La Séguinière

commune française du département de Maine-et-Loire

La Séguinière est une commune française située dans le département de Maine-et-Loire en région Pays de la Loire.

La Séguinière
La Séguinière
Église Notre-Dame de La Séguinière, monument historique de la commune.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Pays de la Loire
Département Maine-et-Loire
Arrondissement Cholet
Intercommunalité Agglomération du Choletais
Maire
Mandat
Guy Barré
2020-2026
Code postal 49280
Code commune 49332
Démographie
Gentilé Ziniérais
Population
municipale
4 212 hab. (2021 en évolution de +4,23 % par rapport à 2015)
Densité 134 hab./km2
Géographie
Coordonnées 47° 03′ 49″ nord, 0° 56′ 19″ ouest
Altitude 66 m
Min. 48 m
Max. 139 m
Superficie 31,48 km2
Type Bourg rural
Unité urbaine La Séguinière
(ville isolée)
Aire d'attraction Cholet
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Sèvremoine
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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La Séguinière
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Liens
Site web Site de La Séguinière

Géographie

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Localisation

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Commune angevine des Mauges, La Séguinière se situe à l'ouest de Cholet, sur la route D 753, La Romagne / Cholet, et à proximité de la N 249, qui va de Nantes à Bressuire[1].

Géologie et relief

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La commune de La Séguinière se trouve sur un haut plateau[2].

Hydrographie

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La Moine (rivière) traverse son territoire d'Est en Ouest[2].

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 754 mm, avec 12 jours de précipitations en janvier et 6,1 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Cholet à 5 km à vol d'oiseau[5], est de 12,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 772,5 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme

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Typologie

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Au , La Séguinière est catégorisée bourg rural, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de La Séguinière[Note 1], une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cholet, dont elle est une commune de la couronne[Note 2],[11]. Cette aire, qui regroupe 26 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].

Occupation des sols

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L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,2 % en 2018), en diminution par rapport à 1990 (89,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,2 %), prairies (26,3 %), zones agricoles hétérogènes (19,6 %), zones urbanisées (5,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (4 %), forêts (4 %), mines, décharges et chantiers (1,9 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie

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Formes anciennes du nom : Seguinaria en 1080, Seguineria au XIIIe siècle, Parochia de la Seguinere en 1259, Ecclesia Beate Marie de Seguineria alias de la Seguyniere en 1563, Beata Maria de Seguinieriis[15].

Ses habitants sont appelés les Ziniérais[16].

Histoire

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Du Ve au IXe siècle, le territoire fait partie de l'antique Tiphalie, le pays de Tiffauges. Le premier acte qui cite le nom de La Séguinière fait mention vers 1080 d'un Gautier, prêtre, qui, lui et sa famille, donne le bordage de l'Elinière près d'Aubigné à l'abbaye de Marmoutiers[17],[18].

La Séguinière est au Moyen Âge une châtellenie située en Marches communes de Poitou et d'Anjou et relève de la baronnie de Mortagne, pour le Poitou, et de la baronnie de Montfaucon, pour l'Anjou. Un important château est édifié au nord du bourg, sur la rive droite de La Moine. Incendié, il est en ruine au XVIIe siècle[19].

La terre est mise en bail judiciaire à la fin du XVIIe, avec le château de la Treille à Cholet. Il en dépend un moulin à eau et plusieurs métairies. La châtellenie est unie aux seigneuries de la Treille, Saint-André-de-la-Marche, la Rivière-Sauvageon, etc. et devient le marquisat de Beauveau[20],[21].

La Séguinière, située en marches communes d'Anjou et de Poitou, relève jusqu'à la Révolution du diocèse de La Rochelle, du pays d'élection et des aides de Montreuil-Bellay, de la sénéchaussée et du présidial d'Angers, du district de Cholet[20].

Durant la guerre de Vendée, les habitants du pays rejoignent à Cholet les troupes insurgées de Jacques Cathelineau. Un combat est livré en février 1794 à La Séguinière. Le mois suivant le village est incendié et la colonne du général Cordellier massacre des habitants[20].

