Isle (Haute-Vienne)

commune française du département de la Haute-Vienne

Isle
Isle (Haute-Vienne)
Le château de Gigondas.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Haute-Vienne
Arrondissement Limoges
Intercommunalité Communauté urbaine Limoges Métropole
Maire
Mandat
Gilles Bégout
2020-2026
Code postal 87170
Code commune 87075
Démographie
Gentilé Isloises, Islois
Population
municipale
7 869 hab. (2020 en augmentation de 4,64 % par rapport à 2014)
Densité 390 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 48′ 18″ nord, 1° 13′ 38″ est
Altitude Min. 208 m
Max. 346 m
Superficie 20,18 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Limoges
(banlieue)
Aire d'attraction Limoges
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Limoges-9
Législatives Troisième circonscription
Localisation
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Isle

Isle (Isla en occitan) est une commune française située dans la banlieue sud-ouest de Limoges, dans le département de la Haute-Vienne en région Nouvelle-Aquitaine. Ses habitants sont appelés les Isloises et les Islois[1].

Isle est la 5e ville du département, en nombre d'habitants, après Limoges, Saint-Junien, Panazol et Couzeix.

GéographieModifier

Localisation et accèsModifier

Isle une ville de l'unité urbaine de Limoges, située sur la rive droite de la Vienne, en face de Condat-sur-Vienne, sur la route de Périgueux. Il s'agit d'ailleurs de la ville du département la plus proche de Limoges. Ainsi, la distance de mairie à mairie à vol d'oiseau est de seulement 3,5 km (contre 3,6 pour Panazol).

Isle est située au sud-ouest de Limoges et s'étend de Limoges à Aixe-sur-Vienne, Condat-sur-Vienne et Verneuil-sur-Vienne.

Communes limitrophesModifier

Isle est limitrophe de six autres communes.

 
Carte de la commune de Isle et de ses proches communes.

HydrographieModifier

La commune est également bordée par l'Aurence, affluent de la Vienne, qui l'arrose au nord et à l'ouest.

Voies de communication et transportsModifier

De nombreuses routes permettent d'accéder à la commune notamment la RN 21 direction Périgueux en venant de Limoges.

Par bus cette commune est desservie par les lignes 12 et 63 du réseau STCL.

ClimatModifier

Le climat qui caractérise la commune est qualifié, en 2010, de « climat océanique altéré », selon la typologie des climats de la France qui compte alors huit grands types de climats en métropole[4]. En 2020, la commune ressort du même type de climat dans la classification établie par Météo-France, qui ne compte désormais, en première approche, que cinq grands types de climats en métropole. Il s’agit d’une zone de transition entre le climat océanique, le climat de montagne et le climat semi-continental. Les écarts de température entre hiver et été augmentent avec l'éloignement de la mer. La pluviométrie est plus faible qu'en bord de mer, sauf aux abords des reliefs[5].

Les paramètres climatiques qui ont permis d’établir la typologie de 2010 comportent six variables pour les températures et huit pour les précipitations, dont les valeurs correspondent à la normale 1971-2000[Note 1]. Les sept principales variables caractérisant la commune sont présentées dans l'encadré ci-après.

Paramètres climatiques communaux sur la période 1971-2000[4]

  • Moyenne annuelle de température : 11,6 °C
  • Nombre de jours avec une température inférieure à −5 °C : 3,9 j
  • Nombre de jours avec une température supérieure à 30 °C : 6 j
  • Amplitude thermique annuelle[Note 2] : 15 °C
  • Cumuls annuels de précipitation[Note 3] : 1 020 mm
  • Nombre de jours de précipitation en janvier : 13,2 j
  • Nombre de jours de précipitation en juillet : 7,4 j

Avec le changement climatique, ces variables ont évolué. Une étude réalisée en 2014 par la Direction générale de l'Énergie et du Climat[8] complétée par des études régionales[9] prévoit en effet que la température moyenne devrait croître et la pluviométrie moyenne baisser, avec toutefois de fortes variations régionales. Ces changements peuvent être constatés sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Limoges-Bellegarde », sur la commune de Limoges, mise en service en 1973[10] et qui se trouve à 5 km à vol d'oiseau[11],[Note 4], où la température moyenne annuelle évolue de 11,2 °C pour la période 1971-2000[12] à 11,4 °C pour 1981-2010[13], puis à 11,8 °C pour 1991-2020[14].

