Cette-Eygun

commune française du département des Pyrénées-Atlantiques

Cette-Eygun
Cette-Eygun
Le village de Cette.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Pyrénées-Atlantiques
Arrondissement Oloron-Sainte-Marie
Intercommunalité Communauté de communes du Haut Béarn
Maire
Mandat
Ophélie Escot
2020-2026
Code postal 64490
Code commune 64185
Démographie
Gentilé Cettois
Population
municipale
59 hab. (2021 en diminution de 19,18 % par rapport à 2015)
Densité 3,1 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 56′ 15″ nord, 0° 35′ 17″ ouest
Altitude Min. 501 m
Max. 2 560 m
Superficie 18,97 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton d'Oloron-Sainte-Marie-1
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Cette-Eygun

Cette-Eygun (en béarnais Cèta-Eigun ou Cète-Eygun) est une commune française, située dans le département des Pyrénées-Atlantiques en région Nouvelle-Aquitaine.

Géographie modifier

Les communes limitrophes sont Accous, Borce, Etsaut et Laruns.

Localisation modifier

La commune de Cette-Eygun se trouve dans le département des Pyrénées-Atlantiques, en région Nouvelle-Aquitaine[1].

Elle se situe à 65 km par la route[Note 1] de Pau[2], préfecture du département, et à 33 km d'Oloron-Sainte-Marie[3], sous-préfecture.

Les communes les plus proches[Note 2] sont[4] : Etsaut (3,1 km), Borce (3,3 km), Lescun (3,7 km), Accous (4,3 km), Lées-Athas (5,0 km), Osse-en-Aspe (7,0 km), Bedous (7,1 km), Urdos (7,6 km).

Sur le plan historique et culturel, Cette-Eygun fait partie de la province du Béarn, qui fut également un État et qui présente une unité historique et culturelle à laquelle s’oppose une diversité frappante de paysages au relief tourmenté[5].

Communes limitrophes de Cette-Eygun[6]
Accous
  Laruns
Borce Etsaut

La commune fait partie de la vallée d'Aspe.

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Cette-Eygun.

La commune est drainée par le gave d'Aspe, le ruisseau de Sadum, le ruisseau Escuarpe, le ruisseau de Boudoub, le ruisseau de Cap Det Mailh, le ruisseau de Lacure, et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 22 km de longueur totale[7],[Carte 1].

Le gave d'Aspe, d'une longueur totale de 58,1 km, prend sa source dans le cirque d'Aspe, au pied du Mont Aspe (2 643 m), en Espagne, et s'écoule du sud vers le nord. Il traverse la commune et se jette dans le gave d'Oloron à Oloron-Sainte-Marie, après avoir traversé 17 communes[8].

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat de montagne[9]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Pyrénées atlantiques, caractérisée par une pluviométrie élevée (>1 200 mm/an) en toutes saisons, des hivers très doux (7,5 °C en plaine) et des vents faibles[10].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 664 mm, avec 11,7 jours de précipitations en janvier et 9,5 jours en juillet[11]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Arbéost à 25,53 km à vol d'oiseau[12], est de 10,2 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 411,1 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16],[17]. Dans ce cadre, la commune fait partie de la zone cœur et de l'aire d'adhésion[Note 3] du Parc National des Pyrénées. Créé en 1967 et d'une superficie de 45 806 ha, ce parc abrite une faune riche et spécifique particulièrement intéressante : importantes populations d’isards, colonies de marmottes réimplantées avec succès, grands rapaces tels le Gypaète barbu, le Vautour fauve, le Percnoptère d’Égypte ou l’Aigle royal, le Grand tétras et le discret Desman des Pyrénées qui constitue l’exemple type de ce précieux patrimoine confié au Parc national et aussi l'Ours des Pyrénées[18],[19].

