Université du Québec à Montréal
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Cet article possède un paronyme ; voir : Université de Montréal. |
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Université publique
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Recteur |
Magda Fusaro (d)
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Campus |
Urbain
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Étudiants |
43 703 (2014)
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Prenez position
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L’Université du Québec à Montréal (UQAM[2]) est un établissement d'enseignement universitaire situé à Montréal, au Canada. Elle est affiliée à l'Université du Québec. En 2015, selon les classements du QS World University Rankings et du Times Higher Education, l'UQAM figure parmi les 100 meilleures universités au monde ayant été créées ces 50 dernières années[3],[4]. Elle s’est vu décerner à neuf reprises au cours des onze dernières années le prix le plus prestigieux de la simulation des Nations unies à New York (NMUN), soit le «Outstanding Delegation Award»[5].
L'université accueillait à l'automne 2015 quelque 43 314 étudiants dont 3 599 étudiants étrangers provenant de 90 pays[6]
L'UQAM gère plus de 714 ententes avec plus de 417 partenaires (Sciences Po Paris, University College London...), dans 63 pays et dans une centaine de domaines.
Sommaire
HistoireModifier
Elle a été créée le par le gouvernement du Québec, à la suite de la fusion de l'École des beaux-arts de Montréal, du collège Sainte-Marie et de trois écoles normales[7].
Au milieu des années 1970, la construction du campus de l'Université du Québec à Montréal se confirme dans le quartier Saint-Jacques. La vieille église Saint-Jacques de Montréal est condamnée et les fidèles sont déplacés vers la chapelle Notre-Dame-de-Lourdes de Montréal. L'architecte de l'université, Dimitri Dimakopoulos, choisit de respecter les plans de John Ostell et de Victor Bourgeau en décidant de greffer la nouvelle construction autour du mur de la nef de l'église donnant sur la rue Sainte-Catherine et en mettant en relief le clocher et son portail. Ces vestiges sont classés monuments historiques par le gouvernement du Québec. Le nouveau campus de l'UQAM est inauguré en septembre 1979.
ActivitésModifier
L'Université du Québec à Montréal est située au centre-ville de Montréal : le campus central est près de la station de métro Berri-UQAM (quartier auquel elle donne le nom de Quartier Latin), alors que le Complexe des sciences Pierre-Dansereau est près de la station Place-des-Arts (où la construction d'un nouveau pavillon a débuté en 2004).
L'Université offre de la formation sur son campus montréalais ainsi que dans ses quatre campus en région métropolitaine : Campus de Lanaudière, Campus de Laval, Campus de Longueuil et Campus de l'Ouest-de-l'île.
L’environnement de l'UQAM propose un milieu de vie citadin.
L'aménagement des bâtiments est tel qu'il permet la coexistence d'une piste cyclable et de plusieurs stations de vélo bixi près de tous les pavillons[8]. Une exposition virtuelle[9] permet de découvrir l'université sur trois volets.