UrbanismeModifier

TypologieModifier

Isle est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[15],[16],[17]. Elle appartient à l'unité urbaine de Limoges, une agglomération intra-départementale regroupant 10 communes[18] et 187 364 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[19],[20].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Limoges dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 127 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[21],[22].

Occupation des solsModifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (67,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (45,9 %), zones urbanisées (23,4 %), zones agricoles hétérogènes (16 %), forêts (9,2 %), eaux continentales[Note 7] (3,4 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %)[23].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Risques majeursModifier

Le territoire de la commune d'Isle est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage, et à un risque particulier : le risque de radon[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Risques naturelsModifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Vienne et l'Aurence. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1988, 1993, 1999 et 2018[26],[24]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais des plans de prévention des risques inondation (PPRI) « Aurence », approuvé le et « Vienne du Palais à Beynac », approuvé le [27].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux d'Isle.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[28]. 25,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (27 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[29].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

Risque technologiqueModifier

La commune est en outre située en aval des barrages de Lavaud-Gelade, dans la Creuse, de Saint-Marc et de Vassivière, des ouvrages de classe A[Note 9]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[31].

Risque particulierModifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune d'Isle est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[32].

ToponymieModifier

Le toponyme proviendrait du latin insula (île).

HistoireModifier

Isle était une seigneurie ecclésiastique appartenant aux évêques de Limoges. Le château des évêques qui était à côté de l'église a été démoli pendant la Révolution. Le poète limousin Jean Rebier « Majoral du Félibrige » (1879-1966) a vécu dans sa propriété du hameau du Mas de l'Aurence. L'écrivain Robert Margerit (1910-1988) a vécu dans la propriété de Thias.

Pendant la Révolution, la paroisse devient une commune. Celle-ci perd, en 1792, environ le quart de sa superficie par la création, dans la partie de son territoire au sud de la Vienne, de la commune de Bosmie-L'Aiguille.

Les écoles de hameau du Mas de l'Aurence (transférée du Mas des Landes) et de Mérignac ont été fermées en 1993.

De 1947 à 1953, l'ouest de la commune a disposé d'un adjoint spécial.

En 1979-1980, le club de la JA Isle Football accède au Championnat de France de 4e Division, il y côtoya les grandes équipes puis les grands joueurs Jean-Pierre Papin, Christophe Dugarry et Bixente Lizarazu ont foulé la pelouse du stade des Bayles.

BlasonnementModifier

Les armoiries de Isle[33] se blasonnent ainsi (XIXe s.) :

De gueules à la tour d'argent, maçonnée, ouverte et ajourée de sable, terrassée de sinople, adextrée d'une crosse d'or et senestrée d'une rose du même ; à la bordure cousue d'azur.

Politique et administrationModifier

Tendances politiques et résultatsModifier

Liste des mairesModifier

Liste des maires successifs[34]
Période Identité Étiquette Qualité
mai 1945 août 1948 Claude Mangematin PCF  
août 1948 mai 1953 Léonard Boissard PCF  
mai 1953 juin 1995 Robert Laucournet PS Assureur
Sénateur de la Haute-Vienne. Vice-président du Sénat (1968 → 1995)
Conseiller général du canton de Limoges-Isle(1973 → 1992).
juin 1995 mars 2008 Marcel Faucher PS Fonctionnaire du ministère de l'Agriculture retraité
Conseiller général du canton de Limoges-Isle (1992 → 2011)
mars 2008 En cours Gilles Bégout[35] DVG Professeur de faculté
Conseiller général du canton de Limoges-Isle (2011 → 2015)
Conseiller départemental du canton de Limoges-9 (2015 → )
2e vice-président de Limoges Métropole
Les données manquantes sont à compléter.

DémographieModifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[36]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[37].

