Gasville-Oisème
Gasville-Oisème [ɡavil wazɛm] est une commune française située dans le département d'Eure-et-Loir en région Centre-Val de Loire.
Gasville-Oisème | |||||
La Roguenette sous le viaduc d'Oisème. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Eure-et-Loir | ||||
Arrondissement | Chartres | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Chartres Métropole | ||||
Maire Mandat |
Grégoire Bailleux 2020-2026 |
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Code postal | 28300 | ||||
Code commune | 28173 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
1 482 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 163 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 28′ 10″ nord, 1° 32′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 117 m Max. 151 m |
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Superficie | 9,09 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Chartres (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Chartres-1 | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Eure-et-Loir
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Liens | |||||
Site web | https://www.gasville-oiseme.fr/ | ||||
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Géographie
modifierSituation
modifier-
Gasville-Oisème dans son arrondissement.
-
Carte de la commune de Gasville-Oisème.
Communes limitrophes
modifierClimat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 640 mm, avec 10,8 jours de précipitations en janvier et 7,7 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chartres », sur la commune de Champhol à 2 km à vol d'oiseau[3], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 606,1 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Gasville-Oisème est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[7]. Elle est située hors unité urbaine[8]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Chartres, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[8]. Cette aire, qui regroupe 117 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[9],[10].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (65,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (67,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (65,2 %), forêts (24,2 %), zones urbanisées (10,6 %)[11]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Gasville-Oisème est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[12]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[13].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau et par ruissellement et coulée de boue, notamment la Roguenette. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1994, 1999 et 2018[14],[12].
La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[15]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 73,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (52,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 540 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 423 sont en aléa moyen ou fort, soit 78 %, à comparer aux 70 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et 1995 et par des mouvements de terrain en 1999[12].
Risques technologiques
modifierLe risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[17].
Toponymie
modifierGasville est attesté sous les formes : Gaesvilla, 1170[18] ; Gasvilla, 1208[19] ; Gaiavilla, 1209[20] ; Unum modium avene in tensamento Gaesville, [21] ; Gaevilla, 1224[22] ; Item apud Gaesvillam, vers 1272[23] ; Gayvilla, 1282[24] ; Gaeville, 1283[25] ; Gaiville, 1293[26] ; Gayville, 1358[27] ; Goyville, [28] ; Gayville lès Chartres, [29] ; Gasville, vieux chemin de Chartres à Paris, 1740[30] ; Gâville, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Terre en la paroisse de Gâville, [31] ; Terre en la paroisse de Gasville, [32] ; Gasville, 1808 (Cadastre).
Oisème est mentionné sous les formes : Oysesma, 1133[33] ; Oysesmus, vers 1140[34] ; Osemia, 1148[35] ; Oiselma, 1203 ; Osemium, 1261[36] ; Oysème, [37] ; Terram in territorio de Oyseme, inter dictum Oyseme et Gaivillam, 1476[38] ; Oizème, [39] ; Oysesme, 1539[40] ; Oisème, XVIIIe s. (Carte de Cassini) ; Oisème, 1808 (Cadastre) ; Oisème, 1956 (Cadastre).
Le nom est issu du gaulois uxama = hauteur, comme pour l'île d'Ouessant. Proparoxyton attesté dans les documents de l’antiquité. Serait le superlatif en -ama de uxs, uxisama c'est-à-dire « très haute ».
Ce lieudit se situe dans le vallon du ruisseau d’Oisème ou de Sours, affluent de la rivière de l’Eure, en contrebas du plateau, au pied de la hauteur qui lui donne son nom et sur laquelle le village primitif devait s’élever ; cette localité dut se déplacer, peut-être dès l’époque gallo-romaine, et devait occuper primitivement et sous l’occupation gauloise, l’un des éperons qui commandent la vallée, comme à Saint-Patrice, Indre-et-Loire. Ce lieudit donna son nouveau à la commune, car il portait l’école communale et la mairie.
La fusion Gasville-Oisème est officialisée par le décret du [réf. nécessaire].
