Surques

commune française du département du Pas-de-Calais

Surques
Surques
L'église Saint-Crépin-et-Crépinien.
Blason de Surques
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Pas-de-Calais
Arrondissement Saint-Omer
Intercommunalité Communauté de communes du Pays de Lumbres
Maire
Mandat
Marie-Hélène Taverne
2020-2026
Code postal 62850
Code commune 62803
Démographie
Gentilé Surquois
Population
municipale
638 hab. (2021 en diminution de 1,69 % par rapport à 2015)
Densité 93 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 44′ 27″ nord, 1° 55′ 01″ est
Altitude Min. 69 m
Max. 199 m
Superficie 6,85 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Boulogne-sur-Mer
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Lumbres
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Surques
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Surques
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Surques
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Surques

Surques est une commune française située dans le département du Pas-de-Calais en région Hauts-de-France.

La commune fait partie de la communauté de communes du Pays de Lumbres qui regroupe 36 communes et compte 24 153 habitants en 2019.

Le territoire de la commune est situé dans le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale.

Géographie modifier

Localisation modifier

 
Carte interactive (cliquer sur la carte).

Le territoire de la commune est limitrophe de ceux de six communes :

Communes limitrophes de Surques
Bainghen Hocquinghen Rebergues
 
Longueville Brunembert Escœuilles

Géologie et relief modifier

La superficie de la commune est de 6,85 km2 ; son altitude varie de 69 à 199 mètres[1].

Hydrographie modifier

Le territoire de la commune est situé dans le bassin Artois-Picardie[2].

La commune est traversée par la Hem ou Tiret, un cours d'eau naturel non navigable de 27,92 km, qui prend sa source dans la commune d'Escœuilles et rejoint l'Aa dans la commune de Sainte-Marie-Kerque[3].

Paysages modifier

La commune s'inscrit dans le « paysage boulonnais » tel que défini dans l’atlas des paysages de la région Nord-Pas-de-Calais, conçu par la direction régionale de l'Environnement, de l'Aménagement et du Logement (DREAL)[Note 1],[4].

Ce paysage qui concerne 66 communes, se délimite : au Nord, par les paysages des coteaux calaisiens et du Pays de Licques, à l’Est, par le paysage du Haut pays d’Artois, et au Sud, par les paysages Montreuillois.

Le « paysage boulonnais », constitué d'une boutonnière bordée d’une cuesta définissant un pays d’enclosure, est essentiellement un paysage bocager composé de 47 % de son sol en herbe ou en forêt et de 31 % en herbage, avec, dans le sud et l’est, trois grandes forêts, celle de Boulogne, d’Hardelot et de Desvres et, au nord, le bassin de carrière avec l'extraction de la pierre de Marquise depuis le Moyen Âge et de la pierre marbrière dont l'extraction s'est développée au XIXe siècle.

La boutonnière est formée de trois ensembles écopaysagers : le plateau calcaire d’Artois qui forme le haut Boulonnais, la boutonnière qui forme la cuvette du bas Boulonnais et la cuesta formée d’escarpements calcaires. Dans ce paysage, on distingue trois entités :

  • les vastes champs ouverts du Haut Boulonnais ;
  • le bocage humide dans le Bas Boulonnais ;
  • la couronne de la cuesta avec son dénivelé important et son caractère boisé[5].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 952 mm, avec 12,5 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Licques à 5 km à vol d'oiseau[8], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 138,1 mm[9],[10]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[11].

Statistiques 1991-2020 et records LICQUES (62) - alt : 75m, lat : 50°47'05"N, lon : 1°56'36"E
Records établis sur la période du 01-12-1968 au 30-06-2021
Mois jan. fév. mars avril mai juin jui. août sep. oct. nov. déc. année
Température minimale moyenne (°C) 1,4 1,3 2,9 4,4 7,5 10,4 12,5 12,4 9,8 7,5 4,4 1,9 6,4
Température moyenne (°C) 4,2 4,5 6,8 9,4 12,5 15,3 17,5 17,5 14,7 11,4 7,5 4,7 10,5
Température maximale moyenne (°C) 7 7,8 10,8 14,4 17,5 20,2 22,4 22,6 19,5 15,2 10,5 7,4 14,6
Record de froid (°C)
date du record
−22
08.01.1985
−14,5
11.02.12
−12
04.03.05
−5,5
13.04.21
−2,8
01.05.21
0
01.06.1975
2,5
01.07.1984
0,4
25.08.1980
0
30.09.18
−6
29.10.1997
−8,5
24.11.1998
−13
07.12.1969
−22
1985
Record de chaleur (°C)
date du record
14,5
09.01.1998
19,5
26.02.19
25
31.03.21
28,5
19.04.18
32,2
27.05.05
35,3
21.06.17
40,9
25.07.19
37,5
07.08.20
32,7
13.09.16
29,5
01.10.11
20,2
19.11.1969
15,5
19.12.15
40,9
2019
Précipitations (mm) 104,4 85,2 71,6 61,1 71,3 69,5 72,5 93 93,5 126,7 143,4 145,9 1 138,1
Source : « Fiche 62506001 », sur donneespubliques.meteofrance.fr, edité le : 06/12/2023 dans l'état de la base


Milieux naturels et biodiversité modifier

Espace protégé modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[12].

