Monument Barrès
Le monument Barrès, ou parfois colonne Barrès[1],[2], est une lanterne des morts inaugurée en sur le signal de Vaudémont, au sommet de la colline de Sion, en l'honneur de l'écrivain Maurice Barrès, qui avait célébré la colline de Sion dans son roman La Colline inspirée. Le monument est l'œuvre du paysagiste Achille Duchêne qui s'est fortement inspiré de la lanterne des morts de Fenioux.
Type | |
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Destination initiale |
Monument commémoratif |
Architecte | |
Construction | |
Ouverture | |
Hauteur |
22 mètres |
Patrimonialité |
Recensé à l'inventaire général |
Pays | |
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Région | |
Département | |
Commune |
Coordonnées |
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Localisation
modifierLe monument est érigé sur le signal de Vaudémont, à la pointe sud de la colline de Sion. C'est le point culminant de la colline et du plateau lorrain, à 540 ou 541 mètres d'altitude.
Le monument est accessible par un sentier en zigzag de 270 mètres de long[3] prenant naissance au bord de la route départementale 53. Cette dernière, qui longe la crête de la colline pour relier les villages de Sion et Vaudémont, est dite route de la corniche Gaston Canel, du nom de l'ingénieur des ponts et chaussées qui l'a dessinée pour desservir le monument[4].
Histoire
modifierSouscription publique
modifierAprès la mort de Barrès fin , une souscription publique est lancée en par un comité dont le président d'honneur est le maréchal Lyautey, et le secrétaire général le prince Charles-Louis de Beauvau-Craon[5].
En , Le Figaro publie un article de Robert de Flers intitulé « Pour un monument national à Maurice Barrès »[6]. En , La Revue hebdomadaire publie un article de François Le Grix avec le même titre[7].
Le , le comité se réunit à l'hôtel de ville de Nancy pour former une commission de propagande présidée par Victor Prouvé, et vice-présidée par Louis Majorelle, René d'Avril (d) et Pierre Desforges (président du conseil d'administration de la Société nancéienne de crédit industriel)[8].
En , François Coty publie dans Le Figaro une série d'articles rédigés par des femmes et des hommes de lettres en faveur de l'érection de ce monument[9],[10] :
- : Paul Bourget[11],
- : Marie de Heredia sous le pseudonyme Gérard d'Houville[12],
- : Henry Bordeaux[13],
- : Jérôme et Jean Tharaud[14],
- : comtesse de Noailles[15].
Les travaux débutent en [16].
Inauguration
modifierL'inauguration a lieu le , de 14 h 30 à 16 h[17]. La cérémonie, événement national[18], rassemble environ 15 000 personnes[19]. À cette occasion, une messe en plein air est dite[20], et des discours « mobilisant tout le répertoire patriotique »[18] sont prononcés par[21],[22],[23] :
- Paul Bourget[24], de l'Académie française (discours lu par Henry Bordeaux[16],[25],[26]),
- Charles Moureu, de l'Académie des sciences ;
- Désiré Ferry, vice-président de la Ligue des patriotes et député de Meurthe-et-Moselle ;
- Charles Lagier, directeur de l'Œuvre d'Orient ;
- Jean de Leusse, sénateur du Bas-Rhin[25] en remplacement[17] d'Alfred Oberkirch, sous-secrétaire d'État au ministère du Travail et député du Bas-Rhin, empêché ;
- Édouard de Warren, député de Meurthe-et-Moselle[17] ;
- Paul Vautrin, le maire de Metz ;
- Raymond Poincaré[27],[28], le président du Conseil, et ancien président de la République ;
- le maréchal Lyautey[29].
