Discussion:Mobilisation française de 1914

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Nb de blessés modifier

"Le total mobilisé par la France est d'environ 8 300 000 hommes entre 1914 et 191848 : parmi eux, 1 329 640 sont morts, auxquels il faut rajouter les deux à quatre millions de blessés."

-> 2 à 4 millions, n'existe-t-il pas d'estimation plus précise? Au passage, ca me fait penser à ces journaleux qui parle de pertes lourdes à propos des 2 militaires tombés en Somalie. Ils feraient bien de se documenter un peu avant de raconter n'importe quoi. Skiff (d) 13 janvier 2013 à 02:08 (CET)Répondre

Oui, il y a là un défaut ; les sources se contredisent. On n'a pas un chiffre officiel (comme pour le nombre de morts) sur le nombre de blessés des armées françaises sur l'ensemble du conflit (un même homme peut être blessé plusieurs fois). Je vais choisir une source donnant un chiffre moyen et expliquer ça dans une note. --Lvcvlvs (d) 13 janvier 2013 à 08:04 (CET)Répondre
 

BA ? modifier

conséquences administratives modifier

Bonsoir, l’article me semble déjà très bon, merci ! Je me demande s’il y a de la documentation pour évoquer les lieux de mobilisation (je sais par exemple que les normaliens sont envoyés faire un premier entraînement à Libourne, etc.). Par ailleurs, il y a aussi des conséquences administratives (je ne trouve pas de meilleur terme), par exemple la mobilisation survient entre l’écrit et l’oral des concours d’agrégation et il est finalement décidé d’accorder l’oral automatiquement. Je suppose que ceci touche d’autres concours. J’écris cela pour mémoire (et pour l’ADQ ?) au cas où il y aurait des sources utiles. Bien cordialement, --Cgolds (d) 15 janvier 2013 à 00:29 (CET)Répondre

Bonjour,
il y a plusieurs aspects qui ne sont pas encore trainés, faute de documentation dessus. Je vais essayer de trouver des sources ; en attendant, je rajoute votre message sur la PdD de l'article. Merci pour les pistes ! --Lvcvlvs (d) 15 janvier 2013 à 08:54 (CET)Répondre
J'ai trouvé deux-trois choses sur les écoles, je cherche pour l'agreg. Ambiance revancharde et paramilitaire à l'ENS sous Lavisse : engagement militaire de cinq ans obligatoire pour tous les élèves ; quatre heures d'instruction militaire hebdomadaires, par deux officiers détachés auprès de l'école ! --Lvcvlvs (d) 16 janvier 2013 à 15:56 (CET)Répondre

Incorporation modifier

Je ne sais pas si l'article en parle (j'ai la flemme de tout relire), mais il me semble que les incorporés était groupés par villages sinon région dans un même régiment (si bien que lorsqu'un régiment chargeait à la baionette, une bonne partie des hommes d'un village y passait au même moment). Skiff (d) 15 janvier 2013 à 11:06 (CET)Répondre

Le recrutement de chaque unité était effectivement théoriquement local, essentiellement dans l'infanterie ; mais, selon les besoins (et les hasards de la démographie), des hommes étaient souvent affectés loin de chez eux, ce qui donne des chassées-croisés lors de la mobilisation (un parisien affecté dans un régiment d'Orange doit faire le trajet en train pendant la mobilisation, puis lors de la concentration il repart vers le nord...). Ce n'est mentionné qu'une seule fois, trop rapidement. À améliorer ! Merci. --Lvcvlvs (d) 15 janvier 2013 à 12:27 (CET)Répondre
Deux exemples avec des cartes de répartition : le 57e RI de Libourne, principalement composé de conscrits de la Gironde et de la Charente-Inférieure (http://memoire-57ri.pagesperso-orange.fr/cariboost1/cariboost_files/carterepartition/mpf57ri.html), ainsi que le 205e RI de Falaise, surtout composé de territoriaux du Calvados, de la Seine-Inférieure, de l'Eure, de la Seine et de Seine-et-Oise (http://pages14-18.mesdiscussions.net/pages1418/forum-pages-histoire/detour-origine-soldats-sujet_9178_1.htm). On retrouve des hommes de presque tous les départements de métropole... --Lvcvlvs (d) 3 février 2013 à 14:59 (CET)Répondre

en:Preclusive purchasing modifier

Je ne sais pas si cela a été mis en place au moment de la mobilisation ou après, mais au cas où je le signale. Si tel est le cas, je te laisse juge de savoir si cela rentre dans le cadre de l'article (mobilisation au sens large) ou pas (mobilisation=appel sous les drapeaux). De même pour la mise en place du blocus naval de l'Allemagne. Skiff (d) 18 janvier 2013 à 05:24 (CET)Répondre

