Cocheren

commune française du département de la Moselle
(Redirigé depuis Ditschwiller)

Cocheren [kɔʃʁən] est une commune française de l'agglomération de Forbach, située dans le département de la Moselle, en région Grand Est. Elle est localisée dans la région naturelle du Warndt et dans le bassin de vie de la Moselle-Est.

Cocheren
Cocheren
Le site gallo-romain du Hérapel.
Blason de Cocheren
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Forbach-Boulay-Moselle
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Forbach Porte de France
Maire
Mandat
Jean-Bernard Martin
2020-2026
Code postal 57800
Code commune 57144
Démographie
Gentilé Cocherennois
Population
municipale
3 359 hab. (2021 en évolution de −4,79 % par rapport à 2015)
Densité 598 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 08′ 39″ nord, 6° 51′ 26″ est
Altitude Min. 200 m
Max. 340 m
Superficie 5,62 km2
Type Ceinture urbaine
Unité urbaine Sarrebruck (ALL)-Forbach (partie française)
(banlieue)
Aire d'attraction Forbach (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Forbach
Législatives Sixième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Cocheren
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Cocheren
Géolocalisation sur la carte : Moselle
Voir sur la carte topographique de la Moselle
Cocheren
Géolocalisation sur la carte : Grand Est
Voir sur la carte administrative du Grand Est
Cocheren

Géographie

modifier

La localité est située dans la vallée de la Rosselle, à 7 km au sud-ouest de Forbach, au pied de la colline du Hérapel qui culmine à 330 mètres.

Sur la rive droite de la Kocherenbach, Cocheren-village, au passé si ancien, où les hommes avaient déjà choisi de vivre il y a plus de deux mille ans… Sur la rive gauche, la Cité Belle-Roche, si jeune encore, qui est née dans les années 1950 (ancienne rédaction : il y a quarante ans à peine), sur les terres de l’ancien domaine de Ditschviller.

Écarts et lieux-dits

modifier
  • Ditschviller, Kehlloch, Herapel.

Hydrographie

modifier

Réseau hydrographique

modifier

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par la Rosselle, le ruisseau de Cocheren et le ruisseau le Wimbornbach[Carte 1].

La Rosselle, d'une longueur totale de 32,8 km, prend sa source dans la commune de Boucheporn traverse treize communes françaises puis, au-delà de Petite-Rosselle, poursuit son cours en Allemagne où elle se jette dans la Sarre[1].

 
Réseaux hydrographique et routier de Cocheren.

Gestion et qualité des eaux

modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Bassin Houiller ». Ce document de planification, dont le territoire est approximativement délimité par un triangle formé par les villes de Creutzwald, Faulquemont et Forbach, d'une superficie de 576 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est la région Grand Est[2]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le SDAGE du Bassin Rhin-Meuse[3].

La qualité des eaux des principaux cours d’eau de la commune, notamment du ruisseau la Rosselle, peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l'eau et l'Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 929 mm, avec 12,3 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Seingbouse », sur la commune de Seingbouse à 4 km à vol d'oiseau[6], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 731,4 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37,9 °C, atteinte le  ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[7],[8].

Statistiques 1991-2020 et records SEINGBOUSE (57) - alt : 347m, lat : 49°07'39"N, lon : 6°49'51"E
Records établis sur la période du 01-08-2003 au 04-01-2024
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) −0,4 −0,2 2,2 5,9 9,1 12,6 14,6 14,2 10,8 7,4 3,6 0,5 6,7
Température moyenne (°C) 1,8 2,6 6,1 10,7 13,8 17,6 19,7 19,1 15,4 10,9 6 2,7 10,5
Température maximale moyenne (°C) 4 5,4 10 15,5 18,6 22,5 24,7 24 20 14,4 8,5 4,8 14,4
Record de froid (°C)
date du record
−12,3
07.01.09
−15,3
07.02.12
−12,4
01.03.05
−3,4
04.04.22
−0,3
05.05.19
3,9
08.06.05
7,4
31.07.15
5,8
26.08.18
3,1
30.09.22
−5,2
29.10.12
−5,8
30.11.16
−17
20.12.09
−17
2009
Record de chaleur (°C)
date du record
13,9
01.01.22
21,4
27.02.19
23,9
31.03.21
26,8
21.04.18
30,7
28.05.17
35,2
26.06.19
37,9
25.07.19
37,8
09.08.03
32,6
15.09.20
27
02.10.23
21
02.11.20
14,9
31.12.22
37,9
2019
Précipitations (mm) 63 57,7 55,3 39,8 68,9 60,3 54,7 68,4 54,8 61,4 66 81,1 731,4
Source : « Fiche 57644001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/01/2024 dans l'état de la base
Diagramme climatique
JFMAMJJASOND
 
 
 