Cette cérémonie donne lieu à une gravure d'Émile Friant représentant Poincaré assis écoutant un discours[30],[10],[31]. Sont également présents Alexandre Millerand, autre ancien président de la République, ainsi que les historiens Louis Madelin, Louis Gillet et Joseph Chappey[26], les hommes de lettres Lucien Corpechot, Franc-Nohain, Louis Dumont-Wilden et André Mabille de Poncheville[26], le mathématicien La Vallée Poussin[26], ou encore les directeurs des journaux Le Matin, L'Écho de Paris (Henry Simond[26]), Le Gaulois, Le Temps[32]. Charles Maurras ne peut se rendre à l'inauguration en raison des suites d'un accident ; dans sa réponse à l'invitation du maréchal Lyautey, il qualifie cette inauguration de « noble rendez-vous donné aux fiertés et aux fidélités sur la roche historique de Sion-Vaudémont »[33],[34].
-
Photographie de l'agence Meurisse.
-
Photographie parue dans L'Alsace française.
Quelques jours après l'inauguration, le , Léon Blum écrit un texte intitulé « Le vrai monument de Maurice Barrès » dans Le Populaire[35]. Puis le , Paul Souday, membre du comité d'honneur pour l'érection du monument[36], écrit un texte intitulé « Autour du monument Barrès » dans sa rubrique « Les Livres » du Temps[37]. En , La Revue hebdomadaire publie un texte de François Le Grix intitulé « La leçon de Sion-Vaudémont »[38].
André Kertész fait une photographie du monument[39], qui paraît dans Vu en [40], puis illustre en un texte inédit de Barrès[41].
Cérémonies
modifierLe , pour le vingt-cinquième anniversaire de la mort de Barrès, une cérémonie est célébrée au monument en présence de Pierre de Gaulle, d'une délégation du conseil municipal de Paris, de représentants des autorités régionales et de Philippe Barrès, fils de l'écrivain. Au cours de cette cérémonie, un avion de la Première Guerre mondiale survole l'assemblée avant de lâcher un bouquet sur le monument ; puis un feu est allumé[42].
Le , le général de Gaulle dépose une gerbe au monument, après s'être entretenu avec Philippe Barrès[43],[44].
Le , à l'occasion du cinquantenaire de la mort de Barrès, Pierre Messmer, Premier ministre, dépose une gerbe au pied du monument, au cours d'une série de cérémonies commémoratives dans la région[45],[46].
Pelouse calcaire
modifierLe monument domine une pelouse calcaire classée espace naturel sensible[47]. Sèche et xérique, elle est souvent brulée par le soleil et les vents[48].
En , des travaux sont menés pour la réaménager[49].
En , la commune de Vaudémont, qui en est propriétaire, signe un bail emphytéotique de 18 ans avec le conseil départemental de Meurthe-et-Moselle pour qu'il en assure la gestion[50],[51],[52].
En [53], un sentier en zigzag[54], accessible aux personnes à mobilité réduite[3], est aménagé pour canaliser les flux de visiteurs et ainsi respecter la pelouse calcaire[48],[55].
Auteurs
modifierLe monument est l'œuvre du paysagiste Achille Duchêne, un ami de Barrès[56], avec des sculptures de René Grandcolas[57]. Il est érigé par l'entreprise France-Lanord et Bichaton[16],[57].
Description
modifierLe monument Barrès est réalisé en pierre d'Euville issue de la carrière de la Mézengère ou Mésangère[25], à Lérouville, dans le département voisin de la Meuse.
Architecture
modifierLe monument est une reproduction presque à l'identique d'un édifice du XIIe siècle, la lanterne des morts de Fenioux, en Charente-Maritime. Le choix de ce motif résulte d'une proposition de deux membres du comité d'honneur pour l'érection du monument, les frères Jérôme et Jean Tharaud, qui ont passé leur jeunesse en Charente, non loin de l'original[36].
Le monument Barrès est donc de style roman saintongeais, une variante de l'art roman pratiquée au Moyen Âge dans la région de Saintonge, où se trouve Fenioux. Il prend la forme d'un faisceau de douze colonnes dont les chapiteaux en feuilles d'acanthe[25] soutiennent autant de colonnettes plus courtes qui, à défaut d'être réellement ajourées, sont plus fines et donc séparées par un vide[58] donnant l'impression qu'elle forment un lanternon[59]. Celui-ci est surmonté d'un clocheton pyramidal en pierre, sculpté au motif d'écailles[58]. L'ensemble, coiffé d'une croix[25], mesure vingt-deux mètres de haut[60].
