Curchy

commune française du département de la Somme

Curchy
Curchy
La mairie.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Péronne
Intercommunalité CC de l'Est de la Somme
Maire
Mandat
Jean-Édouard Richard
2021-2026
Code postal 80190
Code commune 80230
Démographie
Gentilé Curchéiens
Population
municipale
305 hab. (2021 en augmentation de 4,1 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 46′ 38″ nord, 2° 51′ 36″ est
Altitude Min. 62 m
Max. 88 m
Superficie 9,63 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Ham
Législatives 5e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Curchy
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Curchy
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Curchy
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Curchy

Curchy est une commune française située dans le département de la Somme en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Étalon, Fonches-Fonchette, Herly, Mesnil-Saint-Nicaise, Nesle, Hypercourt, Potte, Omiécourt et Pertain.

Description modifier

Curchy, un village picard du Santerre, est aisément accessible par l'ex-RN 30 (actuelle RD 930). Il se situe à quelques kilomètres au nord-ouest de Nesle.

Il est traversé par la ligne d'Amiens à Laon mais la gare la plus proche est la gare de Nesle, desservie par des trains régionaux TER Hauts-de-France qui effectuent des missions entre les gares d'Amiens et de Tergnier ou de Laon.

En 2019, la localité est desservie par les autocars du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France (ligne no 52, Nesle - Hombleux - Ham)[1].

Hydrographie modifier

 
L'Ingon, vue du pont.

L'Ingon, affluent gauche du fleuve la Somme, traverse le village.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 734 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 9 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Rouvroy-en-Santerre à 11 km à vol d'oiseau[4], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 635,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Curchy est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols modifier

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (94,3 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (94,3 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (93,4 %), zones urbanisées (3,9 %), forêts (1,8 %), zones agricoles hétérogènes (0,9 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Habitat et logement modifier

En 2019, le nombre total de logements dans la commune était de 148, alors qu'il était de 144 en 2014 et de 143 en 2009[I 1].

Parmi ces logements, 78,4 % étaient des résidences principales, 8,1 % des résidences secondaires et 13,5 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 100 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 0 % des appartements[I 2].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Curchy en 2019 en comparaison avec celle de la Somme et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (8,1 %) inférieure à celle du département (8,3 %) mais supérieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 84,4 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (84 % en 2014), contre 60,2 % pour la Somme et 57,5 pour la France entière[I 3].

Le logement à Curchy en 2019.
Typologie Curchy[I 1] Somme[I 4] France entière[I 5]
Résidences principales (en %) 78,4 83,2 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 8,1 8,3 9,7
Logements vacants (en %) 13,5 8,5 8,2

Toponymie modifier

Curci est relevé en 1132[14]. La forme évolue en Curchi en 1160[15]. Puis Curciaum en 1189 ; Curchum en 1200 ; Curchy en 1277 ; Cursi en 1665 ; Couchy en 1710 ; Courchy en 1761[14].

Histoire modifier

Des muches creusées dans la craie ont permis aux habitants de se réfugier pendant les périodes troubles qu'a connues le village.

Première Guerre mondiale

Un hôpital militaire a été construit sous l'église par les Allemands[16].

Un aérodrome militaire est installé à Curchy-Manicourt utilisé par l'armée allemande juin à août 1918 puis par l'aviation française. Il est équipé de cinq hangars et six tentes en mai, trois hangars et six puis trois tentes en juin-juillet 1918. L'escadrille française SAL 204 l'occupe du au [17],[18]

L'escadrille SPAbi 21 est stationnée à Curchy-Manicourt du 9 (ou 10) au en soutien avec la 64e Division d'Infanterie[19]

Les villages de Curchy, de Manicourt et de Dreslincourt sont considérés comme détruits à la fin de la guerre[20]. Curchy, et Dreslincourt ont été décorées de la Croix de guerre 1914-1918, le [21].