Dans ce cadre, la commune fait partie d'un espace protégé : le parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale, d’une superficie de 132 499 hectares réparties sur 153 communes, géré par le syndicat mixte d'aménagement et de gestion du parc naturel régional des Caps et Marais d'Opale[13].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

Le territoire communal comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 2] :

  • la haute vallée de la Hem entre Audenfort et Nordausques, d’une superficie de 446 hectares et d'une altitude variant de 6 à 35 mètres[14] ;
  • le mont de Surques et le bois du Val. Cette ZNIEFF du bois du Val et du mont de Surques est située sur l’escarpement crayeux du haut-Boulonnais[15].

et deux ZNIEFF de type 2[Note 3] :

  • la boutonnière de pays de Licques. Cette ZNIEFF, de 17 830 hectares, s'étend sur 43 communes[16] ;
  • la cuesta du Boulonnais entre Neufchâtel-Hardelot et Colembert. Cette ZNIEFF marque la séparation entre les terrains du Jurassiques du Bas-Boulonnais et les plateaux crayeux des hautes terres Artésiennes[17].

Site Natura 2000 modifier

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des directives « habitats » et « oiseaux ». Ce réseau est constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[18].

Sur la commune, un site Natura 2000 de type B est défini en site d'importance communautaire (SIC) : les pelouses et bois neutrocalcicoles des cuestas du Boulonnais et du Pays de Licques et la forêt de Guînes[19].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Surques est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[20],[21],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 80 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[23],[24].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (92 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (91,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (42,6 %), zones agricoles hétérogènes (25,3 %), prairies (24,1 %), forêts (8 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Voies de communication et transports modifier

Transport ferroviaire modifier

La commune était située sur la ligne de chemin de fer Boulogne - Bonningues, une ancienne ligne de chemin de fer qui reliait, dans le département du Pas de Calais, de 1909 et 1935, Boulogne-sur-Mer à Bonningues-lès-Ardres.

Risques naturels et technologiques modifier

Risque inondation modifier

À la suite du passage des tempêtes Ciarán, Domingos et Elisa et des inondations et coulées de boue qui se sont produites, la commune est reconnue, par arrêté du , en état de catastrophe naturelle pour inondations et coulées de boue sur la période du au , comme 179 autres communes du département[26].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Surches et Surlces (1084), Surdces (1117), Surclae (v. 1119), Surkes (1122), Suerkes (1261), Zurke (1296), Surkae (XIIIe siècle)[27].

Sous l'Ancien Régime, le nom de la commune s'écrivait indifféremment Surgues ou Surques[28].

Son nom viendrait de l'anthroponyme gallo-romain Surius suivi du suffixe -acum « domaine (de) », donnant « le domaine de Surius ».

Zurke en flamand[29].

Histoire modifier

Surques dépendait du comté de Guînes. La seigneurie de Surques était en 1273 une des douze pairies du comté alors qu'à la même date, Ansel, sire du Val de Surques, en était un des treize barons[30].

Hugues de Surques assiste vers 1084 à l'enterrement d'Adèle Chrétienne de Hollande, épouse du comte de Guînes Baudouin Ier de Guînes, dans l'abbaye Saint-Médard d'Andres[31]. Il est également témoin en 1097, d'une charte donnée par Manassès Ier de Guînes en faveur de la même abbaye[32].

Politique et administration modifier

Découpage territorial modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement de Saint-Omer du département du Pas-de-Calais.

Commune et intercommunalités modifier

La commune est membre de la communauté de communes du Pays de Lumbres.

Circonscriptions administratives modifier

La commune est rattachée au canton de Lumbres.

Circonscriptions électorales modifier

Pour l'élection des députés, la commune fait partie de la sixième circonscription du Pas-de-Calais.

Élections municipales et communautaires modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 2008 Lucien Bay    
mars 2008 2020 Bruno Fourrier   Artisan menuisier
Réélu pour le mandat 2014-2020[33],[34],[35],[36]
25 mai 2020 En cours
(au 7 avril 2022)
Marie-Hélène Taverne   Ancienne cadre[37],[38]

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[40].

