Valcabrère

commune française du département de la Haute-Garonne

Valcabrère
Valcabrère
Basilique Saint-Just de Valcabrère, vue générale.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Haute-Garonne
Arrondissement Saint-Gaudens
Intercommunalité Communauté de communes Pyrénées Haut Garonnaises
Maire
Mandat
Jean Verdier
2020-2026
Code postal 31510
Code commune 31564
Démographie
Gentilé Valcabrérois
Population
municipale
147 hab. (2021 en augmentation de 1,38 % par rapport à 2015)
Densité 91 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 01′ 58″ nord, 0° 34′ 54″ est
Altitude Min. 424 m
Max. 471 m
Superficie 1,61 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Bagnères-de-Luchon
Législatives Huitième circonscription
Localisation
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Valcabrère
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Valcabrère
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Valcabrère
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Valcabrère

Valcabrère est une commune française située dans le sud-ouest du département de la Haute-Garonne, en région Occitanie.

Sur le plan historique et culturel, la commune est dans le pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège. Exposée à un climat de montagne, elle est drainée par la Garonne et par un autre cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »), un espace protégé (« la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat ») et deux zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Valcabrère est une commune rurale qui compte 147 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 328 habitants en 1846. Ses habitants sont appelés les Valcabrérois ou Valcabréroises.

Le patrimoine architectural de la commune comprend quatre immeubles protégés au titre des monuments historiques : la basilique Saint-Just, classée en 1840, le cimetière de Valcabrère, inscrit en 1926, la tour Castet Bert, inscrite en 1997, et le camp militaire de Saint-Bertrand-de-Comminges, inscrit en 1996 puis en 2012.

Géographie modifier

Localisation modifier

La commune de Valcabrère se trouve dans le département de la Haute-Garonne, en région Occitanie[I 1].

Elle se situe à 94 km à vol d'oiseau de Toulouse[1], préfecture du département, à 14 km de Saint-Gaudens[2], sous-préfecture, et à 27 km de Bagnères-de-Luchon[3], bureau centralisateur du canton de Bagnères-de-Luchon dont dépend la commune depuis 2015 pour les élections départementales[I 1]. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Montréjeau[I 1].

Les communes les plus proches[Note 1] sont[4] : Labroquère (1,0 km), Saint-Bertrand-de-Comminges (1,1 km), Sarp (2,0 km), Seilhan (2,1 km), Loures-Barousse (2,1 km), Izaourt (2,4 km), Aveux (2,7 km), Anla (3,3 km).

Sur le plan historique et culturel, Valcabrère fait partie du pays de Comminges, correspondant à l’ancien comté de Comminges, circonscription de la province de Gascogne située sur les départements actuels du Gers, de la Haute-Garonne, des Hautes-Pyrénées et de l'Ariège[5].

Valcabrère est limitrophe de cinq autres communes dont trois dans le département des Hautes-Pyrénées. Les communes limitrophes sont Labroquère, Sarp, Izaourt, Loures-Barousse et Saint-Bertrand-de-Comminges.

Géologie et relief modifier

La superficie de la commune est de 161 hectares ce qui en fait la quatrième plus petite superficie de la Haute-Garonne ; son altitude varie de 424 à 471 mètres[7].

Hydrographie modifier

Elle est drainée par la Garonne, le ruisseau de Rioumort, constituant un réseau hydrographique de 1 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La Garonne est un fleuve principalement français prenant sa source en Espagne et qui coule sur 529 km avant de se jeter dans l’océan Atlantique[9].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[10]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Pyrénées centrales, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 200 mm[11].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 974 mm, avec 9,7 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[10]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Clarac à 8 km à vol d'oiseau[12], est de 12,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 804,9 mm[13],[14]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[15].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[16],[17].

Un espace protégé est présent sur la commune : « la Garonne, l'Ariège, l'Hers Vif et le Salat », objet d'un arrêté de protection de biotope, d'une superficie de 1 658,7 ha[18].

Réseau Natura 2000 modifier

 
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 2]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : « Garonne, Ariège, Hers, Salat, Pique et Neste »[20], d'une superficie de 9 581 ha, un réseau hydrographique pour les poissons migrateurs, avec des zones de frayères actives et potentielles importantes pour le Saumon en particulier qui fait l'objet d'alevinages réguliers et dont des adultes atteignent déjà Foix sur l'Ariège[21].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

 
Carte de la ZNIEFF de type 1 localisée sur la commune.

