Saint-Romain-en-Gal
Saint-Romain-en-Gal | |
Site archéologique de Saint-Romain-en-Gal Système de chauffage par circulation d'air chaud sous le plancher (hypocauste). | |
![]() Blason |
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Administration | |
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Pays | ![]() |
Région | Auvergne-Rhône-Alpes |
Département | Rhône |
Arrondissement | Lyon |
Intercommunalité | Vienne Condrieu Agglomération |
Maire Mandat |
Luc Thomas 2020-2026 |
Code postal | 69560 |
Code commune | 69235 |
Démographie | |
Gentilé | Romanère |
Population municipale |
1 934 hab. (2018 ![]() |
Densité | 144 hab./km2 |
Géographie | |
Coordonnées | 45° 32′ 00″ nord, 4° 51′ 45″ est |
Altitude | Min. 140 m Max. 528 m |
Superficie | 13,39 km2 |
Élections | |
Départementales | Mornant |
Localisation | |
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Saint-Romain-en-Gal est une commune française située dans le département du Rhône en région Auvergne-Rhône-Alpes. Elle fait partie de la communauté d'agglomération Vienne Condrieu Agglomération. Sa population est de l'ordre de 1 700 habitants.
Elle partage un important site gallo-romain avec Sainte-Colombe au sud-est.
GéographieModifier
LocalisationModifier
La commune de Saint-Romain-en-Gal est située sur la rive droite (côté ouest) du Rhône à l'intérieur d'un coude du fleuve, en face de la ville de Vienne[1], et à une trentaine de kilomètres au sud de Lyon[2]. Le village s'est développé en longueur au pied de l'escarpement qui borde la vallée du Rhône[1] (le piedmont rhodanien).
La commune est dans la pointe nord-est du parc naturel régional du Pilat[1]. Elle fait partie de l'aire urbaine de Vienne et de son unité urbaine.
Communes limitrophesModifier
Saint-Romain-en-Gal est limitrophe avec six communes, dont deux en Isère[1] :
Seyssuel (Isère) |
Loire-sur-Rhône | |||
Ampuis | N | Vienne (Isère) | ||
O Saint-Romain-en-Gal E | ||||
S | ||||
Saint-Cyr-sur-le-Rhône | Sainte-Colombe |
Géologie et reliefModifier
SismicitéModifier
Saint-Romain-en-Gal est dans une zone d'aléa sismique modéré[3], selon le programme national de prévention du risque sismique, le Plan Séisme, datant du [4].
TopographieModifier
D'est en ouest, on passe de la plaine qui borde le Rhône à la costière rhodanienne, laquelle relie la plaine au piedmont rhodanien. Ce dernier est entaillé de combes et ravins.
HydrographieModifier
ClimatModifier
QuartiersModifier
Voies de communication et transportsModifier
Voies routièresModifier
Voies ferroviairesModifier
La commune était desservie par la gare de Sainte Colombe-lès-Vienne, sur la ligne Givors - Nîmes. Cette ligne n'est actuellement exploitée qu'en transport de marchandises.
Transports urbainsModifier
Le transport en commun urbain est assuré par les Lignes de Vienne et agglomération.
Voies aériennesModifier
Les aéroports les plus proches de Saint-Romain-en-Gal sont ceux de Lyon-Saint-Exupéry et de Grenoble - Isère. Plus proche, existe aussi l'aérodrome de Vienne - Reventin, au sud de Vienne sur la commune de Reventin-Vaugris.
UrbanismeModifier
LogementModifier
En 2013, le nombre total de logements dans la commune était de 846.
Parmi ces logements, 88,8 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 10,3 % des logements vacants.
La part des ménages propriétaires de leur résidence principale s’élevait à 67,9 %[5].
Projet d'aménagementsModifier
ToponymieModifier
HistoireModifier
AntiquitéModifier
Dans l'Antiquité, Saint-Romain-en-Gal était un vaste quartier résidentiel et commercial de Vienne (Vienna), alors une des principales villes de la Gaule romaine. On y trouve notamment le Palais du Miroir. Le site se prolonge au sud sur Sainte-Colombe-les-Vienne après un espace vide de quelques hectares[6],[7].
