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Barbara Moreau modifier

Barbara Moreau
Naissance
Auxerre,   France
Auteur
Langue d’écriture français
Genres

Barbara Moreau, née à Auxerre en 1965, est une écrivain et conteuse française.

Biographie modifier

Professeur de lettres dans l'Yonne (Auxerre et Saint-Georges-sur-Baulche), Barbara Moreau est atteinte en 2005 d'une maladie rare : un syndrome cérébelleux non étiqueté. Son congé pour longue maladie est alors l'occasion de se consacrer à l'écriture. En 2007, elle publie son premier livre autobiographique. Dans « Prière à Pépé », elle plonge au cœur de ses souvenirs d'enfance et redécouvre son grand-père, métayer à Couloutre dans la Nièvre, un vieux paysan au tempérament difficile mais attachant.

En 2007, elle crée à Auxerre l'association Kikébab, pour la promotion de la lecture, de l'écriture et de la parole.

Elle publie en 2009 son second livre autobiographique : « C'est moi Gadine », d'après le surnom que lui donnait son grand-père.

Depuis 2007, elle met en scène et interprète un spectacle tiré de ses livres, qu'elle présente dans l'Yonne et la Nièvre.

Œuvres modifier

  • Prière à Pépé, 2007, Éditions Kikébab
  • Ne pas se laisser faire, 2008, Éditions Kikébab
  • C'est moi Gadine, 2009, Éditions Kikébab
  • Voix de traverse, 2010, co-production Association des paralysés de France et Kikébab
  • Je pars et je vous emmène, 2010, chroniques d'une conteuse de mémoire

Liens externes modifier


Catégorie:Femme de lettres française Catégorie:Conteur français Catégorie:Naissance à Auxerre Catégorie:Naissance en 1965

 
 
Localisation de Vannes

Abbaye de Pontigny modifier

Historique modifier

L'abbaye est fondée en 1114 par Hugues de Mâcon, l'un des compagnons qui ont suivi Bernard de Clairvaux à Cîteaux. Elle reçoit dès sa création la protection de Thibaud IV, comte de Champagne et du roi Louis VII. Établie sur la rive gauche du Serein, elle est située dans le diocèse d'Auxerre. (Gallia p 458-459)

C'est la seconde fille de Cîteaux, après la fondation de l'abbaye de La Ferté en 1113.

En 1137, Hugues de Mâcon, fondateur et premier abbé, est choisi par les chanoines et le clergé pour devenir évêque d'Auxerre. En 1151, il meurt à Pontigny et est inhumé dans la chapelle de l'abbaye. (Gallia p287-290)

Rapidement, l'abbaye se développe et la communauté des moines et convers prend de l'ampleur. En 1140 débute la construction d'une église et de bâtiments pouvant accueillir plusieurs centaines de religieux. En moins d'un demi-siècle, Pontigny essaime en France et en Italie, créant 34 abbayes-filles (dont l'abbaye de Quincy dans l'Yonne).(route p18-23)

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Vocabulaire d'architecture modifier

Aide-mémoire modifier

Discussion Projet:Communes de France

Citation avec note :

« La Reine Mère et son petit fils Thierry s' y rendaient depuis Epoisses. C'est peut-être de ce séjour que ce lieu aura changé son nom celtique en celui de Mons Regalis.[1]  »

« Mon texte de citation. »

— Source

« La Reine Mère et son petit fils Thierry s' y rendaient depuis Epoisses. C'est peut-être de ce séjour que ce lieu aura changé son nom celtique en celui de Mons Regalis. »

— Claude Courtépée [1]

 
Plan de Noyers par Ernest Petit
 
Plan du château par Ernest Petit


 
La Cent-Fonts canalisée au-dessus du pont des Arvaux
 
Le pont aqueduc des Arvaux côté amont à la Varaude
 
Le pont aqueduc des Arvaux côté aval à la Varaude
 
Une arche du pont aqueduc des Arvaux où coule la Varaude
 
Débouché de la Cent-fonts à l'abbaye de Cîteaux

Jumelage et coopération modifier


La ville de Royan est jumelée avec plusieurs villes :

