Issé

commune française du département de la Loire-Atlantique

Issé
Issé
L'ancienne gare.
Blason de Issé
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Loire-Atlantique
Arrondissement Châteaubriant-Ancenis
Intercommunalité Communauté de communes Châteaubriant-Derval
Maire
Mandat
Jean-Marc Lalloué
2020-2026
Code postal 44520
Code commune 44075
Démographie
Gentilé Isséens
Population
municipale
1 794 hab. (2021 en diminution de 4,17 % par rapport à 2015)
Densité 46 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 37′ 29″ nord, 1° 27′ 00″ ouest
Altitude Min. 22 m
Max. 76 m
Superficie 38,66 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Châteaubriant
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Châteaubriant
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Issé
Liens
Site web http://www.isse.fr/

Issé est une commune de l'Ouest de la France, située dans le département de la Loire-Atlantique, en région Pays de la Loire.

Géographie modifier

Localisation modifier

 
Situation de la commune d'Issé dans le département de la Loire-Atlantique.

Issé est située sur les bords du Don à 10 km au sud-est de Châteaubriant.

Voies de communication et transports modifier

La gare d'Issé située sur la ligne de Nantes-Orléans à Châteaubriant rouverte sous la forme d'un tram-train le [1] est desservie par 7 aller-retours quotidiens avec la gare de Nantes (trajet en 57 minutes) et avec la gare de Châteaubriant (trajet en 11 minutes)[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 748 mm, avec 12,6 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Soudan à 17 km à vol d'oiseau[5], est de 12,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 826,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Issé est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Châteaubriant dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 20 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d'occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (94,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (74,1 %), zones agricoles hétérogènes (9,9 %), prairies (8,7 %), forêts (3 %), zones urbanisées (2,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (0,9 %), eaux continentales[Note 3] (0,8 %)[14]. L'évolution de l'occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

La localité est attestée sous la forme latinisée Isiacum dès 1123[15], Ice au XIIe siècle, Saint Pere de Isse au XVe siècle[16].

La commune possède un nom en gallo, la langue d'oïl locale : Isae (écriture ELG, prononcé [isə])[17], Issë[18] (écriture MOGA).

Histoire modifier

Antiquité modifier

Des vestiges gallo-romains ont été retrouvés sur le territoire de la commune au lieu-dit Gué-d'Asi.

Moyen-Âge modifier

La première mention d'un seigneur d'Issé, nommé Brient Le Bœuf, date de 1202. Puis le territoire passe entre les mains des maisons de Rieux, de Montmorency, de Laval et de Condé[19].

Temps modernes modifier

Au XVIIe siècle, un haut-fourneau à fondre le fer est en exploitation dans la ferme de Beaumont[19].

Révolution française modifier

Le cahier de doléances de la paroisse d'Issé est assez revendicatif. En 1793, la révolte locale contre le pouvoir républicain part d'Issé avant de gagner Moisdon-la-Rivière. La garde nationale mène des combats contre des insurgés menés par « Cœur de roy » pour protéger les forges[19].

Le XIXe siècle modifier

Le chemin de fer fait son apparition dans la commune en 1877.

La minoterie d'Issé modifier

L'histoire d'Issé est particulièrement marquée par celle du site de la minoterie, sur la rive du Don. En 1460 déjà, il est fait mention d'un moulin à cet endroit. Dans la deuxième moitié du XIXe siècle, la famille nantaise Perraud l'achète pour le convertir en minoterie. Auguste Richer en fait à son tour l'acquisition en 1897, et la revend trois ans plus tard à Camille Jouzel, qui transforme le site en laiterie-beurrerie, une usine employant jusqu'à 150 personnes et dotée d'une organisation interne, de locaux et d'un outillage modernes. La production de beurre permet de fournir des clients à Paris, dans les départements du Nord et en Angleterre. En 1906, l'entreprise intègre la Société Anonyme de la Nantes butter and Refrigerating Company Limited dont le siège social est à Londres. L'usine, détruite en 1910, est reconstruite en 1911. Pourtant, en 1913, la laiterie est vendue à Marie Rochard Devin, qui est tanneur à Nantes. L'usine est transformée en tannerie employant 120 personnes. En 1922, un groupe d'industriels parisiens achètent l'usine. Puis c'est la société Salpa qui la rachète en 1934. Le site est alors consacré à la production de synderme[20] destiné à la fabrication de galoches à semelle de bois[21]. L'activité évolue encore lorsqu'en 1954[19], l'usine désormais appelée Atlas se spécialise dans la fabrication d'emballages en matières plastiques[21]. Elle compte plus de 600 salariés quand, en 1974, la société Hutchison-Mapa en fait l'acquisition. Mais l'activité périclite. En 1978, les élus locaux doivent tenter de s'opposer au projet d'un plan de licenciement de 211 employés. L'usine ferme définitivement ses portes en [21].

