Marckolsheim

commune française du département du Bas-Rhin

Marckolsheim
Marckolsheim
L'hôtel de ville de Marckolsheim.
Blason de Marckolsheim
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Collectivité territoriale Collectivité européenne d'Alsace
Circonscription départementale Bas-Rhin
Arrondissement Sélestat-Erstein
Intercommunalité Communauté de communes du Ried de Marckolsheim
(siège)
Maire
Mandat
Frédéric Pfliegersdoerffer
2020-2026
Code postal 67390
Code commune 67281
Démographie
Gentilé Marckolsheimois [1]
Population
municipale
4 309 hab. (2021 en augmentation de 3,73 % par rapport à 2015)
Densité 129 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 09′ 53″ nord, 7° 32′ 41″ est
Altitude Min. 170 m
Max. 184 m
Superficie 33,36 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Marckolsheim
(ville isolée)
Aire d'attraction Marckolsheim
(commune-centre)
Élections
Départementales Canton de Sélestat
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Marckolsheim
Liens
Site web marckolsheim.fr

Marckolsheim est une commune française située dans la circonscription administrative du Bas-Rhin et, depuis le , dans le territoire de la Collectivité européenne d'Alsace, en région Grand Est.

Vue de la rue du Maréchal-Foch
près de l'hôtel de ville.

Cette commune se trouve dans la région historique et culturelle d'Alsace.

Ses habitants sont appelés les Marckolsheimois et les Marckolsheimoises.

Géographie modifier

Le canton dont Marckolsheim est le chef-lieu est entièrement situé en plaine. Bordé de sa forêt domaniale au sud et à l'est, son ban longe le Rhin.

Une ancienne voie romaine dite Heidenstraessel (« la ruelle des Païens ») passe à l'ouest parallèlement au Rhin.

Marckolsheim est une étape sur la Véloroute Rhin EV 15 (1 320 km) qui relie la source du Rhin, située à Andermatt en Suisse, à son embouchure à Rotterdam.

Cours d'eau modifier

  • Le Rhin ;
  • le Muhlbach ;
  • l'Ischert.

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Alsace, caractérisée par une pluviométrie faible, particulièrement en automne et en hiver, un été chaud et bien ensoleillé, une humidité de l’air basse au printemps et en été, des vents faibles et des brouillards fréquents en automne (25 à 30 jours)[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 577 mm, avec 7,7 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Selestat Sa », sur la commune de Sélestat à 13 km à vol d'oiseau[4], est de 11,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 621,1 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,3 °C, atteinte le ; la température minimale est de −17 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Marckolsheim est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11].Elle appartient à l'unité urbaine de Marckolsheim, une unité urbaine monocommunale[12] de 4 151 habitants en 2017, constituant une ville isolée[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Marckolsheim, dont elle est la commune-centre[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 4 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[15],[16].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (41,9 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (45,4 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (37,6 %), forêts (34 %), eaux continentales[Note 4] (8,5 %), zones urbanisées (7,7 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,1 %), zones agricoles hétérogènes (4,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,9 %), espaces verts artificialisés, non agricoles (0,9 %)[17]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Histoire modifier

Ancien chef-lieu du bailliage, Marckolsheim serait située sur un site où une ville existait à l'époque romaine. La présence de tombes mérovingiennes atteste la présence d'une civilisation du lieu. Le village était d'abord la propriété de la famille des Habsbourg qui le cédèrent en 1294 à l'évêché de Strasbourg moyennant 400 marcs d'argent.

En 1299, l'empereur Albrecht de Habsbourg (ou Albert Ier) accorda à la cité le statut de ville dont jouissait alors aussi Schlestadt (Sélestat). Des remparts furent construits du temps de l'empereur Louis V de Bavière et, vers la même époque, l'évêque Berthold II y construisit un château qui fut pris en 1444 par les troupes du dauphin et en 1632 par les Impériaux.

Le , au déclenchement de la Seconde Guerre mondiale, la population civile de Marckolsheim fut évacuée dans le Périgord noir, au Bugue, où elle resta jusqu'en octobre 1940[18]. Lors de l'attaque allemande en juin 1940, la ville fut en partie détruite.

