* Stanislas Limousin (1831-1887), inventeur des cachets et de l'ampoule hypodermique injectable. (article manquant)
* Jean-Louis Leveille (1787 1871) (33)
* Georges Lubin (1904-2000), historien de la littérature, spécialiste de George Sand (article manquant)
* Étienne Grétré de Champilliers (1748-1803), maîtres des forges au XVIIIe siècle (86)
* les frères Des Gachons : Jacques des Gachons, écrivain (1868-1945), Andhré des Gachons (1871-1951), peintre, Louis-Didier (1875-1951) et Pierre (1880-1904) (168)
* Jean-Baptiste Aucler-Descottes (Argenton 1737-1826), médecin des Lumières, Constituant de sensibilité monarchiste constitutionnelle, maire d'Argenton et chroniqueur de sa ville (son journal a été publié en 1899) ; (article manquant)
* Jérôme Legrand et Silvain Pepin, députés de la période révolutionnaire natifs d'Argenton (le premier Constituant et le second Conventionnel ayant voté la mort de Louis XVI) ; (article manquant)
* François Louis Joseph Robin de Scévole (1767-1827), notable fortuné, maire d'Argenton, député de l'Indre de 1820 à 1822, membre de l'opposition libérale ; (article manquant)
* L'enfant le plus célèbre d'Azay le Ferron est sans conteste Louis Auguste Le Tonnelier de Breteuil, fils de Charles Auguste Le Tonnelier de Breteuil, capitaine de cavalerie, baron de Preuilly, premier baron de Touraine, lui-même troisième enfant de Louis Nicolas Le Tonnelier de Breteuil (premier baron du nom), et de Marie-Anne Goujon de Gasville. Né au château, résidence officielle des barons de Preuilly depuis 1650 le 7 Mars 1730, Louis Auguste fut donc le neveu de la célèbre savante Gabrielle Émilie Le Tonnelier de Breteuil (maîtresse de Voltaire) et de l'abbé Élisabeth Théodore Le Tonnelier de Breteuil. Entré dans le monde sous les auspices de son oncle, l'abbé de Breteuil, ancien agent du clergé de France et chancelier du duc d'Orléans, qui obtint pour lui en 1749 le grade de guidon des gendarmes d’Orléans, il fut vite remarqué par Louis XV qui l’envoya en qualité de ministre plénipotentiaire auprès de l’électeur de Cologne, poste qu’il occupa de 1758 à 1760. Devenu entre temps colonel, il fut nommé ambassadeur à Saint-Petersbourg de 1760 à 1763. Opportunément absent lors des événements qui élevèrent Catherine II sur le trône d'où elle précipita Pierre III son mari en 1762, il revint lorsque le pouvoir de l'impératrice fut affermi pour gagner ses bonnes grâces. Il occupa ensuite les mêmes fonctions à Stockholm de 1763 à 1770 (représentant de plus la France auprès des États généraux des Provinces-Unies en 1767), puis à Naples de 1770 à 1775 et enfin à Vienne de 1775 à 1783. Fait successivement maréchal de camp et conseiller d’État en 1780 et 1781, il fut nommé en 1783 secrétaire d’État de la Maison du Roi, portefeuille qu’il conserva jusqu’en 1788. Ministre d’État depuis 1783, il fut secrétaire d’État de la Guerre par intérim en 1787 et fut, à la veille de la Révolution, nommé président du Conseil royal des finances en remplacement de Necker (Ministère des Cent Heures). Il était en outre depuis 1776 chevalier du Saint-Esprit et, depuis 1784, membre honoraire de l’Académie des Sciences. C’est lui qui, avec le marquis François Claude de Bouillé, organisa le voyage de la famille royale vers Montmédy qui échoua à Varennes. Émigré à Hambourg, il rentra en France en 1802 dans un état voisin de la misère, dont il ne fut tiré que grâce à l'héritage de sa cousine Renée-Caroline-Victoire de Froulay, marquise de Créquy. Il avait épousé le 24 Janvier 1752 Françoise Philiberte Jérôme Parat de Montgeron, fille d’un receveur des finances de la généralité d’Orléans dont il n'eut qu'une fille, Marie-Elisabeth Emilie, mariée au comte de Goyon de Matignon, d'où descend l’actuel souverain de la principauté de Monaco. Son nom reste associé aujourd’hui au Pavillon de Breteuil à Sèvres, où est toujours déposé l’ancien mètre étalon, à l’avenue de Breteuil et à la place de Breteuil devant l’Hôtel des Invalides à Paris, la rue de Breteuil y évoquant le nom de son oncle l’abbé de Breteuil. (3144)
* Le peintre Louis-François Cassas (1756-1827) est également né au château d'Azay-le-Ferron. (100)
