques (consulté le ).
  19. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  20. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  21. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune du Lonzac », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  22. Article R214-112 du code de l’environnement
  23. « barrage de Monceaux la Virole », sur barrages-cfbr.eu (consulté le ).
  24. « Dossier départemental des risques majeurs de la Corrèze », sur correze.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  25. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  26. a et b Mairie du Lonzac, « Un peu d'histoire », sur lelonzac.fr.
  27. Paul Mons, « Afin que nul n'oublie la folie meurtrière de la division Brehmer. », Archives départementales de la Corrèze.,‎ (lire en ligne).
  28. Site de la préfecture, consulté le 20 août 2008.
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Eglise paroissiale Saint-Martin », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  34. « L'église Saint-Martin du Lonzac », sur lacorreze.com.
  35. « L'ancienne gare de Le Lonzac », sur lacorreze.com.
  36. « Le pont de Vernéjoux sur la Vézère », sur lacorreze.com.
  37. a et b Carole Bridier, Alain Freytet et Christophe Lehurger, Etude paysagère pour la valorisation du site emblématique des Monédières., , 138 p. (lire en ligne), p. 67.
  38. « Ministère de la culture - Base Léonore », sur culture.gouv.fr (consulté le ).
  39. Estelle Bardelot et Emmanuel Tremet, « La Corrèze, terre de Jacques Delors », Le Populaire du Centre,‎ .