Hellimer

commune française du département de la Moselle

Hellimer
Hellimer
La maison Bonert en pans de bois (1716).
Blason de Hellimer
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Moselle
Arrondissement Forbach-Boulay-Moselle
Intercommunalité Communauté d'agglomération Saint-Avold Synergie
Maire
Mandat
Romuald Yahiaoui
2020-2026
Code postal 57660
Code commune 57311
Démographie
Gentilé Hellimérois, Helliméroises
Population
municipale
510 hab. (2021 en diminution de 10,99 % par rapport à 2015)
Densité 49 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 59′ 54″ nord, 6° 49′ 50″ est
Altitude Min. 218 m
Max. 334 m
Superficie 10,42 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Sarralbe
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Hellimer
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Hellimer

Hellimer [elimɛʁ] est une commune française située dans le département de la Moselle et le bassin de vie de la Moselle-Est, en région Grand Est.

Géographie modifier

Situé au croisement de la D 674 (ancienne N 74) reliant Sarreguemines à Nancy, et la D 29 reliant Rosbrück à Insming, Hellimer est un petit village lorrain, principalement concentré autour de son église.

Accès modifier

Communes limitrophes modifier

Hydrographie modifier

La commune est située dans le bassin versant du Rhin au sein du bassin Rhin-Meuse. Elle est drainée par le ruisseau de Zellen, le ruisseau le Schnappbach, le ruisseau de Sussmatte, le ruisseau le Matzengraben et le ruisseau Ste-Marguerite[Carte 1].

 
Réseaux hydrographique et routier d'Hellimer.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat des marges montargnardes, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat semi-continental et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 17,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 837 mm, avec 12,2 jours de précipitations en janvier et 9,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Kappelkinger_sapc », sur la commune de Kappelkinger à 6 km à vol d'oiseau[3], est de 10,6 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 772,6 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 38,8 °C, atteinte le ; la température minimale est de −19,6 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Hellimer est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (89,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (89,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (35,7 %), prairies (30,9 %), zones agricoles hétérogènes (22,5 %), zones urbanisées (6,1 %), forêts (4,8 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 2].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

  • Son nom d'origine germanique viendrait d'une chapelle dédiée à saint Martin (en allemand : Heiliger Martin), autrefois située à l'emplacement de l'église actuelle.
  • Successivement : Heylimer (1121), Helgemer et Heilgemer (1315), Heilmer et Heilgmer (1316), Helimberg (1354), Herligenner (1429), Heiligmer (1441), Helgenmöre (1509), Heylingenner et Heligenner (1594), Hœligmer (1606), Heligmer (1664), Helymer (1700), Heillimer (1755), Heilimer (1779), puis Hellimer (depuis 1789)[14].
  • En allemand : Helmer[15]. En francique lorrain : Hellmer.

Histoire modifier

Au Xe s., Hellimer est inscrit comme possession de l'abbaye Saint-Martin-des-Glandières[16], de Longeville-les-Saint Avold.

Au XIVe s., il est la propriété du comté de Morhange.

Le , le comte Antoine de Morhange qui était alors seigneur de Hellimer fut fait prisonnier au château par les troupes messines. Il ne dut sa vie qu'après avoir donné gage de se mettre au service de ses vassaux et de la population du village afin ...d'indemniser tous ceux qui avaient souffert du siège de cette forteresse sous peine de se rendre prisonnier à Metz.

En 1571, Un traité partagea la seigneurie qui comprenait Hellimer, Diffembach et Ackerbach pour un quart (Diffembach et Ackerbach) à l'évêque de Metz, qui restait suzerain des voués, et trois quarts (Hellimer) au duc de Lorraine qui devint celui des seigneurs.

En 1630, Georges II Du Gaillard, capitaine Châtelain d'Albestroff, qui avait été fait "baron libre du Saint Empire" par un diplôme daté du par l'empereur Ferdinand II De Habsbourg (1578-1637)[17], entre en possession de la seigneurie de Hellimer qu'il acheta au baron Guillaume Marzloff de Braubach le .