Facultés, départements, écoles et institutsModifier
En 2017, l'UQAM compte six facultés et une école, lesquelles sont subdivisées en 40 départements, écoles et instituts[10],[11]:
Faculté des artsModifier
- Département de danse
- Département d'études littéraires
- Département d'histoire de l'art
- Département de musique
- École des arts visuels et médiatiques
- École de design
- École supérieure de théâtre
- Institut du patrimoine
Faculté de communicationModifier
- Département de communication sociale et publique
- École de langues
- École des médias
Faculté de science politique et droitModifier
- Département de science politique
- Département des sciences juridiques
- Institut d'études internationales de Montréal
Faculté des sciencesModifier
- Département de chimie
- Département d'informatique
- Département de mathématiques
- Département des sciences biologiques
- Département des sciences de l'activité physique
- Département des sciences de la Terre et de l'atmosphère
- Institut des sciences de l'environnement (ISE)
Faculté des sciences de l'éducationModifier
- Département de didactique
- Département de didactique des langues
- Département d'éducation et formation spécialisées
- Département d'éducation et pédagogie
École des sciences de la gestion (ESG)Modifier
- Département d'études urbaines et touristiques
- Département de finance
- Département de management et technologie
- Département de marketing
- Département d'organisation et ressources humaines
- Département de sciences comptables
- Département des sciences économiques
- Département de stratégie, responsabilité sociale et environnementale
- École de mode
Faculté des sciences humainesModifier
- Département de géographie
- Département d'histoire
- Département de linguistique
- Département de philosophie
- Département de psychologie
- Département de sciences des religions
- Département de sexologie
- Département de sociologie
- École de travail social
- Institut de recherches et d'études féministes (IREF)
- Institut Santé et société (ISS)
- Institut des sciences cognitives
Exemples de centres de recherches associés à l'universitéModifier
Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiquesModifier
La Chaire Raoul-Dandurand de l'Université du Québec à Montréal (UQAM), est une des chaires en études stratégiques et diplomatiques les plus prestigieuses au Canada. Fondée en 1996 par le professeur Charles-Philippe David[12], elle a une mission d'analyse, de formation et de diffusion auprès des étudiants, des chercheurs, des médias, des décideurs politiques et économiques ainsi qu'auprès du public. Dirigée depuis juillet 2016 par le professeur Frédérick Gagnon[13], elle rassemble une trentaine de chercheurs en résidence, environ 70 chercheurs et membres associés et une trentaine de membres externes[14]. Elle est constituée de quatre observatoires[15]:
L’observatoire sur les États-Unis (OSEU) est coprésidé par Ginette Chenard, ex déléguée du Québec à Atlanta et Charles-Philippe David, diplômé de Princeton et professeur titulaire au Département de science politique de l'UQAM. Il est dirigé par Frédérick Gagnon, titulaire de la Chaire Raould-Dandurand et professeur au Département de science politique de l'UQAM. Cet observatoire analyse, depuis 2002, les débats de société aux États-Unis et la politique étrangère américaine. Il rassemble les experts de la recherche canadienne sur les États-Unis et un réseau international d'américanistes provenant de diverses disciplines.
L’observatoire de géopolitique (OG) est présidé par Yann Roche, professeur titulaire au Département de géographie de l'UQAM et dirigé par Elisabeth Vallet, directrice scientifique de la Chaire Raoul-Dandurand et professeure associée au Département de géographie de l'UQAM. Fruit d'un partenariat entre la Chaire Raoul-Dandurand et le Département de géographie de l'UQAM depuis 2006, cet Observatoire s'intéresse aux enjeux géopolitiques internes et externes des États et des grands ensembles géopolitiques, aux frontières et murs frontaliers[16], aux migrations, aux questions de cyberguerre, de drones et de robotisation de la guerre.
L’observatoire sur le Moyen-Orient et l'Afrique du Nord (OMAN) est présidé par Jean-François Lépine, journaliste québécois et depuis 2015, « Représentant du Québec en Chine »[17], et dirigé par Sami Aoun, professeur à l'École de politique appliquée de l'Université de Sherbrooke. L'observatoire développe, depuis 2008, ses recherches autour de deux grands axes, soit la violence et la mondialisation. Ses travaux ont pour objectif de nourrir les débats théoriques autour de ces thèmes, tout en produisant des connaissances concrètes sur la région.
Le Centre FrancoPaix en résolution des conflits et missions de paix est présidé par Michel Duval, ancien ambassadeur canadien à l'ONU de 1997 à 2002 et dirigé par Bruno Charbonneau, professeur agrégé au département de science politique de l'Université Laurentienne. Dans le cadre des efforts et des objectifs stratégiques de l’Organisation internationale de la Francophonie (OIF) en matière de prévention et gestion des conflits, le Centre FrancoPaix s'intéresse, depuis 2016, à la prévention des conflits, aux missions de paix et aux opérations humanitaires[18]. Suivant une approche multidisciplinaire, ses travaux ont notamment pour objectif de faire le lien entre la recherche et la pratique sur le terrain. Chaque printemps, le Centre FrancoPaix organise également des écoles d'été sur les missions de paix, les opérations humanitaires et la consolidation de la paix.
La Chaire Raoul-Dandurand et ses observatoires travaillent collectivement sur des thèmes transversaux comme la sécurité, le terrorisme et les conflits armés.