Atelier de poterie antiqueModifier
Un premier atelier de poterie est découvert entre 1977 et 1978 à 80 m au nord du site archéologique. Il est actif à partir du milieu du Ier siècle et produit uniquement des céramiques à pâte calcaire (cruches, mortiers, pots à deux anses et jattes à bord rentrant et lèvre arrondie)[8].
Un autre atelier est découvert au nord-est du site archéologique. Il est lié à la première phase d’occupation du site[8].
Un troisième atelier a laissé une fosse dans la Maison des Dieux Océan[9], et semble avoir été légèrement antérieur à celui de la Muette à Lyon (ce dernier étant daté de à apr. J.-C.)[10]. Il produit des gobelets d'Aco[11] dès . Il produit également des gobelets à glaçure plombifère, que la Muette ne produit pas mais qui sont aussi fabriqués par l'atelier de Loyasse - ce dernier, situé dans le 5e arrondissement ou le 9e arrondissement de Lyon, étant généralement daté des années à . Des gobelets de Saint-Romain portent la seule signature d'Aco, ce qui est rare en Gaule : cette signature sans associé/s n'est trouvée (en 1985) qu'à Bibracte, Gergovie et Puys-de-Voingt et elle n’est produite ni par la Muette ni par Loyasse. Par contre Saint-Romain n'a pas de gobelets marqués PHILARCVRVS ni T.C.AVIVS, que l'on trouve à la Muette où ils portent souvent des décorations simplifiées, avec des poinçons ne se trouvant pas non plus à Saint-Romain mais que l'on retrouve parfois sur des imitations de gobelets d'Aco fabriqués à Lezoux[10]. La série des décors et des poinçons couvre presque tous ceux de la Muette, mais est très différente de ceux de Loyasse. De plus certains vases de la Muette et de Saint-Romain ont été fabriqués à partir des mêmes moules, attesté par le fait qu'on retrouve les mêmes défauts chez les uns et les autres[12]. Il y a donc eu une transfert de moules entre Lyon et Vienne, qui a aussi bien pu être de Vienne à Lyon[10]. Cet atelier a pu être actif pendant très peu de temps. Chronologiquement, il se situe entre Loyasse et la Muette, ce qui est un paradoxe du point de vue géographique[10] puisque ces derniers sont tous deux sur Lyon.
Noter qu'un autre atelier de poterie a été trouvé au sud-est du site archéologique, sur Sainte-Colombe[8].
XVIIe siècleModifier
Au cours de la Révolution française, la commune porte temporairement le nom de Romain-les-Roches[13].
XIXe et XXe sièclesModifier
Dès le XIXe siècle, on y découvre un nombre considérable de mosaïques. Cependant, il faut attendre 1967 pour que des fouilles archéologiques révèlent toute l’ampleur et la richesse de ce quartier. Devant l’intérêt exceptionnel du site, le conseil général du Rhône s’en porte acquéreur en 1970. En 1981, il institue une équipe archéologique permanente. Depuis 1983, le site est classé monument historique et bénéficie d'importants travaux de restauration. Le conseil général du Rhône décide d'y créer un musée de site et confie la tâche en 1988 aux architectes Philippe Chaix et Jean-Paul Morel. Les collections sont présentées dans un bâtiment vitré qui surplombe les fouilles.[réf. nécessaire]
Les événements depuis 1960Modifier
- 1960 : arrivée du père Claustres en janvier. Il restera curé de la paroisse jusqu'en 1991.
- 1962 : Constitution de la décharge RN 86.
- 1965 : Autorisation obtenue par arrêté du 10 mars pour le raccordement de la partie haute de la commune au syndicat intercommunal des eaux des Monts du Lyonnais.
- 1967 : Construction de la piscine.
- 1970 :
- Projet de construction d'un circuit automobile au Grisard ;
- Construction du lycée et des installations sportives attenantes ;
- Création d'une décharge industrielle par Nicollin[réf. nécessaire].
- 1973 : Construction de l'autoroute (déviation de Vienne par la rive droite du Rhône).
- 1973 / 1974 : Expropriation et démolition d'une partie du bâtiment dénommé « pensionnat ».
- 1973 / 1974 : Construction du gymnase pour permettre les activités de l'Alerte Sportive.
- 1974 : Le 21 juin : mise en service du contournement autoroutier de Vienne.