La ressemblance avec la lanterne des morts de Fenioux est remarquée par Arthur Bonnet, président de la société d'archéologie de Saint-Jean-d'Angély, une société savante siégeant dans les environs immédiats de Fenioux. Il le signale dans un article publié dans La Croix de Saintonge et d'Aunis du [61],[58], ainsi que dans un courrier à L'Illustration, car celle-ci avait publié dans son numéro du un article de Roland Engerand à propos de l'inauguration du monument, sans évoquer Fenioux[62],[58].
Engerand répond dans L'Illustration du [63] où il reprend une note d'intention que Duchêne, l'architecte du monument Barrès, avait soumise au magazine lors du premier article, dans laquelle il explique comment il s'est inspiré de la lanterne des morts de Fenioux, et détaille les modifications qu'il y a apportées. Parmi celles-ci : la silhouette est amincie par rapport à celle de Fenioux[32] ; le toit pyramidal n'est pas flanqué de pyramidions, contrairement à Fenioux ; les colonnettes qui le soutiennent sont plus petites qu'à Fenioux ; et le socle est apparent là où il est enterré à Fenioux[58].
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Monument Barrès.
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Lanterne des morts de Fenioux.
Inscriptions
modifierQuelques degrés[25] mènent à un socle sur les faces duquel sont gravées des phrases extraites de l'œuvre de Barrès[21],[25],[64] :
Face nord :
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Face ouest : La Colline inspirée ()
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Face sud : Le Mystère en pleine lumière ()
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Face est : Les Amitiés françaises ()
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Symbolique
modifierSelon Jean-Pierre Husson, professeur à l'université de Lorraine, l'édification de ce monument « marque un double changement dans la géographie locale de la dévotion » en déplaçant « la ferveur sur un troisième point de la colline », après la basilique Notre-Dame de Sion et les ruines du château de Vaudémont[48].
Divers
modifierUne table d'orientation est installée à proximité du monument pour admirer le panorama sur le plateau lorrain, jusqu'à la ligne bleue des Vosges[65].
Le monument est pour l'IGN un site géodésique du réseau de détail français[66].
Les abords du monument sont un site de parapente et de deltaplane[67].
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Table d'orientation.
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Parapentistes.
Références
modifier- Cédric Moulis et Karine Boulanger, chap. 18 « Le donjon de Vaudémont (Xe – XIe siècles) », dans Cédric Moulis (dir.) et Karine Boulanger (dir.), La pierre dans l'Antiquité et au Moyen Âge en Lorraine : De l'extraction à la mise en œuvre, Nancy, PUN-Éditions universitaires de Lorraine, coll. « Archéologie, espaces, patrimoines », , 685 p. (ISBN 978-2-8143-0506-9, HAL hal-03141704), partie 2, p. 245 et 255.
- Dominique Notter, « Dans l'histoire de la Lorraine, Notre-Dame de Sion a-t-elle joué un « rôle politique » ? », Académie de Stanislas, .
- Hélène Abalo, « Accessibilité : de l'action à Sion », France 3 Grand Est, .
- « Circuit des légendes - Colline de Sion », sur Meurthe & Moselle, l'esprit Lorraine, Comité départemental du tourisme de Meurthe-et-Moselle.
- Jean-François Thull, « La colline de Sion-Vaudémont dans l'imaginaire lorrain », Annales de l'Est, no 2 « Sion, une colline d'histoire », , p. 167.
- Robert de Flers, « Pour un monument national à Maurice Barrès », Le Figaro, no 150, , p. 1 (lire en ligne).
- François Le Grix, « Chroniques et documents : Pour un monument national à Maurice Barrès », La Revue hebdomadaire, vol. 33, no 6, , p. 86–90 (lire en ligne).
