Relais de la flamme olympique 2024
Le relais de la flamme olympique 2024 est parti le d'Olympie en Grèce et a pris fin 101 jours plus tard le à Paris en France à l'occasion de la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques d'été de 2024. Cette tradition du relais de la flamme olympique remonte aux Jeux olympiques d'été de 1936 à Berlin.
Relais de la flamme olympique 2024 | ||||||||
![]() | ||||||||
Organisée par le comité d'organisation des Jeux olympiques et paralympiques d'été de 2024 | ||||||||
Détails | ||||||||
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Date | au | |||||||
Lieu | ![]() ![]() ![]() |
|||||||
Site web | olympics.com/fr/paris2024 | |||||||
Chronologie | ||||||||
| ||||||||
modifier ![]() |

Symboles
modifierL'ensemble des éléments du relais de la flamme sont identiques entre la flamme olympique et la flamme paralympique.
Le , le Comité d'organisation des Jeux olympiques et paralympiques d'été de 2024 a choisi Mathieu Lehanneur pour le design de la torche et de la vasque olympique[1].
Torche
modifierLe design de la torche, commune aux relais des flammes olympique et paralympique, est révélé le .
La torche olympique est fabriquée en acier recyclé dans trois usines françaises d'ArcelorMittal[2] : fabrication dans l'usine de Châteauneuf, dans la Loire[3], laminage dans celle de Florange, en Moselle, et découpage en feuilles dans l'usine de Woippy avant façonnage[4].
Le designer charentais Mathieu Lehanneur a imaginé des effets d'ondes et de vibrations sur la torche pour rappeler les vagues de l'eau, notamment de la Seine[5]. Elle pèse 1,5 kg et mesure 70 cm de haut pour 3,5 cm de diamètre[4].
Contrairement aux éditions précédentes, le nombre de torches produites est divisé par cinq, soit un total de 2 000 exemplaires (1 500 pour les Jeux olympiques, 500 pour les Jeux paralympiques)[2], « afin de réduire l'empreinte environnementale »[3].
La flamme est alimentée par une cartouche de biopropane, dont la durée de combustion est calculée pour être supérieure au temps de parcours prévu[6].
Chaudron
modifierLe chaudron olympique, fabriqué par ArcelorMittal et dessiné par Mathieu Lehanneur, a été révélé le . Il se présente sous la forme « d'un anneau en inox de 1,35 m de diamètre, surmontant un socle recouvert d'une plaque de forme hydroformée ondulée » et pèse 95 kg[7]. Cet anneau, de couleur « or pâle assez doux [rappelant] celle de la flamme », est posé sur trois pieds où circule le gaz servant à l'allumage de la flamme ; des « centaines de micro-trous » permettent, au contact de la torche, l'allumage du chaudron[8].
Vingt chaudrons sont fabriqués pour les relais olympique et paralympique[7]. Pour le relais de la flamme olympique, ils sont produits à huit exemplaires, selon Delphine Moulin, directrice des célébrations des Jeux olympiques[8].
Vasque
modifierLa vasque olympique, allumée à l'issue du relais et de la cérémonie d'ouverture, est installée dans le jardin des Tuileries, sur le Grand Bassin rond du jardin des Tuileries[9]. Un ballon harnaché au sol y a été installé quelques semaines avant la cérémonie d'ouverture[10].
- La vasque olympique dans le jardin des Tuileries
Parcours de la flamme
modifierÉtablissement du parcours
modifierDeux tiers des départements intéressés
modifierLe , le comité d'organisation des Jeux olympiques et paralympiques (COJOP) souhaitait que tous les départements de France, outre-mer inclus, voient passer la flamme olympique, avec un passage dans 700 villes dont 70 sont villes-étapes, en donnant la priorité aux territoires labellisés Terre de Jeux 2024. Le cahier des charges comprend une participation financière de chaque département « afin de participer à la réussite du relais », qui s'élève à 150 000 euros hors taxes (soit 180 000 euros TTC), partageable avec des acteurs publics[11] ; ce montant comprend les frais de logistique, de sécurité, de signalisation et l'organisation d'animations[12].
Le relais de la flamme olympique est financé par le comité d'organisation et ses partenaires.
Dès le mois de février 2022, certains départements annoncent renoncer à accueillir la flamme olympique sur leur territoire, estimant le montant disproportionné par rapport aux budgets[13] et non négociable[14], remettant en cause la pertinence de l'organisation d'un événement ne durant qu'une seule journée. Ce montant avait pourtant été « fixé en concertation avec les associations d'élus[13] ». Selon un porte-parole de Paris 2024, « l'Association des départements de France a plaidé pour un système de forfait » et des négociations « auraient été difficiles »[13].
Ni l'Isère ni la Savoie (avec Grenoble et Albertville, villes hôtes respectives des JO d'hiver de 1968 et 1992), n'ont souhaité accueillir la flamme olympique, arguant l'accueil d'événements « moins chers » et « plus médiatisés » comme le Tour de France[15]. D'autres départements, pourtant labellisés Terre de Jeux 2024, ont refusé l'accueil de la flamme comme la Corrèze[13].
Néanmoins, certaines collectivités ont accepté de débourser la somme demandée en lieu et place des départements qui ont refusé, telles que Millau, Sète et Montpellier (face aux refus des départements de l'Aveyron et de l'Hérault) ; La Baule (Loire-Atlantique) ; Châteaudun (Eure-et-Loir) ; et Bordeaux/Libourne/Saint-Émilion (Gironde)[13].
