Mondragon
Mondragon | |||||
Porte du village. | |||||
![]() Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | ![]() |
||||
Région | Provence-Alpes-Côte d’Azur | ||||
Département | Vaucluse | ||||
Arrondissement | Carpentras | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Rhône Lez Provence | ||||
Maire Mandat |
Christian Peyron 2020-2026 |
||||
Code postal | 84430 | ||||
Code commune | 84078 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Mondragonnais, Mondragonnaises | ||||
Population municipale |
3 754 hab. (2018 ![]() |
||||
Densité | 92 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 14′ 21″ nord, 4° 42′ 49″ est | ||||
Altitude | 23 m Min. 34 m Max. 217 m |
||||
Superficie | 40,65 km2 | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Bollène | ||||
Législatives | Quatrième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : Provence-Alpes-Côte d'Azur
Géolocalisation sur la carte : Vaucluse
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
| |||||
modifier ![]() |
Mondragon est une commune française située dans le département de Vaucluse, en région Provence-Alpes-Côte d'Azur.
GéographieModifier
La commune de Mondragon est située au nord-ouest de Vaucluse.
AccèsModifier
La route nationale 7 est sans aucun doute la plus connue des routes qui traversent la commune. On trouve aussi les routes départementales 26, 44 et 152 qui arrivent toutes au bourg. La route départementale 12 traverse la commune à l'est sur un axe nord-sud.
L'autoroute la plus proche est l'autoroute A7 qui passe d'ailleurs sur la commune et la sortie 20 "Mondragon" existe dans sens sud-nord grâce au demi-échangeur entre Piolenc et Mornas. Les autres sorties les plus proches sont la sortie 19 au nord sur la commune voisine de Bollène et la sortie 21 au sud sur la commune d'Orange.
L'accès vers le sud peut se faire, au nord par l'échangeur de Bollène, au sud par le demi-échangeur de Piolenc (entre Mornas et Orange).
Relief et géologieModifier
La commune se situe entre le massif d'Uchaux à l'est et la vallée du Rhône à l'ouest. Son point le plus bas avec une altitude de 34 mètres est donc situé au sud-ouest de la commune et son point le plus haut, avec une altitude de 217 mètres, à l'est de la commune et du bourg.
Le massif d'Uchaux constitue une unité anticlinale dissymétrique axée est-ouest, à cœur crétacé, avec deux synclinaux, l'un au sud et l'autre au nord. Les sols de la commune au niveau du massif (à l'est du bourg) sont principalement composés de calcaires quartzeux, avec quelques sols marneux, sols gréseux et formations résiduelles ou faiblement remaniées, indifférenciées. La partie à l'ouest du bourg est une plaine alluvionnaire[1].
SismicitéModifier
Les cantons de Bonnieux, Apt, Cadenet, Cavaillon, et Pertuis sont classés en zone Ib (risque faible). Tous les autres cantons du département de Vaucluse sont classés en zone Ia (risque très faible). Ce zonage correspond à une sismicité ne se traduisant qu'exceptionnellement par la destruction de bâtiments[2].
HydrographieModifier
Selon un axe nord-sud, on trouve à l'ouest du bourg et en limite, le Rhône, puis le canal de Donzère-Mondragon, le Lez qui touche le bourg à l'ouest et enfin le canal de Pierrelatte qui le traverse. On trouve aussi sur la commune le ruisseau le Valadas (en bordure de commune au sud), un plan d'eau au niveau de l'Ile Vieille (au sud-ouest de la commune) et divers petits canaux d'irrigation.
Le Lez.
ClimatModifier
La commune dépend du centre météorologique d'Orange. Son climat est soumis à un rythme à quatre temps : deux saisons sèches (une brève en hiver, une très longue et accentuée en été), deux saisons pluvieuses, en automne (pluies abondantes et brutales) et au printemps[3]. Sa spécificité est son climat méditerranéen qui constitue un atout exceptionnel :
- le mistral assainit le vignoble et les cultures ;
- la saisonnalité des pluies est très marquée ;
- les températures sont très chaudes pendant l'été.
