Chauray

commune française du département des Deux-Sèvres

Chauray
Chauray
L'église Saint-Pierre.
Blason de Chauray
Blason
Chauray
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Deux-Sèvres
Arrondissement Niort
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Niortais
Maire
Mandat
Claude Boisson
2020-2026
Code postal 79180
Code commune 79081
Démographie
Gentilé Chauraisiens
Population
municipale
7 151 hab. (2021 en augmentation de 4,14 % par rapport à 2015)
Densité 493 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 21′ 41″ nord, 0° 22′ 34″ ouest
Altitude Min. 32 m
Max. 91 m
Superficie 14,50 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Niort
(banlieue)
Aire d'attraction Niort
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de la Plaine niortaise
(bureau centralisateur)
Législatives Première circonscription
Localisation
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Chauray
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Chauray
Liens
Site web ville-de-chauray.fr

Chauray est une commune du Centre-Ouest de la France située dans la banlieue est de Niort, dans le département des Deux-Sèvres, en région Nouvelle-Aquitaine. Plusieurs sociétes y siègent (assurances) et de nombreuses enseignes commerciales sont implantées sur la commune.

Géographie modifier

Représentations cartographiques de la commune
 
  Mairie
 
Carte OpenStreetMap
 
Carte topographique
 
Avec les communes environnantes
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique ; 4 : avec les communes environnantes


La commune de Chauray (7 km de Niort - 64 km de Poitiers - 60 km de La Rochelle) est située dans le département des Deux-Sèvres, en limite Est de Niort.

Cette commune est desservie par :

- L’A10 (à 4 km). Sortie Vouillé n°33 (Niort Sud) / Nœud autoroutier A10-A83 Sortie La Crèche n°32 (Niort Est) ;

- La RD 611 qui relie Niort à Poitiers (à 1 km) ;

- La D948 (à 7 km) ;

- Les  voies  départementales  182, 125 et 107.

- L’autoroute  A83  (Nantes-Niort)  mord l’extrémité Nord du territoire communal, mais aucun accès direct ne dessert Chauray.

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique du nord-ouest[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Poitou-Charentes, caractérisée par un bon ensoleillement, particulièrement en été et des vents modérés[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,9 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 909 mm, avec 12,4 jours de précipitations en janvier et 7,2 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Niort à 8 km à vol d'oiseau[4], est de 12,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 846,6 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Chauray est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Niort, une agglomération intra-départementale regroupant 4 communes[11] et 72 894 habitants en 2017, dont elle est une commune de la banlieue[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Niort dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (58,4 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (51,7 %), zones urbanisées (25,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (16 %), prairies (3,5 %), zones agricoles hétérogènes (3,2 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Chauray est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Sèvre Niortaise. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1999, 2010 et 2015[19],[17]. Le risque inondation est pris en compte dans l'aménagement du territoire de la commune par le biais du plan de prévention des risques inondation (PPRI) de la « Vallée de la Sèvre Niortaise amont », approuvé le , dont le périmètre regroupe 17 communes[20].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Chauray.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[22]. 56,2 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (54,9 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[23].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 1992, 1996, 2003, 2005, 2011 et 2017 et par des mouvements de terrain en 1999 et 2010[17].

Risque technologique modifier

La commune est en outre située en aval du barrage de la Touche Poupard, un ouvrage de classe A[Note 4] mis en service en 1995 sur le cours d’eau le Chambon, affluent de la Sèvre Niortaise. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[25].

Toponymie modifier

Histoire modifier

Préhistoire modifier

Plusieurs sites préhistoriques ont été repérés par des prospecteurs archéologiques. À la Chauvinière, un éperon formé par la confluence de la Sèvre Niortaise et d'une vallée sèche a été barré par un fossé creusé au Néolithique récent ou final. Ce site a été découvert par les prospections aériennes réalisées par Maurice Marsac (1990 Inventaire archéologique par photographie aérienne des abords du Golfe des Pictons, tome 1). Un sondage archéologique réalisé par Marie-Claude Bakkal-Lagarde a révélé une entrée non visible sur les clichés (1989, bulletin de l'Association pour le Développement de l'Archéologie sur Niort et les Environs, no 1).

De la préhistoire au XIXe siècle modifier

Chauray apparaît pour la première fois en 904 dans un acte de l’abbaye de Saint-Maixent sous le nom de « Vicaria Calriacinse », mais a connu une occupation humaine bien avant cette date.

Depuis le XIXe siècle modifier

À Trévins Jacques Thibaudeau, entrepreneur de travaux publics reçoit l'autorisation préfectorale pour son installation de distillerie de betteraves le 1er septembre 1864. La méthode de distillation utilisée est celle appelée Champonnoise. L'usine fonctionne trois mois par an. Le matériel comprend un appareil à distiller avec colonne et sa chaudière, un réchauffoir tubulaire, quatre cuviers de macération en bois de sapin rouge, quatre cuves de fermentation en bois cerclées de fer, un châssis à trois pompes, un laveur et un coupe-racines. Une machine à vapeur de 5 ch provenant des ateliers de M. Bareau, à Niort, est installée pour entraîner les divers mécanismes de l'établissement. Il semble que cet établissement cesse de fonctionner avant 1890. Les locaux sont par la suite transformés en bâtiment rural et en logements.

