Mézières-en-Brenne
Mézières-en-BrenneÉcouter est une commune française située dans le département de l'Indre, en région Centre-Val de Loire.
Mézières-en-Brenne | |||||
La mairie en 2008. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Centre-Val de Loire | ||||
Département | Indre | ||||
Arrondissement | Le Blanc | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Cœur de Brenne | ||||
Maire Mandat |
Jean-Louis Camus 2020-2026 |
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Code postal | 36290 | ||||
Code commune | 36123 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Macériens | ||||
Population municipale |
970 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 17 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 46° 49′ 18″ nord, 1° 12′ 41″ est | ||||
Altitude | Min. 84 m Max. 138 m |
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Superficie | 57,57 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton du Blanc | ||||
Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Indre
Géolocalisation sur la carte : Centre-Val de Loire
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Géographie
modifierLocalisation
modifierLa commune est située dans l'ouest[1] du département, dans la région naturelle de la Brenne, au sein du parc naturel régional de la Brenne. C'est la localité la plus importante de la Brenne.
Les communes limitrophes[1] sont : Saint-Michel-en-Brenne (4 km), Paulnay (6 km), Saulnay (7 km), Villiers (8 km), Sainte-Gemme (10 km), Vendœuvres (11 km) et Migné (14 km).
Les communes chefs-lieux[1] et préfectorales sont : Le Blanc (23 km), Châteauroux (37 km), Issoudun (61 km) et La Châtre (65 km).
Hameaux et lieux-dits
modifierLes hameaux et lieux-dits de la commune sont : Marlanges, Subtray, la Galetterie, Territeau et Prieuré-sur-Claise[2].
Géologie et relief
modifierLa commune est classée en zone de sismicité 2, correspondant à une sismicité faible[3].
Hydrographie
modifierLe territoire communal est arrosé par les rivières Claise[2] et Yoson[2]. Le confluent de ces deux cours d'eau est sur le territoire de la commune. L'étang de Bellebouche accueille une base nautique et est un site d'observation de la nature.
-
L'observatoire ornithologique de l'étang Bellebouche en 2014.
Climat
modifierEn 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Centre et contreforts nord du Massif Central, caractérisée par un air sec en été et un bon ensoleillement[5].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,3 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 745 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Murs à 11 km à vol d'oiseau[6], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 740,3 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].
Voies de communication et transports
modifierVoies routières
modifierLe territoire communal est desservi par les routes départementales : 6, 14B, 15, 21, 121, 925 et 926[10].
-
La rue du Château (RD 15) en 2008.
Transports
modifierLa ligne de Salbris au Blanc passait par le territoire communal, deux gares (Mézières-en-Brenne et Subtray) desservaient la commune. La gare ferroviaire la plus proche est la gare de Châteauroux[10], à 40 km.
Mézières-en-Brenne est desservie par les lignes Q et R du Réseau de mobilité interurbaine[11].
L'aéroport le plus proche est l'aéroport de Châteauroux-Centre[10], à 46 km.
Le territoire communal est traversé par le sentier de grande randonnée de pays de la Brenne[2].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Mézières-en-Brenne est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[12]. Elle est située hors unité urbaine[13] et hors attraction des villes[14],[15].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (52,1 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (58,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,8 %), forêts (24,2 %), eaux continentales[Note 1] (21,7 %), terres arables (9,8 %), zones agricoles hétérogènes (6,5 %), zones urbanisées (1,5 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (0,4 %), zones humides intérieures (0,1 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Logement
modifierLe tableau ci-dessous présente le détail du secteur des logements[17] de la commune :
Date du relevé | 2013 |
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Nombre total de logements | 772 |
Résidences principales | 63,1 % |
Résidences secondaires | 28,8 % |
Logements vacants | 8,1 % |
Part des ménages propriétaires de leur résidence principale | 75,6 % |
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Mézières-en-Brenne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[18]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[19].