Politique et administration

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Administration municipale

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Liste des maires successifs[22],[23]
Période Identité Étiquette Qualité
1790 1791 Jean-Pierre Mainguet    
1791 1792 P.Grenouilliau    
An VIII   Jean Richard    
1821 1825 Pierre Pineau    
1826 1830 Jacques Raimbault    
1830 1834 Lepeau fils    
1834   Tuffet    
1841   Jean-Marie Saudeau    
1852 1875 Jacques Lepeau    
1875 1882 Augustin Tricoire    
1882 1896 Louis Durand    
1896 1904 Jean-Baptiste Boudeau    
1904 1911 Emmanuel Berson    
1911 1919 Louis Chauveau    
1919 1938 Victor Bouyer    
1938 1953 Edgard Guillet    
1953 1957 Christophe Loiseau    
1957 1965 Charles Tricoire    
1965 1973
(décès)
Marcel Luneau    
1973 juin 1995 Roger Dronneau[24]   Inséminateur
Président de la CC de l'Ouest choletais (1986 → 1995)
juin 1995 mai 2020 Jean-Paul Boisneau[25] UMP-LR Retraité
Conseiller général (2004 → 2015)
Conseiller départemental (2015 → 2021)
Président de la CC de l'Ouest choletais (2001)
mai 2020 En cours
(au 28 mai 2020)
Guy Barré[26] DVD Directeur d'un cabinet comptable d'expertise
Les données manquantes sont à compléter.

Tendances politiques et résultats

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Au 1er tour de l'élection présidentielle de 2017, Emmanuel Macron arrive en tête dans la commune en récoltant 31,11% des suffrages soit 7 points de plus que son score national. Il est suivi par François Fillon qui récolte 26,70% des suffrages, lui aussi y obtenant un score supérieur à son score national de 6 points. Marine le Pen y arrive en troisième position avec 14,37% des suffrages, soit presque 7 points de moins que son score national. Au second tour, Emmanuel Macron y obtient 79,57% des suffrages.

En 2022, le président sortant Emmanuel Macron réalise dans la commune un score de 43,67% au premier tour, loin devant Marine le Pen qui récolte 17,48% des suffrages. Au second tour, le président récolte 70,57% des suffrages face à Marine le Pen, soit légèrement moins qu'en 2017.

Intercommunalité

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La commune est membre de l'agglomération du Choletais après les changements de la communauté d'agglomération du Choletais[27].

Population et société

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Démographie

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Évolution démographique

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Sa population est de 226 feux en 1689, 217 feux en 1709, 230 feux en 1720, 264 feux en 1787, 30 feux en 1789, 1 903 habitants en 1790[28].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[30].

En 2021, la commune comptait 4 212 habitants[Note 3], en évolution de +4,23 % par rapport à 2015 (Maine-et-Loire : +1,8 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
1 1741 0141 1831 2681 3131 3771 3241 5501 538
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
1 6041 6311 6041 5701 5951 6131 7061 6901 640
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
1 5711 4241 3611 2711 2471 2561 2111 3241 533
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
1 5931 6722 2253 1083 4823 5063 5933 6303 765
2015 2020 2021 - - - - - -
4 0414 2124 212------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Pyramide des âges

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La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 33,1 %, soit en dessous de la moyenne départementale (37,2 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 27,3 % la même année, alors qu'il est de 25,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 2 063 hommes pour 2 110 femmes, soit un taux de 50,56 % de femmes, légèrement inférieur au taux départemental (51,37 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[33]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,6 
90 ou +
1,4 
5,8 
75-89 ans
8,0 
19,5 
60-74 ans
19,3 
20,2 
45-59 ans
20,2 
19,6 
30-44 ans
19,3 
11,5 
15-29 ans
11,3 
22,8 
0-14 ans
20,5 
Pyramide des âges du département de Maine-et-Loire en 2021 en pourcentage[34]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,9 
90 ou +
2,1 
75-89 ans
9,5 
16,2 
60-74 ans
16,9 
19,4 
45-59 ans
18,7 
18,2 
30-44 ans
17,5 
18,8 
15-29 ans
17,6 
19,5 
0-14 ans
17,6 

La population a fortement augmenté dans les années 1970, ce qui a entraîné un fort développement de l'habitat. Le nombre de jeunes ménages est maintenu à un niveau raisonnable ce qui permet aux effectifs scolaires de se maintenir.

