Discussion:Ludovic Sforza

Dernier commentaire : il y a 8 mois par 2A01:CB08:A7:BC00:B4C8:94D7:36C7:2AE9 dans le sujet Correction erreur "Blockquote"
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Il n'a pas été trahi par ses mercenaires suisses mais par un seul d'entre eux, les suisses quittant la ville l'avaient caché parmi eux...
Signé : 85.0.34.104 le 3 septembre 2006 à 16:36

Proposition AdQ supprimée. Je propose au label Bon Article, le 14/06/2009. ℍenry (Jaser !) 14 juin 2009 à 14:37 (CEST)Répondre

Enfants illégitimes: Dates? modifier

D'après Commynes, le mariage de « Galéas de Saint-Severin » (Galeazzo di Sanseverino) et de « la bastarde du seigneur Ludovic » (Blanche/Bianca) avait déjà eu lieu en 1494, lors de la première des guerres d'Italie (Charles VIII): voir Mémoires, l. VII, ch. IX, al. 6. -- Tonymec 20 août 2007 à 00:47 (CEST)Répondre

Bonjour Antoine ! Je tiens l'info de Genealogy.euweb.cz, ici, enfant C4 qui dit 1496. Je n'ai pas le Commines. Je sais qu'à cette époque, les enfants étaient promis très jeunes et effectivement considérés comme mariés, peut-être avec une cérémonie religieuse. C'est le cas de Catherine Visconti (1342-1382), mariée 3 fois, dont la première en 1342 avec Berthold Ier d'Este ! Au vu de ce que j'ai pu lire sur d'autres personnages, le mariage des enfants était renouvelé à leur majorité, soit treize ans, avec cérémonie religieuse aussi. Est-ce ce mariage d' adultes dont fait état Genealogy.euweb.cz alors que Commines fait état d'un mariage d' enfants ? Qu'en penses-tu ? Cordialement, ℍenry (Jaser !) 21 août 2007 à 15:15 (CEST)Répondre

Bon article modifier

Tombe ? modifier

N'ayant qu'un seul mausolée vide, sa tombe a peut-être été retrouvée. À suivre. Salsero35 11 juin 2019 à 15:11 (CEST)Répondre

Transfert depuis le corps de l'article, de ce qui n'est encore qu'une spéculation. "En 2019 des fouilles sont organisées par le service départemental d'Indre et Loire dans la collégiale Saint-Ours[1], dans le but de localiser une possible sépulture de Ludovic Sforza, que des sources du XVIème et XVIIème siècles notamment François de Belleforest situent dans l'église. Ces fouilles mettent à jour de nombreuses sépultures dont une qui pourrait contenir les restes de Ludovic Sforza. Les résultats de ces fouilles n'ont pas encore été publiés.[2]". Salsero35 11 juin 2019 à 15:18 (CEST)Répondre
  1. Château de Loches, « Fin des fouilles dans la collégiale Saint-Ours », (consulté le )
  2. « Mais où est passé Sforza ? », sur France Culture (consulté le )

Contexte historique modifier

Le contenu ci dessous n'a que peu ou rien à voir avec la biographie de Ludovico et est définitivement trop lourd pour être au début. Je l'ai donc supprimé et déplacé ici au cas où quelqu'un voudrait l'ajouter dans une autre entrée ou en créer une séparée:

Géographie de l'Italie modifier

 
L'Italie du Nord en 1494

Dans cette seconde partie du XVe siècle, le Quattrocento, l'Italie est morcelée en États, souvent des fiefs impériaux dans le nord de la péninsule, de diverses tailles allant de la minuscule république de Saint-Marin n'occupant que 61 km²[1] dans l'est des Apennins jusqu'à l'imposant royaume des Deux-Siciles réunifié en 1442 et gouvernant toute l'Italie du Sud et la Sicile[2].

Le duché de Milan se situe au centre de l'Italie du Nord, de chaque côté de la partie médiane de la vallée du , bordé, au nord, par les massifs méridionaux des Alpes, les Alpes lépontines, et, au sud, par les hauteurs occidentales des Apennins, les Alpes Apuanes.

Les États limitrophes du duché sont, au nord la Confédération des VIII cantons suisses, au nord-est la principauté épiscopale de Trente, fief du Saint-Empire romain germanique, à l'est la République de Venise et le marquisat de Mantoue des Gonzague, au sud-est le duché de Modène et Reggio entre les mains de la maison d'Este avec celui de Ferrare, au sud la République de Gênes à cette époque sujette du duché de Milan, à l'ouest le marquisat du Montferrat des Paléologues et au nord-ouest le duché de Savoie.

Le duché fait partie des États « majeurs » de la péninsule qui sont, essentiellement, la Savoie, Venise, la république de Florence régie par la famille Médicis, le royaume des Deux-Siciles aux mains de la couronne d'Aragon ainsi que les États pontificaux, propriété du pape qui mêle sa voix importante au chapitre. Au second plan dans le « concert des grandes puissances », se trouvent Mantoue, Montferrat, Modène et Ferrare. Enfin, nettement en retrait, le marquisat de Saluces, la République de Lucques et celle de Sienne ne se font guère entendre.

La cité de Milan, avec 120 000 habitants, est la plus peuplée de la péninsule, devant Florence et Venise qui comptent 100 000 âmes. Les villes de Gênes, Mantoue, Naples et Bologne, possession papale, comptent, quant à elles, environ 50 000 habitants tandis que Rome n'atteint pas ce chiffre[3].

Seule possession « étrangère » dans le nord de la « botte », le duché d'Asti, enserré entre Savoie et Montferrat, est un fief français des Valois-Orléans depuis 1389, apporté en dot par Valentine Visconti lors de son mariage, le , avec Louis de France, duc d'Orléans[4].