Réseau Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux », constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 4]. Trois sites Natura 2000 ont été définis sur la commune au titre de la « directive Habitats »[21],[Carte 2] :

  • le « massif de Sesques et de l'Ossau », d'une superficie de 25 794 ha, présentant des habitas avec de nombreuses espèces rares, souvent endémiques des Pyrénées. Il constitue également une aire de présence régulière de l'ours des Pyrénées[22] ;
  • le « massif de l'Anie et d'Espelunguère », d'une superficie de 14 253 ha, un massif montagneux siliceux avec des secteurs calcaires, avec de nombreux habitats herbacés à boisés, siliceux à calcaires, secs à humides[23] ;
  • « le gave d'Aspe et le Lourdios (cours d'eau) », d'une superficie de 1 595 ha, un vaste réseau de torrents d'altitude et de cours d'eau de coteaux à très bonne qualité des eaux[24] et une au titre de la « directive Oiseaux »[21],[Carte 3] :
  • les « hautes vallées d'Aspe et d'Ossau », d'une superficie de 49 106 ha, une vaste étendue de système montagnard et alpin étalée sur plusieurs vallées incluant la Zone centrale du Parc national des Pyrénées, dont l'intérêt est la présence d'habitats et d'espèces de haute altitude, souvent spécifiques aux Pyrénées[25].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Quatre ZNIEFF de type 1[Note 5] sont recensées sur la commune[26],[Carte 4] :

  • la « montagne de Liard » (7 047,09 ha), couvrant 5 communes du département[27] ;
  • le « réseau hydrographique du gave d'Aspe et ses rives » (1 207,81 ha), couvrant 23 communes du département[28] ;
  • la « rive droite de la Haute vallée d'Aspe » (6 491,46 ha), couvrant 3 communes du département[29] ;
  • la « Rive gauche de la Haute vallée d'Aspe » (9 444,85 ha), couvrant 5 communes du département[30] ;

et deux ZNIEFF de type 2[Note 6],[26],[Carte 5] :

  • le « réseau hydrographique du gave d'Oloron et de ses affluents » (6 885,32 ha), couvrant 114 communes dont 2 dans les Landes et 112 dans les Pyrénées-Atlantiques[31] ;
  • la « vallée d'Aspe » (54 924,87 ha), couvrant 22 communes du département[32].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Cette-Eygun est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 7],[33],[34],[35]. La commune est en outre hors attraction des villes[36],[37].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (91,4 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (49,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (32,4 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (9,7 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), prairies (3,2 %)[38]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 6].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Lieux-dits et hameaux modifier

  • Boudoub ;
  • Cette ;
  • Départ ;
  • Eygun ;
  • Narbèse ;
  • Pouey ;
  • Rèse ;
  • Village.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Cette-Eygun est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains, avalanche et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[39]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[40].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par une crue torrentielle ou à montée rapide de cours d'eau, notamment le gave d'Aspe. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 2009[41],[39].

Cette-Eygun est exposée au risque de feu de forêt. En 2020, le premier plan de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été adopté pour la période 2020-2030[42]. La réglementation des usages du feu à l’air libre et les obligations légales de débroussaillement dans le département des Pyrénées-Atlantiques font l'objet d'une consultation de public ouverte du 16 septembre au 7 octobre 2022[43],[44].

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des mouvements de sols liés à la présence d'argile et des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[45]. Afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, un inventaire national permet de localiser les éventuelles cavités souterraines sur la commune[46].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Cette-Eygun.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[47]. 18,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 7]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 8],[48].

La commune est exposée aux risques d'avalanche. Les habitants exposés à ce risque doivent se renseigner, en mairie, de l’existence d’un plan de prévention des risques avalanches (PPRA). Le cas échéant, identifier les mesures applicables à l'habitation, identifier, au sein de l'habitation, la pièce avec la façade la moins exposée à l’aléa pouvant faire office, au besoin, de zone de confinement et équiper cette pièce avec un kit de situation d’urgence[49],[50].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Cette-Eygun est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[51].

Toponymie modifier

Le toponyme Cette apparaît[52] sous les formes Cete ou Sete (XIe – XIVe siècle[53], Anciens Fors), Sete (1250)[54], Ceta (1449)[55]), Sent-Pée-de-Cette (1620)[56] et Sette (1675)[57].

Eygun, pour sa part, est mentionnée[52] sous la forme Igun (1449)[55]. Eygun vient probablement d'un basque Ihigun qui signifie jonchaie, de ihi 'joncs' et gun, suffixe locatif[58].