Avocat et Bailli de l’Abbaye de Saint-Gildas, Procureur Fiscal de la Seigneurie de Châteauroux, il habitait la maison du « Cadran » dans la Descente de Ville, restaurée au début du XXIe siècle. Il fut surtout connu comme poète. Ses œuvres majeures sont : « l’Anamographie » (1586), « Les Soupirs de Jean Lauron » (1596), « Les deux premières parties de Châteauroux » (1613) » . (398)
*Jean-Claude Guymon de la Touche, poète et dramaturge (1723-1760) (70)
Fils du procureur du roi au bailliage de Châteauroux, mort à Paris. (69)
Né au Château Raoul en 1773, décédé à Châteauroux en 1844. Engagé le 10 août 1792 dans la campagne d’Égypte il est nommé Commandant. Général de brigade à 27 ans ; Inspecteur Général des Fortifications en 1802 ; Aide de camp de l’Empereur en 1805 ; général de Division en 1807, il est nommé comte d’Empire en 1808. Alors Gouverneur Général des Provinces Illyriennes, il demeure à Trieste en 1809. Général d’Armée en 1813, commandant du IV° Corps. Fidèle compagnon de Napoléon 1er, il s'installe à Sainte-Hélène avec sa famille. Après le décès de Napoléon Ier, il organise le retour de ses cendres en France. (653)
*Pierre Leroux, journaliste fondateur du "Globe" (1797-1871) (74)
Né et mort à Paris (17 avril 1797 – 12 avril 1871). Journaliste et philosophe. En 1824, il fonda le journal « Le Globe », organe du Saint Simonisme. Il lança l'Encyclopédie Nouvelle (1836-1843) et la revue Indépendante (1841-1848) et il fut député en 1848 et 1849. (275)
*Napoléon Chaix, imprimeur, inventeur de l'indicateur horaire des trains (1807-1865) (93)
*Henri Barboux, avocat et homme politique (1834-1910) (61)
*Adolphe Combanaire, voyageur et essayiste (1859-1939) (58)
Né Place Lafayette en 1859 de parents aubergistes – décédé rue Lamartine en 1939. (87)
A la suite de ses nombreux voyages à l’étranger, il se consacra à la rédaction de ses souvenirs qui furent publiés dans de nombreux ouvrages au style assez percutant et tranché (!) : Au pays des coupeurs de tête - Mensonges et vautours coloniaux - Châteauroux pendant la guerre de 1870/71, etc. (316)
Né à Mouhet (Indre) en 1862, décédé à Paris en 1948, inhumé à Guéret. À 25 ans, il se consacre à la peinture et commence d’être connu en 1894. Diverses expositions particulières en 1899-1900 consacrent la notoriété de cet artiste qui demeurera toujours attaché à sa terre natale. (298)
*Bernard Naudin, peintre (1876-1946) (40)
Né le 11 novembre 1876, il grandit place Sainte – Hélène. Dessinateur, peinture et graveur il devint vite un artiste estimé et reconnu. Décédé en 1946 à Paris. (169)
Né à Levroux, Chef-lieu de canton de l'Indre, il devint à douze ans apprenti tailleur de pierres à Châteauroux. Sculpteur estimé, élève de Rodin, ami de Camille Claudel, il fut l'auteur de nombreuses œuvres, en particulier "le Bergé Couché" et de monuments aux morts. (288)
Élève de Charles Koechlin, compositeur et théoricien français (1867-1950) et encouragé par Albert Roussel. Durant la seconde guerre mondiale, il fut emprisonné à l'Oflag XB où il composa une grande partie de son œuvre. Combiné à un système harmonique original, son souci de la forme l'inscrit dans la lignée des bâtisseurs de l'école franckiste. Il est Mort pour la France. (392)
*Abbé Paviot, fondateur du pèlerinage annuel des automobiles. (67)
Curé de Saint - Christophe de 1919 à 1935, décédé avant la seconde guerre mondiale à l'âge de soixante-quinze ans. Fondateur de la Confrérie de St. Christophe. (167)
Président de la Commission des Affaires économiques de l’Assemblée Nationale de 1951 à 1957, puis Ministre du Commerce et de l'Industrie en 1958. Maire de Châteauroux de 1947 à 1959. (190)
*Louis Suard, architecte. (29)
Architecte de la « belle Époque » qui signa un grand nombre de constructions au style très marqué. Figure très connue dans le département de l'Indre. Il disparut dans les années 1957/58. (194)
Né à Châteauroux le 27 décembre 1948. Révélé par le film de B. Blier, Les Valseuses en 1974. Acteur de renommée internationale, producteur de cinéma et homme d'affaires, il possède des vignobles en Anjou. (226)