Au milieu du XIXe siècle, Chauray comptait 600 protestants sur une population d'environ 900 habitants. En 1843, les catholiques avaient retrouvé leur église. La même année, les protestants demandaient la construction d'un temple. Jusqu'alors, faute de local, le pasteur était obligé de prêcher sous quelques balets, voire en plein air, ce qui rendait la célébration du culte bien souvent impossible à cause du mauvais temps.

Par délibération du 10 février 1844, le conseil municipal affecta une partie du cimetière protestant à la construction du temple. La construction du monument posa des problèmes de financement car la commune était pauvre. Une souscription auprès des habitants fut faite et la commune leva un impôt extraordinaire, mais c'est l’État qui supporta l'essentiel du coût de la construction.

Les plans du temple furent dressés par l'architecte parisien Chavonet. L'adjudication des travaux eut lieu le 22 mai 1853 et fut emportée par Bergeron, entrepreneur à la Crèche. En octobre 1854, le temple était achevé. Il restait peu d'argent pour l'aménagement intérieur, aussi accepta-t-on la proposition du consistoire de Niort de céder à Chauray l'ancienne chaire à prêcher du temple de Niort.

Il fut consacré le 31 décembre 1854. En 1990, le culte ayant cessé d'être célébré depuis 20 ans, le temple a été restauré. En 1922, le conseil municipal accepta de prendre à sa charge les réparations de toiture, devenues urgentes. Depuis le début des années 1990, le temple accueille expositions et concerts. Le Temple, véritable puits de lumière, est le cœur de l'activité chauraisienne.

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Élections municipales du 23 mars 2014 modifier

Élections municipales du 15 mars 2020 modifier

La liste « Ensemble pour Chauray » conduite par Claude Boisson est élue dès le premier tour des élections municipales le 15 mars 2020, avec 58,61 % des voix[26].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
ca. 1977 mars 1983 Émilien Bouin    
mars 1983[27] mai 2020 Jacques Brossard UDF-CDS
puis UMP
Directeur de CFA retraité
Député de la 1re circonscription des Deux-Sèvres (1993 → 1997)
Conseiller général du canton de Niort-Nord (1994 → 2008)
4e vice-président de la CA du Niortais (2014 → 2020)
mai 2020 En cours Claude Boisson SE Officier de l'Ordre national du Mérite (France)
Retraité du service public de l'électricité
Colonel de la réserve opérationnelle
Vice-président de la CA du Niortais[N 1] (2020 → )

Vice-président du Syndicat d'Énergie des Deux-Sèvres (SIEDS)

Les services publics modifier

Le centre aquatique, centre multimédia, la médiathèque, l’école de musique, la salle omnisports, la salle des fêtes, le pôle administratif, le marché.

Politique environnementale modifier

Dans son palmarès 2023, le Conseil national de villes et villages fleuris de France a attribué deux fleurs à la commune[28].

Jumelage modifier

Population et société modifier

Démographie modifier

À partir du XXIe siècle, les recensements réels des communes de moins de 10 000 habitants ont lieu tous les cinq ans. Pour Chauray, cela correspond à 2004, 2009, 2014[30], etc. Les autres dates de « recensements » (2006, etc.) sont des estimations légales.

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
725753793776755793847884910
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
952942963906908955917921867
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
848852822743724763760744763
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2004 2006 2009
8309662 1003 2154 6614 8314 8494 9815 294
2014 2019 2021 - - - - - -
6 8287 0837 151------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Manifestations culturelles et festivités modifier

Sports modifier

Rugby modifier

Rugby à XV : Athlétique Rugby Club de Chauray créé en 1980 et ouvert à toutes les catégories d'âge à partir de 6 ans. L'association Tony Sabourin Talon d'Or a été créée en 2007 pour subvenir aux grands blessés du rugby et sensibiliser les jeunes aux risques de ce sport.

Basket-ball modifier

Basket-ball : Basket Club Chauray créé au début des années 80 et ouvert à toutes les catégories d'âge à partir de 5 ans. Avec près de 300 licenciés, le BC Chauray représentait en 2012 le plus gros club de Poitou-Charentes. Également en 2012, le club a reçu des mains de la FFBB le label « École Française de mini-basket ».

Depuis la saison 2019-2020, l'équipe fanion féminine évolue dans le Championnat de Nationale Féminine 3 (NF3) de la Fédération française de basket-ball et a compté dans ses rangs l'ancienne internationale Émilie Gomis.

Médias modifier

Presse locale modifier

Les deux quotidiens régionaux Le Courrier de l'Ouest et La Nouvelle République du Centre-Ouest ont chacun une édition deux-sévrienne avec des pages locales.

Télévision modifier

La chaîne locale publique France 3 Poitou-Charentes est recevable à Chauray via les sites TDF de la Brousse à Maisonnay.

