Fleury (Manche)

commune française du département de la Manche

Fleury est une commune française, située dans le département de la Manche en région Normandie, peuplée de 1 070 habitants[Note 1].

Fleury
Fleury (Manche)
L'église Notre-Dame.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Manche
Arrondissement Saint-Lô
Intercommunalité Villedieu Intercom
Maire
Mandat
Daniel Vesval
2020-2026
Code postal 50800
Code commune 50185
Démographie
Gentilé Fleurions
Population
municipale
1 070 hab. (2021 en évolution de +1,71 % par rapport à 2015)
Densité 85 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 50′ 52″ nord, 1° 16′ 33″ ouest
Altitude Min. 109 m
Max. 201 m
Superficie 12,60 km2
Type Commune rurale à habitat dispersé
Unité urbaine Villedieu-les-Poêles-Rouffigny
(banlieue)
Aire d'attraction Villedieu-les-Poêles-Rouffigny
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villedieu-les-Poêles-Rouffigny
Législatives Première circonscription
Localisation
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Fleury
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Fleury
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Fleury

Géographie

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Localisation

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La commune est en Bocage normand, aux confins de l'Avranchin, du pays de Coutances et du pays saint-lois. L'atlas des paysages de la Basse-Normandie classe la quasi-totalité de la commune dans la partie sud de la « Manche centrale », caractérisée par un bocage fermé au faible relief[1]. Le nord et l'ouest du territoire bordent l'unité des gorges de la Haute-Sienne et du Thar, « paysage de gorges encaissées »[2]. Son bourg est à 4,5 km à l'ouest de Villedieu-les-Poêles, à 12 km au sud-est de Gavray et à 12 km au nord-est de La Haye-Pesnel[3].

Le territoire et son bourg sont traversés par la route départementale no 924 (ancienne route nationale 24bis) menant à Villedieu-les-Poêles à l'est à Granville à l'ouest. La D 9 s'y raccorde à l'est et permet de rejoindre Gavray au nord. La D 485 croise la D 924 dans le bourg et mène vers La Lande-d'Airou et Ruffigny au sud. La D 562 en part au nord du bourg vers La Bloutière au nord-est. L'échangeur 37 de l'A84 occupe une partie importante de l'est du territoire et permet un accès direct vers Caen et Rennes. La D 33 s’intègre à un de ses accès et permet de rejoindre Le Mesnil-Garnier vers le nord-ouest. D'autres départementales mineures parcourent le territoire communal permettant l'accès aux communes environnantes.

Fleury est dans le bassin de la Sienne. La départementale 33 sépare le territoire entre son bassin direct et celui de son affluent l'Airou. Ce dernier occupe la plus grande partie, au sud-ouest, drainée par la Hébarbe à l'ouest et surtout la Douquette — qui délimite le sud du territoire — et trois de ses affluents. Les eaux du nord et de l'est sont collectées par la Bérence, la Davière et deux autres courts affluents du fleuve côtier.

Le point culminant (201 m) se situe au nord-ouest, entre les lieux-dits la Vespellière et la Tondière. Le point le plus bas (109 m) correspond à la sortie de la Douquette du territoire, au sud-ouest. La commune est bocagère.

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[6]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat contrasté des collines », correspondant au Bocage normand, bien arrosé, voire très arrosé sur les reliefs les plus exposés au flux d’ouest, et frais en raison de l’altitude[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 060 mm, avec 14,5 jours de précipitations en janvier et 9,4 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cerisy-la-Salle à 20 km à vol d'oiseau[8], est de 11,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 112,5 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme

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Typologie

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Au , Fleury est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle appartient à l'unité urbaine de Villedieu-les-Poêles-Rouffigny[Note 2], une agglomération intra-départementale regroupant trois communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[13],[14]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villedieu-les-Poêles-Rouffigny, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[14]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92,7 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (98,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (67,1 %), terres arables (21,5 %), zones urbanisées (5,3 %), zones agricoles hétérogènes (4,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Le nom de la localité est attesté sous les formes Florée en 1169, Florie en 1186, Flourie vers 1280, Floury en 1407[18].

Le toponyme serait issu de l'anthroponyme roman Fleurus[19].

Le gentilé est Fleurions.

Histoire

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Dans le cadre du chantier de construction de l'autoroute A84, les fouilles archéologiques ont mis au jour à la Jouennière (ou Joignière) un site carolingien, et confirmer une occupation ininterrompue du site depuis le IIe siècle. La fouille a permis de définir une frontière architecturale entre le Massif Armoricain et les plaines normandes, à l'est du bassin de Villedieu-les-Poêles[20].

Politique et administration

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La mairie.

Liste des maires

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Liste des maires
Période Identité Étiquette Qualité
1981[21] 1995 Raymond Dupard   Agriculteur
1995 mars 2008 Jean-Jacques Bertaux    
juin 2008[22],[Note 5] mars 2014 Patrick Challier   Avocat
mars 2014[23] mai 2020 Marc Briens   Agriculteur retraité
mai 2020[24] En cours Daniel Vesval SE Retraité Enedis
Les données manquantes sont à compléter.

Le conseil municipal est composé de quinze membres dont le maire et trois adjoints[24].

Population et société

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Démographie

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L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[25]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[26].