Vie locale

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Économie

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Revenus de la population et fiscalité

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Le revenu fiscal médian par ménage sur La Séguinière est en 2018 de 22 930 , pour une moyenne sur le département de 21 110 [35].

Population active et emploi

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La population âgée de 15 à 64 ans s’élève en 2017 à 2 533 personnes (pour 2 414 en 2007), parmi lesquelles on comptait 78 % d'actifs dont 71 % ayant un emploi et 7 % de chômeurs[36].

En 2017 on comptait 2 243 emplois dans la commune, contre 2 090 en 2007. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune étant de 1 809. L'indicateur de concentration d'emploi est de 124 %, ce qui signifie que la commune offre un nombre important d'emploi par rapport au nombre d'actifs, indicateur en augmentation (117 % en 2007)[36].

Activités économiques

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Au XVIIe siècle on y cultive le froment, le seigle et le lin. L'industrie du textile se développant dans le Choletais, on trouve également plus d'une trentaine de métiers à tisser[19]. Au XIXe, les habitants vivent principalement de l'agriculture, mais aussi du tissage. Une blanchisserie, installée au XVIIIe, y fonctionne encore. Plusieurs fours à briques et à carreaux sont en activités, ainsi qu'une dizaine de moulins à eau ou à vent[20].

Au XXe siècle, dans les années 1960, La Séguinière est une petite commune rurale qui vit toujours principalement de l'agriculture et de l'artisanat. Un plan de développement vise à se doter de zones industrielles et artisanales[37].

En 1990, on compte une cinquantaine d'exploitations agricoles, majoritairement tournées vers l'élevage de bovins. Des carrières d'agile sont exploitées pour la fabrication de briques pour la construction[37].

Au XXIe siècle, sur les 407 établissements présents sur la commune fin 2010, 12 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour une moyenne de 17 % sur le département), 12 % du secteur de l'industrie, 9 % du secteur de la construction, 59 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[38]. Fin 2015, sur les 457 établissements actifs, 7 % relèvent du secteur de l'agriculture (pour 11 % sur le département), 12 % du secteur de l'industrie, 10 % du secteur de la construction, 63 % de celui du commerce et des services et 8 % du secteur de l'administration et de la santé[39].

Zones d'activités

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Trois zones industrielles sont implantées à La Séguinière :

  • La zone de La Ménardière, avec les magasins de déstockage Marques Avenue (plus de 80 magasins) et les magasins d'usine et de négoce Circuit des marques (25 magasins) ;
  • La zone de la Bergerie ;
  • La zone des Grands Bois[40].

D'autres activités sont présentes sur la commune, comme des services de proximité et des professionnels de la santé[40].

Située dans le bassin de vie de Cholet, la ville fait partie de la communauté d'agglomération du Choletais.

Culture locale et patrimoine

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Lieux et monuments

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Patrimoine :

  • Chapelle Notre-Dame-de-Toute-Patience, des XVe, XVIe, XVIIIe, XIXe et XXe siècles[41] ;
  • Église Notre-Dame[42] ;
  • Ferme des Landes-Pesseaux, des XVe, XVIe et XVIIe siècles[43] ;
  • Manoir de la Forêt, des XVIe et XIXe siècles[44] ;
  • Manoir de la Marche, des XVe et XVIe siècles[45] ;
  • Manoir de la Renolière, des XVe, XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles[46] ;
  • Mégalithe dit le rouler des Châteliers[47] ;
  • Vieux pont du XVe siècle au pied du vieux bourg.

Sentiers de randonnée :

  • Un sentier d’interprétation, le long de la Moine à partir du Moulin de la Cour, pour valoriser la faune, la flore et l’histoire locale a été inauguré en  ;
  • Deux autres sentiers balisés parcourent le territoire communal : Sur les Pas du père de Montfort, itinéraire de quelques kilomètres à la découverte du patrimoine architectural de la commune, et le chemin de Tiffauges à l’Étang Ruiné, itinéraire de 14 km à travers les paysages de campagne ziniéraise.

