Gandelu

commune française du département de l'Aisne

Gandelu
Gandelu
La mairie-école.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Aisne
Arrondissement Château-Thierry
Intercommunalité CA de la Région de Château-Thierry
Maire
Mandat
Bernard Canessa
2022-2026
Code postal 02810
Code commune 02339
Démographie
Gentilé Gandelussiens
Population
municipale
699 hab. (2021 en augmentation de 1,45 % par rapport à 2015)
Densité 70 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 05′ 44″ nord, 3° 11′ 02″ est
Altitude Min. 68 m
Max. 166 m
Superficie 10,03 km2
Unité urbaine Commune rurale
Aire d'attraction Paris
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Villers-Cotterêts
Législatives 5e circonscription de l'Aisne
Localisation
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Gandelu
Liens
Site web https://www.gandelu.com/

Gandelu est une commune française située dans le département de l'Aisne, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

 
Place de la Poterie et église de Gandelu.

Le bourg de Gandelu est situé sur la rive gauche du Clignon, à 12 kilomètres au sud-ouest de Neuilly-Saint-Front et à 19 km au nord-ouest de Château-Thierry. Il a pour dépendances le hameau de Prément et une partie de celui des Glandons ; la ferme des Granges et les moulins du Rhône et de Hurteville.

Le territoire de la commune comprend 4 003 hectares ; il est borné au nord par les communes de Brumetz, Chézy-en-Orxois et Saint-Gengoulph, à l'est par celles de Veuilly-la-Poterie et de Marigny ; cette dernière la borne également au sud. Ses limites à l'ouest sont celles du département de l'Aisne et il confine aux communes de Vaux, Coulombs, Germigny et Dhuisy (Seine-et-Marne).

Localisation modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Nord-est du bassin Parisien, caractérisée par un ensoleillement médiocre, une pluviométrie moyenne régulièrement répartie au cours de l’année et un hiver froid (°C)[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 722 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 8,2 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune d'Ussy-sur-Marne à 18 km à vol d'oiseau[3], est de 11,3 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 726,5 mm[4],[5]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[6].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Gandelu est une commune rurale[Note 1],[7]. Elle fait en effet partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[8],[9].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire regroupe 1 929 communes[10],[11].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (64,8 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (64,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (58,2 %), forêts (29,9 %), zones agricoles hétérogènes (5,3 %), zones urbanisées (5,2 %), prairies (1,3 %)[12].

L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat et logement modifier

En 2018, le nombre total de logements dans la commune était de 305, alors qu'il était de 299 en 2013 et de 294 en 2008[I 1].

Parmi ces logements, 84,6 % étaient des résidences principales, 5,6 % des résidences secondaires et 9,8 % des logements vacants. Ces logements étaient pour 96,1 % d'entre eux des maisons individuelles et pour 3,9 % des appartements[I 1].

Le tableau ci-dessous présente la typologie des logements à Gandelu en 2018 en comparaison avec celle de l'Aisne et de la France entière. Une caractéristique marquante du parc de logements est ainsi une proportion de résidences secondaires et logements occasionnels (5,6 %) supérieure à celle du département (3,5 %) mais inférieure à celle de la France entière (9,7 %). Concernant le statut d'occupation de ces logements, 87,6 % des habitants de la commune sont propriétaires de leur logement (91,3 % en 2013), contre 61,6 % pour l'Aisne et 57,5 % pour la France entière[I 2].

Le logement à Gandelu en 2018.
Typologie Gandelu[I 1] Aisne[I 3] France entière[I 4]
Résidences principales (en %) 84,6 86,7 82,1
Résidences secondaires et logements occasionnels (en %) 5,6 3,5 9,7
Logements vacants (en %) 9,8 9,8 8,2

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes Wandeluz (1198) ; Vuandelus (1218) ; Gandeluz (1292) ; Gandelus (1352) ; Gandelluz (1564)[13].