Mise en page modifier

Monuments neuchâtelois
Bâtiments remarquables Statues et fontaines[2]
  • La Collégiale de Neuchâtel est construite au XIIe siècle et dédicacée en 1276. Elle est le témoin du passage à la Réforme en 1530. Elle abrite le tombeau des comtes de Neuchâtel, monument polychrome de la fin du Moyen Âge constitué de 15 statues grandeur nature représentant les comtes et leurs épouses.
  • Le Château de Neuchâtel abrite aujourd'hui le Conseil d'État (gouvernement du canton).
  • La Tour des prisons est construite sur des bases d'avant l'an mil. Elle est modifiée à plusieurs reprises, servant momentanément de porte ouest de la ville avant l'ouverture de la route de l'Évole.
  • L'Hôtel de Ville 1790 (2, rue de l'Hôtel de Ville) est construit sur l'emplacement de l'ancien hôpital et de la porte de l'Hôpital.
  • Le bâtiments des services industriels (2, Faubourg de l'Hôpital) a été construit comme hôpital en 1783, sa fonction jusqu'à la construction de l'hôpital des Cadolles 1915.
  • Le collège latin (3, place Numa-Droz) est construit sur un ancien banc de sable formé par les alluvions du Seyon en 1835. Il abrite dès son ouverture la bibliothèque publique (première bibliothèque publique de Suisse) et des classes (aujourd'hui une partie du Lycée Jean Piaget). Il abrite également le musée d'histoire naturelle de 1840 à 1983.
  • Le Temple du Bas ou Temple Neuf, sur plans de Joseph Humbert-Droz, dédicacé en 1696.
  • La chapelle de la Maladière, construite en 1828 sur plans de Frédéric de Morel.
  • Basilique Notre-Dame de l'Assomption (Eglise Rouge), style néo-gothique, consacré en 1906, élevé au titre de Basilique mineure par le pape Benoît XVI et célébré par Mgr Bernard Genoud le 29 juin 2008. Lieu de célébration catholique principal du canton.
  • On relève plusieurs hôtels privés et autres grandes demeures d'une richesse étonnante pour une ville de la taille de Neuchâtel. Sont en particulier remarquables la Grande Rochette (14, rue de la Gare), la Petite Rochette (17, rue de la Gare), les hôtels du Peyrou (3, avenue Jean-Jacques Rousseau), de Pourtalès (8, faubourg de l'Hôpital) et l'ancien hôtel de Pury (4, Chemin du Petit Pontarlier, maintenant siège du musée d'éthnographie).
  • Statue de David de Pury sur la place homonyme
  • Statue de la République construite le 1er mars 1898
  • Statues de André Ramseyer, artiste abstrait neuchâtelois, une devant le bâtiment de l'Institut de physique de l'université, une devant le CSEM
  • Statue de Victor Vasarely sur la Place du Mont-Blanc
  • La fontaine de la Justice 1547 au croisement de la Grand Rue et de la rue de l'Hôpital
  • La fontaine du Griffon à la rue du Pommier 1664
  • La fontaine du Lion devant le Temple-du-Bas 1664
  • La fontaine de la rue du Château au-dessous de l'esplanade de la Collégiale 1784
  • La fontaine du Banneret 1584 au pied de la rue homonyme
  • La fontaine de la rue des Moulins 1584
  • La fontaine du Neuburg 1608
  • La fontaine de l'Hôpital entre l'Hôtel de Ville et le bâtiment communal 1790
  • Le puits des Halles est ouvert en 1681. Il est fermé en 1875 et devient fontaine. Elle sera déplacée à plusieurs reprises sur la place des Halles.
Dates importantes
  • 1815 signature du pacte fédéral
  • 1848 révolution neuchâteloise

Le ciment de Vassy modifier

Le ciment de Vassy est un ciment naturel obtenu par chauffage et broyage du calcaire extrait à Vassy-les-Avallon et dans l'Avallonnais. Honoré Gariel met au point ce procédé en 1830 et fonde la première cimenterie à Vassy.