Histoire
modifierEn 1740, le village doit faire face à plusieurs attaques de loups, trois habitants sont tués. Le 26 janvier 1740, André Le Loup, laboureur à Gasville, prend la tête d'une délégation pour rencontrer le maire de Chartres et lui demander son aide[41].
Politique et administration
modifierListe des maires
modifierPolitique environnementale
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[47]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[48].
En 2021, la commune comptait 1 482 habitants[Note 2], en évolution de +7,08 % par rapport à 2015 (Eure-et-Loir : −0,64 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierManifestations culturelles et festivités
modifierÉconomie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifier- Le viaduc de Oisème, sur la ligne de Paris à Chartres par Gallardon, permet de franchir la Roguenette. Il fut bombardé par les Alliés durant la Seconde Guerre mondiale trois fois, puis reconstruit trois fois !
- L'église Saint-Grégoire, qui abrite une fresque du Jugement dernier, réalisée par Camille Marcille, qui orne tout le pan de mur intérieur de l’entrée de la nef :
- Le lavoir de Oisème.
Personnalités liées à la commune
modifier- Jean-Dominique Cassini (1748-1845), astronome, propriétaire de la Folie à Oisème (sans rapport avec le domaine de la Folie). Acquise le de Jacques Vincent Thorin, écuyer, seigneur de Brazais, mousquetaire de la garde du Roy[51], il la revendit le à Louise Mélanie Beaulieu, veuve de Charles Gabriel Lécureau de Massalain[52].
- François-André Isambert (1792-1857), jurisconsulte, avocat, conseiller à la Cour de cassation, directeur du Bulletin des Lois, député d'Eure-et-Loir et de la Vendée, membre du conseil général d'Eure-et-Loir, représentant de l'Eure-et-Loir à l'Assemblée constituante de 1848, corédacteur du décret-loi instituant le suffrage universel en France, fondateur de la Société Française pour l'Abolition de l'Esclavage (1834), cofondateur et vice-président de la Société de Géographie, dont le père était propriétaire du domaine de « La Folie » également appelé « La Folie-Bouvet » à Oisème, acquis en 1803, ayant appartenu auparavant pendant plusieurs générations à la famille Bouvet de Bronville. Ce domaine n'existe plus.
- Gustave Braccini (1805-1876), militaire de carrière, maire de Gasville. En 1852, il possède plus de 80 esclaves qu'il revend la même année[53].
- Camille Marcille (1816-1875), artiste peintre, collectionneur d'œuvres d'art et conservateur de musée français. Résida au château du Goulet à Oisème.
- Eugène Boudin (1824-1898), peintre, qui, reçu par le collectionneur d'art Camille Marcille, a peint trois paysages représentant Oisème.
- Jules de Goncourt (1830-1870) y effectua de nombreux séjours, relatés dans le Journal des frères Goncourt, chez le collectionneur d'art Camille Marcille.
- Alexandre Torcheux, aveugle qui construisit et exploita seul un moulin à Oisème, appelé le « Moulin de l'Aveugle » vers 1850-60[54].
- Louis Ombrédanne (1871-1956), un des fondateurs de la chirurgie pédiatrique et inventeur de nombreuses techniques opératoires ainsi que du masque d'anesthésie qui porte son nom, résida à Oisème[55]. Il repose dans le caveau familial du cimetière de Gasville[56].
- Robert Alphonse Collard dit Lortac (1884-1973), écrivain, illustrateur, portraitiste, critique d'art, scénariste français, considéré comme pionnier du dessin animé, en particulier publicitaire. Entre autres, scénariste prolifique pour Les Pieds Nickelés de René Pellos et Bibi Fricotin de Pierre Lacroix (pour les illustrés Jeunesse joyeuse). Résida à Oisème de 1921 à 1925[55].
- Victor Denain (1880-1952), général et homme politique français, entre autres à l'origine de la création de l'École de l'air de Salon-de-Provence, ainsi que de l'essor de l'aéronautique militaire. Résida à Oisème de 1930 à 1933[55].
- Chaïm Soutine (1893-1943) a peint trois tableaux à Oisème : Jeune fille avec un chien maison et contrefort vers 1930 et La maison à Oisème en 1934, dont il fera deux versions.