Des travaux de reconstruction débutent avant la fin du conflit sous l'autorité de l'armée française[22],[23]

Fusion de communes

En 1966, les communes de Curchy et de Dreslincourt, instituées lors de la Révolution française, fusionnent sous le nom de Curchy-Dreslincourt.

En 1973, les communes de Curchy-Dreslincourt et de Manicourt fusionnent à leur tour pour devenir une nouvelle commune dénommée Curchy[24]

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouvait jusqu'en 2016 dans l'arrondissement de Montdidier du département de la Somme. Par arrêté préfectoral du , elle en est détachée le pour intégrer l'arrondissement de Péronne[25]

Elle faisait partie depuis 1801 du canton de Roye[24]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Ham.

Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la cinquième circonscription de la Somme.

Intercommunalité modifier

La commune faisait partie de la communauté de communes du Pays Neslois (CCPN), créée fin 2001, et qui succédait au district de Nesle, créé par arrêté préfectoral du .

La loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, prévoyant que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants[26], le schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) arrêté par le préfet de la Somme le 30 mars 2016 prévoit notamment la fusion des communautés de communes du Pays Hamois et celle du Pays Neslois, afin de constituer une intercommunalité de 42 communes groupant 20 822 habitants, et précise qu'il « s'agit d'un bassin de vie cohérent dans lequel existent déjà des migrations pendulaires entre Ham et Nesle. Ainsi Ham offre des équipements culturels, scolaires et sportifs (médiathèque et auditorium de musique de grande capacité, lycée professionnel, complexe nautique), tandis que Nesle est la commune d'accueil de grandes entreprises de l'agroalimentaire ainsi que de leurs sous-traitants »[27].

La fusion intervient le et la nouvelle structure, dont la commune fait désormais partie, prend le nom de communauté de communes de l'Est de la Somme[28],[29].

Liste des maires successifs modifier

Liste des maires successifs[30]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
         
1798 1840 Charles Borrhomé Boudoux d'Hautefeuille[31]   Propriétaire, cultivateur
Conseiller d'arrondissement de Roye (1833 → 1830 et 1833 → 1840)
Mort en fonction
1844 après mars 1869 Charles Clément Boudoux d'Hautefeuille[31]   Fils de Charles Borrhomé Boudoux d'Hautefeuille, propriétaire, cultivateur
Conseiller d'arrondissement de Roye ((8 mai 1865 → 1876)
         
marfs 1983 mars 2001 Jacques Cockenpot[Note 2],[33]   Agriculteur retraité
mars 2001 avril 2018[34],[35] M. Dominique Pecquet   Retraité
Président du Smitom du Santerre ( ? → 2018[34])
Vice-président de la CC du Pays Neslois ( ? → 2016)
Vice-président de la CC de l'Est de la Somme (2017 → 2018)
Décédé en fonctions.
octobre 2018[36],[37] septembre 2021[38],[39] Jean-Claude Delmée[40],[41]   Retraité
Décédé en fonction .
décembre 2021[42] En cours
(au 18 septembre 2023[32])
Jean-Édouard Richard   Membre du bureau de la CC de l'Est de la Somme (2022[43] → )

Équipements et services publics modifier

 
La salle communale, construite sous le mandat de Jacques Cockenpot[32].

Enseignement modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[44]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[45].

En 2021, la commune comptait 305 habitants[Note 3], en augmentation de 4,1 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
200168198204246264276292274
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
262259259272280263297310302
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
306320281258336310314298281
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
263297314300302297318324301
2018 2021 - - - - - - -
301305-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[46].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Église Saint-Médard[47], dont la nef est datée du XIIe siècle[48]. Son clocher comprend deux girouettes représentant chacune un coq.
  • Ancienne chapelle Sainte-Radegonde de Dreslincourt :
    L'ancienne chapelle Sainte-Radegonde existait déjà en 1633. Elle a été transformée en maison d'habitation[49].
  • Le marronnier remarquable de Dreslincourt, planté en 1780 selon la tradition locale. Le tronc mesure 5,60 m de diamètre. Dans la nuit du 3 au 4 mai 2021, le marronnier a été victime d'une tornade : le vent s'engouffrant dans le feuillage a fait tournoyer les branches et a brisé le tronc en son milieu[50]. Il paraît difficile de sauver ce qu'il reste de cet arbre remarquable.
  • Le calvaire de Dreslincourt, en pierre calcaire, très ancien, est situé à proximité du marronnier de Dreslincourt.
  • Cimetière militaire allemand de Manicourt

