Barbey-Seroux

commune française du département des Vosges

Barbey-Seroux
Barbey-Seroux
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Vosges
Arrondissement Saint-Dié-des-Vosges
Intercommunalité Communauté d'agglomération de Saint-Dié-des-Vosges
Maire
Mandat
Bernard Liegeois
2020-2026
Code postal 88640
Code commune 88035
Démographie
Gentilé Barbey-Serouxois(es)
Population
municipale
144 hab. (2021 en augmentation de 0,7 % par rapport à 2015)
Densité 20 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 08′ 33″ nord, 6° 50′ 24″ est
Altitude 600 m
Min. 545 m
Max. 870 m
Superficie 7,32 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Gérardmer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Gérardmer
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Barbey-Seroux
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Barbey-Seroux

Barbey-Seroux ([baʁbɛsʁu] Écouter) est une commune française située dans le département des Vosges en région Grand Est.

Ses habitants sont appelés les Barbey-Serouxois à la suite d'une décision du conseil municipal en juillet 2016.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune est située à flanc de coteau dans la vallée de la Vologne, à 13 km de Gérardmer et à 13 km de Bruyères.

On y accède par la départementale 31 reliant Granges-sur-Vologne à Corcieux par le col des Arrentès (684 m). L'altitude culmine à 870 m et le point le plus bas est à 545 m.

Géologie et relief modifier

 
La scierie.

La forêt occupe 91 hectares et la densité de population n'est que de 16 hab./km². La principale entreprise locale est une scierie. Lieu de tranquillité et de verdure, la commune offre un terrain de camping et deux centres de colonies de vacances. C'est une des 201 communes du parc naturel régional des Ballons des Vosges, réparties sur quatre départements : les Vosges, le Haut-Rhin, le Territoire de Belfort et la Haute-Saône[1].

La commune compte plusieurs hameaux : Au-Delà-de-l'Eau, le Champ-de-l'Épine et la Grande-Roche. Elle possède également un nombre important de censes, dispersées dans tout le territoire communal, dont voici une liste non exhaustive : le Bas-Béninfaing, la Behaie, Chababois, la Cire-au-Soleil, la Creuse, Derrière-Hompont, Devant-l'Aile, l'Étang-d'Oron, Flandimpré, Frémois, Giropaire, le Haut-Béninfaing, le Haut-Bois, Herqueville, Hompont, Maillegoutte, le Pinchesté, le Pré-de-Vologne, le Rond-Pré, les Tronces, la Vieille-Grange, le Vieux-Pré, etc[2]. Ces censes, qui datent pour la plupart des XVIIIe et XIXe siècles, sont classées comme Patrimoine Historique[3].

Communes limitrophes modifier

Hydrographie et les eaux souterraines modifier

Hydrogéologie et climatologie : Système d’information pour la gestion des eaux souterraines du bassin Rhin-Meuse :

Territoire communal : Occupation du sol (Corinne Land Cover); Cours d'eau (BD Carthage),
Géologie : Carte géologique; Coupes géologiques et techniques,
Hydrogéologie : Masses d'eau souterraine; BD Lisa; Cartes piézométriques.

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau la Corbeline et le ruisseau de l'Etang d'Oron[4],[Carte 1].

 
Réseaux hydrographique et routier de Barbey-Seroux.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Vosges, caractérisée par une pluviométrie très élevée (1 500 à 2 000 mm/an) en toutes saisons et un hiver rude (moins de °C)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 8,3 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 491 mm, avec 13,9 jours de précipitations en janvier et 11,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Gérardmer », sur la commune de Gérardmer à 8 km à vol d'oiseau[7], est de 9,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 797,3 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 37 °C, atteinte le ; la température minimale est de −20,5 °C, atteinte le [Note 1],[8],[9].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[10]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Barbey-Seroux est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[12],[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Gérardmer, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 13 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (89,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (89,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (89,6 %), prairies (8,9 %), terres arables (1,5 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

La commune est née de la fusion de deux villages : Barbey et Seroux. Le toponyme de Seroux semble attesté depuis 1457. Certains pensent que le hameau de Barbey, ou Barbay, tire son origine d'une famille de la noblesse lorraine, originaire du village de Barbas, auquel on a ajouté les finales -ey[18].

