Gars

commune française du département des Alpes-Maritimes

Gars est une commune française située dans le département des Alpes-Maritimes en région Provence-Alpes-Côte d'Azur. Ses habitants sont appelés les Garcinois.

Gars
Gars
Vue du village depuis la piste du col de Baratus.
Blason de Gars
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Provence-Alpes-Côte d’Azur
Département Alpes-Maritimes
Arrondissement Grasse
Intercommunalité Communauté d'agglomération du Pays de Grasse
Maire
Mandat
Marino Cassez
2020-2026
Code postal 06850
Code commune 06063
Démographie
Gentilé Garcinois
Population
municipale
76 hab. (2021 en augmentation de 7,04 % par rapport à 2015)
Densité 4,9 hab./km2
Géographie
Coordonnées 43° 51′ 59″ nord, 6° 48′ 14″ est
Altitude Min. 640 m
Max. 1 649 m
Superficie 15,57 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Nice
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Grasse-1
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Gars
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Gars
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Gars

Géographie modifier

Localisation modifier

Gars est un village du haut-pays grassois situé dans le centre-ouest du département des Alpes-Maritimes à 24 km au nord de Grasse et 12 km au sud de Puget-Théniers[1].

Le village se trouve dans la Vallée de l'Estéron.

Géologie et relief modifier

Le village constitue une des 45 communes du territoire du parc naturel régional des Préalpes d'Azur. Il est adossé à une barre rocheuse qui constitue la barre des Fournès[2], dominant l'Estéron[3].

La Montagne de Charamel (1471 m) et le contrefort nord de l'Arpille à 1650 m (le sommet de l'Arpille à 1689 m n'est pas sur la commune de Gars) constituent les points culminants de la commune.

Sismicité modifier

Commune située en zone 4 d'aléa moyen[4].

Hydrographie et les eaux souterraines modifier

Cours d'eau sur la commune ou à son aval[5] :

  • rivière l'Estéron,
  • vallons de l'ubac, de praconi, de combe fée, des groussières, de malespine, des cougourdières, du suyet, de la tuilière, de la lavanche.

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[6]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat de montagne et le climat méditerranéen et est dans la région climatique Var, Alpes-Maritimes, caractérisée par une pluviométrie abondante en automne et en hiver (250 à 300 mm en automne), un très bon ensoleillement en été (fraction d’insolation > 75 %), un hiver doux (°C) et peu de brouillards[7].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,1 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 069 mm, avec 5,9 jours de précipitations en janvier et 4,6 jours en juillet[6]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Le Mas », sur la commune du Mas à 5 km à vol d'oiseau[8], est de 9,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 236,8 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 32,5 °C, atteinte le ; la température minimale est de −13,5 °C, atteinte le [Note 1],[9],[10].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[11]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].

Voies de communications et transports modifier

Voies routières modifier

La commune est desservie par la départementale RD 84 qui la traverse du nord au sud.

Transports en commun modifier

La commune est desservie par la ligne numéro 420 du réseau d'autobus Sillages (Sallagriffon—Saint-Auban)[13].

Histoire modifier

Le nom du village est d’origine celte, gar ou kar signifiant « gros rocher »[14]. Situé au pied de la montagne de Gars[15], le village s’est développé selon une organisation linéaire suivant les lignes de niveau. La commune a une superficie de 1 557 ha et sa population (les Garcinois) était de 70 habitants en 1999.

Son histoire est connue à partir du Moyen Âge, le lieu de Gars est mentionné pour la première fois en 1125. En 1158, il est mentionné comme habitat fortifié et son château est cité[16]. Il se trouvait, ainsi probablement qu’un village, sur le rocher dominant l’agglomération actuelle. Son église, dédiée au saint Sauveur, est mentionnée en 1306 ; elle est située à son pied.

À la fin du XIVe siècle, le village est dévasté par les guerres, la famine et la peste. Par la suite, probablement dès le début du XVe s., une nouvelle agglomération est reconstruite à son emplacement actuel.

En 1158, l’abbé Boson donne Gars en fief aux chevaliers de Briançonnet[17]. En 1383, le comte de Provence fait don de la seigneurie à Pierre de Terminis, puis au XVe s., le fief passe aux Grasse-Bar puis aux Grasse-Briançon et finalement aux Théas[18].