À Trets, depuis 1450, la famille Sforza a supplanté, à la tête du gouvernement du duché, les Visconti en place depuis 1277. Après la brève expérience de la République ambrosienne (1447-1450), les Milanais ont fait appel, pour prendre les rênes de la cité, au condottiere Francesco Sforza, époux, depuis 1441, de Blanche Marie Visconti, l'unique descendante en ligne directe du dernier duc viscontien.

Société modifier

Tous ces États ne sont ni fédérés ni autarciques et ont des relations qui vont des guerres territoriales, selon les appétits des uns et les périodes de faiblesse des autres, jusqu'aux échanges culturels comme les prêts d'artistes. C'est, en effet, la période de la première Renaissance italienne, un véritable bouillonnement culturel, qui voit s'affirmer au premier plan, en matière d'art, les cités de Venise, Florence, Milan, Rome et Mantoue pour ne citer que les plus émergentes. On assiste à une véritable compétition des cités-États qui s'offrent les services d'artistes aux noms prestigieux. Ce sont[5],[6] les peintres Fra Angelico (1387-1455) à Rome et Florence, Paolo Uccello (1397-1475) à Florence, Domenico Veneziano (ca 1400-1461) à Venise, Piero della Francesca (1412/20-1492) à Florence, Ferrare, Venise, Urbino et Rome, Giovanni Bellini (ca 1425/33-1516) à Venise, Andrea Mantegna (ca 1431-1506) à Mantoue, Sandro Botticelli (1445-1510) à Florence et Rome, Le Pérugin (ca 1448-1523) à Pérouse, les sculpteurs Donatello (ca 1386–1466) à Florence, Mino da Fiesole (ca 1429-1484) également à Florence, et les architectes Filippo Brunelleschi (1377-1446) à Florence, Leon Battista Alberti (1404-1472) à Rimini, Florence et Rome, Bramante (1444-1514) à Milan et Rome ainsi que l'ingénieur, peintre et architecte Francesco di Giorgio Martini (1439-1502) à Milan et Sienne sans oublier le surdoué Léonard de Vinci (1452-1519), peintre, sculpteur, architecte, ingénieur à Milan puis en France. Les Italiens s'illustrent également sur les mers avec le Génois Christophe Colomb (1451-1506) qui découvre les Amériques le et le Florentin Amerigo Vespucci (1454-1512) qui laisse son prénom au continent nouvellement découvert. Par ailleurs, Ludovic Sforza est toujours au courant des nouveautés artistiques florentines comme en témoigne un rapport sur les peintres célèbres de Florence qui a été rédigé par un agent de Ludovic. — Le message qui précède, non signé, a été déposé par Beaest (discuter), le 1 février 2022 à 21:20 (CET)Répondre

Surnom exact ? modifier

Le titre de l'article est Ludovic Marie Sforza dit le More. Or dans l'article, Ludovic Sforza est surnommé six fois le Maure. Je pense qu'il serait souhaitable de n'avoir qu'un seul surnom. A noter que le Larousse n'utilise que le More.
Arizonaman1 (discuter) 19 février 2022 à 17:00 (CET)Répondre

Modification effectuée.
Arizonaman1 (discuter) 18 mars 2022 à 10:15 (CET)Répondre

Correction erreur "Blockquote" modifier

Bonjour, L'article est rempli de référence vers des Modèle:Blockquote mais qui n'existe pas en français. Je suppose que ce sont des erreurs de traduction. Comme beaucoup de personnes sont actives sur cette article, je vous invite a faire les corrections. Arthirob (discuter) 6 mars 2022 à 13:19 (CET)Répondre

Bonsoir Arthirob.
Merci d'avoir attiré l'attention sur ce problème. Il s'agit du modèle anglais "blockquote" qui doit être noté "citation" dans l'éditeur français. Je viens de procéder aux modifications.
Cordialement Arizonaman1 (discuter) 6 mars 2022 à 20:12 (CET)Répondre

-- Traduction maladroite de l'italien ? Le passage suivant est incompréhensible :

"Origine du surnom Moro (...) La solution à ce mystère est techniquement fournie par le chroniqueur contemporain Gian Andrea Prato, qui combine les deuxième et troisième points81 :

C’était ce Signor Ludovico Sforza avec la négligence de la couleur surnommée Moro; ainsi séduit initialement par son père Francesco et sa mère Bianca, Duchi de Milano, dans les premières années, alors qu’avec lui encore un enfant, raisonnant légèrement qu’ils plaisantaient. — Giovanni Andrea Prato, Cronaca milanese" --2A01:CB08:A7:BC00:B4C8:94D7:36C7:2AE9 (discuter) 30 juillet 2023 à 13:37 (CEST)Répondre


  1. « Saint-Marin - Géographie physique », Étudiants du Monde / Students of the World, (consulté le )
  2. « Le Royaume de Naples sous les Anjou et les Aragon », Maison Royale de Bourbon des Deux-Siciles (consulté le )
  3. Philippe Jansen, « Échec et réussite d’une métropolisation en Italie à la fin du Moyen Âge : étude comparée des cas ligure et marchésan », (consulté le )
  4. Serge Jodra, « Monuments et Lieux d'histoire - Asti », Imago Mundi, (consulté le )
  5. « La peinture de la Renaissance - Le Quattrocento », Animation Renaissance Amboise, (consulté le )
  6. « La peinture de la Renaissance - Le Quattrocento à Sienne et à Venise », Animation Renaissance Amboise, (consulté le )
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