4
−0,4
63
 
 
 
5,4
−0,2
57,7
 
 
 
10
2,2
55,3
 
 
 
15,5
5,9
39,8
 
 
 
18,6
9,1
68,9
 
 
 
22,5
12,6
60,3
 
 
 
24,7
14,6
54,7
 
 
 
24
14,2
68,4
 
 
 
20
10,8
54,8
 
 
 
14,4
7,4
61,4
 
 
 
8,5
3,6
66
 
 
 
4,8
0,5
81,1
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[9]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Cocheren est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Sarrebruck (ALL)-Forbach (partie française)[Note 2], une agglomération internationale regroupant 15 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[12],[13]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Forbach (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[13]. Cette aire, qui regroupe 10 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (40,5 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (40,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37,9 %), zones urbanisées (25,3 %), zones agricoles hétérogènes (17,5 %), prairies (8,4 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (3,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (2,6 %), terres arables (1,9 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

modifier
  • Cocheren[17] : Cocheres (1322), Cochern (1365), Rochern (1594), Kocher (1595), Kochern (1688), Cochren (1751), Koheren et Cokeren (1756), Coquereim (Deliste, carte du Rhin), Kochern (1871-1918). En francique lorrain : Kochere et Kuchern.
  • Ditschviller[17] : Dickeswilre (1365), Dietzweiler (1684), Ditzsweiler[18] & Ditzschweiler (1751), Ditzviller ou Dietzweiller (1779), Dietzweiler (1782), Ditschweiler (carte de l'état-major), Ditschwiller (XIXe siècle). Le moulin de Ditschviller est également appelé Kaas'en Mühle[18].

Sobriquets

modifier
  • Anciens sobriquets désignant les habitants[19] : Die Bohnesäck (les sacs à haricots), Die Felseritscher (ceux qui glissent sur les rochers), Die Eicherde (les écureuils), Die Bäsekrämer (les marchands de balais).

Histoire

modifier
  • Dépendait de l'ancienne province de Lorraine.
  • Au XVIIIe siècle, le château de Ditschviller fut la résidence d’été du comte de Forbach.
  • Cocheren, village frontalier mosellan, fait partie du canton de Forbach depuis 1790.
  • L'ancien hameau de Girlingen était situé sur la commune, détruit à la fin du XVIIe siècle[20].
  • La ville est située de part et d’autre de la rivière Kocherenbach au pied du site gallo-romain du Hérapel. Il y a quelques années ont été retrouvées des traces de civilisation celte.
  • Les vestiges archéologiques trouvés sur le site du Hérapel sont dispersés dans divers musées français (Sarreguemines et Metz) et allemands, les grandes fouilles ayant eu lieu avant la Première Guerre mondiale et sous administration allemande de 1871 à 1914.

Politique et administration

modifier

Tendances politiques et résultats

modifier

Liste des maires

modifier
Liste des maires successifs[21]
Période Identité Étiquette Qualité
1840 1870 Pierre Walter    
1871 1876 Nicolas Houp    
1877 1880 Schmidt    
1881 1886 Schwartz    
1887 1894 Nicolas Neu    
1895 1900 Haag    
1901 1916 Nicolas Schmidt    
1917 1918 Emile Eblinger    
1919 1919 Muller    
1919 1940 Alphonse Kaas    
1940 1944 Joseph Lacour    
1944 octobre 1947 Alphonse Kaas    
octobre 1947 mars 1959 Albert Braun    
mars 1959 mars 1965 Jean Dauster    
mars 1965 mars 1977 Adrien Landfrid    
mars 1977 1997
(démission)
Paul Bladt PS Ajusteur retraité
Député de la 6e circonscription de la Moselle (1981 → 1986)
Conseiller général du canton de Behren-lès-Forbach (1988 → 2008)
1997 En cours Jean-Bernard Martin SE Chef de section principal des travaux publics de l'État
Conseiller général du canton de Behren-lès-Forbach (2008 → 2015)
Les données manquantes sont à compléter.

Jumelage

modifier

Le village est jumelé depuis 1985 avec le village allemand de Lampaden, une municipalité du Verbandsgemeinde de Kell am See, dans l'arrondissement de Trèves-Saarburg, en Rhénanie-Palatinat, dans l'ouest de l'Allemagne.

L’origine du jumelage a été initiée par un gendarme originaire de Cocheren, stationné à Saarburg, et un habitant de Lampaden, fonctionnaire de Police dans cette même ville. Ce sont les élus en fonction à l’époque qui ont concrétisé le jumelage, Monsieur Paul Bladt, Député Maire de Cocheren, et Monsieur Théo Wilhem, Maire de Lampaden.

Les cérémonies officielles ont lieu le à Cocheren et le à Lampaden.

Le 25e anniversaire du jumelage a été fêté le à Cocheren et le à Lampaden.

