Nieuil

commune française du département de la Charente

Nieuil
Nieuil
La mairie-école de Nieuil.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Charente
Arrondissement Confolens
Intercommunalité Communauté de communes de Charente Limousine
Maire
Mandat
Laurent Sellier[1]
2020-2026
Code postal 16270
Code commune 16245
Démographie
Population
municipale
903 hab. (2021 en diminution de 2,8 % par rapport à 2015)
Densité 38 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 52′ 47″ nord, 0° 30′ 08″ est
Altitude Min. 128 m
Max. 218 m
Superficie 23,90 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Charente-Bonnieure
Législatives Troisième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Nieuil
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Nieuil
Géolocalisation sur la carte : Charente
Voir sur la carte topographique de la Charente
Nieuil
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
Voir sur la carte administrative de Nouvelle-Aquitaine
Nieuil

Nieuil (Nuelh en limousin, dialecte occitan) est une commune du Sud-Ouest de la France, située dans le département de la Charente (région Nouvelle-Aquitaine).

Géographie modifier

Localisation et accès modifier

 
La N 141 à Fontafie.

Nieuil est une commune du nord-est de la Charente située à 3 km au sud-est de Saint-Claud et à 37 km au nord-est d'Angoulême.

Elle est aussi à 6 km à l'ouest de Roumazières-Loubert, 7 km au nord-est de Chasseneuil, 14 km au sud de Champagne-Mouton, 20 km au sud-ouest de Confolens et 25 km à l'est de Mansle[2].

La commune est principalement traversée par la D 739, ancienne route nationale 739 qui allait de Fontafie à Rochefort. Elle est aussi bordée à l'est par la route nationale 141, route de Saintes à Clermont-Ferrand par Angoulême et Limoges.

La commune est assez étendue, surtout au nord-est où elle touche les faubourgs de Roumazières (le Petit Madieu).

La commune est aussi traversée par la D 60, qui va de La Rochefoucauld à Confolens par Suaux et Chantrezac et qui passe au bourg, ainsi que par la D 172 qui relie Saint-Claud à Roumazières[3].

Hameaux et lieux-dits modifier

La petite agglomération industrielle de Fontafie est à cheval avec la commune de Genouillac. Elle est née avec la tuilerie-briqueterie Perrusson à la fin du XIXe siècle.

Nieuil compte aussi de nombreux autres hameaux : les Mias, Touillac, l'Espinassouse, le Cluzeau, et de nombreuses fermes.

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Nieuil
Saint-Claud
  Terres-de-Haute-Charente
Lussac Suaux

Géologie et relief modifier

La commune se situe sur les derniers plateaux calcaires du Bassin aquitain en allant vers la Charente limousine.

Les plateaux datent du Jurassique inférieur et sont recouverts d'argile à silex, dépôts tertiaires en provenance du Massif central tout proche (à Genouillac)[4],[5],[6].

Le relief est assez plat; l'altitude moyenne déjà relativement élevée pour la Charente s'élève à 190 m, et le terrain est légèrement incliné vers l'ouest. La commune culmine à 218 m d'altitude, à son extrémité orientale près du Petit Madieu, et le point le plus bas, 128 m, est situé en limite nord-ouest sur le Son, près de Champlaurier. Le bourg est à 140 m d'altitude[3].

Hydrographie modifier

Réseau hydrographique modifier

La commune est située dans le bassin versant de la Charente au sein du Bassin Adour-Garonne[7]. Elle est drainée par la Son-Sonnette et le Courbary et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 17 km de longueur totale[8],[Carte 1].

La commune est traversée par le Son, qui traverse la commune d'est en ouest. Le Son passe ensuite à Saint-Claud et rejoint la Sonnette pour former le Son-Sonnette qui se jette dans la Charente en amont de Mansle. La source du Son est dans la commune de Roumazières.

Le terrain argileux est aussi propice à de nombreux ruisseaux en surface, affluents du Son. La vallée du Son est assez plate et commence à ne s'encaisser légèrement qu'à Saint-Claud.

Gestion des eaux modifier

Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Charente ». Ce document de planification, dont le territoire correspond au bassin de la Charente, d'une superficie de 9 300 km2, a été approuvé le . La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est l'établissement public territorial de bassin Charente[9]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [10].

Climat modifier

Comme dans les trois quarts sud et ouest du département, le climat est océanique aquitain, légèrement dégradé car la commune se situe aux abords de la Charente limousine.

Végétation modifier

La commune est assez boisée, et les champs assez morcelés.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Nieuil est une commune rurale[Note 1],[11]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[12],[13]. La commune est en outre hors attraction des villes[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (69,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (70 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (31,3 %), forêts (27,6 %), zones agricoles hétérogènes (23,2 %), terres arables (14,6 %), zones urbanisées (3,4 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Nieuil est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque technologique, le transport de matières dangereuses[17]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[18].