Les critiques sont nombreuses, telles que le coût réel opaque qui s'élèverait à 450 000 €, selon le département de la Loire-Atlantique, ou les retombées financières pour les communes traversées[16].
Ville départ du relais
modifierLe , la ville d'arrivée de la flamme olympique sur le territoire français est dévoilée. Le COJOP a choisi Marseille, qui accueille notamment les compétitions de voile et des matchs de football, pour un événement qui se veut « spectaculaire, populaire et festif » selon son président, Tony Estanguet[17]. La flamme arrive par le Vieux-Port à bord du Belem. Son accueil symbolise l'histoire de la ville et la légende de Gyptis et Protis, et représente un événement « incroyable et important » selon le maire, Benoît Payan, qui annonce la mobilisation « [des] quartiers, [de] la jeunesse [et des] associations sportives »[18].
Samia Ghali, adjointe au maire chargée des grands événements, avait fait la demande au COJOP en 2022 pour que Marseille accueille la flamme olympique dans le Vieux-Port[19].
Départ d'Olympie
modifierLe relais débute par Olympie, ville historique du début des Jeux. La flamme olympique est allumée le , exceptionnellement avec une flamme de réserve en raison des conditions météorologiques qui n'ont pas permis l'allumage par les rayons du Soleil[20]. 600 relayeurs se passent la flamme au cours des onze jours et 5 000 km parcourus sur le territoire grec, à travers sept îles et dix sites archéologiques[21].
Le premier relayeur de la flamme est le rameur grec Stéfanos Doúskos, champion olympique de skiff à Tokyo en 2021 ; la première relayeuse française est la nageuse Laure Manaudou, championne olympique de natation à Athènes en 2004[21].
Le , la flamme parcourt ses derniers mètres en Grèce, emmenée par les relayeuses Gabriella Papadakis (championne olympique de danse sur glace aux JO d'hiver de Pékin en 2022) et Béatrice Hess (nageuse paralympique), accompagnées par Antigóni Drisbióti (spécialiste de la marche) et Ioannis Fountoulis (en) (médaillé d'argent en water-polo à Tokyo en 2021), ce dernier ayant allumé le chaudron marquant la fin du relais en Grèce. La flamme a ensuite été remise à Tony Estanguet, président du comité d'organisation des Jeux olympiques et paralympiques d'été de 2024, par Spyros Capralos (en), président du comité olympique hellénique[22].
Relais maritime sur le Belem
modifierLe parcours du Belem, dévoilé le , comprend le transport de la flamme olympique d'Athènes à Marseille. Le prestigieux trois-mâts français part du port de Sète le et arrive au port du Pirée, à Athènes, le , en passant par les bouches de Bonifacio et la Sicile[23].
Le Belem est, depuis 1979, la propriété de la Caisse d'épargne qui a créé une fondation pour la restauration de ce navire. Il quitte le port du Pirée le , accompagné de la trière Olympias (appartenant à la marine grecque) et de 25 voiliers[24]. Le trois-mâts est escorté, sur tout son parcours (de 2 500 km), par un bâtiment de soutien et d'assistance métropolitain (BSAM) de la Marine nationale, dont sa mission première est l'assistance technique — le navire passant par le canal de Corinthe et le détroit de Messine — et médicale. Des effectifs des forces de l'ordre (police ou gendarmerie) sont aussi présents pour « garantir l'intégrité de la flamme » jour et nuit. Le navire entre dans les eaux territoriales françaises par la Corse[25].
À son arrivée à Marseille, le , le BSAM doit assurer la sécurité, où sont présents des milliers de plaisanciers et 1 024 embarcations, mais aussi la sûreté (en raison du risque terroriste)[25].
Parcours en France
modifierAnnoncé fin avril 2023[26], le parcours de la flamme olympique est dévoilé le dans le grand amphithéâtre de la Sorbonne, à Paris : elle parcourt, pendant 68 jours, les 64 territoires qui ont accepté de payer 180 000 € pour son passage[27].
La première étape parcourt certains quartiers de Marseille le ; l'arrivée a eu lieu le à Paris pour la cérémonie d'ouverture[6].
Plusieurs flammes existent, mais le règlement du Comité international olympique demande de n'allumer qu'une unique torche à la fois[6].
Prologue à Marseille
modifierLe Belem arrive au Vieux-Port de Marseille à 19 h. 150 000 spectateurs étaient attendus[28].
Florent Manaudou, champion olympique de natation à Londres, est le premier relayeur de la flamme olympique sur le sol français[a]. Il la remet à la championne paralympique Nantenin Keïta. Le rappeur marseillais Jul a allumé le chaudron olympique[29],[30].
L'arrivée de la flamme est accompagnée d'un concert gratuit, parrainé par Coca-Cola, sur le Vieux-Port, avec les rappeurs Soprano et Alonzo[31].
Parcours de Marseille à Brest
modifierRelais des océans
modifierPour le relais des océans, la flamme olympique se rend dans cinq territoires d'outre-mer avec le trimaran Banque populaire XI, emmené par Armel Le Cléac'h et Sébastien Josse, avec Marie-José Pérec, Marine Lorphelin, Alexis Michalik et Hugo Roellinger[36]. En parallèle de son transit par bateau, d'autres flammes sont acheminées par avion, notamment vers la Guyane et la Réunion[37].