Héraldique
modifierBlason | D'or au lion à la queue fourchue et passée en sautoir d'azur, armé d'argent et lampassé de gueules. |
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Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
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- Site officiel
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Gasville-Oisème sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
modifierNotes et cartes
modifierNotes
modifier- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Gasville-Oisème et Champhol », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Chartres », sur la commune de Champhol - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Chartres », sur la commune de Champhol - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Chartres », sur insee.fr (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Gasville-Oisème », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs en Eure-et-Loir », sur eure-et-loir.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Bibliothèque nationale de France.-Ms Latin 9223 Cartulaire de Notre-Dame de Josaphat)
- B.N.- Ms Latin 11.063, Cartulaire Saint-Jean-en-Vallée de Chartres
- Archives départementales d'Eure-et-Loir-G, chapitre Notre-Dame de Chartres)
- Obituaires de Sens, t. 2, p.87)
- A.D. 28-G, chapitre Notre-Dame de Chartres
- Pouillé de Sens, p.107)
- Archives Départementales d'Eure-et-Loir -G, chapitre Notre-Dame de Chartres
- Archives Départementales d'Eure-et-Loir- G, chapitre Notre-Dame de Chartres
- Archives Départementales d'Eure-et-Loir -H, Abbaye Saint-Chéron
- Archives Départementales d'Eure-et-Loir -G 907
- Archives Nationales-JJ 113, no 114, fol. 49
- Archives Nationales.-JJ 121, no 33, fol. 19
- Bibliothèque Municipale d’Orléans, Manuscrit 995, fol. 84
- A.D. 28-1 Q 3, P.V. 68 no 532. Biens Nationaux)
- A.D. 28-1 Q 3, P.V. 68 no 533. Biens Nationaux)
- Cartulaire de Thiron, t. 1)
- Cartulaire de Thiron, t. 1
- Cartulaire du Grand-Beaulieu
- Cartulaire de Thiron, t. 2
- Archives Nationales-JJ 90, no 126, fol. 69 v°
- Archives Départementales d'Eure-et-Loir -H 2897
- Archives Nationales-JJ 226B, no 281, fol. 56
- Étude de la chambre épiscopale de Chartres
- Jean-Charles Leloup, Histoires de la Beauce et de l'Eure-et-Loir, de 1739 à 1905, pages 9-13, Publication indépendante, 2020
- « Journal officiel de la République française. Lois et décrets », sur Gallica, (consulté le ).
- Sébastien Couratin, « Nécrologie François Catel, ancien maire de Gasville-Oisème (1983-2008) est décédé », sur lechorepublicain.fr, .
- « Fédération d'Eure-et-Loir du Parti Radical, voir chapitre IV : histoire du parti radical en Eure-et-Loir », sur partiradical28.blogspot.com (consulté le ).
- « Résultats municipales 2020 à Gasville-Oisème », sur lemonde.fr (consulté le ).
- L'Écho républicain, « Gasville-Oisème - Grégoire Bailleux, nouveau maire de la commune », sur https://www.lechorepublicain.fr, (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Acte d'acquisition reçu par Maître Crochart, substituant Maître Jean-Tite-Eloi Bouvet, notaire à Chartres, le 10 juin 1789. Archives départementales d'Eure-et-Loir, cote 2 E 51 683.
- Acte reçu par Maître Jean-Tite-Eloi Bouvet, notaire à Chartres, le 21 brumaire an V, cote Archives départementales d'Eure-et-Loir, cote 2 E 51 697.
- Jean-Charles Leloup, Histoires de la Beauce et de l'Eure-et-Loir, de 1739 à 1905, pages 215-220, Publication indépendante, 2020
- Procès-verbal de la Société archéologique d'Eure-et-Loir, tome I, séance du 1er mars 1860, pages 219 à 222, texte de M. de Boisvillette.
- Acte de vente reçu par Me J. Maintrieux, Notaire à Chartres d'une propriété vendue par M. le Gal Denain à Mlle Beuriot. Enregistré à Chartres (AC) Volume 1101 B, folio 31, n°259.
- Nécrologie de Louis Ombredanne par Marcel Fèvre. La Presse Médicale, 16 janvier 1957-65-n°5.