En 2021, la commune comptait 1 070 habitants[Note 6], en évolution de +1,71 % par rapport à 2015 (Manche : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %). Fleury a compté jusqu'à 1 209 habitants en 1831.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 0779671 1421 1721 2091 1541 1611 1801 112
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 0541 037937894891867860837790
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
774769768687698687707699785
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
6896586116397867608478591 005
2017 2021 - - - - - - -
1 0351 070-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[28].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sports et loisirs

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Fleury Sports fait évoluer une équipe de football en division de district[29].

Économie

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Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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  • Église Sainte-Barbe ou Notre-Dame (XIIe, XVe – XIXe siècles) en pierre avec une haute tour à la place d'un transept et un avant-poche gothique. Richard de Fleury, vivant au XIIe siècle, donne l'église et ses droits à Guillaume Tholomé, évêque d'Avranches[20]. Un peu partout, les pierres sont assemblées selon une disposition appelée en « feuilles de fougère » ou « arête-de-poisson » (opus spicatum)[30]. Voûtes du chœur aux blochets sculptés et voûte lambrissé de la nef.
L'église abrite des fonts baptismaux anciens (XVe) et actuels (XIXe), une Vierge de Pitié (XVIe), une verrière (XXe) de Mazuet et une statuette en pierre (XVe) découverte en 1952, et des pierres tombales 1753 et 1779 servant de pavage.
  • Fontaine et oratoire Notre-Dame-de-la-Jaunisse (fin XIXe siècle). Une légende a été construite autour de la dévotion d'une épouse envers Notre-Dame en l'église paroissiale de Villedieu, dévotion à laquelle fut attribuée la guérison de son mari, médecin à Villedieu, atteint d'une jaunisse tenace dans les années 1880. Il fut raconté que la guérison était due aux vertus d'une fontaine située sur la commune de Fleury et à une apparition sous la forme d'une statuette de la Vierge à proximité. Notre-Dame de la Jaunisse est aujourd'hui invoquée pour les maladies du foie, et un manuscrit y invite le pèlerin à prier et faire dire une messe[31].
  • Croix de cimetière du XVIe siècle.
  • Croix de chemin dite Croix Messire Thomas.
  • Puits, près de la mairie.
  • Fontaine Notre-Dame de la Jaunisse, lieu de pèlerinage.

Personnalités liées à la commune

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  • Michael Vartan (né en 1968), acteur franco-américain, a passé une partie de son enfance à Fleury, de 11 à 16 ans[32].

Voir aussi

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Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

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  • Daniel Delattre et Emmanuel Delattre, La Manche les 602 communes, Grandvilliers, Éditions Delattre, , 280 p. (ISBN 978-2-9159-0709-4), p. 84.
  • René Gautier et al. (préf. Jean-François Le Grand, postface Danièle Polvé-Montmasson), 601 communes et lieux de vie de la Manche : Le dictionnaire incontournable de notre patrimoine, Bayeux, Éditions Eurocibles, coll. « Inédits & Introuvables », , 704 p. (ISBN 978-2-35458-036-0), p. 203.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Population municipale 2021.
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Villedieu-les-Poêles-Rouffigny comprend une ville-centre et deux communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Le , le conseil municipal nouvellement élu, réuni pour l'élection du maire, annonça la démission de l'ensemble des quinze conseillers, aucun candidat ne voulant accepter les fonctions de maire. « La commune déjà privée de conseil municipal » (consulté le ).
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. « Les unités de paysage : Unité 4.2.1 - La Manche centrale » [PDF], sur basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr, Dreal Basse-Normandie (consulté le ).
  2. « Les unités de paysage : Unité 7.3.3 - Les gorges de la Haute-Sienne et du Thar » [PDF], sur basse-normandie.developpement-durable.gouv.fr, Dreal Basse-Normandie (consulté le ).
  3. Distances routières les plus courtes selon Viamichelin.fr.
  4. « Géoportail (IGN), couche « Limites administratives » activée ».
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  8. « Orthodromie entre Fleury et Cerisy-la-Salle », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Cerisy La Salle » (commune de Cerisy-la-Salle) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Station Météo-France « Cerisy La Salle » (commune de Cerisy-la-Salle) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  12. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  13. « Unité urbaine 2020 de Villedieu-les-Poêles-Rouffigny », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  14. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Fleury ».
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Villedieu-les-Poêles-Rouffigny », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Ernest Nègre - 1990 - Toponymie générale de la France - Volume 1 - Page 452.
  19. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de communes de Normandie, Condé-sur-Noireau, Éditions Charles Corlet, (ISBN 2-95480-455-4 (édité erroné), BNF 36174448), p. 123.
  20. a et b Gautier 2014, p. 203.
  21. « Décès de Raymond Dupard, ancien maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  22. « Patrick Challier maire ne se représentera pas », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  23. « Marc Briens élu maire », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  24. a et b « Municipales à Fleury. Daniel Vesval, nouveau maire de la commune », sur ouest-france.fr, Ouest-France (consulté le ).
  25. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  26. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  27. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  28. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  29. « Site officiel de la Ligue Basse-Normandie – Fleury S. » (consulté le ).
  30. Bernard Beck (photogr. Bernard Pagnon), Quand les Normands bâtissaient les églises : 15 siècles de vie des hommes, d'histoire et d'architecture religieuse dans la Manche, Coutances, Éditions OCEP, , 204 p. (ISBN 2-7134-0053-8), p. 80.
  31. Hippolyte Gancel, Les Saints qui guérissent en Normandie, Rennes, Éditions Ouest-France, , 253 p. (ISBN 978-2-7373-4726-9), p. 47.
  32. « Michael Vartan sur le site « notre Cinéma » » (consulté le ).