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

  • Carte spéciale des régions dévastées : 22 NO, Laon [Nord-Ouest], Service géographique de l'armée, (lire en ligne) sur Gallica.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. Une rue porte le nom de ce maire depuis 2023[32]
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a et b « Chiffres clés - Logement en 2019 à Curchy » (consulté le ).
  2. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Curchy - Section LOG T2 » (consulté le ).
  3. « Chiffres-clés - Logement en 2019 à Curchy - Section LOG T7 » (consulté le ).
  4. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la Somme » (consulté le ).
  5. « Chiffres clés - Logement en 2019 dans la France entière » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. « Le réseau Trans'80 en ligne »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Curchy et Rouvroy-en-Santerre », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Rouvroy-en-Santerre » (commune de Rouvroy-en-Santerre) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  14. a et b Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 282 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  15. M. Diette, Notice géographique et historique réalisée par l'instituteur, 189? (lire en ligne).
  16. Panneau d'informations sur la place du village.
  17. « Curchy-Manicourt », Anciens aérodromes, (consulté le ).
  18. « Escadrille F 204 - SOP - 204 - SAL 204 », Escadrilles, As oubliés 14-18, (consulté le ).
  19. Albin Denis, « Escadrille C21 - AR21 - SPAbi21 », Les escadrilles de l'aéronautique militaire française de 1910 à 1918, sur albindenis.free.fr (consulté le ).
  20. Carte spéciale des régions dévastées, document mentionné en liens externes, 1920.
  21. Journal officiel du 7 novembre 1920, p. 17721.
  22. Section photographique de l'armée, « Photo : Curchy. Un coin du village et baraquement militaire », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 18, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  23. Section photographique de l'armée, « Photo : Curchy. Un coin du village et replantation d'un verger détruit par les Allemands », Fonds des Albums Valois - Département de la Somme - Volume 18, Argonnaute - Bibliothèque de documentation internationale contemporaine, (consulté le ).
  24. a b et c Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. « Arrêté préfectoral portant modification des limites territoriales des arrondissements de la Somme - Recueil n°200 des actes administratifs du 27 décembre 2016 des Hauts-de-France », sur prefectures-regions.gouv.fr, (consulté le ).
  26. Section III de l'article L. 5210-1-1 du code général des collectivités territoriales, sur Légifrance
  27. Projet de SDCI du 13 octobre 2015, p. 20.
  28. V.F.; C.La., « Les fusions ne vont pas toutes se faire en douceur », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne) « Imposée par l’État, la fusion des communautés de communes se fait parfois naturellement. Mais elle engendre aussi des difficultés, comme entre celles de Ham et Nesle ».
  29. « Dernière réunion pour les élus du pays hamois », Le Journal de Ham, no 50,‎ , p. 5 « Éric Legrand peut conclure : « Dans quelques jours, le Pays Hamois cédera définitivement la place à la communauté de communes de l’Est de la Somme : une nouvelle appellation pour un territoire nouveau mais aussi, et surtout, pour une ambition nouvelle ».
  30. « Les maires de Curchy », sur francegenweb.org (consulté le ).
  31. a et b Jean-Michel Schill, Dictionnaire du personnel politique du département de la Somme : 1787-2021, Amiens, Archives départementales de la Somme, , 3e éd. (1re éd. 2011), 566 p. (lire en ligne [PDF]), p. 57.