Dans la seconde moitié du XIXe siècle, le ciment de Vassy connait un réel succès, dans l'Avallonnais d'abord, puis rapidement à Paris et dans la France entière. Connu pour sa résistance, sa vitesse de prise, son emploi sous l'eau, il est largement utilisé lors des grands travaux de Paris.

Les cimenteries se multiplient alors au nord-est d'Avallon. En 1904, elles forment un cartel – la Société Anonyme des Ciments de Vassy basée à Paris - afin de commercialiser le ciment sous une seule marque.

Mais le XXe siècle marque leur déclin : concurrencées par le ciment moderne, ou ciment Portland, elles ferment l'une après l'autre entre les deux guerres. La dernière usine de la région disparait en 1960.

Un pionnier modifier

Honoré Gariel, né en 1802, notaire à Avallon, est également géologue amateur. En 1830, il s'intéresse à des fouilles effectuées par une société à Vassy. Un puits avait été creusé à la recherche de schistes mais les recherches avaient été abandonnées quand il s'était effondré, provoquant la mort de plusieurs ouvriers. Honoré Gariel recueille des échantillons de roches et les porte à haute température afin de connaître leur teneur en schiste. Quelques jours plus tard, il retrouve les pierres réduites en poudre. L'idée lui vient alors de mélanger cette poudre à de l'eau, et de la gâcher comme de la chaux. Il obtient un mortier qui prend en quelques minutes et dont les qualités sont remarquables. Il renouvelle l'expérience et constate que le ciment obtenu prend aussi bien sous l'eau qu'à l'air. Le ciment de Vassy est né.

 
Appareil employé pour le broyage du ciment de Vassy (dessin de Victor Petit)

Gariel se lance dans l'aventure : il vend sa charge notariale et s'installe à Vassy. Une carrière de pierre à ciment est ouverte et la cuisson du calcaire confiée à un plâtrier du village. Elle s'effectue dans un four en terre, puis la pierre est broyée à l'aide d'une demi-meule animée par un balancier. Le ciment obtenu est tamisé à la main et mis en sac de 50 litres. Avec de telles méthodes, le rendement est faible et le prix de revient élevé.

L'entreprise modifier

Désireux d'installer une véritable usine, Gariel se met à la recherche de renforts humains et de capitaux. En 1832, il s'associe à son frère Hippolyte Gariel et à François Garnier, fonctionnaire de la sous-préfecture d'Avallon et originaire de Marmeaux. L'entreprise prend son essor : deux fours sont construits près de la carrière. On installe plusieurs broyeurs actionnés par des chevaux, semblables à ceux utilisés à l'époque pour la fabrication de l'huile.

Dès l'année suivante, les bâtiments sont insuffisants et l'on bâtit la grande voute, si caractéristique. On augmente le nombre des broyeurs et celui des fours. C'est le début de la prospérité.

Cette réussite si rapide repose sur plusieurs facteurs. Le ciment prompt - ou ciment romain - a été découvert par un anglais à la fin du XVIIIe siècle et il s'est imposé partout en Europe. En 1824, c'est un autre britannique qui dépose le brevet du ciment Portland. La France s'active alors pour échapper à la domination britannique. Le ciment de Vassy arrive donc à point nommé. D'autant qu'il est doté de grandes qualités, qu'Ernest Gariel s'attache à mettre en valeur avec l'aide d'ingénieurs désireux de faire progresser les techniques de construction.

C'est sous la direction de M. Belgrand, jeune ingénieur des Ponts et Chaussées à Avallon, que les premiers travaux importants en ciment de Vassy sont réalisés en Avallonnais, tels la réfection du pont de Pontaubert, les ponts de Saint-Père, de Blannay, de Pierre-Perthuis, le viaduc de Chastellux-sur-Cure, l'aqueduc d'Avallon.