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Une ZNIEFF de type 1[Note 3] est recensée sur la commune[22] : « la Garonne de la frontière franco-espagnole jusqu'à Montréjeau » (469 ha), couvrant 38 communes dont 28 dans la Haute-Garonne et dix dans les Hautes-Pyrénées[23] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[22] : « Garonne amont, Pique et Neste » (1 788 ha), couvrant 112 communes dont 42 dans la Haute-Garonne et 70 dans les Hautes-Pyrénées[24].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Valcabrère est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[25],[I 2],[26]. La commune est en outre hors attraction des villes[I 3],[I 4].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,7 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (68,9 %), prairies (15,8 %), zones urbanisées (15,3 %)[27]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

Accès par l'autoroute A64 sortie no 18 puis la route nationale 125, et avec le réseau Arc-en-ciel.

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Valcabrère est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations et séisme (sismicité modérée). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[28]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[29].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Garonne. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1999, 2009 et 2013[30],[28].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Valcabrère.

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (88,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 94 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 94 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 98 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[28].

Risques technologiques modifier

La commune est en outre située en aval du barrage du Portillon sur la Neste d'Oô. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[33].

Toponymie modifier

Histoire modifier

 
Fouilles archélogiques à proximité de la basilique St-Just en juin 2021.

Politique et administration modifier

Administration municipale modifier

Le nombre d'habitants au recensement de 2011 étant compris entre 100 et 499, le nombre de membres du conseil municipal pour l'élection de 2014 est de onze[34],[35].

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Commune faisant partie de la huitième circonscription de la Haute-Garonne, de la communauté de communes des Pyrénées Haut-Garonnaises et du canton de Bagnères-de-Luchon (avant le redécoupage départemental de 2014, Valcabrère faisait partie de l'ex-canton de Barbazan).

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

 
La mairie
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 1983 En cours Jean Verdier[36]    
Les données manquantes sont à compléter.

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[37]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[38].

En 2021, la commune comptait 147 habitants[Note 6], en augmentation de 1,38 % par rapport à 2015 (Haute-Garonne : +7,43 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
257257276271290311321328307
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
308307275248259257266268247
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
213200193160162154154124142
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
12910595120130139156146144
2021 - - - - - - - -
147--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[39] puis Insee à partir de 2006[40].)
Histogramme de l'évolution démographique
Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[41] 1975[41] 1982[41] 1990[41] 1999[41] 2006[42] 2009[43] 2013[44]
Rang de la commune dans le département 308 358 377 411 421 444 448 456
Nombre de communes du département 592 582 586 588 588 588 589 589

Enseignement modifier

Valcabrère fait partie de l'académie de Toulouse.

Culture et festivités modifier

Comité des fêtes, vide grenier, concert, festival international de musique du Comminges, société des études du Comminges[45],

Activités sportives modifier

Chasse, pétanque, canoë, kayak,

Écologie et recyclage modifier

Économie modifier

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 5] 3,8 % 5,2 % 9,3 %
Département[I 6] 7,7 % 9,6 % 9,3 %
France entière[I 7] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 85 personnes, parmi lesquelles on compte 76,7 % d'actifs (67,4 % ayant un emploi et 9,3 % de chômeurs) et 23,3 % d'inactifs[Note 7],[I 5]. En 2018, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui du département, mais inférieur à celui de la France, alors qu'il était inférieur à celui du département et de la France en 2008.

La commune est hors attraction des villes[Carte 4],[I 8]. Elle compte 17 emplois en 2018, contre 11 en 2013 et 18 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 60, soit un indicateur de concentration d'emploi de 28,1 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 53,1 %[I 9].

Sur ces 60 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 11 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 10]. Pour se rendre au travail, 88,5 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,9 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 6,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 11].

Activités hors agriculture modifier

8 établissements[Note 8] sont implantés à Valcabrère au [I 12]. Le secteur de l'information et de la communication est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 37,5 % du nombre total d'établissements de la commune (3 sur les 8 entreprises implantées à Valcabrère), contre 4,1 % au niveau départemental[I 13].

