Urbanya

commune française du département des Pyrénées-Orientales

Urbanya Écouter (en catalan Orbanyà) est une commune française située dans le département des Pyrénées-Orientales, en région Occitanie.

Urbanya
Urbanya
Urbanya tapi au fond de sa vallée.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Pyrénées-Orientales
Arrondissement Prades
Intercommunalité Communauté de communes Conflent-Canigó
Maire
Mandat
Jean Servat
2020-2026
Code postal 66500
Code commune 66219
Démographie
Gentilé Urbanyains
Population
municipale
47 hab. (2021 en évolution de +2,17 % par rapport à 2015en évolution de +2,17 % par rapport à 2015)
Densité 3,3 hab./km2
Géographie
Coordonnées 42° 38′ 23″ nord, 2° 18′ 20″ est
Altitude Min. 720 m
Max. 1 765 m
Superficie 14,40 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Prades
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton des Pyrénées catalanes
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Urbanya
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Urbanya
Géolocalisation sur la carte : Pyrénées-Orientales
Voir sur la carte topographique des Pyrénées-Orientales
Urbanya
Géolocalisation sur la carte : Occitanie (région administrative)
Voir sur la carte administrative d'Occitanie (région administrative)
Urbanya

Ses habitants sont appelés les Urbanyains et Urbanyaines.

Urbanya est une commune rurale qui compte 47 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 488 habitants en 1831. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Prades. Ses habitants sont appelés les Urbanyains ou Urbanyaines.

Géographie

modifier

Localisation

modifier

La commune d'Urbanya est située dans la région naturelle du Conflent, au sein du massif du Madrès, à l’extrémité nord-orientale de la chaîne des Pyrénées, qui occupe une zone intermédiaire entre la région méditerranéenne et les premiers hauts sommets pyrénéens. Il culmine au Pic de Madrès à 2 469 m d’altitude et sa superficie est de l’ordre de 360 km2. La partie centrale du massif se situe à 65 km du littoral méditerranéen (de 55 à 78 km). La mairie d'Urbanya se situe à 880 m d'altitude.

La vallée d'Urbanya est dominée par les garrigues et maquis, offrant un paysage vierge d'habitations. Le village d'Urbanya, à l'image très montagnarde avec ses maisons couvertes de lloses, est installé en fond de vallée et entouré de terrasses plus ou moins abandonnées.

 
Situation de la commune.
 
Urbanya, vu du sud. La ligne pointillée indique la limite approximative de la commune.

Communes limitrophes

modifier
Communes limitrophes d’Urbanya[1]
Mosset
 
Nohèdes Conat

Géologie et relief

modifier
 
La vue du pic du Canigou depuis le cœur du village

Le massif du Madrès est constitué de roches issues du socle hercynien, plus ou moins métamorphisées lors du soulèvement pyrénéen durant l'ère tertiaire. Les substrats sont variés :

Cette diversité de substrats, associée à l'amplitude altitudinale, explique la richesse floristique rencontrée.

La commune est classée en zone de sismicité 4, correspondant à une sismicité moyenne[2].

Exemples de types de roches dans la commune[Carte 1],[Carte 2],[3]

modifier

Hydrographie

modifier

La rivière d'Urbanya est le principal cours d'eau qui traverse le village avant de se jeter dans la Caillau au fond de la vallée.

Voies de communication et transports

modifier

La route départementale 268 dessert le village depuis son embranchement sur la RD 26.

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[4]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne ou de marges de montagne et est dans la région climatique Pyrénées orientales, caractérisée par une faible pluviométrie, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un air sec, particulièrement en hiver et peu de brouillards[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 919 mm, avec 6,9 jours de précipitations en janvier et 5,6 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Eus à 13 km à vol d'oiseau[6], est de 13,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 539,8 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme

modifier

Typologie

modifier

Au , Urbanya est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[10]. Elle est située hors unité urbaine[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Prades, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (100 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (100 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (62,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (37,2 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs

modifier

Le territoire de la commune d'Urbanya est vulnérable à différents aléas naturels : inondations, climatiques (grand froid ou canicule), feux de forêt, mouvements de terrain et séisme (sismicité moyenne). Il est également exposé à un risque particulier, le risque radon[15],[16].

Risques naturels

modifier
 
Zones inondables de la commune d'Urbanya.

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par crue torrentielle de cours d'eau du bassin de la Têt[17].

Les mouvements de terrain susceptibles de se produire sur la commune sont soit des glissements de terrain, soit des chutes de blocs, soit des effondrements liés à des cavités souterraines[18]. L'inventaire national des cavités souterraines permet par ailleurs de localiser celles situées sur la commune[19]

Risque particulier

modifier

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune d'Urbanya est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[20].

Toponymie

modifier

Le nom de la commune en catalan est Orbanyà[21].

Le lieu est mentionné sous le nom d'Orbagnan en 1186 et Orbananum en 1279. L'origine du nom est probablement romaine : le domaine d'Orbanus[22].