Risques naturels
modifierPour anticiper une remontée des risques de feux de forêt et de végétation vers le nord de la France en lien avec le dérèglement climatique, les services de l’État en région Centre-Val de Loire (DREAL, DRAAF, DDT) avec les SDIS ont réalisé en 2021 un atlas régional du risque de feux de forêt, permettant d’améliorer la connaissance sur les massifs les plus exposés. La commune, étant pour partie dans le massif de Brenne, est classée au niveau de risque 1, sur une échelle qui en comporte quatre (1 étant le niveau maximal)[20].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[21].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 97,7 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (84,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 754 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 754 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 86 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[22],[23].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1992, 2016, 2018 et 2019 et par des mouvements de terrain en 1999[18].
Risques technologiques
modifierLe risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est en effet susceptible d’avoir des effets graves au bâti ou aux personnes jusqu’à 350 m, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[24].
Toponymie
modifierLe nom de la localité est attesté sous les formes Brennaeum au VIe siècle, Domina Lucia de Maceriis en 1096, Capellanus de Mazeriis au XIe siècle, De Maceriis en 1096, De Matheriis en 1229, Ville de Mazeres en 1339, Maizieres en 1475[25], Mezieres en 1484[26], Mezieres en 1489[27], Mezier en Brenne au XVIIIe siècle (Carte de Cassini), Mézières en 1836 (Cadastre), Mézières en Brenne en 1959 (Cadastre).
Ses habitants sont appelés les Macériens[28].
Histoire
modifierLa paroisse était située à l’origine au hameau de Subtray, jusqu’à la construction du château à Mézières. Le château a créé un pôle d’attraction, et le village s’est petit à petit presque entièrement déplacé[29].
Jeanne de Brenne, née vers 1235, morte en 1298, dame de Mézières-en-Brenne, fille de Guillaume de Brenne et de Mathilde de Mirebeau, épousa vers 1261, Hervé IV de Vierzon, né vers 1240, décédé en 1270 à Tunis, Tunisie, fils de Guillaume II de Vierzon, né en 1215, mort en 1252, et de Blanche de Joigny ou de Charenton, née en 1216, morte en 1253 d'ou :
Jeanne Isabeau ou Jeanne Isabelle de Vierzon, née en 1263, décédée avant 1296, dame de Mézières, veuve Geoffroy Ier de Brenne, seigneur de Rochecorbon et de Mézières, fils de Robert II des Roches et de Lucie de Mézières, dame de Brenne et de Mézières-en-Brenne, épousera en seconde noces en 1277 ou vers 1278 Geoffroy ou Godefroy de Brabant, né vers 1260, décédé le 11 juillet 1302, seigneur d'Aerschot, fils d'Henri III de Brabant, et d'Adélaïde de Bourgogne.
Le , Louis d'Anjou-Mézières reçoit de son père naturel Charles IV du Maine la seigneurie de Mézières-en-Brenne, conservée ensuite par ses descendants, René d'Anjou-Mézières puis Nicolas d'Anjou-Mézières jusqu'au XVIe siècle. Il fait construire dans l'église une chapelle pour sa sépulture[30],[31],[32].
La résistance des autorités religieuses au changement fit que la paroisse ne fut déplacée à l’église du village principal qu’au XVIIIe siècle[33].
C'est dans les locaux de la mairie qu'en janvier 1947 furent maltraités et torturés quatorze jeunes adultes et adolecents lors de l'affaire Mis et Thiennot[34].
À la suite du redécoupage cantonal de 2014[35], la commune n'est plus chef-lieu de canton.
Politique et administration
modifierLa commune dépend de l'arrondissement du Blanc, du canton du Blanc, de la première circonscription de l'Indre et de la communauté de communes Cœur de Brenne[13].
Tendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierInstances judiciaires et administratives
modifierLa commune dispose des services suivants :
- un bureau de poste[39] ;
- un office de tourisme[40] ;
- une gendarmerie[41] ;
- un centre de secours ;
- un centre d'entretien et d'exploitation des routes du conseil départemental de l'Indre[42].
-
L'office de tourisme en 2008.
-
Le centre d'entretien et d'exploitation des routes du conseil départemental de l'Indre en 2020.
Jumelages
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[43]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[44].
En 2021, la commune comptait 970 habitants[Note 2], en évolution de −6,91 % par rapport à 2015 (Indre : −3,11 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Enseignement
modifierLa commune dépend de la circonscription académique du Blanc.
