Yviers
Yviers est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).
Yviers | |||||
L'église Notre-Dame d'Yviers. | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Charente | ||||
Arrondissement | Angoulême | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Lavalette Tude Dronne | ||||
Maire Mandat |
Vincent Guglielmini 2020-2026 |
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Code postal | 16210 | ||||
Code commune | 16424 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Yviérois | ||||
Population municipale |
535 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 24 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 16′ 33″ nord, 0° 00′ 13″ ouest | ||||
Altitude | Min. 48 m Max. 147 m |
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Superficie | 22,56 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Tude-et-Lavalette | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Charente
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Géographie
modifierLocalisation et accès
modifierYviers est une commune du Sud Charente limitrophe de la Charente-Maritime et proche du département de la Dordogne, située à 3,5 km à l'ouest de Chalais et 44 km au sud d'Angoulême.
Le bourg d'Yviers est aussi à 7 km au sud-est de Brossac, 16 km au nord-est de Montguyon, 25 km au sud-est de Barbezieux, 27 km à l'ouest de Ribérac et 66 km au nord-est de Bordeaux[2].
Il n'est qu'à 3 km de la D 674, route d'Angoulême à Libourne qui passe à Chalais. La D 731, route de Chalais à Barbezieux et Cognac, passe en limite nord-est de la commune.
Le bourg est desservi par la D 134, qui traverse la commune d'est en ouest et va à Chalais. La D 20, route qui va de Chalais à Rioux-Martin et Boscamnant, passe en limite sud de commune. La D 191 passe en limite ouest de la commune, dans la forêt, et va de Brossac à Mélac près de Sauvignac[3].
La gare la plus proche est celle de Chalais, desservie par des TER à destination d'Angoulême et de Bordeaux.
Hameaux et lieux-dits
modifierL'habitat est assez dispersé, et de nombreuses fermes et hameaux sont disséminés sur la commune, principalement au pied de la forêt à l'ouest du bourg.
Parmi les hameaux les plus importants, on peut citer chez Parlant au sud, les Gorces et les Foucaudes au nord[3].
Communes limitrophes
modifierGéologie et relief
modifierCommune d'une grande superficie, sa moitié occidentale est occupée par la forêt de la Double, composée principalement de pins maritimes. La moitié orientale est cultivée, principalement des céréales. Ces zones correspondent à des zones géologiques bien définies : calcaire crayeux du Campanien (Crétacé supérieur) à l'est, et à l'ouest, terrain accidenté composé de sable kaolinique, d'argiles et de galets, dépôts datant du Tertiaire[4],[5],[6].
Le bourg est à 60 m d'altitude, et le point culminant se trouve dans les hauteurs à l'ouest dans la forêt, chez Finet (147 m). Le point le plus bas est à 48 m, situé en limite sud le long de l'Argentonne près du Moulin de la Motte[3].
Hydrographie
modifierRéseau hydrographique
modifierLa commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par l'Argentonne, la Laine, le ruisseau de la Tannerie et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 21 km de longueur totale[8],[Carte 1].
Yviers est traversé du nord au sud par l'Argentonne, petit ruisseau qui descend de Bardenac, passe au bourg et se jette dans la Tude après avoir traversé Rioux-Martin et longé Chalais.
L'Argentonne reçoit de nombreux petits affluents sur sa rive droite, qui descendent de la forêt au sol argileux, comme le ruisseau de la Tannerie ou la Gourdine, ainsi qu'un petit affluent qui se jette au bourg.
À l'extrémité occidentale de la commune, naissent de petits ruisseaux intermittents descendant vers la Poussonne, affluent du Palais qui se jette dans le Lary. Le ruisseau de la Laine fait la limite nord-ouest.
Il y a aussi quelques petits étangs dans la forêt, et des sources comme le Font Rouil au nord, la Fontaine de l'Aiguillon, ...)[3].
Gestion des eaux
modifierLe territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Isle - Dronne ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de l'Isle et de la Dronne, d'une superficie de 7 500 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin de la Dordogne (EPIDOR)[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].
Climat
modifierComme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain.
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Yviers est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[11]. Elle est située hors unité urbaine[12] et hors attraction des villes[13],[14].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (55,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (56,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (37 %), zones agricoles hétérogènes (32,2 %), terres arables (22,7 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,6 %), zones urbanisées (1,3 %), prairies (0,2 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune d'Yviers est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[16]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[17].
Risques naturels
modifierYviers est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été élaboré pour la période 2017-2026, faisant suite à un plan 2007-2016[18]. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par divers arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du règlemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 1],[18],[19],[20].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 79,1 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 294 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 215 sont en aléa moyen ou fort, soit 73 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1986, 1988, 1999, 2009 et 2012. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[16].
Risques technologiques
modifierLe risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].
Toponymie
modifierLes formes anciennes sont Iverio en 1083-1098, Vier en 1109, Yverio en 1100[24].
Selon Talbert, l'origine du nom d'Yviers remonterait à un nom de personne gallo-romain Iberius, dérivant du nom du peuple des Ibères, ce qui correspondrait à Iberius [fundus], « domaine d'Ibérius »[25]. A.Dauzat, quant à lui, préfère une origine germanique de ce nom : Ew-hari[26].