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Température minimale moyenne (°C) | 1,3 | 2,6 | 4,4 | 7,2 | 10,8 | 14,4 | 17 | 16,3 | 13,8 | 9,7 | 4,9 | 1,9 | 8,7 |
Température moyenne (°C) | 5,4 | 6,9 | 9,4 | 12,5 | 16,4 | 20,2 | 23,3 | 22,5 | 19,4 | 14,7 | 9,1 | 5,7 | 13,8 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,4 | 11,3 | 14,4 | 17,8 | 22,1 | 26,1 | 29,6 | 28,8 | 25 | 19,7 | 13,3 | 9,5 | 18,9 |
Ensoleillement (h) | 132 | 137,1 | 192,5 | 230,4 | 264,6 | 298,9 | 345,3 | 310,7 | 237,6 | 187,1 | 135,2 | 123,8 | 2 595,3 |
Précipitations (mm) | 44,4 | 57,5 | 61,1 | 58,9 | 72,4 | 43,6 | 27,8 | 56,3 | 67,6 | 97,4 | 57,7 | 48,9 | 693,4 |
Diagramme climatique | |||||||||||
J | F | M | A | M | J | J | A | S | O | N | D |
9,4 1,3 44,4 | 11,3 2,6 57,5 | 14,4 4,4 61,1 | 17,8 7,2 58,9 | 22,1 10,8 72,4 | 26,1 14,4 43,6 | 29,6 17 27,8 | 28,8 16,3 56,3 | 25 13,8 67,6 | 19,7 9,7 97,4 | 13,3 4,9 57,7 | 9,5 1,9 48,9 |
Moyennes : • Temp. maxi et mini °C • Précipitation mm |
Vaucluse | Massif d'Uchaux (Mondragon) | moyenne nationale | |
---|---|---|---|
Ensoleillement | 2 595 h/an | 2 800 h/an | 1 973 h/an |
Pluie | 693 mm/an | 700 mm/an (sur 80 jours) | 770 mm/an |
Neige | 4 j/an | 14 j/an | |
Vent | 110 j/an, essentiellement du mistral | ||
Orage | 23 j/an | 22 j/an | |
Brouillard | 31 j/an | 40 j/an |
Mois | Janv. | Fév. | Mars | Avr. | Mai | Juin | Juil. | Août | Sept. | Oct. | Nov. | Déc. | |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Records de températures minimales °C (Année) | -13,4 (1985) | -14,5 (1956) | -9,7 (2005) | -2,9 (1970) | 1,3 (1979) | 5,7 (1984) | 9,0 (1953) | 8,3 (1974) | 3,1 (1974) | -1,1 (1973) | -5,4 (1952) | -14,4 (1962) | |
Records de températures maximales °C (Année) | 20,3 (2002) | 23,0 (1960) | 27,2 (1990) | 30,7 (2005) | 34,5 (2001) | 38,1 (2003) | 40,7 (1983) | 42,6 (2003) | 35,1 (1966) | 29,6 (1985) | 24,6 (1970) | 20,2 (1983) | |
Source : https://www.linternaute.com/ville/ville/climat/25721/orange.shtml |
ToponymieModifier
Du latin Mons : Montagne, qui peut désigner une simple colline, en pays de plaine. Montdragon provient, plus précisément, d'un nom à valeur militaire, « mondraconis » (1137)[5].
HistoireModifier
Préhistoire et AntiquitéModifier
Des débris de céramiques néolithiques ont été trouvés dans la grotte de la Roque-Chien[6].
La colonisation romaine a laissé des traces importantes au quartier Saint-Jean. Outre différentes fondations aux murs arasés, y a été trouvée une statue d'un guerrier gaulois (1,8 mètre de haut) qui se trouve maintenant dans les collections du musée Calvet d'Avignon[6].
Moyen ÂgeModifier
En 1114, l'empereur Conrad II donna Mondragon, avec droits de haute et basse justice, à l'archevêque d'Arles et lui accorda le titre de prince du Saint-Empire[7],[8]. En 1143, Guillaume de Mondragon, fils de Dragonet, prêta hommage à l'archevêque[6].