Agriculture modifier

1988 2000 2010 2020
Exploitations 8 7 5 2
SAU[Note 9] (ha) 81 89 82 80

La commune est dans les « Pyrénées centrales », une petite région agricole occupant le sud du département de la Haute-Garonne, massif montagneux où s’étagent les vallées profondes, la forêt et les zones intermédiaires, les estives[46]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 10] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 5]. Deux exploitations agricoles ayant leur siège dans la commune sont dénombrées lors du recensement agricole de 2020[Note 11] (huit en 1988). La superficie agricole utilisée est de 80 ha[48],[Carte 6],[Carte 7].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

En 1998, elle a fait partie des 71 monuments français inscrits au patrimoine mondial de l'humanité « au titre des chemins de Compostelle en France ». La justification de cette inscription est la suivante : « Les pèlerins de Saint-Jacques-de-Compostelle, passant en Espagne par la vallée de Luchon et le col de Vénasque, s'arrêtaient à Saint-Bertrand-de-Comminges et à Saint-Just-de-Valcabrère pour y faire leurs dévotions ». La découverte d'une tombe dans laquelle il y avait une coquille et un bourdon (bâton de pèlerin) a permis d'affirmer qu'il s'agissait d'un pèlerin de Compostelle.

Cette église présente une particularité rare. Une niche est aménagée sous le sarcophage placé, lui, sur le maître-autel. Dans cette niche, un malade pouvait venir passer une nuit en prières afin de se trouver pénétré par les ondes émanant du corps saint qui le surmontait. C’était là une coutume générale qui tomba ensuite en désuétude. La présence de ce tombeau et la niche laissent penser que l’église était un lieu de pèlerinage. Aujourd'hui, il est oublié au profit de Saint-Bertrand-de-Comminges.

La basilique est entourée d'un cimetière dont le portail d'entrée, du XIIIe siècle, est inscrit depuis 1926[50].

Personnalités liées à la commune modifier

Annexes modifier

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Bibliographie modifier

  • « Valcabrère. Nécropole, sarcophages, décor architectural, église romane, remplois », dans Robert Sablayrolles (coordination) et Marie-Laure Maraval, Guide archéologique de Midi-Pyrénées. 1000 av. J.-C. - 1000 ap. J.-C., Fédération Aquitania, Bordeaux, 2010, (ISBN 2-910763-18-8), p. 415-423

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les distances sont mesurées entre chefs-lieux de communes à vol d'oiseau.
  2. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[19].
  3. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  4. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  7. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  8. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  9. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  10. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  11. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[47].
  • Cartes
  1. « Carte hydrographique de Valcabrère » sur Géoportail (consulté le 5 novembre 2021).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
  4. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. a b et c « Métadonnées de la commune de Valcabrère » (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  3. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  4. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  5. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Valcabrère » (consulté le ).
  6. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  8. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  9. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Valcabrère » (consulté le ).
  10. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  11. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  12. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Valcabrère » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans la Haute-Garonne » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. Stephan Georg, « Distance entre Valcabrère et Toulouse », sur fr.distance.to (consulté le ).
  2. Stephan Georg, « Distance entre Valcabrère et Saint-Gaudens », sur fr.distance.to (consulté le ).
  3. Stephan Georg, « Distance entre Valcabrère et Bagnères-de-Luchon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Communes les plus proches de Valcabrère », sur villorama.com (consulté le ).
  5. Frédéric Zégierman, Le guide des pays de France - Sud, Paris, Fayard, (ISBN 2-213-59961-0), p. 293-296.
  6. Carte IGN sous Géoportail
  7. Répertoire géographique des communes, publié par l'Institut national de l'information géographique et forestière, [lire en ligne].
  8. « Fiche communale de Valcabrère », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Occitanie (consulté le ).
  9. Sandre, « la Garonne »
  10. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  11. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  12. « Orthodromie entre Valcabrère et Clarac », sur fr.distance.to (consulté le ).
  13. « Station Météo-France « Clarac » (commune de Clarac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  14. « Station Météo-France « Clarac » (commune de Clarac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  15. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  16. « Les différents espaces protégés. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur observatoire-biodiversite-centre.fr (consulté le ).
  17. « Liste des espaces protégés sur la commune », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. « - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  19. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
  20. « Liste des zones Natura 2000 de la commune de Valcabrère », sur le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  21. « site Natura 2000 FR7301822 - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
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  25. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
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