Retour en métropole
modifierPorteurs de la flamme
modifierSélection des porteurs
modifierLe , le COJOP annonce que 11 000 relayeurs vont porter la flamme, dont 10 000 pour la flamme olympique (et les mille autres pour la flamme paralympique). Laure Manaudou et Florent Manaudou, champions olympiques de natation, ainsi que le para-athlète Dimitri Pavadé et la paratriathlète Mona Francis, ont été désignés « capitaines »[40].
Ce relais, paritaire (égalité femmes/hommes), relais compte 7 000 relayeurs individuels et 3 000 relayeurs collectifs. Les relais collectifs, inédits dans l'histoire des Jeux, sont des groupes de 24 personnes pouvant représenter une fédération sportive. Au nombre de 69, ceux-ci sont organisés par 34 fédérations sportives (qui ont deux relais), plus un relais de la fédération tahitienne de surf[41].
Les premiers porteurs de la flamme olympique sont dévoilés début janvier 2024. Ceux-ci porteront la flamme pendant quatre minutes, sur une distance de 200 mètres[42].
Les relayeurs sont principalement issus du monde sportif ; ni les personnalités « élues en exercice » ou issues du monde religieux ne peuvent porter la flamme[40]. Le plus jeune porteur était âgé de dix ans et a porté la flamme olympique dans l'Oise ; le relais compte également quelques centenaires[43].
Ces porteurs de la flamme sont sélectionnés[42] :
- pour 30 % par le comité d'organisation des Jeux olympiques et paralympiques d'été de 2024 ;
- pour 30 % par les sponsors de la flamme (Coca-Cola, la Banque populaire et la Caisse d'épargne) ;
- pour 30 % par les autres partenaires des Jeux ;
- pour 10 % par les territoires accueillant le relais.
Liste de porteurs de la flamme
modifierParmi les porteurs notables de la flamme, on peut citer :
- Stéfanos Doúskos, Laure Manaudou, Margarítis Schinás, Antigoni Drisbioti, Nikos Aliagas, Gabriella Papadakis et Ioannis Fountoulis pour le relais en Grèce ;
- Florent Manaudou, Nantenin Keïta et Jul pour le premier relais (prologue) à Marseille le ;
- Basile Boli, Tony Parker, Gaëtan Müller, Nando de Colo, Denis Gargaud Chanut, Frédérick Bousquet, Fabien Gilot, Cyprien Sarrazin, Vincent Matheron, Jean-Baptiste Bernaz, Lauriane Nolot, Redouane Bougheraba, Camille Combal, Nicole Ferroni, Alexandre Mazzia, Alonzo, Éric Di Meco, Valentin Rongier, Louisa Necib, Jean-Pierre Papin, Soprano et Didier Drogba pour le relais à Marseille le [44] ;
- Jean Galfione, Ireen Wüst, Anita Włodarczyk, Fermín Cacho, Kim Gevaert, Zsolt Gyulay, Finn Sonnekalb, Liu Jia, Emona Ivanova, Karolína Pelendrítou, Danira Bilić, Sébastian Terteryan, Ksenija Balta, Amanda Kotaja, Theodóra Gkountoúra, Eve McMahon, Davide Tizzano, Saulius Ritter, Gunta Baško-Melnbārde, Raphaël Stacchiotti, Nathan Farrugia, Diana Duarte Gomes Pedras, Lenka Henebergová, Ana Maria, Florentina Brânză, Loriána Popovičová, Domen Makuc, Hanna Koba et Maria Vysochanska pour le relais collectif de 28 athlètes européens le à Marseille ;
- Carine Galli, Marielle Goitschel, Bernard Lemaître, Richard Virenque et Charles Berling dans le Var ;
- Alain Boghossian et Miss Martini dans les Alpes-de-Haute-Provence[45] ;
- Domingo dans la Provence-Alpes-Côte d'Azur[46];
- Laurent Tillie, Nicky Doll, Virginie Dedieu et Victoria Ravva dans les Bouches-du-Rhône,[47];
- Taïg Khris, Ycare, Hervé Mathoux, Jessica Rose Harrison, Benjamin Toniutti, Artus et Kevin Mayer le à Millau et dans l'Hérault;
- Pascal Olmeta, Patrick Fiori, Priscilla Gneto, Mathieu Lehanneur, designer de la torche et des chaudrons du relais de la flamme olympique de Paris 2024 et Yannick Cahuzac en Corse ;
- Perrine Laffont, Major Mouvement, Fanny Horta et Nawal Meniker dans les Pyrénées-Orientales ;
- Olivia Ruiz et Gérard Bertrand dans l'Aude ;
- Bigflo et Oli, David Berty, Vincent Clerc, Antoine Dupont, Coralie Gonzalez, Jonathan Hivernat, Tibo InShape, Maxime Médard, Nodjialem Myaro, Émile Ntamack, Romain Ntamack, Guillaume Restes, Alexia Richard, Isabelle Strunc, Assia Touati et Brianna Vidé pour le relais en Haute-Garonne[48],[49] ;
- Anthony Jelonch, Paulin Riva, Valérie Gauvin, Loetitia Moussard-Loubens, Joël Bouzou et Christophe Kempé dans le Gers[49] ;