Démographie

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[23].

En 2021, la commune comptait 3 359 habitants[Note 5], en évolution de −4,79 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
422433468505624572510523502
1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
489462477495574659722840834
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
8999149969513 2444 5744 2273 7313 544
1990 1999 2004 2006 2009 2014 2019 2021 -
3 4253 2933 3603 3523 4823 5183 3803 359-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie

modifier

Enseignement

modifier

Les établissements scolaires de Cocheren sont rattachés à l'académie de Nancy-Metz. Pour le calendrier des vacances scolaires, la ville se trouve en zone B.

La ville de Cocheren compte plusieurs établissements scolaires :

  • le groupe scolaire Thomas-Pesquet (fusion des anciens groupes scolaires Jean-Lurçat et des Frères-Lerond).
  • le collège Le Herapel, qui accueille les élèves de la ville et ceux originaires des localités voisines de Folkling, Gaubiving, Béning-lès-Saint-Avold, Morsbach et Rosbruck.

Culture locale et patrimoine

modifier

Lieux et monuments

modifier

Édifices civils

modifier
  • Vestiges gallo-romains : sur la montagne d'Hérapel, traces d'un camp et d'un temple d'Apollon ; vase.
  • Fontaine de dévotion miraculeuse d'Hérapel : selon la légende, l'eau de cette source serait bénéfique pour les yeux et pour les cheveux.
  • Château de Ditschviller XVIIIe siècle, restauré XIXe siècle.

Édifices religieux

modifier
  • Église de la Sainte-Trinité 1780 : très riche mobilier XIXe siècle.
  • Église Notre-Dame-des-Houillères (Cité Belle Roche).
  • Chapelle Sainte-Hélène, bâtie dans la roche.

Prêtres de la commune

modifier
1944-1987 : Abbé Joseph Bour (Belle-Roche) puis rattaché au village

1802-1805 : Abbé Jean Nicolas Decker

1806-1810 : Abbé Jean Kremer

1810-1812 : Abbé Jean Grotius

1812-1818 : Abbé Hyacinthe Courte

1818-1822 : Abbé François Fey

1822-1830 : Abbé Antoine Grotzinger

1830-1833 : Abbé Antoine Gapp

1833-1841 : Stéphane Guingler

1841-1842 : Abbé Nicolas Kollen

1842-1873 : Abbé Nicolas Neis

1873-1874 : Abbé Jacques Fabing

1874-1884 : Abbé Jean Marc Fabing

1884-1888 : Abbé Jean Pierre Riff

1888-1897 : Abbé Louis Hessemann

1897-1926 : Abbé Jean Vagner

1926-1941 : Abbé Jean Adam

1941-1945 : Abbé Alfred Rohmer

1945-1962 : Abbé Jean Adam

1962-1987 : Abbé Marcel Poinsignon

1987-1995 : Abbé Bernard Basselin

1995-2011 : Abbé Clément Reiff

2011-2016 : Abbé Martin Pyza

depuis 2016- : Abbé Gérard Zawadski

Personnalités liées à la commune

modifier

Héraldique

modifier
  Blason
Parti : au 1er d'azur à la crosse d'or, au livre ouvert d'argent brochant sur le tout, au 2e d'azur semé de croisettes d'argent, au lion du même, lampassé et couronné d'or, brochant sur le tout.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir

modifier

Bibliographie

modifier

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références

modifier

Notes et cartes

modifier
  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  3. Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Sarrebruck (ALL)-Forbach (partie française) comprend trois villes-centres (Forbach, Freyming-Merlebach et Stiring-Wendel) et douze communes de banlieue.
  4. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Cocheren » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. « Qualité des eaux de rivière et de baignade. », sur qualite-riviere.lesagencesdeleau.fr/ (consulté le ) - Pour recentrer la carte sur les cours d'eau de la commune, entrer son nom ou son code postal dans la fenêtre "Rechercher".
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. Sandre, « la Rosselle »
  2. « SAGE Bassin Houiller », sur gesteau.fr (consulté le ).
  3. « Les SDAGE des districts Rhin et Meuse (2022-2027) », sur eau-rhin-meuse.fr (consulté le ).
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Cocheren et Seingbouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Seingbouse », sur la commune de Seingbouse - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Seingbouse », sur la commune de Seingbouse - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  11. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Sarrebruck (ALL)-Forbach (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de Cocheren ».
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Forbach (partie française) », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868.
  18. a et b Chronique de Cocheren - Denis Quiring, Marcel Stein (1989)
  19. Cercle "Die Furbacher" - Histoire locale de Forbach n°62 - 2008
  20. Société d'archéologie et d'histoire de la Moselle-Mémoires Volumes 2 à 4
  21. Liste des maires de Cocheren
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.