Histoire modifier

 
La broderie à Barbey-Seroux (carte postale Adolphe Weick)

Sous l'Ancien Régime, la seigneurie appartenait au duc de Lorraine et aux seigneurs de Barbay. Seroux constitue le centre du village, encore à ce jour. Deux titres, datant de 1615 et de 1698, établissent les droits d'usages des habitants dans les forêts de Nayemont et de Lenvergoutte[2].

En 1710, la commune ressortissait au bailliage de Bruyères. En 1751, elle dépendait du bailliage de Bruyères et de la maîtrise de Saint-Dié (coutume de Lorraine), avant de dépendre, pendant la Révolution, du district de Bruyères, canton de Granges.

Au spirituel, Barbey-Seroux dépendait de la paroisse de Granges, annexe de Champs, doyenné d'Épinal, diocèse de Toul puis de Saint-Dié.

Politique et administration modifier

Budget et fiscalité 2022 modifier

 
La mairie.

En 2022, le budget de la commune était constitué ainsi[19] :

  • total des produits de fonctionnement : 133 000 , soit 878  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 100 000 , soit 663  par habitant ;
  • total des ressources d’investissement : 203 000 , soit 1 346  par habitant ;
  • total des emplois d’investissement : 172 000 , soit 1 138  par habitant.
  • endettement : 195 , soit 1 288  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d’habitation : 23,66 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 38,00 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 20,26 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2021 : médiane en 2021 du revenu disponible, par unité de consommation : 20 510 [20].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs depuis 1945
Période Identité Étiquette Qualité
    Marcel Colin    
         
mars 1977 juin 1995 Paul Carillon (1926-2010) DVD Ouvrier textile
juin 1995 mars 2001 Jean-Pierre Remy   Gérant de scierie
mars 2001 juin 2018 Fabien Jakuboye (°1969) LR Salarié du secteur médical, démissionnaire
juin 2018 En cours Bernard Liegeois (°1952)   Retraité

Jumelage modifier

Au 25 novembre 2020, Barbey-Séroux n'était jumelée avec aucune commune[21].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[23].

En 2021, la commune comptait 144 habitants[Note 4], en augmentation de 0,7 % par rapport à 2015 (Vosges : −3,05 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1856
396403358400495602628627540
1861 1866 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
563560501487463447389367388
1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
350265257241208187174138121
1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020
109111115116127131141143143
2021 - - - - - - - -
144--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

L'enseignement était assuré depuis au moins 1845 par une école mixte, pouvant contenir 100 élèves. Elle se situait à Chababois. Celle-ci n'est plus en activité, étant donné que la population a été divisée par deux depuis le début du XXe siècle.

Établissements d'enseignements[26] :

  • Écoles maternelles et primaires à Granges-Aumontzey, Corcieux, Gerbépal, Gérardmer.
  • Collèges à Corcieux, Gérardmer, Le Tholy, Fraize, Bruyères.
  • Lycées à Gérardmer, Bruyères.

Santé modifier

Professionnels et établissements de santé[27] :

  • Médecins à Granges-sur-Vologne, Corcieux, Gérardmer, Laveline-devant-Bruyères, Le Tholy.
  • Pharmacies à Granges-sur-Vologne, Gérardmer, Le Tholy, Xonrupt-Longemer, Bruyères, Fraize.
  • Hôpitaux à Gerbépal, Gérardmer, Bruyères, Fraize.

Cultes modifier

Économie modifier

Entreprises et commerces modifier

Agriculture modifier

  • La principale activité du village était l'agriculture, jusqu'à il y a peu.
On y cultivait surtout le seigle, l'avoine, la pomme de terre et le lin, mais on produisait également du chanvre, du foin, et de l'huile[2]. Un moulin fournissait la farine et un four communal était disposé à proximité de Béninfaing.