Histoire modifier

Moyen Âge modifier

Ami de Philippe Auguste et Maçon à Gandelu à la fin du XIe siècle, début du XIIe. Jean de Montmirail[14], était également partiellement seigneur de Gandelu (d'autres seigneurs possédaient des fiefs tant dans la ville, à l'intérieur du mur d'enceinte, que sur le territoire en dépendant). En 1212, il ratifia la charte de Marguerite de Blois (également propriétaire d'un fief à Gandelu) donnant vingt arpents de bois afin de permettre la construction du monastère de Cefroid. Jean de Montmirail se retira du monde vers 1212 et prit l'habit de religieux à l'abbaye de Lompont. Il y mourut en odeur de sainteté le 25 septembre 1217 il avait de par son mariage avec Helvide de Dampierre deux fils et trois filles. Lors de son l'entrée en religion ses enfants, Jean II, Mathieu, Felice, Marie et Élisabeth religieuse à Montmirail se partagèrent les biens délaissés C'est ainsi que le château et une partie de la seigneurie de Gandelu furent attribués à son fils Jean II. De son côté, Jean Ier de Montmirail, lors de son entrée en religion avait fait de nombreux dons à l'abbaye de Lompont ; il lui avait donné entre autres choses une maison sise dans le château de Gandelu (à l'intérieur des murs d'enceinte) et quelques menues dimes[15]. Jean II, devenu maître de la seigneurie, chercha querelle aux religieux ; n'osant pas attaquer ouvertement les actes fait par son père, il s'opposa à ce que les frères fissent faire à leur maison les réparations nécessaires. On vit alors le vieux chevalier venir avec les ouvriers dans la ville dont il avait été seigneur, les aider dans leurs travaux et porter des tuiles dont ils avaient besoin pour refaire la toiture. On le vit aussi, pour épargner aux religieux les insultes des ribauds, se charger lui-même de recueillir les dîmes et aller de maison en maison, un panier à la main chercher les aulx qui revenaient au couvent. L'ail de Gandelu était renommé au XIIIe siècle[réf. nécessaire].

Après la mort de son père Jean II se montra plus conciliant ; il fit un arrangement avec l'abbaye de Lompont. Les religieux lui cédèrent la maison que leur avait donnée Jean Ier ainsi que les ribauds, les hostises[16], des poules de coutume[17] et des terrages[18] ; ils reçurent en échange, une rente annuelle de deux muids[19] de blé froment à la mesure de Gandelu et Jean les autorisa à acheter une maison en dehors des murs (partie nommée le village) pour y rentrer leur dîme[15] et leur avoine, il leur permit également d'y avoir un serviteur non marié, entretenu par eux, qui serait exempt de taille et de tous autres devoirs envers la seigneurie de Gandelu[20].

Temps modernes modifier

Époque contemporaine modifier

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

Rattachements administratifs modifier

La commune se trouve depuis 1942 dans l'arrondissement de Château-Thierry du département de l'Aisne[21].

Elle faisait partie depuis 1802 du canton de Neuilly-Saint-Front[22]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, cette circonscription administrative territoriale a disparu, et le canton n'est plus qu'une circonscription électorale.

Rattachements électoraux modifier

Pour les élections départementales, la commune fait partie depuis 2014 du canton de Villers-Cotterêts

Pour l'élection des députés, elle fait partie de la cinquième circonscription de l'Aisne depuis le dernier découpage électoral de 2010[23]

Intercommunalité modifier

Gandelu était membre de la communauté de communes de l'Ourcq et du Clignon, un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé en 1995 et auquel la commune avait transféré un certain nombre de ses compétences, dans les conditions déterminées par le code général des collectivités territoriales.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, cette intercommunalité a fusionné avec ses voisines pour former, le , la communauté d'agglomération de la Région de Château-Thierry, dont est désormais membre la commune.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1945 1977[24] Robert Pénit[25] PCF Médecin, ancien résistant FFI
Conseiller général de Neuilly-Saint-Front (1945 → 1982)
1977[24] 1995[24] Gilbert Pasquier   Agriculteur
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 août 2022[26] Denis Boudeville   Retraité
Mort en fonction
octobre 2022[27] En cours
(au 16 décembre 2022)
Bernard Canessa   Cadre retraité

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[29].

En 2021, la commune comptait 699 habitants[Note 3], en augmentation de 1,45 % par rapport à 2015 (Aisne : −2,08 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
500518542536551604620633619
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
600616598513523506479484440
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
430417435397397386403415398
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
365326291346537641671678693
2018 2021 - - - - - - -
686699-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique
 
Le roi des archers 2013 à l'œuvre.
 
Remparts et tour du château de Gandelu.

Sport et culture modifier

  • La Ronde Sud Aisne Gandelu, club de tir à l'arc, entretient un vieille tradition archère locale. Chaque année, un roi des archers est élu après un concours de tir à l'oiseau.
  • AS Gandelu, club de football - site internet.
  • Gandelu Loisirs, club de randonnée - site internet.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Du château bâti sur un éperon dominant un affluent de l'Ourcq, il ne subsiste qu'une courtine en partie restaurée et une tour circulaire, parementé, avec deux ressauts à larmiers, percée à deux de ses niveaux de petites meurtrières. De cette tour, une enceinte enserrait l'église à la pointe de l'éperon.
En 1274-1275, la maison forte relève de la reine de Navarre. En 1302, elle est vendue à Philippe le Bel qui aussitôt l'échange avec Gaucher de Châtillon. En 1397, Louis d'Orléans en fait l'acquisition et y fait effectuer des travaux. Au XVIe siècle le château est la possession du connétable Anne de Montmorency qui le fait presque entièrement reconstruire[33].
  • Un vieux lavoir en état d'abandon, datant supposément du XVIe siècle, accessible par la rue du Moulin.
  • Monument aux morts, haut de place de la Poterne, en mémoire des victimes de la guerre de 1914-1918 (24 tués), de 1939-1940 (1 tué) et des anciens combattants de l'Indochine et de l'Afrique du Nord.

