Virac (Tarn)

commune française du département du Tarn

Virac
Virac (Tarn)
Blason de Virac
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Tarn
Arrondissement Albi
Intercommunalité Communauté de communes Carmausin-Ségala
Maire
Mandat
Aline Redo
2020-2026
Code postal 81640
Code commune 81322
Démographie
Gentilé Viracois
Population
municipale
251 hab. (2021 en augmentation de 13,06 % par rapport à 2015)
Densité 22 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 02′ 51″ nord, 2° 02′ 44″ est
Altitude Min. 200 m
Max. 340 m
Superficie 11,44 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Albi
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Carmaux-2 Vallée du Cérou
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Virac
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Virac
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Virac
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Virac

Virac est une commune française située dans le nord du département du Tarn, en région Occitanie. Sur le plan historique et culturel, la commune est dans l'Albigeois, une région naturelle agricole correspondant aux environs de la ville d’Albi.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Zère, le ruisseau de la Mouline et par deux autres cours d'eau.

Virac est une commune rurale qui compte 251 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 491 habitants en 1846. Elle fait partie de l'aire d'attraction d'Albi. Ses habitants sont appelés les Viracois ou Viracoises.

Les habitants de Virac sont nommés les Viracois et les Viracoises.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Virac est située sur le plateau du Ségala dans le nord-ouest du département du Tarn, entre les villes de Cordes-sur-Ciel et Carmaux, à, par la route, 30 min d'Albi et 1 h 15 environ de Toulouse.

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Salles, Labastide-Gabausse, Livers-Cazelles, Mailhoc, Milhavet, Monestiés et Villeneuve-sur-Vère.

Géologie et relief modifier

La superficie de la commune est de 1 144 hectares ; son altitude varie de 200 à 340 mètres[2].

Hydrographie modifier

La commune est dans le bassin de la Garonne, au sein du bassin hydrographique Adour-Garonne[3]. Elle est drainée par la Zère, le ruisseau de la Mouline, le ruisseau de l'Escourou et par un petit cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 6 km de longueur totale[4],[Carte 1].

 
Réseaux hydrographique et routier de Virac.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est toujours exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 911 mm, avec 10,3 jours de précipitations en janvier et 6,2 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Laguiole à 511 km à vol d'oiseau[7], est de 8,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 441,2 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Aucun espace naturel présentant un intérêt patrimonial n'est recensé sur la commune dans l'inventaire national du patrimoine naturel[11],[12],[13].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Virac est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[14],[I 1],[15].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Albi, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 91 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (95 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (94,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (68 %), zones agricoles hétérogènes (15,9 %), prairies (11,1 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (4,6 %), forêts (0,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Virac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses, et à un risque particulier : le risque de radon[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels modifier

Virac est exposée au risque de feu de forêt. En 2022, il n'existe pas de Plan de Prévention des Risques incendie de forêt (PPRif). Le débroussaillement aux abords des maisons constitue l’une des meilleures protections pour les particuliers contre le feu[Note 3],[19].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Virac.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[20]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (76,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 119 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 119 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 90 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[22].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1996.

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[23].

Risque particulier modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Virac est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[24].

Toponymie modifier

Histoire modifier

À 4 ou 5 km à peine au sud de Salles et de Monestiés, on quitte la vallée du Cérou et ses architectures de grès pour se retrouver en plein causse, dans le village de Virac caractérisé par ses constructions de pierres calcaires. Dans la côte du Thouron, à 100 m de la route (Roc Négré), la falaise calcaire est trouée d’abris troglodytiques naturels et la roche a été taillée par endroits de main d’homme, ce qui laisse penser à une occupation humaine très reculée. La découverte de vestiges gallo-romains et de sarcophages attestent de la présence de civilisations anciennes. Deux ponts romains franchissent la Zère, dont l’un était traversé par un chemin de Saint-Jacques (Cami des Aobergnas).