En 2021, la commune comptait 638 habitants[Note 6], en diminution de 1,69 % par rapport à 2015 (Pas-de-Calais : −0,76 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
387393443437459480466460444
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
426422382396430412429406357
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
385389354343346355366360360
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
348327357345364365451475615
2018 2021 - - - - - - -
636638-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[1] puis Insee à partir de 2006[41].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 41,8 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (36,7 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 16,7 % la même année, alors qu'il est de 24,9 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 321 hommes pour 315 femmes, soit un taux de 50,47 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,50 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[42]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,3 
90 ou +
1,0 
2,5 
75-89 ans
5,1 
13,4 
60-74 ans
11,1 
14,0 
45-59 ans
11,7 
29,0 
30-44 ans
28,3 
15,3 
15-29 ans
14,9 
25,5 
0-14 ans
27,9 
Pyramide des âges du département du Pas-de-Calais en 2020 en pourcentage[43]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,5 
90 ou +
1,6 
5,5 
75-89 ans
8,9 
16,4 
60-74 ans
17,8 
20,3 
45-59 ans
19,3 
19,1 
30-44 ans
18,2 
18,1 
15-29 ans
16,2 
20,2 
0-14 ans
18,1 

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • L'église Saint-Crépin-et-Crépinien.
  • Le monument aux morts.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
D'argent à la croix écartelée de gueules et d'or.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. La DREAL distingue, dans la région Nord-Pas-de-Calais, quatre grandes familles de paysages : ceux du Haut Pays, Bas Pays, Littoraux et d’interface. Ces grandes familles de paysages comprennent 21 grands paysages régionaux.
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  2. « Données de la commune », sur le site du service d'administration nationale des données et référentiels sur l'eau (Sandre) (consulté le ).
  3. Sandre, « Fiche cours d'eau - Hem ou Tiret (E4100600 ) » (consulté le )
  4. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Synthèse des grandes familles de paysages et des paysages régionaux qui la composent » [txt], sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  5. DREAL, « atlas des paysages de la région Nord - Pas-de-Calais : Paysages boulonnais », sur hauts-de-france.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  8. « Orthodromie entre Surques et Licques », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Licques » (commune de Licques) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Licques » (commune de Licques) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  12. « Les espaces protégés. », sur le site de l’Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  13. « espace protégé FR8000007 - Caps et Marais d'Opale », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. « ZNIEFF 310007272 - Haute vallée de la Hem entre Audenfort et Nordausques », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  15. « ZNIEFF 310030108 - Le Mont de Surques et le bois du Val », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  16. « ZNIEFF 310013274 - La Boutonnière de Pays de Licques », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  17. « ZNIEFF 310013721 - La Cuesta du Boulonnais entre Neufchâtel-Hardelot et Colembert », sur Le site de l'Inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  18. (en) « The Natura 2000 protected areas network », sur European Environment Agency (consulté le ).
  19. « Natura 2000 FR3100485 - Pelouses et bois neutrocalcicoles des cuestas du Boulonnais et du Pays de Licques et forêt de Guînes », sur Le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  20. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Boulogne-sur-Mer », sur insee.fr (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  26. République Française, « Inondations et coulées de boue », Journal officiel de la République française, no 264,‎ , p. 16 (lire en ligne, consulté le ).
  27. Auguste De Loisne, Dictionnaire topographique du département du Pas-de-Calais, Paris, (lire en ligne), p. 363.
  28. Jean-Joseph Expilly, Dictionnaire géographique, historique et politique des Gaules et de la France : R - S, vol. 6, Amsterdam, (lire en ligne), p. 1058.
  29. Centre de Recherche généalogique Flandre-Artois
  30. P. Feuchère, « Pairs de principauté et pairs de château. Essai sur l'institution des pairies en Flandre. Étude géographique et institutionnelle », dans Revue belge de Philologie et d'Histoire, Année 1953, Tome 31, fascicule 4, p. 981, lire en ligne.
  31. André Du Chesne, Histoire généalogique des maisons de Guines, d'Ardres, de Gand et de Coucy et de quelques autres familles illustres, Paris, 1632,p. 22, lire en ligne
  32. Du Chesne, op. cit., p. 26
  33. Marie Jansana, « Le bilan du maire Surques : l’école s’est agrandie et la mairie a déménagé : Le maire n’a pas encore décidé s’il postulerait à un deuxième mandat en 2014. Élu à la tête de la commune en 2008, Bruno Fourrier a vécu une « belle expérience ». Un mandat qui aura vu la naissance d’une nouvelle classe au RPI et du déménagement de la mairie », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  34. « À Surques, Bruno Fourrier réélu à la majorité », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  35. « Liste des communes et des maires » [xls], Préfecture du Pas-de-Calais, (consulté le ).
  36. J.-C. C. (CLP), « Surques: des travaux à l’église en prévision : Bruno Fourrier, maire, tient fermement en main les rênes de la commune de Surques avec, pour le seconder, une équipe municipale rajeunie (45 ans d’âge moyen) et déterminée. Les projets ? L’entretien des chemins, des travaux à l’église… », La Voix du Nord,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  37. « Répertoire national des maires » [txt], Répertoire national des élus, sur data.gouv.fr, (consulté le ).
  38. « Résultats des élections municipales et communautaires 2020 », sur Le site du Ministère de l'Intérieur (consulté le ).
  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  42. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Surques (62803) », (consulté le ).
  43. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département du Pas-de-Calais (62) », (consulté le ).
  44. Martine François, « Hénon Jacques Marie », sur Comité des travaux historiques et scientifiques, (consulté le ).