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 Odette Paillier SE  
mars 2008 En cours Marino Cassez[19] SE Fonctionnaire

Intercommunalité modifier

Commune membre de la Communauté d'agglomération du Pays de Grasse.

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Gars est une commune rurale[Note 2],[20]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[21],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Nice, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 100 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[23],[24].

La commune est intégrée dans le Périmètre du Schéma de cohérence territoriale (SCoT’Ouest acté par Arrêté préfectoral le [25].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (95,6 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (95,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (87,2 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (5,1 %), prairies (4,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (3,3 %)[26].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Budget et fiscalité 2019 modifier

 
La mairie.

En 2019, le budget de la commune était constitué ainsi[27] :

  • total des produits de fonctionnement : 126 000 , soit 1 769  par habitant ;
  • total des charges de fonctionnement : 151 000 , soit 2 131  par habitant ;
  • total des ressources d'investissement : 48 000 , soit 679  par habitant ;
  • total des emplois d'investissement : 255 000 , soit 3 588  par habitant ;
  • endettement : 14 000 , soit 194  par habitant.

Avec les taux de fiscalité suivants :

  • taxe d'habitation : 6,60 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés bâties : 4,28 % ;
  • taxe foncière sur les propriétés non bâties : 30,99 % ;
  • taxe additionnelle à la taxe foncière sur les propriétés non bâties : 0,00 % ;
  • cotisation foncière des entreprises : 0,00 %.

Chiffres clés Revenus et pauvreté des ménages en 2017[28].

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[29]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[30].

En 2021, la commune comptait 76 habitants[Note 4], en augmentation de 7,04 % par rapport à 2015 (Alpes-Maritimes : +1,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
240283294295311321283300316
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
311309273252230221216204203
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
189168162141143108967573
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
637364837049586070
2018 2021 - - - - - - -
7276-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[31] puis Insee à partir de 2006[32].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Établissements d'enseignements[33] :

  • Écoles maternelles et primaires à Saint-Auban, Andon.
  • Collèges à Puget-Théniers, Annot.

Santé modifier

Professionnels et établissements de santé[34] :

  • Médecins à Entrevaux, Valderoure, Puget-Théniers, Annot, Saint-Vallier-de-Thiey,
  • Pharmacies à Entrevaux, Annot, Saint-Vallier-de-Thiey,
  • Hôpital à Puget-Théniers, Castellane, Cabris, Grasse.

Cultes modifier

Culte catholique, église paroissiale Saint-Sauveur, Paroisse Marie des Sources[35], Diocèse de Nice.

Économie modifier

Entreprises et commerces modifier

Agriculture modifier

  • Exploitation agricole[36].

Tourisme modifier

  • Gîtes de France[37].
  • Restaurants à Briançonnais, Entrevaux, Andon.

Commerces, artisanat et services modifier

  • Services aux particuliers : 2,
  • Céramiste et Fresquiste, Vannière[38],
  • Services du bâtiment : 2[39]

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Patrimoine religieux

Patrimoine civil

  • Vestiges de l'ancien château, à l'est, dans la falaise[49],[50]. Le château-grotte, cité au XIIe siècle, domine la vallée de l'Estéron[51].
  • Abri fortifié[52],[53].
  • Pont du XVIIIe siècle près du village.
  • Un ancien moulin à huile abrite par ailleurs un musée consacré à Célestin Freinet[54],[55].

Héraldique modifier

  Blason
D’azur à saint Laurent bénissant d’argent, barbé de sable habillé et auréolé d’or, tenant dans sa main senestre un globe du même, un gril d’argent en pal, la poignée en chef, à ses pieds à senestre, le tout posé sur une nuée du même mouvant de la pointe[56].
Devise
Per ben faire jamai tro tar. (Il n’est jamais trop tard pour bien faire).
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Personnalités liées à la commune modifier

Gars est le village natal de Célestin Freinet ( [57]- ). Pédagogue mondialement connu[58], il a développé ses conceptions à l'École Freinet, à Vence, qui existe toujours. Freinet est enterré à Gars avec son épouse Élise ( - ), et leur fille Madeleine ( - ).