- Bernard Hinault, Étienne Thobois, Florent Dasque, Céline Dumerc, Isabelle Yacoubou, Valérie Nicolas, Frank Adisson, Sandra Forgues, Solène Jambaqué, Nicolas Lopez, Guilhem Garrigues et Irénée Menjou dans les Hautes-Pyrénées[50] ;
- Bixente Lizarazu, Juan Arbelaez, Jérôme Fernandez, Guy Forget, Émilie Andéol et Jérémy Chardy dans les Pyrénées-Atlantiques ;
- Arnaud Assoumani, sur les marches du Palais des festivals et des congrès de Cannes[34] ;
- Laurent Jalabert, Brice Guyart, Manon Hostens et Yoann Kowal en Dordogne ;
- Justine Dupont, Jean-Luc Darfeuille, Vincent Milou, Michel Andrieux, Pierre Durand, Véronique Girardet, Thierry Dusautoir et Thierry Marx en Gironde[51] ;
- Dominique Auprêtre, Bernadette Constantin, Martin Thomas en Charente le ;
- Nicolas Touzaint, Patrick Chila, Anne Boileau, Marie-Amélie Le Fur et Nathalie Even-Lancien dans le Maine-et-Loire ;
- Thomas Pesquet, Guillaume Martin, Éric Levallois, Félicia Ballanger, Roger Lebranchu, Claudia Tagbo et Daniel Mangeas dans la Manche ;
- Fabrice Payen, Servane Escoffier, Hugo Roellinger, Thu Kamkasomphou, Jenia Grebennikov, Romain Danzé, Robert Poirier, Lénaïg Corson, Perle Bouge en Ille-et-Vilaine[52],[53] ;
- Myriam Baverel et Renaud Capuçon dans les Deux-Sèvres[54] ;
- Antoine Albeau, Ciryl Gane, Charline Picon, Isabelle Autissier, Tom Kristensen Jean-René Bernaudeau, Clément Lanoue et Armel Le Cléac'h en Vendée le [55] ;
- Christian Karembeu, Cléopâtre Darleux, Fabien Lévêque, Virginie Ledoyen, Édouard Roger-Vasselin et Jo-Wilfried Tsonga en Loire-Atlantique le ;
- Laury Thilleman dans le Finistère ;
- Marie-José Perec, Marine Lorphelin, Alexis Michalik et Hugo Roellinger à bord du maxi-trimaran Banque populaire XI, skippé par Armel Le Cléac'h et Sébastien Josse lors du relais des Océans entre Brest et Pointe-à-Pitre[56] ;
- Christine Arron[57], Laura Flessel[42], Mickaël Gelabale[57], Malia Metella[58] et Marie-José Pérec[57] en Guadeloupe ;
- Vaimalama Chaves en Polynésie française ;
- Anne-Sophie Pic dans la Drôme ;
- Michou dans la Somme [59] ;
- Marine Lorphelin et Denis Brogniart en Côte-d'Or ;
- Thierry Henry, Romane Dicko[60], Minima Gesté, Charlotte Gainsbourg, Julian Bugier, Ludovic Franceschet, Nina Métayer, Jean Jouzel, Lassana Bathily, Jin du groupe de k-pop BTS et Matthieu Lartot à Paris ;
- Ophélie Meunier dans l'Essonne ;
- Didier Deschamps dans les Yvelines ;
- Renaud Lavillenie et Alice Diop en Seine-Saint-Denis ;
- Jamel Debbouze[42] ;
- Sarah Ourahmoune, championne de boxe[42] ;
- Fauve Hautot ;
- Thierry Adam ;
- Raphaël Varane ;
- Dany Boon ;
- Éric Monnin, ambassadeur de Paris 2024 et porteur de la flamme le 17 avril à Nauplie (Grèce) et le 25 juin à Besançon[61] ;
- Ève Gilles, Miss France 2024 ;
- Jean-Pascal Zadi ;
- Renaud Capuçon[62] ;
- Patrick Bruel ;
- Arthur Dénouveaux[63] à Paris, le 14 juillet ;
- Simon Cohen à Provins en Seine-et-Marne [64] ;
- Guy Drut, Just Riadh à Meaux en Seine-et-Marne[65] ;
- Christelle Olivié (Directrice Générale d'Axon' Cable), Elsa Millart, Yohann Diniz, Tony Yoka, Endy Miyem, Ismaël Taggae, Lucas Créange à Reims dans la Marne[66]
- Snoop Dogg ;
- Lakshmi Mittal et Aditya Mittal ;
- Juliette Sergent, Louis Ben Ali Ballester et Noah N'Dir ;
- Simon Nogueira
- Lilou Ruel
Derniers relayeurs de la flamme
modifierLe dernier relayeur de la flamme n'est révélé qu'au dernier moment. À quelques jours de la cérémonie d'ouverture, plusieurs hypothèses ont été proposées telles que Kylian Mbappé, Zinédine Zidane, Martin Fourcade ou Renaud Lavillenie, ou une personnalité non liée au monde sportif, telle que Thomas Pesquet ou Omar Sy[67].
Le , jour de la cérémonie d'ouverture, Marie-José Pérec et Teddy Riner sont les deux derniers relayeurs de la flamme olympique, qui ont allumé la vasque[68].
Logistique
modifierLe règlement du Comité international olympique demande de n'allumer qu'une unique torche à la fois[6], cependant plusieurs flammes sont allumées en permanence[6]. Celles-ci sont gardées dans des lanternes hermétiques[69] alimentée à la paraffine[6], ou, le soir, dans une vasque spéciale[6].
