Saint-Julia

commune française du département de la Haute-Garonne

Saint-Julia
Saint-Julia
Saint-Julia vu de Saint-Félix-Lauragais
Blason de Saint-Julia
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Toulouse
Intercommunalité Communauté de communes Lauragais Revel Sorezois
Maire
Mandat
Christian Lagente
2020-2026
Code postal 31540
Code commune 31491
Démographie
Gentilé Saint-Julianais
Population
municipale
416 hab. (2021 en augmentation de 1,96 % par rapport à 2015)
Densité 36 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 29′ 28″ nord, 1° 53′ 54″ est
Altitude Min. 200 m
Max. 301 m
Superficie 11,46 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Toulouse
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Revel
Législatives Dixième circonscription
Localisation
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Saint-Julia

Saint-Julia est une commune française située dans le nord-est du département de la Haute-Garonne et la région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le Lauragais, l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc ». Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par le Peyrencou et par divers autres petits cours d'eau.

Saint-Julia est une commune rurale qui compte 416 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 1 015 habitants en 1836. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse. Ses habitants sont appelés les Saint-Julianais ou Saint-Julianaises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend deux immeubles protégés au titre des monuments historiques : la porte du Cers, inscrite en 1926, et l'église Sainte-Agathe-et-Saint-Julien, inscrite en 1925 puis en 2009.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Saint-Julia se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 39 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, et à 9 km de Revel[2], bureau centralisateur du canton de Revel dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Revel[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[3] : Montégut-Lauragais (2,4 km), Nogaret (2,6 km), Puéchoursi (3,2 km), Falga (3,3 km), Le Cabanial (3,4 km), Roumens (3,8 km), Montgey (4,1 km), Mouzens (4,4 km).

Sur le plan historique et culturel, Saint-Julia fait partie du Lauragais, occupant une vaste zone, autour de l’axe central que constitue le canal du Midi, entre les agglomérations de Toulouse au nord-ouest et Carcassonne au sud-est et celles de Castres au nord-est et Pamiers au sud-ouest. C'est l'ancien « Pays de Cocagne », lié à la fois à la culture du pastel et à l’abondance des productions, et de « grenier à blé du Languedoc »[4].

Saint-Julia est limitrophe de six autres communes dont deux dans le département du Tarn. Les communes limitrophes sont Mouzens, Puéchoursi, Le Cabanial, Montégut-Lauragais, Nogaret et Saint-Félix-Lauragais.

Géologie et relief modifier

La superficie de la commune de Saint-Julia est de 1 146 hectares. Son altitude varie de 200 à 301 mètres[6].

Hydrographie modifier

 
Réseaux hydrographique et routier de Saint-Julia.

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par le Peyrencou et par divers petits cours d'eau, constituant un réseau hydrographique de 8 km de longueur totale[8],[Carte 1].

Le Peyrencou, d'une longueur totale de 15,1 km, prend sa source dans la commune de Montégut-Lauragais et s'écoule du sud-est vers le nord-ouest. Il traverse la commune et se jette dans Le Girou à Villeneuve-lès-Lavaur (81), après avoir traversé 7 communes[9].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 841 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 5,3 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-Félix-Lauragais à 5 km à vol d'oiseau[12], est de 13,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 673,9 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[16],[17],[18].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Julia est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[19],[I 2],[20].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Toulouse, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 527 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 3],[I 4].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (92,2 %), zones agricoles hétérogènes (7,8 %)[21]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

La ligne 356 du réseau Arc-en-Ciel relie la commune à la gare routière de Toulouse depuis Revel.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Saint-Julia est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité très faible)[22]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[23].

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Peyrencou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999 et 2009[24],[22].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Saint-Julia.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 99,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 210 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 208 sont en aléa moyen ou fort, soit 99 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[25],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[26].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 2002 et 2003 et par des mouvements de terrain en 1999[22].

Toponymie modifier

Durant la Révolution, la commune porte les noms de Mont-Civique et Mont-Républicain[27].

Ses habitants sont appelés les Saint-Julianais.

Histoire modifier

Saint-Julia-de-Gras-Capou est une ancienne ville libre qui existait probablement avant l'invasion romaine. Elle était fortifiée et entourée de fossés et de remparts avec 2 portes d'accès, la porte de Sers et la porte d'Autan. Le point culminant de la ville était un temple qui deviendra plus tard l'église Sainte-Agathe-et-Saint-Julien de Saint-Julia.

Le nom de Gras-Capou associé à Saint-Julia rappelle que de tout temps on a élevé des chapons. Une légende dit que, lors d'un siège du village, les villageois auraient nargué leurs assaillants des remparts avec des chapons morts pour montrer qu'ils ne manquaient pas de vivres. L'Histoire est inspirée de la légende Dame Carcas à Carcassonne[28].

Une autre légende raconte que des hommes déguisés en femmes ont caché la « grosse cloche » de l'église dans la campagne pour qu'elle ne soit pas fondue, ce qui nous permet de l'admirer aujourd'hui.

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune fait partie de la dixième circonscription de la Haute-Garonne communauté de communes du Lauragais-Revel-Sorèzois et du canton de Revel (Saint-Julia faisait partie de l'ex-canton de Saint Félix) et de la septième circonscription de la Haute-Garonne jusqu'en 2012.