Mais une charte du début du XIIe siècle indiquait que ce fief était sous la suzeraineté de Raymond de Toulouse, comte de Provence. Les Toulouse n'y reconnaissaient comme vassaux que les Dragonet, qui avaient donné leur nom à la colline sur laquelle avait été édifié leur castrum, le Mons Dragonis et que l'enclave de Derboux est une baronnie de la principauté d'Orange[7]. Une charte de la principauté d'Orange, datée de 1128 confirma que les feudataires de l'enclave de Derboux rendaient hommage au prince d'Orange[9]. La lutte d'influence entre le comte de Provence et l'archevêque d'Arles continua durant des siècles. En 1178, pour contrer la mainmise de l'archevêque, le comte de Toulouse donna Mondragon en paréage à plusieurs coseigneurs. Au XIVe siècle, ils étaient quatre : les Mondragon, les Cabris, les Montaigu et les Cavaillon[6].
En 1224, un Dragonet de Mondragon devint le podestat de la république d'Arles pour une durée de trois ans[7]. La présence pontificale à Avignon atténua le conflit entre la première maison d'Anjou qui avait pris la responsabilité du comté et les archevêques. Pour calmer les tensions, les Chalon, qui ont succédé à la maison des Baux comme princes d'Orange, nommèrent comme barons des Derboux des seigneurs de Mondragon. Ce fut le cas de Bertrand de Cabris qui en rendit hommage en 1404[9].
RenaissanceModifier
Cette politique d'apaisement continua au siècle suivant, puisqu'en 1510 Derboux fut donné en fief à Almaric et Dragonnet de Mondragon qui en rendirent hommage au prince d'Orange[9].
En 1536, quand Charles Quint envahit la Provence, les parlementaires d'Aix se réfugièrent à Mondragon[10]. La même année, François Ier annexa la principauté au royaume de France. François II reporta cette décision en 1560 et les coseigneurs continuèrent à porter le titre de prince jusqu'à la Révolution[9].
Au cours du XVIIe siècle, les seigneurs de Suze et de Rochegude s'ajoutèrent à la liste des tenants fief à Mondragon[6]. Derboux fut donné en fief à Paul de Mistral qui en rendit hommage en 1619[9].
Période moderneModifier
En 1710, les deux syndics qui dirigeaient la principauté au nom de l'archevêque d'Arles et des autres coprinces laïcs, se donnèrent le qualificatif de maires et de consuls[10]. Dix-sept ans plus tard, six coseigneurs se partageaient le titre de prince de Mondragon, l'archevêque d'Arles, le marquis de Coulanges, le baron de Mantin, Pierre de Binard, le marquis de Fogasses et les héritiers de François Le Centenier. Le dernier baron de Derboux fut Gaspard Marie de Mansin de Guyon de Saint-Marcel, colonel de la cavalerie pontificale, qui en rend hommage en 1775[9].
Le fut créé le département de Vaucluse, constitué des districts d'Avignon et de Carpentras, mais aussi de ceux d'Apt et d'Orange, qui appartenaient aux Bouches-du-Rhône, ainsi que du canton de Sault, qui appartenait aux Basses-Alpes.
Au XIXe siècle, dans la plaine alluvionnaire le long du Rhône, la commune produisait du blé, de la garance, des légumes et des cocons de vers à soie. Dans les collines, sur la partie est du territoire communal, des mines de lignite étaient exploitées ainsi que des carrières fournissant du grès[7].
Période contemporaineModifier
L’appellation côtes-du-rhône fut acquise dès 1937, puis, en 1983, les vins de la commune purent postuler à l'appellation côtes-du-rhône villages. Ce fut enfin le , que ce terroir accéda au classement en côtes-du-rhône villages avec nom géographique massif-d'uchaux.
HéraldiqueModifier
Les armes peuvent se blasonner ainsi : D'argent au monde d'azur, ceintré et croisé d'or. Devise : concordia amica pacis (la concorde est l'amie de la paix).
|
Politique et administrationModifier
Tendances politiques et résultatsModifier
Liste des mairesModifier
Fiscalité localeModifier
Taxe | part communale | Part intercommunale | Part départementale | Part régionale |
---|---|---|---|---|
Taxe d'habitation (TH) | 8,80 % | 0,00 % | 7,55 % | 0,00 % |
Taxe foncière sur les propriétés bâties (TFPB) | 10,32 % | 0,00 % | 10,20 % | 2,36 % |
Taxe foncière sur les propriétés non bâties (TFPNB) | 40,41 % | 0,00 % | 28,96 % | 8,85 % |
Taxe professionnelle (TP) | 21,88 %* | 0,00 % | 22,59 % | 3,84 % |
La part régionale de la taxe d'habitation n'est pas applicable.