Radios locales modifier

Les radios associatives (catégorie A) :

  • RCF Poitou sur 89.3 FM, il s'agit de la radio locale chrétienne basée à Poitiers. Elle adhère au réseau RCF ;
  • Radio D4B sur 101.4 FM. Cette radio associative provient de Melle mais possède un studio niortais avec l'aide de la CAMJI.

Les radios commerciales (catégorie B) :

Les radios nationales avec décrochages locaux (catégorie C) :

  • RTL2 Niort sur 87.6 FM. Elle commence à émettre en 1998 ;
  • NRJ Niort sur 100.4 FM. La station est arrivée à Niort en 1991. Aujourd'hui, elle propose des informations le matin toutes les demi-heures entre 6 h et 9 h et un programme local de 15 h à 19 h.

Les radios nationales sans décrochages locaux (catégorie D) :

Les radios généralistes (catégorie E) :

Les radios publiques entendues à Chauray :

- Ces 3 stations émettent depuis le site TDF de la Brousse à Maisonnay.

- Ces deux stations émettent depuis le site TDF de l'Usine des Eaux, rue du Vivier à Niort.

Économie modifier

Chauray est le deuxième pôle économique de la communauté d'agglomération de Niort après Niort. Chauray accueille un nombre important d’enseignes commerciales autour du Centre Commercial Niort Est, de sociétés de prestations de services, mais également des entreprises d’envergure nationale, comme MAAF Assurances et ses filiales (sièges sociaux), Floa Bank, Darva, Manutan, Camif dont la commune abrite toujours le siège social, Téléperformance ou encore Safran (Conception de cœurs électriques pour l'aéronautique). Réputée pour son cadre de vie et son dynamisme économique Chauray figure parmi les communes françaises les plus prisées.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Le temple, centre culturel de Chauray.
  • Le temple fut construit en 1854 sur l’emplacement du cimetière réservé aux protestants. En 1990, le culte ayant cessé d'y être célébré depuis 20 ans, le temple a été restauré pour y accueillir des expositions et des concerts tout au long de l'année ;
  • l'église Saint-Pierre date du XIIe siècle pour ses parties les plus anciennes : l’abside et la porte principale. Le reste de l’édifice est du XIXe siècle pour l'essentiel. L'édifice a été inscrit au titre des monuments historique en 1991[33].

Vendue comme bien national en 1793, l'église resta à l'abandon jusqu’à sa donation à la commune en 1843. Après les réparations indispensables, le culte y fut rétabli en 1846. L'aspect actuel de l'église résulte de travaux exécutés en 1882. Sa récente restauration, en 1992, ne l'a pas modifié fondamentalement. Toutefois, les ardoises du toit ont été remplacées par des tuiles plates et le dallage du sol a été rabaissé, proche de son niveau d'origine, pour laisser apparaître la base des colonnes de l'abside.

Entreprise du patrimoine vivant modifier

L'entreprise de maroquinerie Laurige Duron, de Chauray, s'est vu décerner le label Entreprise du Patrimoine Vivant[34] et a notamment fourni les mallettes des députés de l'Assemblée nationale (France) et les sous-main de la Maison Blanche.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blasonnement :
D'argent à trois étoiles de gueules au vol de sable posé en abime[35].

Les armoiries de la commune sont celles de Jacques Chalmot seigneur des Deffends, qui, ayant embrassé la religion réformée, dut émigrer en Allemagne.

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

"Se souvenir de Chauray" de Michel Grimault et Guy Trouvé aux éditions "Geste Editions".

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé, en , celle d'aire urbaine afin de permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
    • au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
    • au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
    • au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
  4. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[24].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  1. Chargé des bâtiments, des moyens généraux et de la commande publique.

Références modifier

  1. « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Orthodromie entre Chauray et Niort », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Niort » (commune de Niort) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Niort » (commune de Niort) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune urbaine - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Niort », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Niort », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Institut national de la statistique et des études économiques, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a b et c « Les risques près de chez moi - commune de Chauray », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
  20. « PPRI Vallée de la Sèvre Niortaise amont », sur le site de la préfecture des Deux-Sèvres (consulté le ).
  21. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  22. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  23. « Sols argileux, sécheresse et construction », sur ecologie.gouv.fr (consulté le ).
  24. Article R214-112 du code de l’environnement
  25. « Dossier départemental des risques majeurs des Deux-Sèvres », sur deux-sevres.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
  26. « DEUX SEVRES (79) - Chauray », sur le site du ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  27. Site de la préfecture, consulté le 31 août 2008
  28. Les communes labellisées, Site des villes et villages fleuris, consulté le .
  29. a b et c «Historique de l'association Chauray-jumelage» Site web de l'association Chauray-jumelage, consulté le 19 mars 2018.
  30. « Calendrier de recensement », sur Insee (consulté le ).
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. « Eglise Saint-Pierre », sur pop.culture.gouv.fr (consulté le ).
  34. « Laurige Duron »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur patrimoine-vivant.com.
  35. Armoiries de Chauray