Pendant la Guerre de Trente Ans (1618-1648), toute la région lorraine est devenue une très complexe mosaïque de territoires appartenant à des fiefs qui dépendent du Saint Empire, du duché de Lorraine et des Trois Evêchés. La famine, la peste et les raids militaires meurtriers conduisant à d'incessants changements d'autorité, aboutissent à un dépeuplement rapide. Ce fut particulièrement vrai pour Diffembach et Hellimer lors de l'attaque de la châtellenie d'Albestroff et de ses dépendances en . Les régiments de suédois du duc de Weimar et les troupes de la garnison de Saverne furent particulièrement meurtriers. Selon le témoignage du châtelain d'Albestroff, rescapé de l'attaque, datant de , il ne restait plus que 11 habitants sur 300 à Albestroff, 7 sur 80 à Hellimer, et 4 sur 45 à Diffembach[18].Quelques années plus tard, en 1642, ce sont les troupes de Louis XIII qui prennent le château de Hellimer et causent encore des pertes. Ce n'est que dans le dernier quart du XVIIe s. que le village, comme beaucoup d'autres dans la région, fut repeuplé par une vague d'immigrants venus des Ardennes, de Belgique, de Sarre, du Tyrol et de Bavière.

Le , Stanislas Leszczynski (1677-1766), duc de Lorraine depuis 1737, érige le domaine en comté en faveur de Claude Du Gaillard.

Conformément aux dispositions du traité de Vienne (1738), Hellimer est rattaché au royaume de France en 1766.

Une petite communauté de confession juive commence à s'installer à Hellimer vers 1753, sur décision de Stanislas Leszczynski[19]. Le cimetière est créé en 1786 par les frères Salomon qui achètent le terrain au comte d'Hellimer Gabriel Pleickart Du Gaillard (1726-1795). En 1811, la communauté juive de Hellimer est la plus importante en Moselle-Est, si bien qu'une synagogue est érigée en 1822.

L'historien et membre de l'Académie Française Pierre Nora est un descendant direct d'une famille juive de Hellimer, les Aron, dont la présence dans ce village est attestée depuis le milieu du XVIIème siècle. Quand Napoléon fit obligation aux Juifs de s'inscrire à l'état civil, Moïse Aron (1749-1813) demanda l'autorisation de s'inscrire sous le nom de Nora pour lui-même et ses quatre enfants. Moïse Aron était l'arrière-grand-père du père de Pierre Nora. Le retournement de nom, à l'époque, était une pratique classique non pas pour dissimuler l'identité religieuse, mais elle avait au contraire valeur de réenracinement religieux : A Hellimer même, Berger est devenu Reberg, Barack s'est inscrit Raback, Samuel s'est fait Léaumas et Jacob, Cajob[20].

En 1841 on compte 319 habitant de confession juive sur 1097 habitants. Durant la guerre de 1939-1945, la totalité de la population de confession juive a été déportée les 10 et dans les convois 68 et 71 au départ de Drancy.

En 1790, Hellimer devient chef lieu de canton[21] du district de Sarreguemines. Le redécoupage administratif de 1801 lui fera perdre ce titre qui passera alors à Grostenquin.

En 1870, après la défaite de Sedan, l'Alsace-Moselle est annexée par l'Allemagne et Hellimer est intégré dans le Landkreis de Mörchingen (Morhange)

En 1940, le poste de commandement du secteur fortifié de la Sarre était installé à Hellimer. Ce secteur courait le long de la frontière formant une ligne de Lixing, passant par Puttelange, jusqu'à Sarralbe.

Le village a été libéré dans la nuit du 22 au par le 212e bataillon de la 6e Armée américaine.

Les Hospitaliers modifier

Ackerbach est une ancienne commanderie des Hospitaliers de l'ordre de Saint-Jean de Jérusalem, érigé en cense fief en 1745 (ferme, chapelle, étang, 16 ha).

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 1983 mars 1995 Jean-Paul Schatz    
mars 2014 En cours Romuald Yahiaoui LR Fonctionnaire territorial, conseiller départemental depuis 2021

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[22]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[23].

En 2021, la commune comptait 510 habitants[Note 3], en diminution de 10,99 % par rapport à 2015 (Moselle : +0,52 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1836 1841 1861 1866 1871
7208329201 5241 1891 0971 001947885
1875 1880 1885 1890 1895 1900 1905 1910 1921
865854837777759696657615537
1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982
526496489390469494461470521
1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 - -
537486593623571535510--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[24] puis Insee à partir de 2006[25].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Édifices civils modifier

  • Château d'Hellimer.

Sa construction date de 1332[26].

Il est assiégé par les troupes de Metz dès 1391.