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. Calcul de la distance entre Aiglun et d'autres communes
  2. Gars au pied de la barre des Fournès
  3. Gars constitue une des 45 communes du territoire du Parc Naturel Régional des Préalpes d'Azur
  4. Zonage administratif (ancien nouveau)
  5. L'eau dans la commune
  6. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  7. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  8. « Orthodromie entre Gars et Le Mas », sur fr.distance.to (consulté le ).
  9. « Station Météo-France « Le Mas », sur la commune du Mas - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  10. « Station Météo-France « Le Mas », sur la commune du Mas - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  11. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  12. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  13. Horaires de la ligne Sillages à la demande n°420
  14. Vexillologie Provençale
  15. Inventaire national du patrimoine naturel : Clue des Mujouls et montagne de Gars
  16. Gars au Moyen-Âge
  17. Un peu d'histoire : Gars
  18. Vexillologie Provençale, Les Monts d'Azur
  19. Site de la préfecture des Alpes-Maritimes, consulté le 20 juin 2008
  20. « Zonage rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  21. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  22. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  23. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  24. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  25. Périmètre du SCoT’Ouest
  26. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  27. Les comptes de la commune de Gars
  28. Chiffres clés Évolution et structure de la population. Dossier complet
  29. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  30. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  31. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  32. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  33. Établissements d'enseignements
  34. Professionnels et établissements de santé
  35. Paroisse Marie des Sources
  36. Exploitations agricoles : Gars
  37. Gîtes de France
  38. Artisanat
  39. Entreprises, commerces et services à Gars
  40. « Eglise : inscription par arrêté du 12 décembre 1936 », notice no PA00080723, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  41. Notice no PA00080723, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  42. « Chapelle Saint-Joseph : inscription par arrêté du 13 mai 1937 », notice no PA00080722, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  43. Notice no PA00080722, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
  44. La Chapelle Saint Pancrace Pénitents, d’époque romane.
  45. Chapelle Saint-Pancrace.
  46. Notre Dame de la Clue à Saint Auban, histoire du Sanctuaire.
  47. Monument aux morts.
  48. Gars - Morts aux guerres.
  49. Les vestiges de l’ancien château et de ses fortifications, adossées au mont de Gars.
  50. Grotte fortifiée de Gars.
  51. Florence Guillot, « Des châteaux dans les falaises », Dossiers d'archéologie, no 404,‎ , p. 24 (ISSN 1141-7137).
  52. Abri fortifié, sur chroniques-souterraines.fr/
  53. Grotte fortifiée de Gars.
  54. Association "Les Amis de Frénet".
  55. Eco-Musée Célestin Freinet. Sous le musée, découverte de l'ancien moulin avec son histoire.
  56. Dominique Cureau, « Les Monts d'azur : Gars », sur vexil.prov.free.fr (consulté le ).
  57. Table décennale des naissances ; mariages et décès de la commune de Gars : Naissance de Cébastien-Baptistin Freinet le 16 octobre 1896
  58. Célestin Freinet

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Vidéo de présentation du village réalisée par Azur TV
  • Philippe de Beauchamp, Le haut pays méconnu. Villages & hameaux isolés des Alpes-Maritimes, p. 134, éditions Serre, Nice, 1989 (ISBN 2-86410-131-9) ; p. 159
  • Collectif, Le patrimoine des communes des Alpes-Maritimes en deux volumes, vol. II : Cantons de Menton à Canton de Villefranche-sur-Mer, Paris, Flohic Éditions, coll. « Le Patrimoine des Communes de France », , 574 p. (ISBN 2-84234-071-X)
    Canton de Saint-Auban : pages 804 à 808 : Gars
  • Base patrimages.culture.gouv.fr/ :
  • Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et fortifications de la France du Moyen Âge en France, Strasbourg, éditions Publitotal, 1978, reprint 1991, 1287 p. (ISBN 978-2-86535-070-4 et 2-86535-070-3)
    Une vision d’ensemble de l’architecture castrale. Page 504 : Gars
  • Une étude générale du bâti du village a été réalisé par des stagiaires du « Centre européen de formation PARTIR (Patrimoine Architectural Rural, Techniques d'Identification et de Restauration) » - École d'architecture de Paris-La Villette dans le cadre des sessions de formations d'application, organisées par l'antenne du centre basée à Villars-sur-Var.
  • Gars par Monts et par Vaux
  • Murs et linteaux de Gars, sur archeo-alpi-maritimi.com/

Articles connexes modifier

Liens externes modifier