- 1974 :
- Construction du nouveau cimetière ;
- Dénomination des rues et numérotation des habitations ;
- Chantier de la nouvelle école ;
- Inauguration du gymnase du lycée ;
- Implantations des antennes au Grisard pour les entreprises et notamment la société d'autoroute.
- 1975 : Aménagement d'une aire de repos au Grisard.
- 1976 :
- Aménagement des terrains de sport près du gymnase du lycée ;
- Aménagement de l'ancienne école qui devient salle municipale (157 m2 plus hall d'entrée).
- 1978 :
- Achèvement du plateau d'éducation physique près de la nouvelle école ;
- Transfert de la cantine sur la place de la mairie (ancienne maternelle).
- 1981 : Polémique au conseil de district à propos de l'emplacement d'un supermarché.
- 1982 :
- Deuxième tranche du groupe scolaire ;
- Défection de la RN86 sortie nord, trottoirs, etc. ;
- 1984 : création de la bibliothèque municipale.
- 1985 :
- Fêtes du centenaire pour célébrer les 100 ans de la construction des bâtiments de l'école et de la mairie ;
- Construction de deux courts de tennis.
- 1991 : début des travaux pour l'aménagement des abords du musée archéologique.
- 1993 : réalisation d'un passage souterrain sous la RD502 à hauteur du Musée archéologique.
- 1994 : adhésion au syndicat mixte du parc du Pilat.
- 1995 : rénovation et agrandissement de la mairie et de la bibliothèque.
- 1999 :
- Fin des travaux d'aménagement place de la mairie ;
- Construction du grand rond-point près du lycée ;
- 33e recensement de la population française.
- 2000 : Le : première fête du village organisée par le comité des fêtes.
- 2002 : Saint-Romain devient membre de la communauté d'agglomération du pays viennois(CAPV), qui devient ViennAgglo le .
- 2003 : Aménagement de la 1re tranche de la nationale 86 dans le centre bourg.
- 2004 : Le projet du Plan Local d'Urbanisme (PLU), qui remplace le Plan d'Occupation des Sols (POS), est approuvé par le conseil municipal.
- 2009 : Ouverture d'un nouveau gymnase spécialisé gymnastique.
HéraldiqueModifier
Les armes de Saint-Romain-en-Gal se blasonnent ainsi : D'argent à la croix pattée alésée de sable; à la bordure de gueules sa face interne elle-même bordée de sable.
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Politique et administrationModifier
Tendances politiques et résultatsModifier
Administration municipaleModifier
Liste des mairesModifier
Instances judiciaires et administrativesModifier
Politique environnementaleModifier
JumelagesModifier
Population et sociétéModifier
DémographieModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[17]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[18].
En 2018, la commune comptait 1 934 habitants[Note 1], en augmentation de 12,57 % par rapport à 2013 (Rhône : +4,48 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
EnseignementModifier
- Lycée Ella-Fitzgerald. Bien que situé dans le département du Rhône, cet établissement dépend de l’académie de Grenoble. La très grande majorité des élèves traversent le Rhône en provenance de l'agglomération Viennoise (département de l’Isère, département n° 38), ville située de l'autre côté du fleuve.
Manifestations culturelles et festivitésModifier
SantéModifier
SportsModifier
- Escrime
- Le club Canoë kayak club de Vienne se situe sur le territoire de la commune
MédiasModifier
CultesModifier
Saint-Romain-en-Gal dépend de la paroisse Saint-Ferréol-sur-le-Rhône de l'archidiocèse de Lyon confiée à l'Institut du Verbe incarné[20].
ÉconomieModifier
Revenus de la population et fiscalitéModifier
Le nombre de ménages fiscaux en 2013 était de 771 représentant 1 803 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 22 179 €[5].
EmploiModifier
En 2014, le nombre total d’emploi dans la zone était de 814, occupant 791 actifs résidants (salariés et non-salariés) .
Le taux d’activité de la population âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 77,5 % contre un taux de chômage (au sens du recensement) de 9 %. Les inactifs se répartissent de la façon suivante : étudiants et stagiaires non rémunérés, 9,8 %, retraités ou préretraités, 7,5 %, autres inactifs, 5,2 %[5].
Entreprises et commercesModifier
L'agriculture occupe une place importante sur la partie haute de la commune. Les exploitations sont tournées vers l'élevage, production de lait de vache et production de fromages. Il existe également quelques élevages caprins car la commune se trouve sur l'aire géographique de production de la rigotte de Condrieu (A.O.C depuis janvier 2009). Sur la partie basse du village, quelques entreprises sont installées sur la commune (maçonnerie, scierie, zone portuaire…).