Le "s" final a été ajouté plus tardivement, probablement bien après la guerre de Cent Ans lors de la francisation du nom.
La commune a été créée Yviers en 1793 du nom de la paroisse[27].
Histoire
modifierDes vestiges antiques témoignent d'une ancienneté de l'occupation, en particulier des objets de l'époque romaine (céramique sigillée, tegulae, colonne de marbre, pointes d'amphores), à la combe de Saint-Front en dessous de Chez Camus, et aux Justices, autour du bourg, indiquant de probables emplacements de villas[28]. Dans un puits fouillé en 1872, on a aussi retrouvé 17 urnes rangées debout, au milieu de faïence plus grossière et fragments de tegulae[29].
Au Moyen Âge, le diocèse de la paroisse d'Yviers était celui de Saintes, la Tude faisant la limite avec celui de Périgueux.
Le logis de la Tour était le siège de la principale seigneurie de la paroisse. Au XVIe siècle, elle avait été acquises des Talleyrand par Bertrand de La Tour. En 1590, le fils de Bertrand, François, épousa la fille unique de Montaigne. De ce mariage vint une fille, aussi unique, qui porta en dot La Tour d'Yviers à son époux, Honoré de Lur-Saluces, comte d'Uza et vicomte d'Aureilhan, dans les Landes[Note 2], gentilhomme ordinaire de la Chambre du roi et gouverneur de Bayonne. Plus tard, la seigneurie de la Tour fut rachetée par les Talleyrand et réunie à leur château de Chalais.
Dans la même paroisse, le logis de Fougerat appartenait à la famille de Brémond d'Ars[29].
La commune comportait aussi de nombreux moulins à eau, comme ceux de Touche Corde et de la Motte, et un moulin à vent (moulin de Vigent, point géodésique)[3].
Aux XIXe et XXe siècles, Yviers fournissait de la marne en grande quantité pour amender les terrains acides de la Double.
Pendant la première moitié du XXe siècle, une partie de la commune était traversée par la petite ligne ferroviaire d'intérêt local à voie métrique des Chemins de fer économiques des Charentes allant de Barbezieux à Chalais par Brossac appelée le Petit Mairat[29].
Administration
modifierDémographie
modifierÉvolution démographique
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[30]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[31].
En 2021, la commune comptait 535 habitants[Note 3], en évolution de +5,52 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Pyramide des âges
modifierLa population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 27,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 34,1 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.
En 2018, la commune comptait 261 hommes pour 257 femmes, soit un taux de 50,39 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).
Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.
Économie
modifierAgriculture
modifierLa viticulture occupe une petite partie de l'activité agricole. La commune est située dans les Bons Bois, dans la zone d'appellation d'origine contrôlée du cognac[35].
Équipements, services et vie locale
modifierEnseignement
modifierL'école publique est un RPI entre Bardenac et Yviers. Yviers accueille l'école primaire, et Bardenac l'école élémentaire. L'école communale possède une classe de maternelle et une classe d'élémentaire. Le secteur du collège est Chalais[36].
Lieux et monuments
modifierPatrimoine religieux
modifierL'église paroissiale Notre-Dame est romane et date du XIIe siècle, mais seule en reste la muraille nord car elle a été remaniée au XIVe siècle. Cependant elle a gardé son aspect monumental et son portail est orné de fines sculptures Renaissance[29].
Patrimoine civil
modifierLe logis de la Tour, ou la Tour d'Yviers, est une demeure imposante située à l'ouest du bourg. Elle a appartenu aux Talleyrand-Périgord, mais aussi à Bertrand de La Tour au XVIe siècle, date de sa reconstruction[29].
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Vue depuis le bourg.
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La Tour.
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Le logis.
Personnalités liées à la commune
modifierNotes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 7 mètres minimum de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
- Martin-Buchey indique par erreur « Honoré de Lur, vicomte d'Ozillan ».
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- « Réseau hydrographique d'Yviers » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Soixante carats », Sud Ouest, (lire en ligne, consulté le )
- Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
- Carte IGN sous Géoportail
- Carte du BRGM sous Géoportail
- Visualisateur Infoterre, site du BRGM
- [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de Montguyon », sur Infoterre, (consulté le ).
- « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
- « Fiche communale d'Yviers », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
- « SAGE Isle - Dronne », sur gesteau.fr (consulté le ).
- « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune d'Yviers », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Plan départemental de protection des forêts contre l’incendie 2017 – 2026 », sur draaf.nouvelle-aquitaine.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
- « Arrêté portant classement de massifs forestiers et obligation de débroussaillement. », sur charente.gouv.fr, (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Yviers », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Paul-François-Étienne Cholet (préf. L.Clouzot), Cartulaire de l'abbaye de Saint-Étienne de Baigne, Niort, L.Clouzot, , 382 p. (lire en ligne), p. 85,86,104
- Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
- Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 737.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Christian Vernou, La Charente, Maison des Sciences de l'Homme, Paris, coll. « Carte archéologique de la Gaule », , 253 p. (ISBN 2-87754-025-1), p. 105
- Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 416
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune d'Yviers (16424) », (consulté le ).
- Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
- « Décret n° 2009-1146 relatif à l'AOC Cognac », sur legifrance, (consulté le ).
- Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifierLiens externes
modifier- Catillus Carol, « Yviers », (consulté le )