Onze personnes, issues des forces de l'ordre ou de la sécurité civile, veillent sur la flamme en permanence et dorment avec[6]. Lors du relais, elles suivent la personne qui porte la torche, gardant la flamme allumée dans une lanterne[6]. Ces lanternes sont conservées à proximité de la flamme pour permettre de la rallumer en cas d'incident[69].
Dans le cas d'un transport en avion, comme cela a été le cas pour les relais en Guyane ou à la Réunion[70], la flamme voyage dans une lanterne adaptée[6].
Sécurité
modifierDispositif de sécurité
modifierLe , Gérald Darmanin, ministre de l'Intérieur et des outre-mer, a présenté le dispositif d'accueil et de sécurité du relais des flammes olympique et paralympique. Les relais des flammes sont sujettes à manifestations, mais aussi au risque terroriste (conflit au Proche-Orient)[71]. Ce dispositif coûte un million d'euros[72].
Pour l'arrivée de la flamme olympique à Marseille, 5 000 policiers, gendarmes, effectifs du GIGN, du RAID, des équipes de déminage, ainsi que des dispositifs aériens tels que les forces aériennes de la gendarmerie nationale, sont mobilisés. Pour l'étape des 14 et 15 juillet à Paris, 18 000 effectifs sont réquisitionnés. Pour chaque étape, environ 200 effectifs sont déployés : le relais est encadré par deux demi-unités de force mobile, et est suivi par douze motocyclistes de la gendarmerie nationale et de dix-huit policiers et gendarmes en civil ; le dispositif de sécurité est complété par les effectifs départementaux et municipaux[71].
Actions de contestation et perturbations
modifierLe , soit six jours après l'arrivée de la flamme sur le sol français, le ministre de l'Intérieur Gérald Darmanin annonce que 32 actions de contestation du relais de la flamme ont été déjouées et deux tentatives d'entrées au contact empêchées. Par ailleurs, 31 relayeurs ont été écartés à la suite d'antécédents judiciaires[73].
Le , un individu de 26 ans a été interpellé et placé en garde à vue alors qu'il « planifiait une action violente lors du passage du relais de la flamme olympique à Bordeaux » en envisageant « un passage à l'acte, suite à une agression subie » sans évoquer une référence à la flamme olympique. Selon la procureure de la République de Bordeaux, il n'avait pas d'antécédent judiciaire et était « très fragile psychologiquement ». Son arrestation fait suite à un signalement faisant référence à la tuerie d'Isla Vista en 2014[74].
Le , une personne est interpellée pour avoir jeté une canette remplie de clous sur des motards composant l'escorte de la flamme[75].
Annulation de l'étape de la Nouvelle-Calédonie
modifierAlors que la Nouvelle-Calédonie est en proie à des tensions politiques locales depuis le , Gabriel Attal, Premier ministre, annonce le l'annulation de l'étape 29 qui devait se tenir dans l'archipel le [76],[77]. Amélie Oudéa-Castéra, ministre des Sports et des Jeux olympiques et paralympiques, s'explique par une priorité à la sécurité de la population, « au retour au calme et à l'amélioration politique » d'une situation « loin d'être à l'apaisement » selon la maire de Nouméa[78].
Intérêt du public
modifierLe ministère de l'Intérieur publie un premier bilan le après dix-huit étapes : 610 000 spectateurs ont assisté au relais de la flamme[79].
Le , quelques jours avant le relais des océans, le ministère chiffre à 1,2 million les spectateurs ayant assisté au parcours. L'engouement de la population à cet événement montre, selon le sociologue Patrick Mignon, la « capacité d'accueillir […] l'organisation d'un événement local », pour la France « éloignée de la métropole parisienne »[80]. Il existe une forme d'adhésion « à la mise en scène construite autour des porteurs de la flamme », selon Cécile Collinet, professeure en sociologie du sport à l'université Gustave-Eiffel, ceux-ci étant issus non seulement du monde sportif mais aussi « scientifique, artistique ou médiatique »[80].
Médias
modifierCouverture médiatique de l'arrivée de la flamme à Marseille
modifierPour couvrir l'arrivée de la flamme olympique à Marseille, le , les principales chaînes de télévision ont déployé un dispositif spécifique, notamment en délocalisant les journaux, tels que France 2 (13 heures, 20 heures et Télématin), France 3 (Tout le sport et Aux Jeux, citoyens !) et Franceinfo qui co-diffuse l'édition spéciale avec France 2. France 3 Provence-Alpes-Côte d'Azur consacre les 8 et 9 mai à l'arrivée de la flamme à Marseille[81].
TF1, LCI et BFM TV diffusent aussi des éditions spéciales[81].
Ces éditions ont réuni 5,9 millions de téléspectateurs (3,34 millions pour France 2, diffuseur officiel des Jeux, et 2,59 millions pour TF1 qui a aussi diffusé l'événement)[82].
Chaîne éphémère de France Télévisions
modifierLe groupe France Télévisions a lancé, le , jour de l'arrivée de la flamme à Marseille, la chaîne éphémère france.tv Paris 2024[83].