Né à Châteauroux, 17, rue des Fontaines, le 23 avril 1943. Conseiller municipal de Lésigny (Seine et Marne), il a été l'initiateur du jumelage de Lésigny (Seine et Marne) et de Leingarten (Bade-Wurtemberg) en 1975. Fondateur à Annecy et 1er Président de Rencontres Franco-Allemandes (Annecy-Bayreuth). (352)
* Édouard Lévêque, connu sous le nom de Jean-Louis Boncoeur, enseignant en art plastique au collège George-Sand, peintre, homme de lettres et comédien français, né à La Châtre en 1911, décédé en 1997. (216)
Elle faisait régulièrement étape chez l’un de ses amis médecins berrichons <ref>George Sand, Journal de Gargilesse, Editions Christian Pirot 1984</ref>, le docteur Jean-Hippolyte Vergne, membre d’une nombreuse famille de notables locaux. Le docteur Vergne soigna la romancière d’une fièvre typhoïde en 1860. Sur son conseil, elle passa sa convalescence à Tamaris, près de Toulon, et le roman qu’elle y écrivit, Tamaris, fut dédié au docteur Vergne. (484)
Les ruines romantiques de la forteresse de Cluis-Dessous ont inspiré des dessins de Maurice Sand (septembre 1846) et une relation de cette expédition décrivant le château fut faite par Charles-Robin du Vernet<ref>Charles-Robin du Vernet, « Excursion à travers la Vallée-Noire et sur les bords de la Creuse », dans Compte rendu des travaux de la Société du Berry à Paris, 12e année, 1864-1865, p. 354</ref>. (434)
*Plus tard, de nombreux peintres regroupés sous la dénomination d'école de Crozant sont venu profiter de ce micro-climat qui faisait le bonheur de Sand. (159)
* les Maussabré, seigneurs d'Heugnes, cette famille compte de nombreux militaires qui se sont distingués sur tous les champs de bataille (138)
* les Marolles, seigneurs du Rabry, officiers, gentilshommes ordinaires de la chambre du roi, de la vénerie et de la fauconnerie du roi, et qui servent aux armées. (166)
* la commune a hérité de 670 hectares de terres des Rohan-Chabot. (88)
Carrasco arrive en Berry en 1967, il obtient l'autorisation de recouvrir de fresques les murs de l'église, après une année de discussion avec les Arts sacrés et la commission des Beaux Arts. (194)
* Dans l'ex-commune de Planches on trouve un château privé ayant appartenu à Ferdinand de Lesseps, le promoteur du projet de percement du canal de Suez. (163)
* Fernand Maillaud, peintre (1862-1948), né à Mouhet (Indre) en 1862, décédé à Paris en 1948, inhumé à Guéret. À 25 ans, il se consacre à la peinture et commence d’être connu en 1894. Diverses expositions particulières en 1899-1900 consacrent la notoriété de cet artiste qui demeura attaché à sa terre natale. (article manquant)
L'équipe de Moulins, le Sporting Moulins-Céphons était dirigée par Alain Bataillé, entraîneur de renom, "une crème d'homme" selon la Nouvelle République, qui retraité aujourd'hui, vit du côté de Valençay. (226)
* Aurore Dupin, dite George Sand (1804-1876), petite-fille de la précédente, qui passa l'essentiel de sa vie à Nohant. (133)
* André Mornet Procureur général de la République Française, il fut celui qui condamna entre autre Mata Hari, le Maréchal Pétain, Pierre Laval. <ref>[2]</ref> (246)
* Jean Gabriel Arnauld né le 4 septembre1731 à Saint-Plantaire, fils de Léonard Arnauld, seigneur de la Perrière. Lieutenant d'artillerie, il s'exile en Prusse en 1757 et donne naissance à une longue descendance au nombre desquels le célèbre Lothar von Arnauld de la Perière (1886-1941), le plus grand as sous-marinier des dernières guerres [réf. nécessaire]. (383)
* Humbaud de Sainte-Sévère, seigneur de Sainte-Sévère après son père Hélie, se fit élire évêque de Limoges en 1087 en s'appuyant sur une faction armée de la ville. Déposé par le Pape, il falsifia cette décision en confirmation: ce n'est qu'en 1095 qu'il fut déposé par le Pape Urbain II en personne. Il continua pourtant à occuper le siège épiscopal deux années encore, avant de rentrer à Sainte-Sévère, où il se livra à des brigandages nombreux qui indisposèrent contre lui les seigneurs du Berry. Le roi Louis VI le Gros vint alors attaquer Sainte-Sévère, en 1108. Après un court combat non loin de la ville, Sainte-Sévère se rendit, et Humbaud fut emmené prisonnier à Étampes. Il en revint, et vécut encore longtemps. Il est dès lors surtout connu pour ses actes de charité envers l'Église. (883)