La forme Cette-Eygun est restée stable depuis la réunion du village d'Eygun à la commune de Cette.

Son nom béarnais est Cèta-Eigun[59] ou Cète-Eygun[60].

Hydronymes modifier

  • l'Escuarpe.
  • le Souhet (basque Zuhieta 'au pont').
  • le ruisseau de Boudoub.

Oronymes modifier

  • pic dera Pou (1 672 m) ;
  • Antchet (1 980 m) ;
  • Coucouroû (1 482 m).

Histoire modifier

En 1385, Cette comptait 45 feux et dépendait du bailliage d'Oloron[52].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
juin 1995 mars 2008 Bernard Sarailler    
mars 2008 mai 2020 Jean Gastou    
mai 2020 En cours Ophélie Escot[61]    

À l'issue de son élection, Ophélie Escot est la plus jeune femme maire de France[62].

Intercommunalité modifier

La commune fait partie de cinq structures intercommunales[63] :

  • la Communauté de communes du Haut Béarn ;
  • le syndicat d’énergie des Pyrénées-Atlantiques ;
  • le syndicat intercommunal d'aide matérielle à la scolarisation en vallée d'Aspe ;
  • le syndicat mixte des gaves d’Oloron - Aspe - Ossau et de leurs affluents ;
  • le syndicat mixte du Haut-Béarn.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[64]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[65].

En 2021, la commune comptait 59 habitants[Note 9], en diminution de 19,18 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Atlantiques : +3,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
461448442525487510470475476
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
461453434405383412378414415
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
426405430686480323285213201
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
1661781431038995868179
2014 2019 2021 - - - - - -
746159------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[66] puis Insee à partir de 2006[67].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

L'économie de la commune est essentiellement orientée vers l'agriculture et l'élevage (bovins et ovins). La fabrication de fromages fermiers est également une des ressources de la commune, qui fait partie de la zone d'appellation de l'ossau-iraty.

Culture locale et patrimoine modifier

Patrimoine civil modifier

  • Fermes des XVe, XVIe et XIXe siècles (four à pain, étable, porcherie, fenil).
  • Maison de maître le Château, XIVe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles.
  • Gare sur la ligne Pau-Canfranc, fermée au trafic depuis 1970.

Patrimoine religieux modifier

  • Église romane Saint-Pierre de Cette, XIIe siècle, rénovée XVIIe siècle, fresques estimés du XVe siècle, le retable datant du XVIIIe siècle.
  • Église paroissiale Saint-Barthélemy, XIXe siècle.

Le village est traversé par le chemin de Saint-Jacques de Compostelle.

Équipements modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Galerie modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes par la voie routière et évaluées à l'aide d'un calculateur d'itinéraires.
  2. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  3. La réglementation dans la zone périphérique du parc, dite zone d'adhésion, est plus souple, afin bénéficier d'investissements d'ordres économique, social et culturel afin de freiner l'exode rural et de développer l'équipement touristique de la région.
  4. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[20].
  5. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  6. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  7. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  8. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Cette-Eygun » sur Géoportail (consulté le 10 août 2021)..
  2. « Sites Natura 2000 de types sites d'intérêt communautaire (SIC) (Directive Habitats) de la commune de Cette-Eygun », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Sites Natura 2000 de types zones de protection spéciale (ZPS) (Directive Oiseaux) », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  4. « ZNIEFF de type I sur la commune de Cette-Eygun », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  5. « ZNIEFF de type II sur la commune de Cette-Eygun », sur geoportail.gouv.fr (consulté le ).
  6. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  7. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

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  2. Stephan Georg, « Distance entre Cette-Eygun et Pau », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Cette-Eygun et Oloron-Sainte-Marie », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Cette-Eygun », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 30.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. « Fiche communale de Cette-Eygun », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Aquitaine (consulté le ).
  8. Sandre, « le gave d'Aspe ».
  9. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
  10. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  11. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  12. « Orthodromie entre Cette-Eygun et Arbéost », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Arbeost_sapc » (commune d'Arbéost) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Arbeost_sapc » (commune d'Arbéost) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  23. « site Natura 2000 FR7200746 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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