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L'Orne est un fleuve côtier du nord-ouest de la France, c'est le deuxième plus important des cours d'eau normands après la Seine, par sa longueur (170 kilomètres) et son débit. Après s'être frayé un chemin à travers les hauteurs de la Suisse normande, l'Orne arrose la ville de Caen, puis canalisée, débouche dans la Manche par un estuaire d'une grande richesse écologique. Lire l'article • Voir les articles choisis
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Sainte Thérèse de l’Enfant Jésus et de la Sainte Face, plus connue sous le nom Sainte Thérèse de Lisieux est une sœur carmélite, née à Alençon le . Morte à Lisieux de la tuberculose en 1897 à l'âge de 24 ans, elle laisse une relation littéraire de ses expériences mystiques qui lui vaut d'être canonisée en 1925, puis proclamée sainte patronne secondaire de la France et Docteur de l'Église. Lire l'article • Voir les articles choisis
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| Mars | Avril |
 La Poche de Falaise ou Poche de Chambois - Mont-Ormel ou encore Poche de Falaise-Chambois, fut la dernière opération de la bataille de Normandie pendant la Seconde Guerre mondiale. Elle s'est déroulée du 12 au dans une zone située entre les quatre villes normandes de Trun, Argentan, Vimoutiers et Chambois pour s'achever près de Falaise. La bataille de la poche de Falaise est une victoire stratégique pour les Alliés. Confinés en Normandie pendant deux mois, ils projettent enfin leurs forces dans tout le nord de la France, et manquent de peu l'encerclement de deux armées allemandes avec leurs dizaines de divisions. En cela la victoire est mitigée et a occasionné une controverse entre Américains et Britanniques qui perdure encore aujourd'hui. |
 Alençon est la préfecture du département de l’Orne. Première ville du département, et troisième ville de la région Basse-Normandie après Caen et Cherbourg-Octeville, sa communauté urbaine déborde sur le département de la Sarthe dont elle est immédiatement limitrophe. Ses habitants sont appelés les Alençonnais et les Alençonnaises. Excentrée par rapport au territoire départemental, la ville se situe au sud de son département de l’Orne et de la région Basse-Normandie. Alençon a été au cours des siècles une importante place administrative (généralité d'Alençon) et économique (dentelle d'Alençon). À mi-chemin entre Paris et la Bretagne, ville-porte du duché de Normandie, passage obligé de la route entre le Nord et le Sud-ouest (axe Calais-Bayonne), Alençon demeure un carrefour d’échanges. La ville continue également d’exercer un pouvoir sur le Perche. Mais la ville connaît une crise d’identité et n’a pas été à la hauteur de ses ambitions. Sans doute trop proche du Mans qui a absorbé les rôles économiques, Alençon, bien que normande, est dépendante de la préfecture sarthoise. Toutefois, pour obvier à cette perte flagrante de compétitivité depuis le siècle dernier, Alençon s’illustre dans le tourisme, vert ou culturel, d’autant plus que la ville est située juste entre les deux parcs naturels régionaux de Normandie-Maine et du Perche. Aussi Alençon pérpétue sa vocation de place administrative et assume son rôle de place économique et commerciale départementale. |
| Mai | Juin |
 Sophie Rostopchine, comtesse de Ségur (née Sofia Fedorovna Rostoptchina en russe: Софья Фёдоровна Ростопчина le à Saint-Pétersbourg - à Paris) est une femme de lettres française de naissance russe ayant vécu à Aube. |
 Le château de Carrouges est un château médiéval du XIVe siècle du département de l'Orne, sur la commune de Carrouges. D'abord place forte, assiégée par les Plantagenêt, reconstruite après la guerre de Cent Ans, le nouveau château fut remonté au XVe siècle par Jean Blosset, seigneur du lieu et grand sénéchal de Normandie, qui ajouta aux éléments d'origine une aile complète. Avec 10 ha de jardins et vergers, de forme rectangulaire, entouré de douves en eaux vives, le château délimite une cour d'honneur. Au sud-ouest, il donne sur une terrasse que délimite une grille en fer forgé. Bien que possédant des éléments datant des XVe et XVIe siècles, l'architecture générale relève plutôt des styles Henri IV et Louis XIII. La facade et en brique rouge et granit, les toits sont en ardoises bleue. Flanqué de deux pavillons d'angle carrés, le château possède également un donjon du XIVe siècle à deux étages couronné de mâchicoulis. La chanoinerie dans les dépendances du château, est le siège de l'équipe d'animation du parc naturel régional Normandie-Maine. Il se place au 4e rang des sites ornais les plus fréquentés en 2007. |
| Juillet | Août |