Centre de recherche et d’intervention sur le suicide et l’euthanasieModifier
Le Centre de recherche et d’intervention sur le suicide et l’euthanasie (CRISE) est un organisme pluridisciplinaire voué à l’étude des questions relatives au suicide et à l’euthanasie. Il est rattaché à la Faculté des sciences humaines de l’UQAM.
Fondé en 1997, le CRISE est l’initiative de professeurs et d'étudiants au doctorat en psychologie communautaire à l’UQAM désireux de mettre au point une approche écologique et interdisciplinaire des problèmes liés au suicide et à l’euthanasie. Le but visé est de profiter de l’expertise de chercheurs issus d’institutions et d’associations diverses, dont l’Association québécoise de prévention du suicide, pour mieux comprendre la problématique du suicide et de sa prévention. Auparavant, les spécialistes du domaine ne disposaient d’aucune plateforme d’échange et demeuraient isolés[19].
Le CRISE poursuit quatre objectifs ayant comme finalité la diminution du nombre de suicides et des comportements suicidaires. À savoir :
- développer la recherche sur le suicide et l’euthanasie ;
- améliorer le transfert et l’application des connaissances sur le sujet ;
- soutenir le développement de l’expertise en recherche ;
- accroître le partenariat entre les chercheurs, les milieux de pratique et les gestionnaires pour favoriser l’avancement des connaissances[20].
La direction du CRISE se compose d’un directeur général, d’un directeur adjoint, d’un coordonnateur de recherche, d’un bibliothécaire de recherche, d’un secrétaire et d’un agent de communication. L’ensemble des membres se rencontre quatre fois par semestre pour faire connaître les résultats de recherche, discuter de problèmes variés et planifier des projets. Un comité de direction constitué de professionnels, de chercheurs et d’étudiants assiste le directeur général dans ses fonctions[21].
Le CRISE regroupe une soixantaine de professeurs, chercheurs, étudiants et intervenants provenant d’universités, d’hôpitaux, de centres de recherche, de centres de santé et de services sociaux (CSSS) ainsi que de l’Institut national de santé publique du Québec. De nombreux organismes sont des partenaires du CRISE, notamment l’Association des centres jeunesse du Québec, l’Association québécoise de prévention du suicide, l’Association québécoise de schizophrénie, les centres de prévention du suicide (CPS) et quelques centres locaux de services communautaires (CLSC)[22].
Depuis sa création, le CRISE accueille des stagiaires postdoctoraux grâce à des subventions octroyées par les Instituts de recherche en santé du Canada (IRSC) et par le Fonds de recherche en santé du Québec (FRSQ). Les stages visent à développer des habiletés en recherche de pointe chez des chercheurs spécialisés dans des disciplines différentes : psychiatrie, psychologie, anthropologie, épidémiologie, santé publique, neurosciences et disciplines connexes[23]. Le Centre offre aussi des instituts d’été pour mettre à jour les connaissances et trouver de nouvelles méthodes de recherche[24].
Le CRISE dispose d’un centre de documentation répertoriant plus de 30 000 documents : revues savantes, monographies, actes de congrès, rapports, manuscrits, statistiques, mémoires, thèses, programmes de prévention et ressources audiovisuelles[25].
Le CRISE sera l'hôte du 28e congrès mondial de l'Association internationale pour la prévention du suicide (IASP), qui aura lieu à Montréal du 16 au 20 juin 2015[26].
Identité visuelleModifier
Le logotype de l'Université du Québec à Montréal a été créé en 1997 par le designer Frédéric Metz, professeur associé au département de Design graphique de l'École de design de l'UQAM.
Lors du dévoilement de l'identité visuelle de l'université, un tollé est soulevé quant à l'utilisation de l'accent grave (À) dans le logotype. En effet, un acronyme (qu'il soit en majuscules ou en minuscules) ne doit pas contenir de caractères accentués[27].
Enfin, les normes graphiques de l'UQAM[28] stipulent clairement que son logotype contient un À mais que son acronyme ne devrait jamais inclure d'accent. Le À est donc uniquement considéré comme un dessin stylisé.