Entre le 8 et le 19 mai, 1,2 million de spectateurs ont regardé au moins dix secondes de contenu sur cette chaîne spécialisée dans la retransmission des sports urbains pendant les épreuves, et 17,9 millions de vidéos ont été vues sur le site france.tv et les réseaux sociaux, selon Laurent-Éric Le Lay, directeur des sports de France Télévisions[84].
Notes et références
modifierNotes
modifier- ↑ Le nom de Florent Manaudou, comme premier relayeur de la flamme, a été dévoilé par Tony Estanguet avant le départ du Belem du port d'Athènes[22].
- ↑ Les départements de l'Hérault et de l'Aveyron ayant refusé de payer la contribution demandée par le COJOP pour le passage de la flamme, ce sont les villes de Millau, Sète et Montpellier qui ont cofinancé cette étape[33].
- ↑ Le département de la Gironde a refusé de payer la contribution demandée par le COJOP pour le passage de la flamme.
- ↑ Après le refus du département de Loire-Atlantique de payer la contribution demandée par le COJOP pour le passage de la flamme, ce sont 5 communes qui se sont portées candidates et ont cofinancé cette étape[35].
- ↑ Le département de l'Allier ayant refusé de verser la contribution au COJOP pour le passage de la flamme[16], c'est finalement la communauté d'agglomération Vichy Communauté qui a payé[39], la collectivité ayant accepté la proposition du ministère des Sports après la rénovation du CREPS, lieu de préparation de plus de vingt délégations aux JO[16].
Références
modifier- ↑ franceinfo: sport, « Paris 2024 : le designer Mathieu Lehanneur choisi pour créer les torches et vasques olympiques et paralympiques », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
- P.L. avec AFP, « JO 2024: la torche olympique sera fabriquée par ArcelorMittal dans la Loire et en Moselle », sur bfmtv.com, (consulté le ).
- Véronique Narboux, « JO 2024 : la torche olympique est (en partie) ligérienne », sur francebleu.fr, (consulté le ).
- Clément Lhuillier, « Paris 2024 : la torche olympique sera fabriquée en Moselle », sur francebleu.fr, (consulté le ).
- ↑ Cyril Petit, « JO 2024. Sept choses à savoir sur la torche olympique et paralympique dévoilée ce mardi » , sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le ).
- Théo Leclerc, « JO 2024. Que se passe-t-il si la flamme olympique s’éteint ? On vous répond », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
- Le HuffPost avec AFP, « JO Paris 2024 : les chaudrons qui accueilleront la flamme lors du relais ressemblent à tout sauf à un chaudron », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
- Léna Marjak, « JO de Paris 2024: ce chaudron ne ressemble pas à l'image que l'on peut tous se faire d'un chaudron », sur rmcsport.bfmtv.com, (consulté le ).
- ↑ « JO 2024 : Les Tuileries, favoris pour accueillir la flamme olympique pendant les Jeux Olympiques », sur L'Équipe (consulté le ).
- ↑ « Cérémonie : Aux Tuileries, la flamme olympique en ballon », sur L'Équipe (consulté le ).
- ↑ Morgane Heuclin-Reffait, « JO de Paris 2024 : la flamme olympique pourrait passer dans tous les départements », sur francebleu.fr, (consulté le ).
- ↑ Jean-Yves Gelebart, « Pourquoi des départements français refusent de payer pour accueillir la flamme olympique des jeux de Paris 2024 », sur france3-regions.francetvinfo.fr/normandie (France 3 Normandie), (consulté le ).
- Benoît Jourdain, « JO de Paris 2024 : 65 villes-étapes, des réticences financières et quelques déçus… Plongée dans les coulisses du parcours de la flamme olympique », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
- ↑ Flavien Groyer, « Paris 2024 : ces départements qui refusent le passage de la flamme », sur francebleu.fr, (consulté le ).
- ↑ Victor Lengronne, « JO de Paris 2024 : pourquoi le parcours de la flamme olympique ne passera ni par Grenoble ni par Albertville », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
- Pierre Wolf-Mandroux, « JO 2024 : le coût caché du passage de la flamme » , sur lepelerin.com, Le Pèlerin, (consulté le ).
- ↑ Rachel Pretti (avec M.V.), « JO 2024 : Départ du relais de la flamme olympique en France à Marseille au printemps 2024 » , sur lequipe.fr, (consulté le ).
- ↑ Nelly Assénat et Christophe Van Veen, « JO Paris 2024 : la flamme olympique arrivera en France par Marseille », sur francebleu.fr, (consulté le ).
- ↑ Lou Bourdy, « JO 2024 : et si la flamme olympique faisait son entrée en France par le Vieux-Port de Marseille ? », (consulté le ).
- ↑ Europe 1 avec AFP, « JO-2024 : la flamme olympique a été allumée sur le site antique d'Olympie, en Grèce », sur europe1.fr, (consulté le ).
- Europe 1 avec AFP, « JO de Paris : le relais de la flamme olympique a commencé après son allumage en Grèce », sur europe1.fr, (consulté le ).
- 20 minutes avec AFP, « JO de Paris 2024 : La flamme olympique remise à la France, Florent Manaudou premier relayeur à Marseille », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- ↑ Isabelle Lassalle, « Le parcours 2024 du trois-mâts Belem qui transportera la flamme olympique de Paris 2024 depuis la Grèce », sur francebleu.fr, (consulté le ).