- « Le monument Maurice Barrès », Le Pays lorrain, 16e année, no 213, , p. 504–505 (lire en ligne).
- « Pour le monument de Maurice Barrès », Chronique des lettres françaises, vol. 5, no 25, , p. 66 (lire en ligne).
- Jacques Lethève et René Rancœur (préf. Julien Cain), Maurice Barrès, – (catalogue de l'exposition à la Bibliothèque nationale, Paris, – ), Paris, Bibliothèque nationale, , p. 86 [lire en ligne].
- Paul Bourget, « À la mémoire d'une grande figure française : Pour le monument de Maurice Barrès », Le Figaro, no 353, , p. 1 (lire en ligne).
- Gérard d'Houville, « À la mémoire d'une grande figure française : Pour le monument de Maurice Barrès », Le Figaro, no 354, , p. 1 (lire en ligne).
- Henry Bordeaux, « À la mémoire d'une grande figure française : Pour le monument de Maurice Barrès », Le Figaro, no 356, , p. 1 (lire en ligne).
- Jérôme Tharaud et Jean Tharaud, « À la mémoire d'une grande figure française : Pour le monument de Maurice Barrès », Le Figaro, no 357, , p. 1 (lire en ligne).
- Anna de Noailles, « À la mémoire d'une grande figure française : Pour le monument de Maurice Barrès », Le Figaro, no 358, , p. 1 (lire en ligne).
- Surdel 2006, p. 205.
- « Une lanterne des morts s'élevera sur la « colline inspirée » de Sion-Vaudémont », L'Ouest-Éclair, vol. 30, no 9830, , p. 1–2 (lire en ligne).
- Mathilde Labbé, « Les monuments de la nation littéraire (–) : La littérature mise en scène dans l'espace public », dans Carole Bisenius-Penin (dir.) et Jeanne E. Glesener (dir.), Narrations auctoriales dans l'espace public : Comment penser et raconter l'auteur ? (colloque international, Metz, Université de Lorraine, campus du Saulcy, – , organisé par le Centre de recherche sur les médiations (UR 3476, Université de Lorraine), et l'Université du Luxembourg), Nancy, PUN-Éditions universitaires de Lorraine, coll. « Questions de communication / Actes » (no 41), , 227 p. (ISBN 978-2-8143-0581-6, HAL halshs-03620465), p. 85–102.
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- Franc-Nohain, « L'âme de Maurice Barrès évoquée sur la colline inspirée », L'Écho de Paris, , p. 1 (lire en ligne).
- « À la mémoire de Maurice Barrès : Inauguration du monument de la colline de Sion », Journal des débats politiques et littéraires, , p. 3 (lire en ligne).
- Inauguration du monument élevé à la mémoire de Maurice Barrès, à Sion-Vaudémont, le dimanche (discours de MM. le maréchal Lyautey, Paul Bourget, Charles Moureu, Raymond Poincaré), Paris, Institut de France, Académie française, coll. « Institut » (no 17), , 42 p. (BNF 31127737).
- Frédéric Empaytaz (dir.), Chroniques barrésiennes, vol. 1 : Le , sur la colline inspirée, Paris, Le Rouge et le Noir, .
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- G.B., « Sur la colline de Sion-Vaudémont, l'inauguration du monument qui commémore la pensée de Maurice Barrès », L'Alsace française, vol. 8, no 40, , p. 797–808 (lire en ligne).
- André Mabille de Poncheville, Monts sacrés, Paris, La Renaissance du livre, coll. « L'Épopée de la Terre de France », , 253 p., p. 162 [lire en ligne].
- Inauguration du monument élevé à la mémoire de Maurice Barrès, à Sion-Vaudémont : Discours de Raymond Poincaré, sur le site de l'Académie française.
- « Discours prononcé le par M. Raymond Poincaré, président du conseil, ministre des finances, à l'inauguration du monument élevé à la mémoire de Maurice Barrès », Journal officiel de la République française, no 234, , p. 10838–10841 (lire en ligne).