Campus et pavillonsModifier
Le campus principal de l'UQAM est composé des pavillons suivants[29]
- Hubert-Aquin
- Hubert-Aquin Annexe
- Saint-Denis
- Berri
- Maisonneuve
- Centre sportif de l'UQAM
- Athanase-David
- Du Faubourg
- Design
- Mode
- J.-A.-DeSève
- Design, Annexe
- Musique
- Judith-Jasmin
- Judith-Jasmin Annexe
- Danse
- 1001 de Maisonneuve Est
- Paul-Gérin-Lajoie
- Centre Pierre-Péladeau
- Sciences de la gestion
- Résidences universitaires
- Sainte-Catherine Est
- Hôtel-de-ville
- Thérèse-Casgrain
Complexe des Sciences (métro Place-des-Arts)
- Chimie et biochimie
- Cœur des sciences
- Bibliothèque des sciences
- Président-Kennedy
- Résidences universitaires Saint-Urbain
- Sciences biologiques
- Sherbrooke
- Adrien-Pinard
Et des pavillons situés à proximité :
- Centre des sciences de Montréal
- 1001 Sherbrooke Est
BibliothèquesModifier
Douze bibliothèques sont au service des étudiants :
- Audiovidéothèque
- Bibliothèque centrale
- Bibliothèque des arts
- Bibliothèque de musique
- Bibliothèque des sciences
- Bibliothèque des sciences de l'éducation
- Bibliothèque des sciences juridiques
- Cartothèque
- Centre des collections spécialisées
- Didacthèque
- Livres rares
- Publications gouvernementales et internationales
Il est à noter que depuis le 6 septembre 2015, l'UQAM ne donne plus l'accès à ses bibliothèques le dimanche. Cette fermeture serait causée par des compressions budgétaires. La direction du service des bibliothèques affirme que c'était le choix le moins dommageable pour les étudiants et étudiantes ainsi que pour l'ensemble de la communauté, ce que réclamait d'ailleurs le ministre de l'Éducation, de l'Enseignement supérieur et de la recherche (MEESR), François Blais[30] .
Personnalités liéesModifier
Anciens étudiantsModifier
- Nelly Arcan, B.A. et M.A. Études littéraires 2003. Écrivaine
- David Altmejd, B.A. Arts visuels 1998. artiste contemporain
- François Avard, B.Ed. Enseignement du français, langue première 91 et certificat en création littéraire 96, auteur et scénariste
- Marie-France Bazzo, B.A. 82 et M.A. 1986, sociologie, ancienne animatrice d'Indicatif Présent, animatrice de bazzo.tv
- Maxime Bernier, B.A. administration 1985, ancien ministre canadien des Affaires étrangères du Canada
- Sylvie Bernier B.A.A. 2003 (TÉLUQ)
- Sylvain Charlebois, M.B.A. 2002, Doyen et chercheur, Université Dalhousie, chroniqueur La Presse
- Pierre-Luc Brillant, B.A. Philosophie 2000. Acteur
- Joseph Facal, B.A. Science politique 1983, ancien député de Fabre
- Nicolas Gill, Certificat en administration (TÉLUQ), médaillé olympique de judo
- Émilie Heymans, Étudiante en design et gestion de la mode, médaillée olympique de plongeon
- Daniel Langlois, B.A. design graphique 1979, homme d'affaires et mécène
- Guy A. Lepage, B.A. communication 1983, animateur et producteur
- Jean-François Lépine, M.A. science politique 1979, journaliste à Radio-Canada ;
- Sylvie Moreau, B.A. art dramatique 1989, comédienne
- Pierre Karl Péladeau, B.A. philosophie 1982, PDG de Québecor
- Luc Picard, B.A.A. 1984, acteur, réalisateur et producteur
- Patrick Pichette, B.A. administration 1987. Premier vice-président et directeur financier de Google
- Danny Plourde, B.A. et M.A. Études littéraires, 2008, poète, romancier
- Léa Pool, B.A. communication 1978, cinéaste
- Sébastien Proulx, B.A. droit 1998. Ministre de l'Éducation, du Loisir et du Sport du Québec
- Réal Raymond, M.B.A. 1986, ancien PDG de la Banque nationale du Canada
- Caroline St-Hilaire, B.A. administration 1992, Députée de Longueuil-Pierre-Boucher, Chambre des Communes, Ottawa et actuelle mairesse de Longueuil
- Julien Vallée, B.A. design graphique[Quand ?], designer graphique et directeur artistique
- Michel Venne, B.A. communication 1989, journaliste et éditorialiste pour le journal Le Devoir et fondateur de l'Institut du Nouveau Monde