Manifestations culturelles et festivités
modifierLa randonnée de la Brenne est une randonnée pédestres, à cheval, à attelage et à VTT durant trois jours et séparée en plusieurs étapes de 25 km à 40 km. Elle se déroule dans le parc naturel régional de la Brenne.
Depuis 2012, chaque dernier week-end de juillet a lieu le festival d'art total Les Arts Buissonniers, accueillant des artistes de la région et d'autres. Ce festival est organisé par l'association Les Arts buissonniers et les restaurants Le Belem et Plume-Cane.
Équipement culturel
modifierSanté
modifierSports
modifier- Étang de Bellebouche (site de baignade surveillé[49])
Médias
modifierLa commune est couverte par les médias suivants : La Nouvelle République du Centre-Ouest, Le Berry républicain, L'Écho - La Marseillaise, La Bouinotte, Le Petit Berrichon, France 3 Centre-Val de Loire, Berry Issoudun Première, Vibration, Forum, France Bleu Berry et RCF en Berry.
- Cultes
Culte catholique
La commune de Mézières-en-Brenne dépend de l'archidiocèse de Bourges, du doyenné de Brenne-Touraine[50] et de la paroisse de Mézières-en-Brenne. Le lieu de culte est l'église Sainte-Marie-Madeleine.
Économie
modifierLa commune se situe dans la zone d’emploi de Châteauroux et dans le bassin de vie de Buzançais[13].
La commune se trouve dans l'aire géographique et dans la zone de production du lait, de fabrication et d'affinage des fromages Valençay[51] et Sainte-maure-de-touraine[52].
Deux campings sont présents dans la commune :
Culture locale et patrimoine
modifierMonuments et lieux touristiques
modifier- Église Sainte-Marie-Madeleine[55] : première église classée du département de l'Indre en 1862, construite à partir de 1334, avec l'autorisation du pape Benoît XII, par Alix de Brabant, dame de Mézières, veuve de Jean III d'Harcourt (cf. les articles Rochecorbon et Vierzon). Cette église est devenue église paroissiale le 12 messidor an IV. Remarquable par son porche richement ornementé, ses vitraux, ses stalles et la chapelle Notre-Dame, dite d'Anjou. Sépulture de Louis d'Anjou-Mézières.
- Monument aux morts
-
L'église Sainte-Marie-Madeleine en 2012.
Personnalités liées à la commune
modifier- Jean de Murs (c. 1300 - c.1350), mathématicien, astronome, théoricien de la musique, a été chanoine de Mézières-en-Brenne : c'est là qu'il écrivit probablement son Quadripartitum numerorum. Il pourrait être l'auteur de la méridienne installée sur un mur de la collégiale Sainte-Marie-Madeleine.
- Jean Brunet (1849-1917), peintre, y est né.
- Blanche Dantigny (1842-1874), actrice française, a vécu quelques années à Mézières-en-Brenne.
- George Sand (1804-1876), romancière et femme de lettres française, assista en 1846 aux courses hippiques organisées à Mézières-en-Brenne, par le comte de Lancosme-Brèves.
- Gérard Coulon, né à Mézières-en-Brenne en 1945, est un archéologue, historien et écrivain.
Héraldique, logotype et devise
modifierBlason | Taillé de gueules et d'argent. |
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Détails | Les armoiries ont été adoptées après la Révolution française et sont les couleurs des royalistes (blanc) et républicains (rouge). Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Drapeau de Mézières-en-Brenne : Le drapeau de Mézières-en-Brenne est formé de deux bandes horizontales rouge et blanche. Les couleurs proviennent des armoiries[56]. |
Bannière de Mézières-en-Brenne : La bannière de Mézières-en-Brenne est armoriée. |
Voir aussi
modifierBibliographie
modifier- Pierre Brunaud, Mézières-en-Brenne et sa région, Saint-Cyr-sur-Loire, Alan Sutton, , 128 p. (ISBN 9782849101230).
Articles connexes
modifierLiens externes
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- Sites officiels : www.coeurdebrenne.fr/la-communaute-de-communes/les-communes/mezieres-en-brenne et www.coeurdebrenne.fr
- Ressources relatives à la géographie :
- Ressource relative à plusieurs domaines :
- Mézières-en-Brenne sur le site de la communauté de communes Cœur de Brenne
- Mézières-en-Brenne sur le site de l'Institut géographique national
Notes et références
modifierNotes
modifier- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
Cartes
modifier- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
Références
modifier- « Indre », sur le site de Lion 1906, consulté le 3 septembre 2018.