La première apparition de la dénomination « Virac » dans les écrits date de 1163, époque à laquelle le comte de Toulouse donna le lieu de Virac (Abirachum Viracum) en garantie de paiement au vicomte d’Albi. Devenu propriété de Simon de Montfort pendant la fameuse croisade, le domaine de Virac fut créé en 1210 par l’évêque d’Albi qui le rattacha à la baronnie de Monestiés. En 1232, il rentra dans le domaine comtal de toulousain et resta désormais dans la circonscription de Cordes. Les habitants de Virac ont souvent remis en cause des obligations communément admises. On sait par exemple que le jour du mariage du roi Louis XIV et de la signature du traité de paix avec l’Espagne, certains Viracois refusèrent de prendre part aux festivités. Cela leur valut une amende de 100 livres.

Peu après la Révolution française, en 1792, la commune de La Gauginié s’est vue rattachée à celle de Virac, ce qui définit le territoire communal tel qu’on le connaît aujourd’hui. Quelques vieilles murailles ceinturent encore le vieux village anciennement fortifié.

Des seigneurs Alamans vécurent à Virac au XIIIe siècle, les marquis de Trévien au XVIIIe siècle, plus près de nous au XIXe siècle la famille de Fonpérouse…

Au XVIe siècle s’installèrent ici les religieuses de Notre-Dame des Fargues. Jusqu'en 1880, elles dispensaient un certain enseignement et avaient créé une école dans le village.

Virac a vu un bon nombre de commerces et d’artisans. Peu après la Première Guerre mondiale, il y avait encore deux cafés, un tailleur, un coiffeur, un forgeron, un charron, une modiste, un menuisier, deux épiciers, un chercheur de truffes connu de 20 lieues à la ronde, deux cordonniers, un boulanger…

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 ? Jacques Mercier PS  
mars 2001 mars 2014 Yves Dourdou    
mars 2014 En cours Aline Redo[25] DVG Enseignante retraitée
Conseillère départementale depuis 2015
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[26]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[27]. En 2021, la commune comptait 251 habitants[Note 4], en augmentation de 13,06 % par rapport à 2015 (Tarn : +1,82 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
451456465471466471479491482
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
486483482431425449423374366
1901 1906 1911 1921 2006 2007 2012 2017 2021
341328340298226228216234251
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[28] puis Insee à partir de 2006[29].)
Histogramme de l'évolution démographique

Sport modifier

En 2006 et 2007, des courses équestres « la Ségaline » ont emprunté l'ancien itinéraire du Raid des Bastides à travers les vallons et les plateaux du Ségala et les vignobles du Gaillacois, offrant au plaisir des yeux de magnifiques paysages, avec la traversée d'Amarens, Andillac, Broze, Cahuzac, Cestayrols, Combefa, Cordes-sur-Ciel, Donnazac, Fayssac, Frausseilles, Gaillac, Labastide-Gabausse, Livers-Cazelles, Mailhoc, Milhavet, Monestiès, Montels, Noailles, Salles, Sénouillac, Souel, Villeneuve-sur-Vère et Virac.

Le village de Virac a accueilli la première étape du Tour du Tarn-et-Garonne 2002.

Culture modifier

Association sauvegarde patrimoine viracois[30] : créée en , « l'Association de Sauvegarde du Patrimoine viracois » a pour vocation de préserver et de mettre en valeur le patrimoine bâti et non bâti de la commune.

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018, la commune compte 85 ménages fiscaux[Note 5], regroupant 197 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 19 040 [I 4] (20 400  dans le département[I 5]).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 3,3 % 5 % 11,3 %
Département[I 7] 8,2 % 9,9 % 10 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 143 personnes, parmi lesquelles on compte 81,6 % d'actifs (70,2 % ayant un emploi et 11,3 % de chômeurs) et 18,4 % d'inactifs[Note 6],[I 6]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département et de la France, alors qu'en 2008 la situation était inverse.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction d'Albi, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 4],[I 9]. Elle compte 40 emplois en 2018, contre 48 en 2013 et 45 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 102, soit un indicateur de concentration d'emploi de 39,8 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 58,6 %[I 10].