J. Prévost, « Une industrie de l'Avallonnais : le ciment de Vassy », Bulletin de la Société d'Études d'Avallon,‎

Catégorie:Ciment

Fortifications d'Avallon modifier

 
Avallon en 1610

La petite ville d'Avallon (Yonne, Bourgogne) est située sur un promontoire dominant la vallée du Cousin, avec un dénivelé de presque 100 mètres. Deux petits cours d'eau, affluents du Cousin, ont entaillé profondément le plateau, jusqu'à présenter une configuration en éperon barré.

Ce site naturellement protégé a connu une implantation humaine ancienne. Il a été occupé par un oppidum gaulois, puis par une importante ville gallo-romaine. Au cours de son histoire mouvementée, Avallon s'est protégé en complétant ses défenses naturelles par des fortifications.

Historique modifier

Des premières enceintes qui ont très probablement existé - gauloise, gallo-romaine et haut Moyen-âge, il ne reste rien. Mais on connait mieux les périodes de construction ultérieures :

  • XIe siècle
  • début du XIVe siècle
  • fin du XVIe siècle

Au cours du XVII° siècle, le royaume de France est en paix et la ville cesse d'entretenir les fortifications et tours, qu'elle loue à des particuliers. Au XVIII° siècle, Avallon est à l'étroit dans son enceinte et les trois portes principales sont détruites afin de permettre l'extension de la ville.

Depuis 1926, les vestiges des anciennes fortifications sont inscrits aux monuments historiques[3]. Aujourd'hui, Avallon bénéficie de sa situation de "porte du Morvan" et du cadre préservé de sa vieille ville, avec ses rues étroites et ses maisons anciennes. Les remparts, tours et bastions contribuent également au charme d'Avallon et renforcent ses attraits sur le plan touristique.


Les murs furent presque entièrement reconstruits de 1460 à 1470. Le but a été de solidifier des fortifications appuyées sur des bancs de roche. Les tours sont massives et de forme semi-circulaire : la partie creuse servant de corps de garde. La tour la mieux conservée est celle dénommée de l’Escharguet, au bout de la rue de la Vachère.

En 1590, on ajouta des angles saillants aux anciennes fortifications et l’on installa une petite guérite au sommet, en encorbellement.

Les vieilles portes " aussi obscures que massives(…)" ont été abattues par les magistrats pour "rendre la ville plus commode et plus agréable(…)" : telle était l’opinion de Courtépée vers 1777. La plus importante était construite vers l’entrée de la Grande-Rue ; la route de Dijon y aboutissait et elle était nommée la Bastille. L’autre porte, dite Porte-Auxerroise donnait sur le grand chemin d’Auxerre ;

La Porte-Neuve s’ouvrait du côté de l’ouest.

La Petite-Porte se trouve au bout de la rue Bocquillot : c’était la direction de Lormes et du Nivernais. De là on domine de plus de cent mètres l’étroite vallée creusée par le Cousin

Description modifier

Montréal (Yonne) modifier

Histoire modifier

Patrimoine religieux modifier

  • Prieuré Saint-Bernard

Le château de Monthelon modifier

Divers modifier


 
grand-père P
 
grand-mère P
 
 
grand-père M
 
grand-mère M
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
père
 
 
 
 
 
 
mère
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
 
moi

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Victor Petit modifier

Victor PETIT (1818-1871)

Historien, archéologue et dessinateur français http://albums.avallon.net/glrs/a01/04VPLithos/planche05.html

YONNE (VILLAGES DE)