- Inauguration du monument élevé à la mémoire de Maurice Barrès, à Sion-Vaudémont : Discours du maréchal Lyautey, sur le site de l'Académie française.
- Jean Lanher et Noëlle Cazin, Centre de recherche régionale universitaire (Université Nancy-II), Raymond Poincaré : Un homme d'État lorrain, – (16e Journées d'études meusiennes, Sampigny-Bar-le-Duc, – ), Bar-le-Duc, Société des lettres, sciences et arts de Bar-le-Duc, , 139 p. (ISBN 2-907708-01-5) : la gravure est en couverture de l'ouvrage.
- Marine Kisielp, « La gravure, un pan méconnu de l’œuvre d’Émile Friant », Nouvelles de l'estampe, no 235, , p. 14–23 (DOI 10.4000/estampe.1170).
- Surdel 2006, p. 204.
- Jean Bruchési, Jours éteints, Montréal, Librairie d'action canadienne-française, , « Un maître : Maurice Barrès », p. 221 et Jean Bruchési, « Un maître : Maurice Barrès », Le Canada, vol. 26, no 161, , p. 1 (lire en ligne).
- Charles Maurras, La contre-révolution spontanée : La recherche, la discussion, l'émeute, –, Lyon, H. Lardanchet, , 265 p. (BNF 34189822), p. 248–249 [lire en ligne].
- Léon Blum, « Le vrai monument de Maurice Barrès », Le Populaire, (lire en ligne).
- Michel Leymarie, Preuve par deux : Jérôme et Jean Tharaud, Paris, CNRS Éditions, , 399 p. (ISBN 978-2-271-07024-1), p. 112 [lire en ligne].
- Paul Souday, « Autour du monument Barrès », Le Temps, , p. 2 (lire en ligne), repris dans Les Livres du Temps, vol. 3, Paris, Émile-Paul frères, , 298 p., p. 188–197 [lire en ligne].
- François Le Grix, « La leçon de Sion-Vaudémont », La Revue hebdomadaire, vol. 37, no 39, , p. 620–629 (lire en ligne).
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- « 21 - À Vaudémont, sentier découverte : Une colline et des hommes », Randonnées nature en Meurthe-et-Moselle, conseil départemental de Meurthe-et-Moselle (version du sur Internet Archive).
- Maurice Barrès et Philippe Barrès (éditeur scientifique), Mes cahiers, vol. 10 : – , Paris, Plon, coll. « La Palatine », , p. 433.
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- Maurice Boissais (ill. Pierre Collot), À l'ombre du mirabellier, Paris, Éditions de l'amitié - G.T. Rageot, coll. « Heures joyeuses », , 245 p. (BNF 31835554), p. 76 [lire en ligne].
- Alsace, Lorraine, Vosges, Paris, Michelin, coll. « Guide de tourisme » (no 3), , 3e éd., 219 p. (ISBN 2-06-003724-7), p. 54.
- Arthur Bonnet, « La lanterne des morts de Sion-Vaudémont », La Croix de Saintonge et d'Aunis, , p. 2 (lire en ligne).
- Roland Engerand, « Barrès sur la colline inspirée », L'Illustration, no 4465, .
- Roland Engerand, L'Illustration, no 4475, .
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- Le Routard Lorraine –, Vanves, Hachette, coll. « Guide du routard », , 463 p. (ISBN 978-2-01-706849-5), p. 194 [lire en ligne].
- Site no 5455201 : Vaudémont I, IGN.
- « Site SION - VAUDEMONT [54001] », Fédération française de vol libre.
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Alain-Julien Surdel, « De Pierrepont à Sion : Le thème de la Lanterne des morts dans la commémoration lorraine après », Annales de l'Est, no 2 « Sion, une colline d'histoire », , p. 189–208.
Articles connexes
modifierLiens externes
modifier
- Ressources relatives à l'architecture :
- Ressource relative aux beaux-arts :