La taxe professionnelle est remplacée en 2010 par la cotisation foncière des entreprises (CFE) portant sur la valeur locative des biens immobiliers et par la contribution sur la valeur ajoutée des entreprises (CVAE) (les deux formant la contribution économique territoriale (CET) qui est un impôt local instauré par la loi de finances pour 2010[15]).
DémographieModifier
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. À partir de 2006, les populations légales des communes sont publiées annuellement par l'Insee. Le recensement repose désormais sur une collecte d'information annuelle, concernant successivement tous les territoires communaux au cours d'une période de cinq ans. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[16]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[17].
En 2018, la commune comptait 3 754 habitants[Note 1], en augmentation de 0,24 % par rapport à 2013 (Vaucluse : +1,79 %, France hors Mayotte : +2,36 %).
ÉconomieModifier
TourismeModifier
Le tourisme joue un rôle dans l'économie locale comme le montrent les chambres d'hôtes, hôtels et le camping.
Chaque année, une fête médiévale est organisée par le comité des fêtes. Cette fête, qui perdure depuis plus de 49 ans est nommée fête du Drac.
En voici la légende : Il était une fois dans un village du bord du Rhône, un dragon qui hantait le fleuve. Il apparaissait de temps en temps et faisait disparaître des jeunes filles... Toute la journée on s'amuse, on se balade dans le marché médiéval, on traverse le camp de guerriers, on l'attend ! A la tombée de la nuit, défilé de chars, joyeuses bandes de saltimbanques, jongleurs, acrobates, musiciens, danseurs, et chevaliers, et enfin le dragon... vert de toutes les algues millénaires qui le recouvrent, des yeux jetant des flammes, une crête dorsale sur un corps très long terminé par une queue de serpent. Il traverse la ville, fier de l'hommage qui lui est rendu.
La fête du Drac se caractérise par la participation de nombreux villageois en tant que créateurs d'animation mais aussi en tant que figurants dans la journée et pendant le défilé. Des troupes professionnelles nous aident à plonger le village dans une ambiance médiévale : campements, jeux en bois, déambulations d'échassiers et de troupes musicales, lanceurs de drapeaux, gueux, et bien d'autres...
Vers 22 h, le défilé aux flambeaux prend place et arpente les rues du village. bourgeois, paysans, chevaliers, elfes, gueux, musiciens...
AgricultureModifier
Le vignoble produit des vins classés en massif-d'uchaux (AOC). Ceux qui ne sont pas en appellation d'origine contrôlée peuvent revendiquer, après agrément, le label vin de pays de la Principauté d'Orange.
Lavandes et lavandins sont cultivés sur les contreforts septentrionaux des collines.
Culture locale et patrimoineModifier
CultureModifier
- À la fin de la pièce Ubu roi (1896) d'Alfred Jarry, c'est au château de Mondragon que le père Ubu choisit de se retirer[20]. En effet, Charles Morin (auteur avec son frère Henri du texte initial, Les Polonais[21]) fut élève du collège d'Arles, et connaissait le château[22].
- Un épisode de Minuscule : la Vie privée des insectes (saison 2, épisode 1) a été tourné à Mondragon.
Patrimoine civilModifier
- Le château de Mondragon, situé sur la colline au-dessus du village.
- L'hôtel de Suze (XIVe siècle). Façade de style Renaissance avec fenêtres à meneaux.
- Les vestiges du château des Dragonet (XIIe siècle).
- Le village se tourne résolument vers l'avenir et de vastes parties du village sont remplacés par une architecture contemporaine sous l’impulsion de la municipalité et sans demander aux villageois leur avis, c'est de cette façon que le Patrimoine du village disparait progressivement au début du 21eme siècle.