En 2015, le nombre d’établissements actifs était de 194, dont 11 dans l’agriculture-sylviculture-pêche, 6 dans l'industrie, 31 dans la construction, 120 dans le commerce-transports-services divers et 26 étaient relatifs au secteur administratif.
Cette même année, 25 entreprises ont été créées dont 16 par des auto-entrepreneurs[5].
Vie associativeModifier
De nombreuses associations animent la vie associative de Saint-Romain-en-Gal.
- Le Sou des écoles créé en 1902
- La Société de Sauvetage créée en 1912
- Société de Chasse créée en 1922
- L'Alerte Sportive de Saint-Romain-en-Gal créée en 1929
et de création plus récente :
- Association Intercommunale d'Aide à Domicile créée en 1972
- Aviron Club créée en 1976
- Club la Joie de Vivre créé en 1977
- FNACA comité local créé en 1978
- Le Club des Jeunes créé en 1978 et dissous en 1988
- le Cyclo Club créé en 1982
- Association du restaurant scolaire créée en 1983
- École de musique Cyroco[21] créée en 1986
- Tennis Club créé en 1986
- Group'Animation créé en 1989
- Chorale Mosaïque créée en 1989
- Mach 3 créée en 1989
- M'Bour Avenir créée en 1995
- Petits Futés centre de loisirs intercommunal créé en 1996
- Comité des Fêtes créé en 2000
- Football Club de Saint-Romain-en-Gal
- Association Franco-Béninoise
- Entente Judo Sainte-Colombe/ Saint-Romain
- Saint Rom Déco
- Association Raphaël pour les dons d'organes
- Sauvegarde Rive Droite
Et des associations plus viennoises que romanères
- Club de canoë-kayak de Vienne
- Basket Vienne-Saint Romain
Culture locale et patrimoineModifier
Monuments et lieuxModifier
Monuments gallo-romainsModifier
Le site archéologique de Saint-Romain-en-Gal abrite de nombreux vestiges gallo-romains dont :
- les thermes des Lutteurs ;
- Un grand musée gallo-romain et un site archéologique y ont été ouverts[22]. Le site présente l'organisation du quartier résidentiel au temps des Romains :
- habitats, mosaïques, commerces. C'est la construction du lycée polyvalent qui est à l'origine du développement du site et des fouilles généralisées. Le site est classé monument historique en 1983.
- Le Palais du Miroir, anciens thermes romains, fait l’objet d’un classement au titre des monuments historiques par la liste de 1840[23],[24].
- Les pierres à cupules.
Monuments médiévauxModifier
- La chapelle Saint-Ferréol : plaque sur l’emplacement proche du Rhône.
- L'église de Saint-Romain et ses alentours : vestige d'une ancienne commanderie de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, classée en 1972.
- Le pont de la servante.
- La stèle à l’effigie de saint Ferréol située près de la deuxième église qui lui fut dédiée. La stèle est située chemin de la Plaine, lieu sans doute très proche de son martyre.
- L’église, fondée au IXe siècle par saint Barnard, archevêque de Vienne. La commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, créée au XVe siècle, jouxtait l'église. Elle dépendait de la Langue d'Auvergne.
Patrimoine culturelModifier
Patrimoine naturelModifier
- L'ile Barlet : Il y a encore une centaine d'années c'était un terrain qui accueillait chèvres et moutons transportés en barque. Entre 1928 et 1939, cette ile est un terrain militaire occupé par l'école des ponts pour les manœuvres des pontonniers. Après la Deuxième Guerre mondiale la société de sauvetage de la commune effectuera l'entretien et les travaux d'aménagement du bassin utilisé pour les joutes nautiques. Les inondations répétées rendent la tâche difficile. Aujourd'hui la communauté d'agglomération a effectué les travaux pour permettre au site de pouvoir accueillir un public de sportifs et de promeneurs de plus en plus nombreux.
- Les experts du parc naturel régional du Pilat ont recensé sur la commune :
- le busard cendré ;
- le castor d'Europe ;
- le sonneur à ventre jaune ;
- la genette ;
- les landes sèches européennes ;
- le millepertuis androsème ;
- les pelouses sèches semi-naturelles ;
- les prairies de fauche de basse altitude ;
- les chênaies et les charmaies sub-atlantiques et médio-européennes.