 Le percheron est une race équine, apparue vers le VIIIe siècle autour de Mortagne-au-Perche (Orne) et de Nogent-le-Rotrou (Eure-et-Loir), aux confins des départements de l'Orne, de l'Eure, d'Eure-et-Loir, de Loir-et-Cher et de la Sarthe. Cheval de grande taille, sa robe est grise, souvent pommelée, noire ou blanche. Animal compact et musclé, il est le cheval de trait le plus répandu au monde. Puissant mais docile et facile à manœuvrer, il est utilisé aussi bien pour les travaux agricoles ou forestiers que pour l'attelage et le trait rapide. Son origine remonterait à 732, après la bataille de Poitiers quand une partie de la cavalerie arabe saisie à Vouillé fut répartie entre les vainqueurs originaires du Perche, de Normandie et de l'Orléanais. On distingue deux types spécialisés : le trait percheron et le diligencier percheron. Améliorer l'article • Voir les articles choisis
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 Le camembert de Normandie est une Appellation d'origine contrôlée protégeant depuis 1983 un fromage français originaire du village de Camembert, où Marie Harel l'aurait mis au point en 1791. Devenu l'un des emblèmes gastronomiques français, c'est un fromage au lait de vache cru, à pâte molle à croûte fleurie blanche. Il se présente sous la forme d'un cylindre de 11 cm et de 250 grammes minimum, conservé dans une boîte en bois, dont les tyrosémiophiles collectionnent les étiquettes. Le village de Camembert abrite une Maison du camembert, une ferme-exposition Lepetit et un dernier producteur de camembert fermier. Le département de l'Orne ne compte qu'une laiterie industrielle productrice, à Saint-Hilaire-de-Briouze. Améliorer l'article • Voir les articles choisis
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| Septembre | Octobre |
 La ligne Paris-Granville est une ligne radiale d'importance secondaire du réseau ferré français, et la principale ligne ferroviaire de l'Orne. Longue de 327 km, elle relie la gare de Paris-Montparnasse à Granville, et dessert l'Orne par L'Aigle, Rai – Aube, Sainte-Gauburge-Sainte-Colombe, Le Merlerault, Nonant-le-Pin, Surdon, Argentan, Gare d'Écouché Briouze et Flers. Elle croise la ligne Caen - Tours à Argentan. Elle a été mise en service dans l'Orne en plusieurs étapes : en 1858 de Surdon à Argentan, en 1866 de Dreux à L'Aigle et d'Argentan à Flers, en 1867 de L'Aigle à Surdon et de Flers à Vire et le 3 juillet 1870 de Flers à Granville. |
 Bagnoles-de-l'Orne est l'unique station thermale de l'Ouest de la France. Créée de toute pièce pendant la Belle Époque, cette station également touristique connaîtra son essor pendant les Années folles. En plus de son lac et de ses jardins boisés, elle possède un Casino, un hippodrome, un château et de nombreux hôtels et restaurants. Elle regroupe également de nombreuses demeures et villas construites sous l'architecture Art déco au début du XXe siècle. La station se situe au cœur de la forêt d'Andaine, au sein du parc naturel régional Normandie-Maine, dans le Bocage normand et le pays d'Andaine. Sa source thermale et sa forêt profusent de légendes et d'histoires : source chaude, fées, ou encore celle de Lancelot du Lac. Les thermes de Bagnoles-de-l'Orne tiendraient eux aussi leur origine dans la découverte légendaire de la source par le cheval d'Hugues de La Ferté-Macé, seigneur de Tessé. Ses restaurants et hôtels usent des secrets de la gastronomie normande, et laissent une part aux spécialités bagnolaises, parmi lesquelles macarons, chocolats, truffes et alcool de pomme. Le festival gastronomique « Automne Gourmand » tient d'ailleurs fief à Bagnoles-de-l'Orne, tous les ans à l'automne. Lire l'article • Voir les articles choisis
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| Novembre | Décembre |
 Les transports en commun de la communauté urbaine d'Alençon forment un réseau de bus exploité par la Compagnie des bus alençonnais (COBAL) dont la marque commerciale est Alto et dont la société mère est Keolis. Ces bus permettent des échanges diversifiés entre la ville d'Alençon et sa périphérie, couvrant dix-neuf communes et environ 45 053 habitants. Le réseau de bus est formé de trois lignes classiques, de six lignes à la demande nommées Itinéo ainsi qu'un service scolaire appelé Domino constitué de onze circuits.
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Les transports en commun de la communauté urbaine d'Alençon forment un réseau de bus exploité par la Compagnie des bus alençonnais (COBAL) dont la marque commerciale est Alto et dont la société mère est Keolis. Ces bus permettent des échanges diversifiés entre la ville d'Alençon et sa périphérie, couvrant dix-neuf communes et environ 45 053 habitants. Le réseau de bus est formé de trois lignes classiques, de six lignes à la demande nommées Itinéo ainsi qu'un service scolaire appelé Domino constitué de onze circuits.
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