Risques naturels modifier

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Nieuil.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines)[19]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (67,4 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 531 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 531 sont en aléa moyen ou fort, soit 100 %, à comparer aux 81 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[21],[Carte 3].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[20].

La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983, 1988, 1999 et 2009. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[17].

Risques technologiques modifier

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par une ou des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[22].

Toponymie modifier

Une forme ancienne est Niolio en 1328[23].

L'origine du nom de Nieuil vient du gaulois novio, nouveau, et le préfixe -ialo, champ ou clairière. Nieuil signifie « nouvelle clairière »[24],[25].

Langues modifier

La commune est dans la partie occitane de la Charente qui en occupe le tiers oriental, et le dialecte est limousin[26]. Elle se nomme Nuelh en occitan[27].

Histoire modifier

Le prieuré de Sainte-Marie-Madeleine de l'Espinassouse, situé au lieu-dit du même nom au nord-est de la commune, appartenait à l'abbaye Saint-Pierre d'Uzerche. Fondé au XIe siècle sur des terres données à l'abbaye d'Uzerche avec le consentement de l'évêque d'Angoulême, il perdurera jusqu'au XVIe siècle. Puis il est tombé en ruines[28],[29].

La commune de Nieuil accueillait François Ier qui y avait un relais de chasse, lequel a évolué pour devenir l'actuel château de Nieuil.

Le premier seigneur de Nieuil connu était en 1467 Bernon Jaubert, écuyer. Entre le XVIe et XVIIe siècles, le château appartient aux Green de Saint-Marsault, jusqu'au mariage en 1724 de Suzanne Green, dame de Nieuil, avec Jean Perry, chevalier et seigneur de Montmoreau.

Jusqu'à la Révolution, les Perry restent seigneurs de la terre de Nieuil érigée en marquisat par Louis XV.

En 1886 le comte Guillaume Guy de Dampierre (1849-1906), auteur de l'essai sur l'histoire de la maison des Dampierre en Normandie, achète la terre de Nieuil et fait entièrement reconstruire le château, avec l'aide de l'architecte charentais Alexandre Mignon[29].

Il y a fait pousser en 1900 le vignoble de la Brénanchie, qui a été connu localement[30].

Un haut fourneau a été construit au lieu-dit Champlaurier au XVIIe siècle et ne s'est éteint qu'à la fin du XIXe siècle. La forge a continué à fonctionner jusqu'aux années 1930[31].

Au tout début du XXe siècle, l'industrie dans la commune était représentée par cette forge, une des rares du département qui aient subsisté à cette époque, quelques moulins à blé et fours à chaux, et une fabrique de carton ondulé à Fontafie[Note 2].

Entre 1910 et 1954, la commune était aussi traversée par la voie ferrée de Roumazières à Ruffec et elle y possédait une petite gare, aujourd'hui habitation[28].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
2001 2008 Simone Nepoux    
2008 2014 Gérard Grolleau SE Retraité
2014 2020 Guy Cadet SE Retraité
2020 2020 Thierry Mandon    
16 octobre 2020 En cours Laurent Sellier   Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[33].

En 2021, la commune comptait 903 habitants[Note 3], en diminution de 2,8 % par rapport à 2015 (Charente : −0,78 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1841 1846 1851 1856
1 1651 0851 1961 3591 4121 5641 6121 5701 492
1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901
1 3891 3371 2191 2781 2931 4371 4151 3631 348
1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962
1 4511 4351 1871 1329891 0279479181 043
1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021
1 021941931954907927917933903
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[34] puis Insee à partir de 2006[35].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement âgée. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 26,9 %, soit en dessous de la moyenne départementale (30,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 32,5 % la même année, alors qu'il est de 32,3 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 470 hommes pour 463 femmes, soit un taux de 50,38 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (48,41 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[36]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,5 
8,2 
75-89 ans
12,4 
22,7 
60-74 ans
19,6 
23,7 
45-59 ans
23,8 
17,8 
30-44 ans
15,9 
10,8 
15-29 ans
10,5 
16,2 
0-14 ans
16,2 
Pyramide des âges du département de la Charente en 2020 en pourcentage[37]
HommesClasse d’âgeFemmes
90 ou +
2,6 
75-89 ans
11,8 
20,3 
60-74 ans
20,9 
20,9 
45-59 ans
20,5 
16,8 
30-44 ans
16,1 
15,6 
15-29 ans
13,6 
16,4 
0-14 ans
14,5 

Économie modifier

Commerces modifier

Tourisme modifier

Équipements, services et vie locale modifier

 
La salle des fêtes, en face de l'école.