Personnalités liées à la commune modifier

Pour approfondir modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage publié en décembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Site de l'Insee modifier

Autres sources modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  3. « Orthodromie entre Gandelu et Ussy-sur-Marne », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Ussy-sur-Marne » (commune d'Ussy-sur-Marne) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Ussy-sur-Marne » (commune d'Ussy-sur-Marne) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  7. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  8. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  9. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  11. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  13. Auguste Matton, Dictionnaire topographique de l’Aisne, Paris, (lire en ligne), p. 122.
  14. fils d'André, seigneur de Montmirail et de la Ferté-Gaucher, et de Hildiarde d'Oisy, vicomtesse de Meaux, Jehan est né en 1165. seigneur de la Ferté-Gaucher, de Montmirail, de la Ferté-Ancoul (la Ferté-sous-Jouarre), Tresmes, Condé, la Chapelle-en-Brie, vicomte de Meaux et châtelain de Cambrai. Il a été formé dans la piété par sa mère et bien instruit en sciences séculaires. Embrassant la carrière militaire, il fut présenté à la cour royale, où il devint l’ami de Philippe Auguste, futur roi de France. La vie dissipée de la Cour lui fit négliger la formation de sa jeunesse et même son mariage fertile en descendance, avec une dame des plus estimables, Helvide de Dampierre, ne l’améliorèrent pas. Cependant, à l'âge de 30 ans, il rencontra Jobert, prieur de Saint-Étienne de Montmirail, qui, par ses conseils, le ramena vers Dieu, dans la générosité et dans la foi. Il fit alors construire un hôpital pour tous les malades, mais sa compassion se tourna particulièrement vers les lépreux. Il aima les pauvres comme des frères. Il passait fréquemment des nuits entières dans la prière. Insatisfait d'une vie sainte dans le monde temporel, il finit par entrer au monastère cistercien de Longpont, distribua aux pauvres tous ses biens personnels et il se plongea entièrement dans la prière et la pénitence ; à tel point qu’il dût subir les critiques de sa famille et de ses amis qui lui reprochaient d’avoir abandonné ses biens et l'honneur de son rang. Mais aucun de ces reproches ne purent affaiblir la ferveur avec laquelle il chercha la perfection. Il mourut le 29 septembre 1217. De nombreux miracles à son tombeau (abbaye de Longpont) attirent encore de nos jours, des pèlerins.
  15. a et b impôt religieux
  16. dépendances concédées à des paysans libres
  17. impôt en nature consistant à donner au seigneur une poule ou une géline par an
  18. droits de propriété
  19. unité de mesure de capacité (grains, liquides )
  20. D'après les archives de l'Aisne et extraits des annales de la société historique de Château-Thierry parues en 1875
  21. « Code officiel géographique- Rattachements de la commune de Gandelu », sur le site de l'Insee (consulté le ).
  22. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. « Découpage électoral de l'Aisne (avant et après la réforme de 2010) », sur politiquemania.com (consulté le ).
  24. a b et c « Gandelu : Nécrologie Gilbert Pasquier, l'ancien maire est décédé », L'Union,‎ (lire en ligne)
  25. Frédéric Stévenot, « PÉNIT Robert : Né le 3 avril 1913 à Ouwe-Wirquin (Pas-de-Calais)  ; médecin  ; résistant  ; maire de Gandelu », "Le Maitron en ligne, .
  26. « Gandelu : Denis Boudeville, une vie au service de sa commune : Disparu dans la nuit de dimanche à lundi, Denis Boudeville rendait de multiples services aux habitants de son village. Malade, il continuait d’exercer sa fonction avec passion », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « À Gandelu, Bernard Canessa élu maire », L'Union,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  28. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  29. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  31. « Église », notice no PA00115686, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  32. Charles-Laurent Salch et Joseph-Frédéric Finó (photogr. Dominique Martinez), Atlas des châteaux forts en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 19e éd. (1re éd. 1977), 834 p., p. 38 (cf. Gandelu).
  33. Charles-Laurent Salch, Dictionnaire des châteaux et des fortifications du Moyen Âge en France, Strasbourg, Éditions Publitotal, , 28e éd. (1re éd. 1979), 1304 p. (ISBN 2-86535-070-3, OCLC 1078727877), p. 502 (cf. Gandelu).
  34. « Louis Potier : précisez », Louis Potier, comte de Tresmes +1630, & Charlotte Baillet, sur roglo.eu (consulté le ).
  35. Noël Coret, Autour de l'Impressionnisme : les peintres de la Vallée de la Marne, La Renaissance du Livre, 2000.