Histoire

modifier
 
Les maisons d'Urbanya

Le village d'Urbanya est mentionné pour la première fois le comme étant une possession des seigneurs de Conat, dans un acte signé par Guillem-Bernard de Paracols, époux de Blanche de Conat[22].

Village de 96 maisons, Urbanya compte près de 500 habitants dans les années 1830. Le village est alors doté d'une école communale, d'un café et d'artisans, comme un ferronnier.

Une tempête de pluie et de grêle touche la commune en et provoque des dégâts considérables sur les ponts, routes et chemins[23]. En 1913, une route est construite et c'est paradoxalement le début de la désertification du village, trop isolé. L'école ferme dans les années 1950, tout comme l'unique café.

Malgré la distance qui la sépare de ce territoire, la commune d'Urbanya est rattachée à Ria-Sirach par arrêté préfectoral du pour former la nouvelle commune de Ria-Sirach-Urbanya. Urbanya retrouve son indépendance dix ans plus tard par arrêté préfectoral du [24].

Politique et administration

modifier

À compter des élections départementales de 2015, la commune est incluse dans le nouveau canton des Pyrénées catalanes.

Administration municipale

modifier

La commune emploie un secrétaire de mairie qui est présent tous les vendredis matin à l'hôtel de Ville.

Liste des maires

modifier
 
La mairie
Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001, réélu en 2008[25] et 2014[26] En cours Jean-Paul Sangla DVD  

La commune est située dans le Parc naturel régional des Pyrénées catalanes et le Pays Terres romanes en Pays catalan. Elle est membre de la Communauté de communes du Conflent.

Population et société

modifier

Démographie ancienne

modifier

La population est exprimée en nombre de feux (f) ou d'habitants (H).

Évolution de la population
1378 1515 1709 1720 1767 1774 1789
8 f4 f46 f20 f275 H61 f66 f
(Sources : Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9))

Démographie contemporaine

modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[28].

En 2021, la commune comptait 47 habitants[Note 2], en évolution de +2,17 % par rapport à 2015 (Pyrénées-Orientales : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
359329406461488459454437436
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
436409409380338273312333304
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
253275244188153124887044
1962 1968 1990 1999 2005 2006 2010 2015 2020
441433285657114647
2021 - - - - - - - -
47--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique
 
Les collines au-dessus du village sont parsemées de ruines de fermes construites en pierre locale. Elles sont le témoin d'une époque où la population agricole de la commune était beaucoup plus importante qu'aujourd'hui.

Note : Pour 1975 et 1982, la population d'Urbanya est recensée au sein de la commune de Ria-Sirach-Urbanya.

Évolution du rang de la commune
selon la population municipale des années : 1968[31] 1975[31] 1982[31] 1990[31] 1999[31] 2006[32] 2009[33] 2013[34]
Rang de la commune dans le département 230 204 222 201 220 223
Nombre de communes du département 232 217 220 225 226 226 226 226

Enseignement

modifier

L'école est fermée depuis le début des années 1950. Les dernières années de son activité, l'instituteur faisait cours alternativement une semaine sur deux à Nohèdes et à Urbanya. Aujourd'hui, l'école et son préau ont été transformés en salle des fêtes, très active durant l'été.

Manifestations culturelles et festivités

modifier
  • Fête patronale : [35].

Un défibrillateur, financé par le Conseil départemental, est en libre accès sur la façade de la mairie.

Un panier de basket a été installé à l'entrée du village et un babyfoot est en libre accès dans la salle attenante à la mairie.

Économie

modifier

Deux agriculteurs sont présents sur la commune (un exploitant de fruits rouges et une éleveuse de bovins)[36].

Un conseiller économique exerce son métier sur la commune et en télétravail[37].

Deux gîtes accueillent des visiteurs tout au long de l'année[38].

Le village est équipé en Wi-Fi.

Un nouveau forage d'eau potable est mis en place, ainsi que l'éclairage des voies publiques et le tri sélectif.

Culture locale et patrimoine

modifier

Monuments et lieux touristiques

modifier
 
Dolmen du Roc de Jornac
 
Une croix processionnelle face au Canigou
Dolmen du Roc de Jornac

Le dolmen du Roc de Jornac est situé à la limite avec la commune de Conat.

Église Saint-Étienne
Oratoire

L‘oratoire est situé dans le village, en bordure du chemin. Fait de vieilles pierres apparentes et patinées par le temps, sa niche renferme une vieille statue d’époque[Laquelle ?], partagée en deux. Une petite ouverture, pratiquée dans le corps même de l’oratoire, semble marquer l’emplacement d’une ancienne fontaine[39].

Fontaines et petit patrimoine bâti

Trois ponts de pierre sont présents dans le village et deux passerelles en bois permettent de traverser l'Urbanya. L'une est présente à la maison de la chasse, la seconde à la cascade, en amont du village.

Une fontaine est présente dans le centre du village, el font del Cirer.

Des lavoirs sont observables à la partie amont du village.

Les terrains aux alentours sont tous façonnés par des murs en pierres sèches. Marques de l'activité agricole passée, c'est aujourd'hui tout un réseau de sentiers qui est balisé par ce patrimoine millénaire. Ces balades sont parsemées de cabanes pastorales en schiste et d'orris.