Il fut à nouveau le théâtre d'un siège particulièrement dur en . Le château fut pris et partiellement détruit lors d'une attaque menée par Philippe II Andrault, comte de Langeron (1603-1675), sous les ordres de François de l'Hospital, comte de Rosnay, seigneur du Hallier (1583-1660), maréchal des armées de Louis XIII. Le sieur De La Vallée, gouverneur de la place et représentant du Saint Empire y fut capturé alors qu'il tentait de s'enfuir et fut pendu.

Successivement brûlé (XVIIe s.), remanié (XVIIIe s.), il servit d'hôpital sous la Révolution puis fut démoli en 1842.

  • Moulins.

Un dictionnaire du département de la Moselle publié en 1817, fait état de la présence de 4 moulins sur le territoire de Hellimer :

-Le moulin du Schenkelbach, qui se trouvait ..près de la chapelle Ste Marguerite, non loin de la ferme.,

-Le moulin du Rodhof, situé près de la ferme du même nom,

-Le moulin d'Ackerbach, situé non loin de la chapelle,

-Le moulin du château (Kleinmihl).

Il semble ne rester aucun vestiges de ces différents édifices.

  • Maison lorraine à pans de bois.

La maison Bonert est située au 15 quartier de l'Eglise. Cette maison traditionnelle en pan de bois entièrement réhabilitée est inscrite au titre des monuments historiques par arrêté du [27].

  • Ackerbach. (ferme, chapelle, étang, 16 ha).

Petit hameau (ferme,chapelle et moulin) Ackerbach est une dépendance seigneuriale jusqu'à son rattachement au comté de Hellimer lors de sa création en 1765.

Édifices religieux modifier

  • Église Saint-Martin (1740)

Beau mobilier du XVIIIe s. Boiseries, stalles, confessionnaux, orgue (buffet classé aux Monuments Historiques), lutrin.

  • Synagogue

La première synagogue datait du XVIIIe siècle, et a fonctionné jusqu'à l'érection de la seconde qui quant à elle, date de 1822 et fut construite dans le style de celle de Nancy. Située rue de l'École, elle fut brûlée par les nazis mi- et ne fut pas reconstruite, pas plus que l'école juive. L'école actuelle se trouve sur le lieu où était érigé cet édifice. Pour ne pas oublier une plaque commémorative y a été inaugurée par la municipalité le [28].

  • Ancien cimetière israélite

Grand cimetière ouvert en 1786.

  • Chapelle Sainte-Marguerite (XIVe siècle)

Son existence est attestée dans un document des archives de l'évêché datant de 1368. Elle est mentionnée comme étant en ruine dans le Dictionnaire de l'ancien département de la Moselle, Edition de 1862. C'est aujourd'hui une très modeste bâtisse à l'abandon située en plein champ de pâture.

  • Chapelle Saint-Antoine d'Ackerbach (XVIIIe siècle)

Art populaire, pèlerinage.

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
De gueules aux trois besants d'or mal ordonnés, mantelé fascé d'argent et d'azur de six pièces.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Pour approfondir modifier

Bibliographie modifier

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. « Réseau hydrographique d'Hellimer » sur Géoportail (consulté le 29 juillet 2022).
  2. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Hellimer et Kappelkinger », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Kappelkinger_sapc », sur la commune de Kappelkinger - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Kappelkinger_sapc », sur la commune de Kappelkinger - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. Albestroff, siège d'une châtellenie de l'Evêché de Metz p.65-66 - Mémoires de la société d'archéologie et d'histoire de la Moselle, Edition 1862, p.124
  15. Bouteiller - Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, rédigé en 1868.
  16. Dictionnaire topographique de l'ancien département de la Moselle, Ernest Bouteiller 1874
  17. Albestroff, siège d'une châtellenie de l'Evêché de Metz p.48
  18. Archives départementales de Meurthe et Moselle, Archives de l'évêché
  19. Hellimer en Moselle, éléments de la vie quotidienne des Juifs d’une communauté rurale
  20. Pierre Nora ; "Jeunesse", éd. Gallimard Folio, p.126
  21. Ce Canton comprenait : Altrippe, Biding, Diffembach, Fremestroff, Freybouse, Gréning, Hellimer, Hilsprich, Laning, Leyviller, Lixing, Lelling, Morsbronn, Castviller, Maxstadt, Nelling, Petit-Tenquin et Vahl Ebersing
  22. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  23. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  24. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  25. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  26. Dictionnaire du département de la Moselle par M. de Viville Edition 1817
  27. « Maison Ferme », notice no PA00107067, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. Hellimer en Moselle