Le XXe siècle modifier

L'après Seconde Guerre mondiale modifier

Le frère Girard, frère de Saint-Gabriel, fît au moins 16 victimes d'abus sexuel entre 1965 et 1968 à l'école de garçons Saint-Louis d'Issé[Note 4]. Ce n'est que plus de 50 ans après les faits que la parole des victimes se libéra ; une journée de reconnaissance a été organisée le au siège de la congrégation des Frères de Saint-Gabriel à Saint-Laurent-sur-Sèvre[22]. Certaines de ces victimes ont été reçues par le pape François le  ; celui-ci leur a demandé pardon[23].

Le XXIe siècle modifier

En , une unité de méthanisation est inaugurée juste à côté de l'usine de coproduits animaux, au nord-ouest du bourg, qui occupe le site de l'ancien abattoir inauguré en 1895. Cette ouverture signe la renaissance de la commune, qui devrait se concrétiser avec la réouverture en de la ligne de Nantes-Orléans à Châteaubriant sous la forme d'un tram-train et mise en service d'une nouvelle gare sur le site de l'ancien bâtiment voyageur qui a été démoli.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1995 mars 2001 Armand Bouchet    
mars 2001 mars 2008 Marcelle Durand    
mars 2008 2020 Michel Boisseau[Note 5],[24] Divers gauche retraité
2020 En cours Jean-Marc Lalloué    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société modifier

Démographie modifier

Selon le classement établi par l'Insee, Issé est une commune multipolarisée. Elle fait partie de la zone d'emploi et du bassin de vie de Châteaubriant. Elle n'est intégrée dans aucune unité urbaine[25]. Toujours selon l'Insee, en 2010, la répartition de la population sur le territoire de la commune était considérée comme « peu dense » : 92 % des habitants résidaient dans des zones « peu denses » et 8 % dans des zones « très peu denses »[26].

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[28].

En 2021, la commune comptait 1 794 habitants[Note 6], en diminution de 4,17 % par rapport à 2015 (Loire-Atlantique : +6,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 2251 2071 0661 4461 6021 4701 5511 6321 725
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 7671 8001 8881 9042 1232 2202 4102 5272 463
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 3822 3732 1261 9201 7681 7221 6521 7621 760
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
1 8921 8981 9091 8961 8211 7761 8091 8211 855
2018 2021 - - - - - - -
1 8141 794-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 32,5 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,3 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 29,0 % la même année, alors qu'il est de 23,8 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 895 hommes pour 919 femmes, soit un taux de 50,66 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,42 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[31]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
2,3 
7,5 
75-89 ans
11,8 
18,5 
60-74 ans
17,1 
22,2 
45-59 ans
20,3 
17,2 
30-44 ans
17,2 
15,6 
15-29 ans
12,2 
18,1 
0-14 ans
19,2 
Pyramide des âges du département de la Loire-Atlantique en 2020 en pourcentage[32]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,7 
5,9 
75-89 ans
8,5 
15 
60-74 ans
16,3 
19,5 
45-59 ans
18,9 
20,1 
30-44 ans
19,3 
19,2 
15-29 ans
17,5 
19,8 
0-14 ans
17,8 

Culture et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Château de Gâtine modifier

La famille Defermon achète en 1777 une vieille terre noble, un territoire ayant abrité une villa gallo-romaine[33]. Plus tard, Raoul Ginoux de Fermon confie à l'architecte nantais Émile Libaudière le soin de dresser les plans d'un nouveau château, bâti à la fin du XIXe siècle[34] en remplacement d'un manoir[33]. Le conseil général de la Loire-Inférieure devient locataire des bâtiments à partir en 1940, pour y héberger une maternité pour filles-mères, mais les événements de la Seconde Guerre mondiale contraignent les autorités à les transformer en centre d'accueil pour des femmes réfugiées[34].

Après la guerre, la maison maternelle d'Issé reprend son activité. Elle peut accueillir jusqu'à 38 mères et 20 enfants. En 1977, la famille Defermon vend ma propriété à M. Sauvager, et la maison maternelle ferme[34].

Le château est construit dans un style néo-gothique[33]. Il présente des tourelles, des pinacles, des gables, des vitraux, des baies jumelées et trilobées. Construit en pierre meulière, il s'élève sur trois niveaux. La façade nord est agrémenté d'une grande ouverture en arc brisé. La toiture est en ardoise[34].