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Denis Vaissière    
mars 2008 juin 2020 Raymond Martinazzo DVD Agriculteur
juin 2020 en cours Christian Lagente    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30]. En 2021, la commune comptait 416 habitants[Note 4], en augmentation de 1,96 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
8899641 0069959911 0151 0031 0031 002
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
960938924913860809820788753
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
708713744629594578596576486
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
464382370314305333379382369
2015 2020 2021 - - - - - -
408413416------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[27] puis Insee à partir de 2006[31].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[32] 1975[32] 1982[32] 1990[32] 1999[32] 2006[33] 2009[34] 2013[35]
Rang de la commune dans le département 210 197 240 280 267 267 282 283
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Enseignement modifier

Saint-Julia est située dans l'académie de Toulouse.

L'école fait partie un RPI (regroupement pédagogique intercommunal) entre les communes de Montégut-Lauragais, Saint-Julia-de-Gras-Capou, Roumens, Le Cabanial et Nogaret.

Pour faire face au risque de fermeture de l'école communale, la municipalité s'est engagée dans les années 1980-1990 dans la voie du regroupement pédagogique intercommunal (RPI) avec les communes voisines de Montégut-Lauragais, Roumens et Le Cabanial. Ce regroupement a permis de sauvegarder les écoles et de proposer des services comme un ramassage scolaire financé par le conseil général de la Haute-Garonne. Par la suite, la commune de Nogaret a rejoint le RPI.

Le succès de cette formule, dû en partie à l'accroissement de la population, a été tel que les municipalités du regroupement ont décidé d'un unique groupe scolaire intercommunal, pour remplacer les locaux actuels. Ce nouveau groupe scolaire, dit « des Cinq Clochers », est situé sur la commune de Saint-Julia-de-Gras-Capou. Il a ouvert à la rentrée de avec un total de six classes (maternelles et primaires)[36],[37].

Culture et festivité modifier

Fête locales.

Activités sportives modifier

Randonnée pédestre, chasse.

Écologie et recyclage modifier

La collecte et le traitement des déchets des ménages et des déchets assimilés ainsi que la protection et la mise en valeur de l'environnement se font dans le cadre de la communauté de communes du Lauragais-Revel-Sorèzois[38].

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 163 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 389 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 880 [I 5] (23 140  dans le département[I 6]).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 7] 9,6 % 13,3 % 9 %
Département[I 8] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 9] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 266 personnes, parmi lesquelles on compte 76,3 % d'actifs (67,3 % ayant un emploi et 9 % de chômeurs) et 23,7 % d'inactifs[Note 6],[I 7]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Toulouse, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 10]. Elle compte 59 emplois en 2018, contre 52 en 2013 et 39 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 184, soit un indicateur de concentration d'emploi de 32,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,8 %[I 11].

Sur ces 184 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 37 travaillent dans la commune, soit 20 % des habitants[I 12]. Pour se rendre au travail, 84,2 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,9 % les transports en commun, 1,5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 9,2 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 13].

Activités hors agriculture modifier

32 établissements[Note 7] sont implantés à Saint-Julia au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 8],[I 14].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 32
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
5 15,6 % (5,7 %)
Construction 3 9,4 % (12 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
3 9,4 % (25,9 %)
Activités immobilières 1 3,1 % (4,2 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
11 34,4 % (19,8 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
9 28,1 % (16,6 %)

Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 34,4 % du nombre total d'établissements de la commune (11 sur les 32 entreprises implantées à Saint-Julia), contre 19,8 % au niveau départemental[I 15].

Agriculture modifier

La commune est dans le Lauragais, une petite région agricole occupant le nord-est du département de la Haute-Garonne, dont les coteaux portent des grandes cultures en sec avec une dominante blé dur et tournesol[39]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 9] sur la commune est la culture de céréales et/ou d'oléoprotéagineuses[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 24 21 21 21
SAU[Note 10] (ha) 1 113 1 169 1 190 1 107

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 24 lors du recensement agricole de 1988[Note 11] à 21 en 2000 puis à 21 en 2010[41] et enfin à 21 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 12 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 57 % de ses exploitations[42],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 113 ha en 1988 à 1 107 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 46 à 53 ha[41].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

Les armes de Saint-Julia se blasonnent ainsi : D'azur aux trois fleurs de lys d'or surmontées d'une salamandre d'argent.[réf. nécessaire]

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  9. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  10. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[40].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Saint-Julia » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Saint-Julia » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Saint-Julia » (consulté le ).
  6. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  7. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Saint-Julia » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  9. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  11. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Saint-Julia » (consulté le ).
  12. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  13. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Saint-Julia » (consulté le ).
  15. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Julia et Toulouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Saint-Julia et Revel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. « Communes les plus proches de Saint-Julia », sur villorama.com (consulté le ).
  4. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 327-328.
  5. Carte IGN sous Géoportail
  6. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  7. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Saint-Julia », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  9. Sandre, « le Peyrencou »
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Saint-Julia et Saint-Félix-Lauragais », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « St-felix-lauragais » (commune de Saint-Félix-Lauragais) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
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  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Saint-Julia », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « Liste des ZNIEFF de la commune de Saint-Julia », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « Liste des espaces protégés sur la commune de Saint-Julia », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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