Patrimoine religieuxModifier
- L'église Saint-Trophime de Mondragon ;
- La Chapelle des Pénitents blancs ;
- La chapelle Notre-Dame-des-Plans ;
- La chapelle de Derboux.
Équipements ou ServicesModifier
EnseignementModifier
La commune possède une école primaire publique Jean-Moulin. Ensuite les élèves vont au collège Paul-Éluard à Bollène [23] puis au lycée Lucie-Aubrac à Bollène [24].
SantéModifier
On trouve sur la commune des médecins, une pharmacie, etc.
Les hôpitaux les plus proches sont à environ cinq kilomètres, à Bollène et à Pont-Saint-Esprit.
Vie localeModifier
CultesModifier
La paroisse catholique fait partie du diocèse d'Avignon, doyenné d'Orange Bollène[25].
EnvironnementModifier
La communauté de communes Rhône-Lez-Provence a dans ses compétences la « Protection et mise en valeur de l'environnement ». On trouve sur la commune une déchèterie.
Personnalités liées à la communeModifier
- Antoine-Joseph Augier, ancien député de Vaucluse au conseil des Anciens, né à Mondragon en 1728. Grand-père de Victor Augier.
- Jean-Jacques Reboul, ancien député de Vaucluse, né à Mondragon en 1781.
Notes et référencesModifier
NotesModifier
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2021, millésimée 2018, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2020, date de référence statistique : 1er janvier 2018.
RéférencesModifier
- [PDF] Ministère de l'Industrie et de l'aménagement du territoire - étude préliminaire d'un gisement de sable dans le massif d'Uchaux (Vaucluse).
- Zonage sismique règlementaire de la France, classement des cantons (découpage fin 1989) de la région PACA, page 48
- La climatologie du Vaucluse
- Relevés météorologiques d'Orange, (Vaucluse), de 1961 à 1990
- de A. Dauzat et Ch. Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France
- Robert Bailly, op. cit., p. 276.
- Jules Courtet, op. cit., p. 226.
- É. Baratier, G. Duby et E. Hildelsheimer, Atlas historique de Provence, Paris, 1969.
- Robert Bailly, op. cit., p. 277.
- Jules Courtet, op. cit., p. 227.
- « Les maires de Mondagon - Liste des maires depuis la Révolution française », sur mairie-mondragon84.fr
- Jean-Jacques Reboul, maire de Mondragon
- La fiche biographique de FAURITTE Léopold sur le Maitron en ligne
- « Impôts locaux à Mondragon », taxes.com
- Loi n° 2009-1673 du 30 décembre 2009 de finances pour 2010 (Légifrance)
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017 et 2018.
- Alfred Jarry, Ubu roi, sur gallica.bnf.fr, Paris, Mercure de France, 1896, acte V, scène 4, p. 169.
- Charles et Henri Morin ont écrit ensemble Les Polonais, une tragédie parodique dont le héros s'inspire de leur professeur de physique au lycée de Rennes, Félix-Frédéric Hébert, dit le « père Ébé », ou le « père Héb », ou « le P. H. ». Un condisciple d'Henri, Alfred Jarry, eut l'idée de faire jouer la pièce, d'abord sur un théâtre amateur, puis en théâtre de marionnettes, puis en théâtre d'ombres. Quelques années plus tard, il la fit représenter sur une scène parisienne en changeant les noms des personnages. Le père Ébé devint le père Ubu, et Les Polonais devint Ubu roi.
- Charles Chassé, Sous le masque d'Alfred Jarry : les sources d'Ubu-Roi, Paris, Floury, 1921, p. 51.
- carte scolaire 2009
- Éducation en Vaucluse
- doyenné d'Orange-Bollène
BibliographieModifier
- Jules Courtet, Dictionnaire géographique, géologique, historique, archéologique et biographique du département du Vaucluse, Avignon, 1876.
- Robert Bailly, Dictionnaire des communes du Vaucluse, Éd. A. Barthélemy, Avignon, 1986. (ISBN 2903044279)
Pour approfondirModifier
Articles connexesModifier
- Liste des communes de Vaucluse
- Arrasate (Mondragon du Pays basque)
- Massif-d'uchaux (AOC)
- Sentier de grande randonnée GR 4