- ↑ Camille Allain (avec AFP), « JO de Paris 2024 : Le Belem a embarqué la flamme et fait route vers Marseille », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- Nicolas Pelletier, Sonia Carneiro et Patrick Sauce, « JO de Paris 2024: comment la Marine nationale va escorter le Belem pour le voyage de la flamme olympique », sur RMC Sport, (consulté le ).
- ↑ M.V., « JO 2024 : Le parcours de la Flamme olympique des JO de Paris 2024 sera dévoilé le 23 juin prochain » , sur lequipe.fr, (consulté le ).
- ↑ « Paris 2024 : le parcours de la flamme olympique dévoilé », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
- ↑ Laure Bolmont, « Flamme olympique à Marseille : 1 000 bateaux, 150 000 spectateurs… Cinq chiffres un peu fous sur l'arrivée du flambeau en France », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
- ↑ « Enfin arrivée sur le sol Français, la Flamme Olympique a été accueillie par la ferveur marseillaise et par un trio emblématique de premiers porteurs : Florent Manaudou, Nantenin Keita et JuL », sur presse.paris2024.org, (consulté le ).
- ↑ « Arrivée de la flamme olympique à Marseille : le rappeur Jul invité surprise, la foule accueillant le « Belem » dans le Vieux-Port… Revivez la journée », Le Monde.fr, (lire en ligne, consulté le ).
- ↑ 20 Minutes avec AFP, « JO de Paris 2024 : Soprano et Alonzo accueilleront la flamme olympique le 8 mai à Marseille avec un concert gratuit », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- « Le parcours du Relais de la Flamme Olympique », sur paris2024.org.
- ↑ Marie Maison, « JO Paris 2024 : "C'est une fois dans un siècle", en Aveyron, Millau s'apprête à recevoir la flamme olympique », sur francebleu.fr, (consulté le ).
- Chloé Delos-Eray, « La Flamme olympique montera les marches du Festival de Cannes le 21 mai », Première, (lire en ligne)
- ↑ « Passage de la flamme olympique dans cinq communes en Loire-Atlantique : 180 000 € à débourser », sur ouest-france.fr, Presse Océan, (consulté le ).
- ↑ .
- ↑ Samuel Piqueur, « JO de Paris 2024 : avec le relais des Océans, la flamme olympique arrive en Outre-mer », sur la1ere.francetvinfo.fr, (consulté le ).
- ↑ Véronique Lupo, « Flamme olympique à Monaco : tout savoir sur les porteurs de ce mardi 18 juin », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le )
- ↑ Olivier Rezel, « Pourquoi Vichy Communauté a accepté de payer pour le passage de la flamme olympique sur son territoire » , sur lamontagne.fr, La Montagne, (consulté le ).
- « JO de Paris-2024 : 10 000 relayeurs pour porter la flamme olympique », sur france24.com, (consulté le ).
- ↑ Emma Barets, « Paris 2024 : les premiers porteurs de la flamme olympique dévoilés » , sur lemonde.fr, Le Monde, (consulté le ).
- franceinfo: sport avec AFP, « Paris 2024 : Jean-Pierre Papin, Jamel Debbouze, Thomas Pesuqet… Les noms de la plupart des porteurs de la flamme olympique révélés », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
- ↑ « Paris 2024 : qui sont les porteurs de la flamme olympique qui se relaient en France jusqu'au 26 juillet ? », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
- ↑ Apolline Merle, « Paris 2024 : Jean-Pierre Papin, Basile Boli, Tony Parker et Soprano porteront la flamme olympique à Marseille », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
- ↑ Arthur SORRIBAS, « VIDÉO. Miss Martini, "à jamais la première" Marseillaise et drag-queen à porter la flamme olympique », sur La Provence, (consulté le ).
- ↑ Juliette Moreau Alvarez, « JO 2024: le streameur Domingo parmi les relayeurs de la flamme olympique dans le Var » , sur BFMTV, (consulté le ).
- ↑ « JO 2024 : la drag queen Nicky Doll portera la flamme olympique à Arles » , sur CNews, (consulté le ).
- ↑ Julie Rimbert, « Le rugbyman Romain Ntamack sera le dernier porteur de la flamme olympique en Haute-Garonne », sur www.leparisien.fr, (consulté le ).
- Guillaume Laurens, « JO Paris 2024. Découvrez la liste des porteurs de la flamme olympique à Toulouse et en Haute-Garonne », sur actu.fr, (consulté le ).
- ↑ « LE RELAIS DE LA FLAMME OLYMPIQUE DANS LES HAUTES-PYRÉNÉES », sur www.hautespyrenees.fr, (consulté le ).
- ↑ « La flamme olympique est arrivée à Bordeaux : revivez les meilleurs moments en images », sur France 3 Nouvelle Aquitaine, (consulté le ).
- ↑ « De Saint-Malo à Rennes, qui portera la flamme en Ille-et-Vilaine ce samedi 1er juin ? - France Bleu », sur ici par France Bleu et France 3, (consulté le ).
- ↑ « Flamme olympique en Ille-et-Vilaine : à quelle heure et à quel endroit voir les 173 porteurs de flamme ce 1er juin », sur France 3 Bretagne, (consulté le ).
- ↑ « Passage de la flamme olympique de Paris 2024 dans les Deux-Sèvres : la liste complète des porteurs dévoilée », sur actu.fr, (consulté le ).