- « Mézières-en-Brenne » sur Géoportail., consulté le 17 septembre 2018.
- « Didacticiel de la règlementation parasismique : Indre », sur le site de la Prévention du risque sismique, consulté le 3 septembre 2018.
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- « Orthodromie entre Mézières-en-Brenne et Murs », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Murs », sur la commune de Murs - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France « Murs », sur la commune de Murs - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « Mézières-en-Brenne », sur le site de ViaMichelin, consulté le 3 septembre 2018.
- « Indre (36) - Fiches horaires », sur le site du Réseau de mobilité interurbaine, consulté le 2 septembre 2018.
- « La grille communale de densité », sur insee,fr, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Mézières-en-Brenne ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- Site de l'Insee : Mézières-en-Brenne, consulté le 6 septembre 2016.
- « Les risques près de chez moi - commune de Mézières-en-Brenne », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Atlas du risque de feux de forêt en Centre – Val de Loire », sur centre-val-de-loire.developpement-durable.gouv.fr, (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur indre.gouv.fr (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs dans l'Indre », sur indre.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
- Archives Nationales - JJ 195, n° 1468, fol. 339.
- Archives Nationales - JJ 211, n° 523, fol. 116 v°.
- Archives Nationales - JJ 220, n° 382, fol. 228 v°.
- « Nom des habitants des communes françaises, Mézières-en-Brenne », sur le site habitants.fr de la SARL Patagos (consulté le ).
- Archives départementales de l’Indre, Berry médiéval : à la découverte de l’Indre au Moyen Âge, catalogue d’exposition, Châteauroux, Archives départementales de l’Indre, 2009, p. 54.
- Patrick Van Kerrebrouck, Les Valois : Nouvelle histoire généalogique de l'auguste maison de France, t. III, Villeneuve-d'Ascq, Patrick Van Kerrebrouck, , 735 p. (ISBN 2-9501509-2-6), p. 503
- M. de La Villegille, « Testament de Louis, bâtard du Maine », Compte rendu des travaux de la société du Berry à Paris, vol. 8, 1860-1861, p. 180-189 (lire en ligne)
- Françoise Perrot, « L'église Sainte-Marie-Madeleine de Mézière-en-Brenne », dans Congrès archéologique de France 142e session 1984 Bas-Berry, Paris, Société française d'archéologie, , 386 p. (lire en ligne), p. 192-200
- Berry médiéval, op. cit., p. 55.
- Jean-Claude Derey : Les Enfants du brouillard. L'affaire Mis et Thiennot Ed. Phébus 2002
- « LOI no 2013-403 du 17 mai 2013 relative à l'élection des conseillers départementaux, des conseillers municipaux et des conseillers communautaires, et modifiant le calendrier électoral », JORF no 0114 du 18 mai 2013 p. 8242, (consulté le ).
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- Site de Berry Province, consulté le 5 février 2013.
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- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Liste des établissements scolaires de l'Indre - Année scolaire 2018/2019 » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
- « Regroupements pédagogiques intercommunaux (R.P.I.) » [PDF], sur le site de l'Académie d'Orléans-Tours (consulté le ).
- « Le Mag 36 #1 », sur le site du Conseil départemental de l'Indre, p. 19, consulté le 3 juillet 2017.
- Site de l'archidiocèse de Bourges : Doyenné de Brenne-Touraine, consulté le 4 mai 2013.
- Site de l'Institut national de l'origine et de la qualité : Valençay, consulté le 15 août 2014.
- « Sainte-maure-de-touraine », sur le site de l'Institut national de l'origine et de la qualité, consulté le 19 février 2018.
- « Camping municipal de La Cailauderie », sur le site de campingfrance.com (consulté le ).
- « Camping du Domaine de Bellebouche », sur le site de Berry Province (consulté le ).
- « Un dimanche patrimonial et artistique », La Nouvelle République du Centre-Ouest, Indre, .
- Site des Emblèmes de France : Drapeaux de Mézières-en-Brenne, consulté le 25 août 2012.