Personnalité liée à la commune

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  • Louis-Marie Grignion de Montfort dit le père de Montfort (1673-1716), venu à La Séguinière en 1713 et 1715 où certains vitraux de l'église Notre-Dame de l'Assomption retracent sa vie ;
  • Ron Anderson, né le à Chicago, ancien joueur professionnel de basket-ball dans les championnats NBA et français, évolue quelque temps au sein du club de La Séguinière Saint-Louis Basket.

Voir aussi

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Bibliographie

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  • Célestin Port (édition révisée par André Sarazin et Pascal Tellier), Dictionnaire historique, géographique et biographique de Maine-et-Loire et de l'ancienne province d'Anjou : S-Z, t. 4, Angers, H. Siraudeau et Cie, , 2e éd. (1re éd. 1878) (BNF 35857376, lire en ligne), p. 371-376.

Articles connexes

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Liens externes

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Notes et références

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  1. Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références

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  1. IGN et BRGM, Géoportail La Séguinière (49), consulté le 11 novembre 2012.
  2. a et b Célestin Port 1996, p. 372.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Orthodromie entre La Séguinière et Cholet », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Cholet », sur la commune de Cholet - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Cholet », sur la commune de Cholet - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  10. « Unité urbaine 2020 de La Séguinière », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  11. a et b Insee, « Métadonnées de la commune de La Séguinière ».
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cholet », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique (consulté le ).
  15. Célestin Port 1996, p. 371-372, formes anciennes du nom.
  16. « Mot du maire »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Mairie de la Séguinière (mairie-laseguiniere.fr) (consulté le ).
  17. Célestin Port 1996, p. 373.
  18. Célestin Port 1996, p. 530, Tiphalie.
  19. a et b Célestin Port 1996, p. 374.
  20. a b c et d Célestin Port 1996, p. 375.
  21. Célestin Port 1996, p. 570-571, La Treille.
  22. « Les maires de La Séguinière », sur Mairie de La Séguinière, (consulté le ).
  23. Célestin Port 1996, p. 372, liste des maires jusqu'en 1995.
  24. Ouest-France, La Séguinière : Roger Dronneau est décédé, article du 23 juin 2013.
  25. Ouest-France, Sans surprise, Jean-Paul Boisneau réélu maire, article du 30 mars 2014.
  26. « La Séguinière. Guy Barré : le nouveau maire ziniérais », sur Le Courrier de l'Ouest, (consulté le ).
  27. Insee, Composition de l'EPCI du Choletais (244900700), consulté le 28 septembre 2013
  28. Célestin Port 1996, p. 372, population.
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de la Séguinière (49332) », (consulté le ).
  34. Insee, « Évolution et structure de la population en 2021 - Département de Maine-et-Loire (49) », (consulté le ).
  35. « Comparateur de territoire : Commune de la Séguinière (49332) », sur Insee (insee.fr), (consulté le ).
  36. a et b « Dossier complet : Commune de la Séguinière (49332) », sur Insee, (consulté le ).
  37. a et b Célestin Port 1996, p. 375-376.
  38. Insee, Statistiques locales du territoire de La Séguinière (49), consultées le 9 juin 2013.
  39. « Dossier complet - Commune de La Séguinière (49332) », sur Insee, (consulté le ).
  40. a et b « Zones d'activités »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur Mairie de La Séguinière (mairie-laseguiniere.fr), 2020-2021 (consulté le ).
  41. « Chapelle Notre-Dame-de-Toute-Patience », notice no IA49004120, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  42. « Eglise », notice no PA00109354, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. « Ferme », notice no IA49003907, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  44. « Manoir de la Forêt », notice no IA49003900, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  45. « Manoir de la Marche », notice no IA49004116, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  46. « Manoir de la Renolière », notice no IA49004117, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  47. « Mégalithe dit le rouler des Châteliers », notice no IA49003903, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.