En 2020, la commune comptait 7 869 habitants[Note 10], en augmentation de 4,64 % par rapport à 2014 (Haute-Vienne : −1,08 %, France hors Mayotte : +1,9 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1501 1241 2141 4361 3921 4801 4821 5311 592
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 8091 9271 8901 9512 1072 1392 1352 1482 165
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 1762 1932 1742 0012 1232 1072 0432 4352 635
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
2 9614 7905 8086 8637 2927 6917 5477 4887 523
2018 2020 - - - - - - -
7 7797 869-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[38] puis Insee à partir de 2006[39].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoineModifier

Lieux et monumentsModifier

  • Église Saint-Martin (XIIIe siècle). L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1985[40].
  • Château et parc des Bayles (propriété de la commune)
  • Château de Gigondas
  • Châteaux et manoirs de Reignefort, La Chabroulie, Le Gondeau, L'Etoile, Verthamont, Le Caillaud, Le Généty, Envaud, Le Val d'Enraud, Les Courrières.

Personnalités liées à la communeModifier

  • Pierre de Montbrun, (décès à Isle le 19 février 1457), ecclésiastique qui fut évêque de Limoges de 1426 à 1457.
  • Jean de Barton II, (décès à Isle le 13 septembre 1510), ecclésiastique qui fut évêque de Limoges de 1484 à 1510.
  • Grégoire Benoist de Lostende, né le au lieu-dit Reignefort, mort à Mâcon le . Prisonnier à Baylen, il s’échappe des pontons. Sert au 121e de ligne en 1810. Russie, puis aide de camp du général Guilleminot en 1813. Blessé et fait prisonnier le près de Mayence. Combat à Waterloo en 1815.
  • Benoît Lesterpt-Beauvais, fils de François Lesterpt, avocat, et de Dorothée Cœur-Deroy, est né à Le Dorat, le . Il a été guillotiné à Paris, le , après avoir été député aux États généraux de 1789 et membre de la Convention nationale sa famille avait le château de la Chabroulie sur cette même commune aujourd'hui propriété privée.
  • Émile Montégut (1825-1895), essayiste, critique littéraire de la Revue des Deux-Mondes. Inhumé à Isle.
  • Jean Rebier (1879-1966), poète, pionnier du félibrige, fondateur de la revue Lemouzi.
  • Robert Margerit (1910-1988), écrivain (Prix Renaudot 1951).
  • René Lamarsaude (1912-1972), ancien rugbyman, chroniqueur sportif.
  • Robert Laucournet ( - ), vice-président du Sénat (1968-1995) inhumé à Isle.
  • Robert Savy (1931-), professeur de droit, homme politique français, ancien député et ancien président du Conseil régional du Limousin, son père était ici.
  • Jean-Baptiste Gobelet, rugbyman et champion de France avec le Biarritz olympique.
  • Alexis Palisson, rugbyman, 21 sélections en équipe de France depuis 2008 ; vainqueur du Tournoi des Six Nations (Grand chelem en 2010) puis Vainqueur du Top 14 avec le club du RC Toulon en 2014.
  • Karena Wihongi, rugbyman.
  • François Duboisset, rugbyman avec le CA Brive ; champion d'Europe 1997 ; vice-champion d'Europe 1998 ; en , il quitte Canal+ pour retourner à Brive en compagnie de Patrick Sébastien, ce dernier ayant repris les rênes du club. Il est nommé directeur général délégué du CABCL. Pendant la Coupe du Monde de rugby 2003 et celle de 2007, il est consultant sur RMC avec notamment son ancien coéquipier briviste Vincent Moscato.
  • Doriane Vidal, championne française de snowboard et vice-championne olympique.

JumelagesModifier

Clubs sportifsModifier

  • Jeunesse athlétique d'Isle (JA Isle)
  • Tennis Club d'Isle
  • Isle Athlé
  • A la Volley (ALV) d'Isle
  • Association d'Arts Martiaux d'Isle (2A.M.I. : Capoeira - Karaté). Missions humanitaires au Maroc.
  • JA ISLE Handball : Prénationale

Pour approfondirModifier

BibliographieModifier

Isle était une fois..., Robert Laucournet, EFIP-ISLE, 1996.

Isle à travers huit siècles d'histoire limousine, Serge du Cray, 1961, Imprimerie Nouvelle, date?