- Denis Villeneuve, B.A. communication, 1992, scénariste et réalisateur
- Laure Waridel, Certificat en communication 1997, cofondatrice et présidente d'Équiterre
ProfesseursModifier
- Yvan Allaire, professeur émérite de stratégie et ancien président du Global Council on The Role of Business du Forum économique mondial ;
- Normand Baillargeon, professeur en sciences de l'éducation, militant libertaire et collaborateur de revues alternatives ;
- Éric Bédard, professeur à la TÉLUQ - Sciences humaines, lettres et communications et spécialiste du Québec (souvent présent dans les médias) ;
- Richard Béliveau, professeur titulaire de biochimie à l'Université du Québec à Montréal où il est titulaire de la Chaire en Prévention et Traitement du Cancer ;
- Gaétan Breton, professeur titulaire de comptabilité, militant politique et membre du comité de rédaction de la revue À bâbord ! ;
- Pierre Dansereau, un des fondateurs de l'écologie moderne ;
- Charles-Philippe David, professeur de science politique et titulaire de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques ;
- Christian Deblock, professeur au département de science politique, spécialiste en Économie politique internationale, cofondateur de la revue Interventions Économiques ;
- Anna Maria Di Sciullo, professeure au Département de linguistique et professeure associée au programme de Doctorat en informatique cognitive ;
- André Donneur, professeur associé au département de science politique, spécialiste de la politique étrangère canadienne, politique internationale du Québec et sécurité régionale comparée ;
- Francis Dupuis-Déri, professeur au département de science politique, militant anarchiste et féministe ;
- Pierre Fortin, professeur au département des sciences économiques ;
- Michel Freitag, professeur associé au Département de sociologie. Philosophe et sociologue québécois d'origine suisse ;
- Alfred Halasa, professeur à l'École de design. Graphiste et affichiste d'origine polonaise ;
- Stevan Harnad, professeur au Département de psychologie et pionnier du « open access » ;
- Bernard Landry, professeur au Département stratégie des affaires et ancien premier ministre du Québec ;
- Gérald Larose, professeur invité à l'École de travail social, président du Conseil de la souveraineté du Québec et ancien président de la Confédération des syndicats nationaux ;
- Léo-Paul Lauzon, professeur au Département des sciences comptables et critique social (surtout dans les médias alternatifs) ;
- Georges Leroux, professeur de philosophie ancienne, helléniste et traducteur de La République de Platon chez Garnier Flammarion (Platon. 2002. La République. Introduction, traduction et notes de Georges Leroux. Paris. Garnier Flammarion. 802 p.) ;
- Dan O'Meara, professeur au département de science politique, spécialiste de la théorie des relations internationales, et de l'Afrique du Sud ;
- Nicolas Marceau, professeur au Département des sciences économiques, Membre de la Commission sur le déséquilibre fiscal (2002) et homme politique ;
- Yvon Pageau, professeur au département des sciences de la Terre ;
- Gilbert Paquette, ancien ministre de la science et de la technologie du Québec ;
- André Robert (1987-1993), pionnier des modèles numériques de prévision du temps ;
- Régine Robin, professeure associée au Département de sociologie et romancière célèbre ;
- Sébastien Rose, chargé de cours au Département d'études littéraires et cinéaste ;
- Yves Séguin, professeur invité au Département des sciences comptables et ancien ministre des finances du Québec
- Étienne Wasmer professeur associé au Département des sciences économiques, récipiendaire en 2006 du Prix du meilleur jeune économiste de France :
- Micheline de Sève, professeure titulaire au Département de science politique.