- ↑ « JO 2024. Le Cléac’h, Autissier… Célèbres ou pas, voici les noms des porteurs de la flamme en Vendée », sur Ouest-France.fr, (consulté le ).
- ↑ « Le voyage de la flamme Olympique se prépare à bord de Banque Populaire, dans le Morbihan » , sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le ).
- « Flamme olympique en Guadeloupe : 124 relayeurs dans tout le département », sur Guadeloupe la 1ère, (consulté le ).
- ↑ « Des évènements tout feu tout flamme », sur guadeloupe.franceantilles.fr, (consulté le ).
- ↑ « Paris 2024 : Michou, star albertine sur le parcours de la flamme olympique dans la Somme », sur Courrier picard, (consulté le )
- ↑ Julie Callendret et Coralie Salle, « Flamme olympique à Paris : Yannick Noah a allumé le chaudron à l'Hôtel de Ville, le feu d'artifice a illuminé Paris », sur leparisien.fr, (consulté le ).
- ↑ Sophie Courageot, « Paris 2024. “Porter la flamme olympique, c'est plein d’émotion", le Français Eric Monnin foule les rues de Nauplie en Grèce », sur france3-regions.francetvinfo.fr, (consulté le ).
- ↑ « Renaud Capuçon porteur de la flamme olympique », sur Diapason, .
- ↑ « Athlète, chef étoilé, survivant du bataclan... ces Français vont porter la flamme aux JO », sur Le HuffPost, (consulté le ).
- ↑ .
- ↑ Cécilia Leriche, « JO Paris 2024 en Seine-et-Marne : des mains de Guy Drut à celles de Just Riadh, la flamme a conquis Meaux », Le Parisien, (consulté le ).
- ↑ Julien Bouille, « Christelle Olivie, directrice générale de l’entreprise marnaise Axon’Cable, portera la flamme olympique le 30 juin à Reims », sur lunion.fr, (consulté le ).
- ↑ Paul Guyonnet, « JO de Paris 2024 : le dernier relayeur de la flamme olympique, « secret le mieux gardé » des Jeux », sur huffingtonpost.fr, (consulté le ).
- ↑ « Regardez Marie-José Pérec et Teddy Riner allumer la vasque en tant que derniers relayeurs de la flamme des JO de Paris 2024 », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
- « JO Paris 2024 : elle ne doit pas cesser de brûler, mais que se passe-t-il si la flamme olympique s’éteint pendant le relais ? », sur midilibre.fr (consulté le ).
- ↑ Service Photo, « EN IMAGES - En pirogue, trimaran ou avion, la flamme olympique a terminé son épopée en outre-mer », sur Libération (consulté le ).
- Antoine Faure, « Présentation du dispositif de sécurisation des relais de la flamme olympique et paralympique », sur gendarmerie.interieur.gouv.fr, Ministère de l'Intérieur, (consulté le ).
- ↑ Le Monde avec AFP, « Paris 2024 : la sécurisation du parcours de la flamme olympique coûtera 1 million d'euros » , sur lemonde.fr, (consulté le ).
- ↑ Le Figaro avec AFP, « JO Paris 2024 : 32 actions de «contestation» empêchées lors du relais de la flamme » , sur lefigaro.fr, (consulté le ).
- ↑ Mickaël Bosredon, « Bordeaux : Un individu interpellé alors qu'il « planifiait une action violente lors du passage de la flamme » », sur 20minutes.fr, (consulté le ).
- ↑ « Relais de la flamme olympique : un homme interpellé après avoir jeté une canette remplie de clous sur l'escorte », sur europe1.fr, (consulté le ).
- ↑ Perrine Vasque avec Théo Putavy, « INFO BFMTV. JO 2024: Gabriel Attal annonce l'annulation du passage de la flamme en Nouvelle-Calédonie », sur bfmtv.com, (consulté le ).
- ↑ Valentin Deleforterie, « Paris 2024 : la flamme olympique ne passera pas en Nouvelle-Calédonie », sur la1ere.francetvinfo.fr, (consulté le ).
- ↑ Le Monde avec AFP, « La flamme olympique ne passera pas en Nouvelle-calédonie, annonce Amélie Oudéa-Castéra » , sur lemonde.fr, (consulté le ).
- ↑ AFP, « JO Paris 2024 : plus de 600.000 spectateurs depuis le début du relais de la flamme olympique en France », sur francebleu.fr, (consulté le ).
- Emma Barets, « Paris 2024 : malgré le succès populaire du relais de la flamme, pourquoi les Français n'adhèrent-ils toujours pas aux Jeux olympiques ? » , sur lemonde.fr, Le Monde, (consulté le ).
- Laura Bruneau, « Arrivée de la flamme olympique à Marseille : Quels dispositifs sur TF1, France Télévisions et BFMTV ? », sur Puremédias, (consulté le ).
- ↑ « 5,9 millions de téléspectateurs devant l'arrivée de la flamme sur TF1 et France 2 » , sur lequipe.fr, (consulté le ).
- ↑ franceinfo: sport, « Paris 2024 : tout savoir sur france.tv Paris 2024, la chaîne numérique de France télévisions lancée le 8 mai », sur francetvinfo.fr, (consulté le ).
- ↑ Cyril Petit, « JO 2024. 1,2 million de spectateurs ont déjà regardé le Relais de la flamme en direct sur france.tv » , sur ouest-france.fr, Ouest-France, (consulté le ).