La cité paysanne durant l'annexion allemande des années 1940 modifier

La cité paysanne de Marckolsheim est l'un des rares exemples subsistants de l'urbanisme nazi, le seul de ce type en France.

On y trouve trois types de bâtiments : de grandes fermes héréditaires destinées à être transmises de génération en génération sur des critères raciaux, politiques et de capacité de production agricole, des fermes plus petites destinées à des paysans locataires, et de petites maisons pour les ouvriers employés par les fermiers. La hiérarchie sociale du Reich s'inscrit ainsi dans la pierre.

La ville entière, détruite à 80 % lors des combats de 1940, devait être reconstruite sur ce modèle. Seule une partie du projet a été réalisé.

Les 14 maisons de l'ensemble ont été classées monument historique en 2012.

Héraldique modifier


Les armes de Marckolsheim se blasonnent ainsi :
« D'argent au loup courant de sable. »

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
René Miss    
Auguste Wendling    
Eugène Klein    

(démission)
Gérard Werny   Entrepreneur
Léon Siegel DVD Docteur vétérinaire
Président de la CC de Marckolsheim et environs
En cours
(au 31 mai 2020)
Frédéric Pfliegersdoerffer[19],[20]
Réélu pour le mandat 2020-2026
UMP puis UDI Enseignant
Conseiller régional du Grand Est (2015 → )
Président de la CC du Ried de Marckolsheim (2012 → )
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[22].

En 2021, la commune comptait 4 309 habitants[Note 5], en augmentation de 3,73 % par rapport à 2015 (Bas-Rhin : +3,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 5101 4531 7831 9942 3442 3122 3272 5182 511
1856 1861 1866 1871 1875 1880 1885 1890 1895
2 5152 4992 5172 3932 2342 2962 2562 1932 223
1900 1905 1910 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 2332 1862 1132 0121 8952 0241 8101 6511 749
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
4 6273 3282 7793 1243 3063 6144 1304 1954 142
2021 - - - - - - - -
4 309--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[23] puis Insee à partir de 2006[24].)
Histogramme de l'évolution démographique

Le pic observé autour de 1960 correspond à l'arrivée massive d’ouvriers pour le chantier du grand canal d'Alsace: l'usine hydroélectrique et des deux écluses (situées sur la commune) ont été mises en service en 1961.

Jumelages modifier

Jumelages modifier

 
Panneau de jumelage du Bugue.

Marckolsheim est jumelée avec la ville du Bugue (Dordogne) depuis le [25] (jumelage impulsé par les maires Léon Siegel et Gérard Fayolle).

Économie modifier

Bérangère Abba annonce que les barrages de Rhinau et Marckolsheim seront équipés de passes à poisson, pour assurer la continuité écologique du Rhin[26].

Lieux et monuments modifier

Église Saint-Georges modifier

L'église Saint-Georges fut d'abord dédiée à Marie, puis à partir de 1445 elle est placée sous le vocable de saint Georges. À l'origine, une statue ornait le fronton de l'église ; elle fut transférée dans la cour de la maison des œuvres catholiques puis installée de nouveau sur la place de l'église, réaménagée en 1983, puis au-dessus de l'entrée principale de l'église en 1993[27].

L'église a été détruite pendant la Seconde Guerre mondiale et une nouvelle église construite.

C'est dans l'église de Marckolsheim qu'a été installée en 1813 la première horloge d'édifice de Jean-Baptiste Schwilgué. Cette horloge a été détruite en même temps que l'église.

La Vierge à l'enfant modifier

Chapelle Saint-Grégoire modifier

La chapelle Saint Grégoire ou Mauchen se trouve sur un ancien site d'un village disparu aujourd’hui, Mauchenheim, qui comptait quelque 200 âmes en 777. Après avoir changé de main à plusieurs reprises, le village fut vendu à l'évêché de Strasbourg en 1325. Fin XIVe début XVe siècle, les Ribeaupierre reçurent Mauchenheim en fief et le transmirent presque aussitôt à la famille noble des Reichenstein. Ces derniers sous-louèrent le village à Marckolsheim.