Enseignement modifier

L'école est un RPI entre Lussac et Nieuil. Lussac accueille l'école élémentaire et Nieuil l'école primaire, avec une classe de maternelle et une classe d'élémentaire. Le secteur du collège est Roumazières-Loubert[38].

Lieux et monuments modifier

 
L'église, en bas du bourg.
  • L'actuel château de Nieuil a été construit sur l'emplacement des jardins de l'ancien château à la fin du XIXe siècle et transformé en hôtel en 1937 par la famille Fougerat, grands-parents de Jean-Michel Bodinaud, l'actuel propriétaire. De l'ancien château, ancien relais de chasse de François Ier, logis en L entouré de douves et cantonné de trois tours, il ne reste qu'une tour conservée comme ruine gothique[39].
  • L'étang de Nieuil, au sud du château, était connu autrefois comme un lieu de promenade dominicale et pour son cadre verdoyant.
  • L'église paroissiale Saint-Vivien date du XIIe siècle, et son clocher du XIXe siècle.
  • Près du bourg, ancien moulin sur le Son, transformé en habitation dans un cadre remarquable. La fontaine Saint-Vivien, au nord-est de l'écluse du moulin, était guérisseuse.

Personnalités liées à la commune modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La tuilerie Perrusson étant sur la commune de Genouillac.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique de Nieuil » sur Géoportail (consulté le 22 juin 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  3. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. « Laurent Sellier nouveau maire de Nieuil », sur Charente libre, (consulté le ).
  2. Distances orthodromiques prises sous ACME Mapper
  3. a et b Carte IGN sous Géoportail
  4. Visualisateur Infoterre, site du BRGM
  5. Carte du BRGM sous Géoportail
  6. [PDF] BRGM, « Notice de la feuille de La Rochefoucauld », sur Infoterre, (consulté le ).
  7. « Cartographie du bassin Adour-Garonne. », sur adour-garonne.eaufrance.fr (consulté le ).
  8. « Fiche communale de Nieuil », sur le système d'information pour la gestion des eaux souterraines en Poitou-Charente-Limousin (consulté le ).
  9. « SAGE Charente », sur gesteau.fr (consulté le ).
  10. « Caractéristiques du SDAGE Adour-Garonne 2022-2027 », sur occitanie.developpement-durable.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  13. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  14. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. a et b « Les risques près de chez moi - commune de Nieuil », sur Géorisques (consulté le ).
  18. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
  19. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
  20. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Nieuil », sur georisques.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
  22. « Dossier départemental des risques majeurs de la Charente », sur charente.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque transport de matières dangereuses.
  23. Jean Nanglard, Livre des fiefs de Guillaume de Blaye, évêque d'Angoulême [« Liber feodorum »], t. 5, Société archéologique et historique de la Charente, (1re éd. 1273), 404 p. (lire en ligne), p. 107
  24. Jean Talbert, Origine des noms de lieux, 1928
  25. Albert Dauzat et Charles Rostaing, Dictionnaire étymologique des noms de lieux en France, Paris, Librairie Guénégaud, (1re éd. 1963), 738 p. (ISBN 2-85023-076-6), p. 494.
  26. Jean-Hippolyte Michon (préf. Bruno Sépulchre), Statistique monumentale de la Charente, Paris, Derache, (réimpr. 1980), 334 p. (lire en ligne), p. 55
  27. (oc) Jean Urroz, « Les noms des communes en Charente occitane », (consulté le ).
  28. a et b Jules Martin-Buchey, Géographie historique et communale de la Charente, édité par l'auteur, Châteauneuf, 1914-1917 (réimpr. Bruno Sépulchre, Paris, 1984), 422 p., p. 262
  29. a et b Jean-Paul Gaillard, Châteaux, logis et demeures anciennes de la Charente, Paris, librairie Bruno Sepulchre, (réimpr. 2005), 893 p. (OCLC 908251975, présentation en ligne), p. 522
  30. François Pairault, La Charente : 1900-1920, Clermont-Ferrand, éd. de Borée, , 179 p. (ISBN 2-84494-113-3, lire en ligne), p. 25
  31. « Forge de Champlaurier », notice no IA00066344, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  35. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  36. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Nieuil (16245) », (consulté le ).
  37. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Charente (16) », (consulté le ).
  38. Site de l'inspection académique de la Charente, « Annuaire des écoles » (consulté le ).
  39. Association Promotion Patrimoine, Philippe Floris (dir.) et Pascal Talon (dir.), Châteaux, manoirs et logis : La Charente, Éditions Patrimoines & Médias, , 499 p. (ISBN 978-2-910137-05-2 et 2-910137-05-8, présentation en ligne), p. 110

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes modifier

Liens externes modifier