Auteur : VICTOR PETIT

Editions : réimpression de l'ouvrage paru en 1850

Les amateurs d'histoire locale du département de l'Yonne connaissent bien Victor Petit. Dessinateur et lithographe estimé, il a laissé de nombreuses notices historiques et pittoresques sur les communes de la région. Cet ouvrage est une synthèse, un « coup d'oeil » sur l'ensemble du département. Victor Petit décrit les différentes régions qui le composent : grandes vallées de l'Yonne et de l'Armançon, sans oublier celles de la Cure, du Cousin, de l'Ouanne, du Loing et de la Vanne, vastes terrains de la partie champenoise du département, contrées boisées de l'Avallonnais et du Morvan, etc. Nous redécouvrons la physionomie des villages, les moeurs et caractères des habitants, les traditions oubliées, les coutumes et les pratiques effacées par le temps. Chemin faisant, l'auteur nous livre une foule d'anecdotes qui rendent son récit extrêmement vivant. Il fait revivre les détails de la vie familiale au XIXe siècle, et révèle de nombreux souvenirs attachés aux divers lieux : par exemple, le cellier de Vincelottes qui demeurait l'une des plus curieuses constructions de la région, ou encore la consommation de la châtaigne qui remplaçait celle du pain dans le Morvan et la contrée de Pourrain. Un passionnant ouvrage où l'on retrouve les détails de la vie des villages autrefois, et qui ne peut que réjouir tous les amateurs d'histoire locale.


AUXERRE (Les Environs d') Vol.I AUXERRE (Les Environs d') Vol.II SENS (Les Environs de) TOUCY et ses environs


Sources modifier

  • Jacques Ier Androuet du Cerceau : http://architectura.cesr.univ-tours.fr/Traite/Notice/ENSBA_LES1594_1595.asp?param=
  • Maurice Pignard-Péguet, Histoire des communes de l'Yonne, Paris, (réimpr. Les Éditions de la Tour Gile, 1998) (ISBN 2-87802-376-9[à vérifier : ISBN invalide])
  • Maurice Pignard-Péguet, Histoire de l'Yonne, Paris,
  • Ernest Petit, « Collégiale de Mont-réal », Annuaire historique du département de l'Yonne,‎ année 1861 (lire en ligne)
  • Daniel Delattre, L'Yonne, les 454 communes, Editions Delattre,
  • Victor Petit, Description des villes et campagnes du département de l'Yonne, (réimpr. librairie Voillot, Avallon, 2001)
  • A. Heurley, Avallon Ancien et Moderne, (réimpr. librairie Voillot, Avallon, 1989)
  • Claude Courtépée et Edmé Béguillet, Description générale et particulière du duché de Bourgogne, Volume VI, Dijon, (lire en ligne)
  • Ernest Petit, « Seigneurie de Montréal-en-Auxois », Bulletin de la Société des sciences historiques et naturelles de l'Yonne,‎ année 1865, 19ème volume (lire en ligne)
  • Maximilien Quantin, Histoire de l'Yonne - Répertoire archéologique, (réimpr. Res Universis, Paris, 1991)
  • Ernest Petit, Avallon et l'Avallonnais - étude historique, (réimpr. librairie Voillot, Avallon, 1991)
  • [4]
  • Le Guide des châteaux de France : YONNE, Hermé (ISBN 2-86665-028-X)
  • [4]
  • Maximilien Quantin, Dictionnaire topographique du département de l'Yonne, 1862
  • Inventaire général du patrimoine culturel (1973) - Base de données Mérimée
  • Annuaire historique du département de l'Yonne

classement =Monument historique
(1925)[5]

Bibliographie modifier

Ouvrages utilisés pour la rédaction de l'article modifier

Autres ouvrages sur le sujet modifier

Utilisateur:Leag/Navigation popups

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Notes et références modifier

  1. a et b Claude Courtépée, Edme Béguillet, Description générale et particulière du duché de Bourgogne, Tome V, Dijon, (lire en ligne)
  2. Voir les images dans la galerie sur Wikipedia Commons http://commons.wikimedia.org/wiki/Neuchâtel
  3. Inventaire général du patrimoine culturel - ref PA00113613 - Base de données Mérimée
  4. a et b Victor Petit, Description des villes et campagnes du département de l'Yonne, (réimpr. librairie Voillot, Avallon, 2001)
  5. Notice no PA00113641, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture, consulté le 30 juillet 2009