Les guerres de Cent Ans et de Trente Ans, la peste noire de 1348, la famine en 1368, les inondations du Rhin en 1422 et les pillages des Armagnacs en 1445 mirent le village à dure épreuve.

Le village fut intégré définitivement à Marckolsheim en 1789. Les fouilles de 1972 à 1974 permirent de mettre au jour les vestiges d'une ancienne route romaine et d'un ossuaire. La chapelle, dernier témoignage de ce village, fut probablement édifiée en 1246 à la fin de l'époque romane ; l'élégant clocheton en grès rouge date du XVIIe siècle. Des fresques remarquables du XIIIe siècle détruites lors de la restauration de 1952 il ne reste aujourd'hui qu'une réplique au-dessus de la porte d'entrée qui a pu être reconstituée grâce aux relevés de l'abbé Walter en 1907.

De l'époque du village de Mauchenheim devenue aujourd'hui le lieu-dit du Mauchen, la chapelle Saint-Grégoire est restée le dernier témoin[28].

Fossé du Stadtgraben modifier

Fossé en eau, le Stadtgraben est un vestige des fortifications édifiées à partir de 1330. On entrait dans la ville grâce à deux portes surmontées d’une tour : la porte de Strasbourg au nord et la porte de Brisach au sud. Les murs sont en partie détruits en 1637 et les fortifications sont complètement rasées vers 1835.

Maison du XVIe siècle modifier

En pan de bois, située 6 rue de l'Hôtel-de-Ville[29].

Hôtel de ville (1845) modifier

Notice no IA67010668, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Moulin Walter (XVIIIe siècle) modifier

Notice no IA67010688, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture

Autres lieux modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Durlewanger, Armand, Trois jours pour mourir… L’agonie de la Ligne Maginot, Editions Alsatia Colmar, 1971 - 80 pages.
  • Mémorial de la Ligne Maginot du Rhin. Marckolsheim, 1982 – 24 pages. Le guide du Musée-Mémorial de la casemate 35/3.
  • Millius, Daniel, Fischer, Thierry, Connaître et défendre les richesses de notre Ried. N°2 : Marckolsheim, Syndicat d’Initiative de Marckolsheim / CPIE Régional Maison de la Nature de Muttersholtz / Maisons Paysannes d’Alsace,1983 – 57 pages.
  • Knittel, Michel, Marckolsheim, Fragments d’Histoire, Société d’Histoire de la Hardt et du Ried / Ville de Marckolsheim, 1994 - 368 pages. Préface de Christian Wilsdorf, Directeur Honoraire des Archives Départementales du Haut-Rhin.
  • Knittel, Michel (Dir.), Poche de Colmar, les derniers jours (Dir.), Editions Coprur, Strasbourg 1995 - 210 pages.
  • Coll., Marckolsheim, un siècle d’histoire, collection Mémoires de Vies, Editions Carré Blanc, 2006 - 200 pages et plus de 650 photos.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. https://www.habitants.fr/bas-rhin-67
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Marckolsheim et Sélestat », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Selestat Sa », sur la commune de Sélestat - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Selestat Sa », sur la commune de Sélestat - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Marckolsheim », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Marckolsheim », sur insee.fr (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  18. Récit de l'évacuation de 1939-1940
  19. [PDF] Liste des maires au 1er avril 2008 sur le site de la préfecture du Bas-Rhin.
  20. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  21. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  22. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  23. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  24. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  25. Christian Lacombe, « Trente années de jumelage », Sud Ouest édition Périgueux, 9 février 2016, p. 21.
  26. « Visite de la secrétaire d'Etat Bérangère Abba : deux nouvelles passes à poissons sur le Rhin bas-rhinois d’ici 2026 », sur Dernières Nouvelles d'Alsace, .
  27. Notice no IA67010683, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. Notice no IA67010685, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  29. Notice no IA67010672, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. Fiche biographique