- Grégory Chatonsky, professeur à l'École des Arts visuels et médiatiques
Équipes sportivesModifier
L'UQAM possède des équipes (Citadins) dans 9 disciplines sportives :
- Badminton
- Basketball féminin
- Basketball masculin
- Cheerleading
- Cross-country
- Golf
- Soccer féminin
- Soccer masculin
- Volley-ball féminin
L'UQAM permet aussi à plusieurs athlètes d'évoluer, dans plusieurs disciplines, sur les différents circuits d'excellence :
- Athlétisme
- Escrime
- Natation
- Karate
Réseau OrbicomModifier
L'Université du Québec à Montréal est à l'origine de la création, en mai 1994, conjointement avec l'Unesco, du réseau Orbicom, réseau mondial associant des universitaires et des professionnels de la communication et des médias, ayant pour objet de stimuler l'échange d'informations et le développement de projets conjoints, afin d'examiner comment ce domaine en constante évolution peut contribuer à promouvoir la démocratie et un développement durable.Situé au carrefour de l’enseignement, de la recherche et des pratiques professionnelles, il s'est fixé pour mission première de « développer et promouvoir le partage de savoir et d'expertise en communication par l'éducation, la recherche et l'action concrète[31]. »
Notes et référencesModifier
- [1]
- L'institution écrit : « L'acronyme UQAM coiffé de l'accent grave est la signature promotionnelle de l'Université du Québec à Montréal. Il s'agit donc d'un logo et non d'une règle d'écriture. Ainsi, lorsque l'acronyme UQAM est utilisé dans des textes courants, il doit être écrit sans accent. » – Utilisation de l'acronyme et du logo UQAM
- « Université du Québec », sur Top Universities, (consulté le 16 mai 2016)
- « Université du Québec à Montréal » (consulté le 3 août 2015)
- « UQAM | FSPD | Simulation des Nations Unies », sur actualités.uqam.ca (consulté le 5 avril 2016)
- « UQAM | À propos de l'UQAM », sur www.uqam.ca (consulté le 24 février 2016)
- « UQAM | À propos de l'UQAM | Historique », sur www.uqam.ca (consulté le 12 janvier 2016)
- Présentation de l'UQAM - Université du Québec à Montréal
- Se laisser raconter l'UQAM - 1960 à 2001
- « Facultés, écoles, départements et instituts | UQAM », Université du Québec à Montréal, {{Article}} : paramètre «
année
» ou «date
» manquant (lire en ligne) - https://www.uqam.ca/facultes/
- « La Chaire Raoul-Dandurand célèbre son 20e anniversaire UQAM », Actualités UQAM, (lire en ligne)
- « Frédérick Gagnon, nouveau titulaire de la Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques UQAM », Actualités UQAM, (lire en ligne)
- « Chercheurs - Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques UQAM », sur Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques (consulté le 24 juillet 2017)
- « Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques | UQAM », sur Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques (consulté le 24 juillet 2017)
- « Frontières, murs et violence : fortification des frontières, coûts et alternatives - Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques UQAM », Chaire Raoul-Dandurand en études stratégiques et diplomatiques, (lire en ligne)
- « Jean-François Lépine nommé représentant du Québec en Chine | Jocelyne Richer | Actualités », La Presse, (lire en ligne)
- Radio Canada International, « Centre FrancoPaix : la résolution de conflits dans le monde francophone et en Afrique de l’Ouest », RCI | Français, (lire en ligne)
- Historique du CRISE
- Mission, objectifs et actions
- Fonctionnement du CRISE
- Les membres du CRISE
- Formation postdoctorale
- Instituts d'été
- Centre de documentation
- « Accueil - 28e congrès mondial de l'Association international de prévention du suicide (IASP) »,
- Logo UQAM, acronyme et normes graphiques
- À propos de l'acronyme UQAM
- https://www.uqam.ca/campus/#liste
- Zone Société - ICI.Radio-Canada.ca, « L'UQAM ferme ses bibliothèques le dimanche », sur Radio-Canada.ca (consulté le 12 janvier 2017)
- Voir le site officiel du réseau Orbicom
AnnexesModifier
Articles connexesModifier
Liens externesModifier
- Site officiel
- Photos des pavillons de l’UQAM sur Image Montréal