Sur ces 102 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 22 travaillent dans la commune, soit 22 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 80 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 1 % les transports en commun, 5 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 14 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture modifier

17 établissements[Note 7] sont implantés à Virac au [I 13]. Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 23,5 % du nombre total d'établissements de la commune (4 sur les 17 entreprises implantées à Virac), contre 26,7 % au niveau départemental[I 14].

Agriculture modifier

La commune est dans la « plaine de l'Albigeois et du Castrais », une petite région agricole occupant le centre du département du Tarn[31]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 8] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 34 23 20 23
SAU[Note 9] (ha) 816 768 830 994

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 34 lors du recensement agricole de 1988[Note 10] à 23 en 2000 puis à 20 en 2010[33] et enfin à 23 en 2020[Carte 6], soit une baisse de 32 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 58 % de ses exploitations[34],[Carte 7]. La surface agricole utilisée sur la commune a quant à elle augmenté, passant de 816 ha en 1988 à 994 ha en 2020[Carte 8]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 24 à 43 ha[33].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Église Saint-Victor de Virac modifier

L'église fortifiée du XVe siècle Saint-Victor présente les caractères des édifices gothiques flamboyants des causses du Nord-Ouest d’Albi. Le clocher-porche, rappelle ceux de Castelnau-de-Lévis, Lincarque, Mailhoc et Noailles. Figurent les armes des évêques de la famille d’Amboise. Il est fortifié avec gargouilles et mâchicoulis ; portail en anse de panier ; voûtes d'ogives, avec liernes et tiercerons dans une chapelle ; clés de voûte et culs-de-lampe historiés. En 1943, une des deux cloches de bronze datée de 1737 a été classée. L’intérieur a été restauré en 1989. La réfection des vitraux a été achevée en .

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
Parti : au 1er d'azur à quatre épis de blé d'or posés en bandes et rangés en pal, au 2d de gueules à la grappe de raisin d'or[35].
Détails
Évoque les productions de la commune.

Adopté en 1950.

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Le principe d’un débroussaillement efficace consiste à couper et éliminer tous les bois morts, les broussailles et les herbes sèches 50 mètres autour des habitations et 2 mètres de part et d’autre des voies, élaguer les branches basses des arbres, espacer les arbres et les arbustes situés dans la zone à débroussailler pour éviter que le feu ne se propage d’arbre en arbre, éliminer les arbustes sous les grands arbres pour éviter que le feu ne se propage vers la cime des arbres, toujours se débarrasser des végétaux coupés par compostage, par évacuation en décharge autorisée ou par incinération en respectant la réglementation sur le brûlage et entretenir régulièrement la zone débroussaillée, tous les 2 ou 3 ans maximum sur le pourtour, tous les ans à proximité de l’habitation
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  5. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  6. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  7. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  8. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[32].
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Virac » sur Géoportail (consulté le 10 décembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Albi » (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Virac » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Virac » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Tarn » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Virac » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Virac » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Tarn » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  3. « Le réseau hydrographique du bassin Adour-Garonne. » [PDF], sur draaf.occitanie.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Fiche communale de Virac », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  5. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  6. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  7. « Orthodromie entre Virac et Laguiole », sur fr.distance.to (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Laguiole » (commune de Laguiole) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Laguiole » (commune de Laguiole) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  10. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  11. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Virac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  12. « Liste des ZNIEFF de la commune de Virac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « Liste des espaces protégés sur la commune de Virac », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  15. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Les risques près de chez moi - commune de Virac », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Les risques majeurs dans le Tarn »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Feux de forêts.
  20. « Les risques majeurs dans le Tarn »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur tarn.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
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  24. « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  25. Site www.ladepeche.fr consulté le 8 avril 2014
  26. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
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