  32. a b et c « La rue Jacques-Cockenpot inaugurée à Curchy : L’ancienne rue du hameau de Maincourt porte désormais le nom de l’ancien maire, qui a longtemps œuvré pour le bien de la commune, notamment avec la construction de la salle des fêtes. Inauguration de la rue Jacques-Cockenpot en présence de son épouse et de ses enfants. », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  33. « Jacques Cockenpot, ancien maire de Curchy, est décédé », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Ancien agriculteur, il avait été conseiller municipal à Manicourt dans les années 1980 sous les mandants de Joseph Bracaval, maire de l’époque, puis cette commune fut rattachée par la suite à Curchy. Il en deviendra le maire de 1984 à 2002 ».
  34. a et b « Dominique Pecquet est décédé », Le Bonhomme picard, édition de Montdidier-Roye, no 3496,‎ , p. 2.
  35. « Dominique Pecquet, maire de Curchy, est décédé », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il avait été l'un des membres fondateurs de la communauté de communes du Pays Neslois, et il était élu dans son village depuis 1993 et maire depuis 2001 ».
  36. Vincent Fouquet, « Jean-Claude Delmée nouveau maire de Curchy : Au terme d’une soirée élective surprenante, plein de surprises et de rebondissements, le nouveau conseil municipal a élu son maire et ses deux adjoints. Mais que ce fut laborieux ! », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « 9 voix pour contre un blanc ».
  37. Justine Esteve, « J-C. Delmée est le nouveau maire : Vendredi 5 octobre, le nouveau conseil municipal de Curchy a élu son nouveau maire. Seul candidat, Jean-Claude Delmée se prépare a endosser ce nouveau rôle », Le Journal de Ham, no 93,‎ , p. 10 « Âgé de 73 ans, Jean-Claude Delmée est actuellement en cours de son troisième mandat à la mairie de Curchy. Avant d’être élu maire, il était le premier adjoint de Dominique Pecquet ».
  38. Marjorie Michaud, « Curchy : le maire, Jean-Claude Delmée, est décédé », Le Journal de Ham,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  39. « Jean-Claude Delmée, maire de Curchy, n’est plus », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il avait effectué auparavant trois mandats en tant que conseiller et un mandat et demi en tant que premier adjoint auprès de Dominique Pecquet ».
  40. « Jean-Claude Delmée brigue un nouveau mandat à Curchy », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Il est maire depuis dix-huit mois suite au décès de Dominique Pecquet. « J’ai déjà fait trois mandats de conseiller municipal, un mandat de troisième adjoint et un mandat et demi de premier adjoint. J’ai assisté Dominique Pecquet lorsqu’il était bien malade », indique l’élu ».
  41. Réélu pour le mandat 2020-2026 : « Jean-Claude Delmée poursuit son mandat de maire à Curchy », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  42. « Jean-Edouard Richard, nouveau maire de Curchy : Le conseil municipal s’est réuni vendredi 17 décembre », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Jean-Edouard Richard l’a emporté avec sept voix, contre Georges Gance, deux voix ».
  43. Ludovic Lascombe, « Le nouveau maire de Curchy élu au bureau communautaire de l’Est de la Somme : Jean-Edouard Richard a été élu en remplacement de l’ancien maire décédé, au terme de trois tours de scrutin », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  44. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  45. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  46. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  47. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Église de Curchy d'après nature, 28 septembre 1868 », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  48. Panneau d'informations près de l'église.
  49. André Guerville, Chapelles et oratoires en Pays de Somme, Abbeville, Frédéric Paillart, coll. « Richesses en Somme », 4e trimestre 2003, 302 p., p. 271 (ASIN B000WR15W8).
  50. « Planté avant la Révolution, le marronnier de Curchy a cédé : Les forts coups de vent du début de semaine ont mis à terre un pan de l’histoire de la commune », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).