Personnalités liées à la communeModifier
- Pierre Drevet fut nommé graveur du roi, le peintre Rigaud lui fit graver ses plus beaux portraits.
- Pierre Imbert Drevet, fils de Pierre, poursuivit dans la même branche que son père. On lui doit le portrait en pied de Bossuet et de sainte Geneviève. Décédé en 1739 à 42 ans.
- François Perroux, économiste né en 1903 dans la commune.
- Boris Saunier, kayakiste, 4 fois champion du monde de descente de rivière, entre 2000 et 2002.
Héraldique, logotype et deviseModifier
Blason | D'argent à la croix pattée alésée de sable; à la bordure de gueules sa face interne elle-même bordée de sable[25]. |
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Détails | La municipalité emploie le blason ci-contre, tandis que les plaques de rue de la commune arborent le blason décrit en alias. * Il y a là non-respect de la règle de contrariété des couleurs : ces armes sont fautives (sable sur gueules et sinople sur gueules). |
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Alias | De gueules à la croix pattée alésée cousue de sinople, à la filière d'argent en orle. |
GalerieModifier
L'hypocauste.
AnnexesModifier
BibliographieModifier
- Éric Delaval et Hugues Savay-Guerraz, La maison des dieux océans - Histoire d'une grande demeure viennoise sous l'Empire romain, AGLAS, 1996, 118 pages, (ISBN 2-9506912-0-X)
- Henri Montabonnet, Et malgré tout l'amour du Rhône Imprimerie Lienhart Aubenas 1985 154 pages.
Articles connexesModifier
Liens externesModifier
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
RéférencesModifier
- « Saint-Romain-en-Gal, carte interactive » sur Géoportail. Couches « Cartes IGN classiques », « Limites administratives » et « Hydrographie » activées.
- « Carte de Saint-Romain-en-Gal », sur google.fr/maps.
- L'échelle comporte cinq niveau : très faible, faible, modéré, moyen et fort
- « Plan séisme consulté le 13 septembre 2016 »
- Statistiques officielles de l’INSEE (version nov 2016).
- [Helly et al. 1986] Benoît Helly, Anne Le Bot-Helly et Bernard Liou, « Un dépôt d'amphores Dressel 20 à inscriptions peintes découvert à Sainte-Colombe (Rhône) », Archaeonautica, no 6, , p. 121-145 (lire en ligne [sur persee]).
- [Savay-Guerraz & Prisset 1992] Hugues Savay-Guerraz et Jean-Luc Prisset, « Le portique de Saint-Romain-en-Gal (Rhône) et son contexte. État des recherches », Revue archéologique de Narbonnaise « 25 », , p. 105-124 (lire en ligne [sur persee], consulté le 18 décembre 2019), p. 105.
- [Landrieux 2019] Chloé Landrieux, La céramique romaine de Sainte-Colombe, le Bourg (Rhône, fouilles 2017): étude pluridisciplinaire du mobilier de la citerne de la pièce J10 (Mémoire de 1ère année, Master Archéologie, Sciences pour l’archéologie, spécialité Céramologie gallo-romaine 2018-2019), Université Lumière Lyon 2, UFR Temps et Territoires, , 146 p., sur imu.universite-lyon.fr (lire en ligne), p. 27.
- Landrieux 2019, p. 28.
- [Desbat 1985] Armand Desbat, « L'atelier de gobelets d'Aco de Saint-Romain-en-Gal (Rhône) », Actes du congrès de Reims (16-19 mai 1985) [PDF] sur sfecag.free.fr, (consulté le 17 février 2020), p. 10-14.
- Desbat 1985, p. 11, fig. 1 : gobelets d'Aco.
- Desbat 1985, p. 10.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- https://www.lemonde.fr/auvergne-rhone-alpes/rhone,69/saint-romain-en-gal,69235/
- « Le Temps », sur Gallica, (consulté le 5 juin 2020).
- désigné d'office par le Commissaire du Gouvernement Provisoire
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Site de la paroisse
- [1]
- Site du musée gallo-romain.
- Notice no PA00118059, base Mérimée, ministère français de la Culture
- visite virtuelle
- www.armorialdefrance.fr