Tourisme modifier

  • Hébergements et restauration à Barbey-Seroux, Arrentès-de-Corcieux, Granges-sur-Vologne, Corcieux[29].

Commerces modifier

  • Commerces et services de proximité à Plainfaing, Corcieux, Bruyères, Gérardmer[30].
  • Il faut souligner également l'importance de la carrière de granite de Barbey-Seroux[31].
Celle-ci est située à proximité du hameau des Tronces, où un nombre important de carriers venant des villages voisins travaillaient. Cette carrière attirait beaucoup de travailleurs, et à la fin du XIXe siècle, on peut remarquer sur la commune un nombre important d'immigrés belges venus y travailler. On y fabriquait essentiellement des pavés[32].
  • Le textile eut aussi son importance au XXe siècle, ainsi que le travail du bois.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Le Champ de Roches de Barbey-Seroux.

Outre ses fermes et ses censes, l'intérêt de Barbey-Seroux réside surtout en un extraordinaire champ de roches[33], situé sur les hauteurs de la commune et dont l'origine est encore énigmatique. Des blocs de granite de forte taille, de l'ordre du mètre, sont finement agencés pour former un rectangle de 400 mètres sur 40, légèrement incliné vers le nord-ouest et que la végétation n'a pas réussi à coloniser au fil des millénaires. L'action des glaciers est l'hypothèse la plus partagée quant à la constitution de cette curiosité. Pourtant l’origine du champ de roches suscite des interrogations car les pierres ne présentent pas de traces de frottement ; elles n’ont donc parcouru qu’une faible distance lors de l’avancée des glaciers. De plus, elles ne semblent pas avoir été arrachées aux massifs voisins. La fonte brutale d'un glacier puissant pourrait en être l'explication.

La tradition populaire, quant à elle, donne une autre explication. À l'époque où Barbey et Seroux étaient encore deux villages, ce champ de granite était une clairière où se rendaient les sorcières pour faire leur sabbat. Curés, contre-sorciers et d'autres furent envoyés pour tenter de trouver une solution à cette situation. Un jour le curé de Granges-sur-Vologne invoqua le saint-patron de son église, saint Georges, qui apparut un soir de sabbat dans le ciel et pétrifia les sorcières sur place, donnant ainsi naissance au Champ de Roches[34].

C'est l'un des douze sites ayant bénéficié d'une aide financière du conseil général pour être protégés et aménagés pour un accueil pédagogique du public. Un circuit de découverte a été balisé.

Début 2017, la commune est « réputée sans clochers »[35].

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Liens externes modifier

Le patrimoine de la commune sur www.pop.culture.gouv.fr/

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Barbey-Seroux » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Liste des 201 communes adhérentes au parc naturel régional des ballons des Vosges, 3e Charte 2012 - 2024
  2. a b et c Villes et villages du département des Vosges, Henri Lepage, 1845
  3. Site Patrimoine de France
  4. « Fiche communale de Barbey-Seroux », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines Rhin-Meuse (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Barbey-Seroux et Gérardmer », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Gérardmer », sur la commune de Gérardmer - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Gérardmer », sur la commune de Gérardmer - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le ).
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le ).
  12. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  14. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Gérardmer », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Toponymie générale de la France, volume III : Formations dialectales (suite) et françaises, Ernest Nègre, 1998
  19. Les comptes de la commune
  20. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  21. « Atlas français de la coopération décentralisée et des autres actions extérieures » sur le site du Ministère des Affaires étrangères.
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Établissements d'enseignements
  27. Professionnels et établissements de santé
  28. Paroisse Notre-Dame-de-la-Corbeline
  29. Hébergements et restauration
  30. Le cadre de vie des Territoires
  31. Le granite de Barbey-Seroux, pages 18 et 19
  32. Archives départementales des Vosges
  33. Une rivière de roches au cœur de la forêt
  34. La Lorraine sorcière. Histoire, légendes et croyances, Roger Maudhuy, 2010
  35. « Recherches sur critères », Clochers de France.