Curiosités

* Le doigt du géant : un arbre coupé dans le jardin d'une maison au centre du village, rive droite, a été sculpté en forme d'index. Ce doigt, d'une hauteur de près d'un mètre, pointe le ciel.
  • Cadrans solaires : la rue du cadran solaire héberge plusieurs cadrans solaires dont un qui porte l'inscription Cave ultima (« Attention à la dernière [heure] » en latin).
  • Les fours à pain : de très nombreux fours à pain forment une excroissance sur certaines maisons.
  • Les restes d'un château : il reste encore quelques vestiges d'un ancien château en ruines dont le seigneur dépendait de la baronnie de Conat en 1100.
  • Un Christ sur sa croix est présent avant le premier pont du village, en bordure de rivière.

Patrimoine naturel

modifier

Gérée par l'Office national des forêts (ONF), la forêt domaniale d'Urbanya, d'une superficie de 535 ha, se développe de 800 à 1 750 m d'altitude. L'exode rural et l'abandon des cultures constatés depuis le début du XXe siècle ont permis aux forestiers d'appliquer une politique d'acquisitions amiables sur les terrains « estimés être à vocation forestière ». C'est ainsi que, de 1946 à 1989, furent acquis environ 500 ha (remembrement dès 1964).

Entre le 19 et le , un important incendie brûla 1260 hectares entre Mosset, Urbanya et les hauteurs de Conat. De nombreuses voies de défense des forêts contre l’incendie (DFCI) ont été aménagées autour d'Urbanya qui servent également aux VTTistes, randonneurs et cavaliers.

Personnalités liées à la commune

modifier

Voir aussi

modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie

modifier

Articles connexes

modifier

Liens externes

modifier

Notes et références

modifier

Notes et cartes

modifier
  • Notes
  1. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  2. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. Genna A. (2009) Carte géologique harmonisée du département des Pyrénées-Orientales. Notice technique, Rapport final, BRGM/RP-57032-FR, en particulier pages 417-8. http://infoterre.brgm.fr/rapports/RP-57032-FR.pdf.
  2. « Carte - géologie et relief » sur Géoportail.
  3. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

modifier
  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. « Plan séisme » (consulté le ).
  3. Notice explicative de la feuille Prades (1095) à 1/50 000, BRGM Éditions, Orléans, 1998, ficheinfoterre.brgm.fr.
  4. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  5. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Urbanya et Eus », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Eus » (commune d'Eus) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Eus » (commune d'Eus) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Prades », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  15. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), chapitre 1 - Liste des risques par commune.
  16. « Les risques près de chez moi - commune d'Urbanya », sur Géorisques (consulté le ).
  17. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Risque inondation.
  18. « Dossier départemental des risques majeurs (DDRM) des Pyrénées-Orientales », sur le site de la préfecture, édition 2017 (consulté le ), partie 1 - chapitre Mouvements de terrain.
  19. « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune d'Urbanya », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  20. « cartographie des risques d'inondations du tri de perpignan/saint-cyprien », sur le site de l’IRSN, (consulté le ).
  21. (ca + fr) Institut d’Estudis Catalans, Université de Perpignan, Nomenclàtor toponímic de la Catalunya del Nord, Barcelone, (lire en ligne).
  22. a et b Jean Sagnes (dir.), Le pays catalan, t. 2, Pau, Société nouvelle d'éditions régionales, , 579-1133 p. (ISBN 2904610014).
  23. Fabricio Cardenas, Vieux papiers des Pyrénées-Orientales, Déluge à Urbanya en 1907, 9 août 2014
  24. Jean-Pierre Pélissier, Paroisses et communes de France : dictionnaire d'histoire administrative et démographique, vol. 66 : Pyrénées-Orientales, Paris, CNRS, , 378 p. (ISBN 2-222-03821-9).
  25. Préfecture des Pyrénées-Orientales, Liste des maires élus en 2008, consultée le 22 juillet 2010
  26. [PDF] « Liste des maires du département des Pyrénées-Orientales à la suite des élections municipales et communautaires des 23 et 30 mars 2014 »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur la-clau.net.
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. a b c d et e INSEE, « Population selon le sexe et l'âge quinquennal de 1968 à 2012 (1990 à 2012 pour les DOM) », sur insee.fr, (consulté le ).
  32. INSEE, « Populations légales 2006 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  33. INSEE, « Populations légales 2009 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  34. INSEE, « Populations légales 2013 des départements et des collectivités d'outre-mer », sur insee.fr, (consulté le ).
  35. Michel de La Torre, Pyrénées-Orientales : Le guide complet de ses 224 communes, Paris, Deslogis-Lacoste, coll. « Villes et villages de France », (ISBN 2-7399-5066-7).
  36. Bienvenue à la ferme, consulté le 30 octobre 2013
  37. NPC, consulté le 30 octobre 2013
  38. Abritel, consulté le 30 octobre 2013
  39. Inventaire des oratoires du Conflent, Victor Pyguillem