Haras de Gâtine modifier

 
Haras de Gâtine.

Ces haras sont liés au château de Gâtine. C'est une nouvelle fois à Émile Libaudière que Raoul Ginoux de Fermon en confie la conception. Ils sont construits en 1903, sur les plans de l'architecte nantais Émile Libaudière. En 1988, le propriétaire du château, M. Sauvager, cède les bâtiments à la ville de Châteaubriant. Ils accueillent alors les haras nationaux de La Roche-sur-Yon. En 2013, ils sont acquis par un particulier[35].

L'architecture rappelle celle des maisons de villégiature de la fin du XIXe siècle. La porte monumentale est située entre deux appartements, situés au premier étage, auxquels on accède par un escalier à deux volets en pierre et bois. Elle mène à un hall hexagonal qui est couvert par une verrière et qui permet d'accéder à 15 boxes, une sellerie et des granges à fourrage[36].

Autres lieux modifier

 
L'étang de Beaumont.
  • L'étang de Beaumont est un plan d'eau artificiel, classé ZNIEFF continentale de type 2. Il couvre 29,72 ha. C'est un site qui accueille la faune aviaire migratoire. 90 % de sa surface est constituée d'eau, 6 % de végétation de rives et 4 % de végétation aquatique. Tout autour s'étend une zone de bocage. La pêche y est autorisée[37].
  • Moulin du Frétay

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blasonnement :
De gueules au bœuf d'or, la queue passée entre les pattes, relevée et fourchue.
Commentaires : Blason de la famille Le Bœuf, dont Brient Le Bœuf est attesté seigneur de Fougeray, Jans, Nozay et Issé au XIIe siècle.

Voir aussi modifier

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Bibliographie modifier

  • Georges Vanderquand et Jean-Luc Flohic (dir.), Le Patrimoine des communes de la Loire-Atlantique, vol. 1, Charenton-le-pont, Flohic éditions, coll. « Le Patrimoine des communes de France », , 1383 p. (ISBN 2-84234-040-X), p. 579-582.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Vers 1969 il fit aussi au moins 14 victimes d'abus sexuels parmi les élèves de l'École Saint-Tudy de Loctudy (Finistère).
  5. Réélu en 2014.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Article sur www.france3.fr du .
  2. Site SNCF TER Pays de la Loire, Informations pratiques sur les gares et arrêts : Gare d'Issé lire en ligne (consulté le )
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Issé et Soudan », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Soudan », sur la commune de Soudan - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Soudan », sur la commune de Soudan - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l'aire d'attraction d'une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. Jean-Pierre Brunterc’h, « Puissance temporelle et pouvoir diocésain des évêques de Nantes entre 936 et 1049 », Mémoires de la Société Historique et Archéologique de Bretagne, t.LXI, 1984, p. 34.
  16. Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez, an Here, (ISBN 978-2-86843-153-0), p. 81
  17. « Villes bretonnes, noms gallo », Geobreizh (consulté le ).
  18. « ChubEndret — Dictionnaire de noms de lieux - institu Chubri - Du galo pourr astourr », sur chubri-galo.bzh (consulté le ).
  19. a b c et d Georges Vanderquand et Jean-Luc Flohic 1999, p. 579.
  20. Feuilles ou bandes d'agglomérés à base de cuir ou de fibres de cuir.
  21. a b et c « Minoterie puis laiterie industrielle puis tannerie puis usine d'articles en matière plastique », conseil régional des Pays de la Loire, (consulté le ).
  22. Delphine Tanguy, « Abus sexuels dans l’Église : des victimes de Loctudy reçues par le pape », Journal Le Télégramme,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  23. Pauline Baumer, « Ces victimes d’un frère pédocriminel ont rencontré le pape François ce mardi, au Vatican », Journal Ouest-France,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  24. « Ils ont été élus maires », Dimanche Ouest-France (éd. Loire-Atlantique), no 535,‎ , p. 10 (ISSN 1285-7688).
  25. « Commune d'Issé (44075) », Insee (consulté le ).
  26. « La grille communale de densité », Insee (consulté le ), données récupérées dans un fichier téléchargeable sous format Excel.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Issé (44075) », (consulté le ).
  32. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Loire-Atlantique (44) », (consulté le ).
  33. a b et c Georges Vanderquand et Jean-Luc Flohic 1999, p. 581.
  34. a b c et d « Château de Gâtine », conseil régional des Pays de la Loire, (consulté le ).
  35. « Haras de Gâtine », conseil régional des Pays de la Loire, (consulté le ).
  36. Georges Vanderquand et Jean-Luc Flohic 1999, p. 582.
  37. « étang de Beaumont », Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).