L'Almanach Limousin 1901, Octave d'Abzac, 1901.

Archives de la commune d'Isle

Isle Infos, Marcel Faucher, Maryline Rogerie, EFIP-ISLE, n°7, , 12 pages. Parmi les édifices anciens et modernes, on y retrouve la fontaine d'Isle, seul vestige du château; l'église Saint-Martin, les châteaux et gentilhommières aux alentours d'Isle; la mairie et son agrandissement; le Mas de l'Aurence, l'école des Bayles, le gymnase et la piscine, le centre culturel et la maison des associations...

Articles connexesModifier

Liens externesModifier

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Notes et référencesModifier

Notes et cartesModifier

  • Notes
  1. Les normales servent à représenter le climat. Elles sont calculées sur 30 ans et mises à jour toutes les décennies. Après les normales 1971-2000, les normales pour la période 1981-2010 ont été définies et, depuis 2021, ce sont les normales 1991-2020 qui font référence en Europe et dans le monde[6].
  2. L'amplitude thermique annuelle mesure la différence entre la température moyenne de juillet et celle de janvier. Cette variable est généralement reconnue comme critère de discrimination entre climats océaniques et continentaux.
  3. Une précipitation, en météorologie, est un ensemble organisé de particules d'eau liquide ou solide tombant en chute libre au sein de l'atmosphère. La quantité de précipitation atteignant une portion de surface terrestre donnée en un intervalle de temps donné est évaluée par la hauteur de précipitation, que mesurent les pluviomètres[7].
  4. La distance est calculée à vol d'oiseau entre la station météorologique proprement dite et le chef-lieu de commune.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[30].
  10. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2023, millésimée 2020, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2022, date de référence statistique : 1er janvier 2020.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )

RéférencesModifier

  1. « Nom des habitants », sur www.habitants.fr (consulté le ).
  2. Carte IGN sur Géoportail
  3. « Tout sur la commune », sur www.annuaire-mairie.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI https://doi.org/10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Le climat en France métropolitaine », sur http://www.meteofrance.fr/, (consulté le )
  6. 2021 : de nouvelles normales pour qualifier le climat en France, Météo-France, 14 janvier 2021.
  7. Glossaire – Précipitation, Météo-France
  8. « Le climat de la France au XXIe siècle - Volume 4 - Scénarios régionalisés : édition 2014 pour la métropole et les régions d’outre-mer », sur https://www.ecologie.gouv.fr/ (consulté le ).
  9. [PDF]« Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (Oracle) - Nouvelle-Aquitaine », sur nouvelle-aquitaine.chambres-agriculture.fr, (consulté le )
  10. « Station météofrance Limoges-Bellegarde - métadonnées », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Orthodromie entre Isle et Limoges », sur fr.distance.to (consulté le ).
  12. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1971-2000 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  13. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1981-2010 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  14. « Station météorologique de Limoges-Bellegarde - Normales pour la période 1991-2020 », sur https://www.infoclimat.fr/ (consulté le )
  15. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  17. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  18. « Unité urbaine 2020 de Limoges », sur https://www.insee.fr/ (consulté le ).
  19. « Base des unités urbaines 2020 », sur www.insee.fr, (consulté le ).
  20. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  21. « Liste des communes composant l'aire d'attraction d'Limoges », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  22. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  23. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  24. a b et c « Les risques près de chez moi - commune d'Isle », sur Géorisques (consulté le )
  25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  26. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur www.haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  27. « Les Plans de prévention des risques approuvés en Haute-Vienne », sur le site de la préfecture de la Vienne, (consulté le )
  28. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
  29. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le )
  30. Article R214-112 du code de l’environnement
  31. « Dossier départemental des risques majeurs de la Haute-Vienne », sur www.haute-vienne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  32. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
  33. « Les armoiries de la commune », sur blason-des-villes.e-monsite.com (consulté le ).
  34. « Les maires de la commune », sur FranceGenWeb (consulté le ).
  35. Site officiel de la préfecture de Haute-Vienne - liste des maires (doc pdf)
  36. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  37. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  38. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  39. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019 et 2020.
  40. « Eglise Saint-Martin », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le )