Une bonne idée, mais pour l'instant j'ai rien dessus (je vais chercher). La mobilisation économique me semble compris dans le sujet, même si le gros de l'article est consacré à l'appel sous les drapeaux : j'ai rajouté un passage sur les premières mesures économiques interdisant l'exportation des denrées stratégiques (la paille et les conserves !). Tu as raison, j'avais oublié le blocus naval de l'Allemagne (en mer du Nord) et de l'Autriche (en Méditerranée), ça mérite une ou deux phrases dessus dans les conséquences. --Lvcvlvs (d) 18 janvier 2013 à 07:10 (CET)Répondre
En fait, j'avais fait une demande d'aide sur le bistro hier -> Wikipédia:Le_Bistro/17_janvier_2013#Traduction_-_demande_d'aide pour savoir comment s'appelle en français ces achats pour priver l'ennemi. Si tu as la réponse, je suis preneur. Pour le reste, si j'ai pu apporter une ou deux idées, tant mieux. Skiff (d) 18 janvier 2013 à 08:03 (CET)Répondre
« Achats stratégiques » ou approvisionnements stratégiques ? J'aime les titres courts... Autrement j'ai développé l'aspect naval (il me manque l'évolution des effectifs en hommes et navires ; je cherche), que j'avais mis de côté jusque là. --Lvcvlvs (d) 18 janvier 2013 à 11:01 (CET)Répondre
J'ai traduit l'article anglais (Achat préemptif). Skiff (d) 1 février 2013 à 16:50 (CET)Répondre

Composition et emplacement des unités modifier

Deux documents sur lesquels je suis tombé: Composition des unités et emplacement des unités. Skiff (d) 18 janvier 2013 à 08:19 (CET)Répondre

Le premier rajouté en LE, le second dans une note. Merci ! --Lvcvlvs (d) 18 janvier 2013 à 10:58 (CET)Répondre

Deux remarques modifier

1- Et l'aviation? Y a pas que les biffins.

2- il serait intéressant de trouver sur Commons, un photo de feuille de route de l'époque pour illustrer l'article. Skiff (d) 18 janvier 2013 à 08:17 (CET)Répondre

 
Revue du 14-Juillet à Longchamps en 1909 : les dirigeables Ville-de-Nancy et République défilent en tête des troupes.
J'ai seulement rajouté une image d'un Caudron. L'aviation n'était à l'époque qu'un des nombreux services de l'armée : il y a aussi l'aérostation, l'état-major avec ses quatre bureaux, l'intendance, le service de santé, le casernement, la téléphonie, le service géographique, le service colombophile (avec d'énormes pigeonniers militaires), etc. Mais comme l'article enfle de plus en plus, il serait plus pertinent de reporter tout ça dans des articles dédiés, non ?
Pour la feuille de route, pas trouvé sur Commons. Je crois ne pas avoir ça en stock chez moi et je rechigne à piller un site internet. ☺ --Lvcvlvs (d) 18 janvier 2013 à 21:25 (CET)Répondre

« En ce qui concerne les troupes de l'aéronautique, ne pourront contracter des engagements dans ces troupes que les hommes exerçant la profession de mécanicien ou de conducteur d'automobile, les uns et les autres connaissant les moteurs à explosion, ou celle de monteur d'aéroplane. Dès leur engagement, ils seront dirigés sur le premier groupe d'aérostation à Versailles, où, après avoir subi un examen pratique, ils seront classés définitivement dans les troupes de l'aéronautique ou dirigés sur d'autres corps. »

— Complément à l'instruction du 15 août 1914, pour la réception des engagements volontaires des Français pour la durée de la guerre. Paris, le 16 août 1914. Bulletin officiel du Ministère de la guerre, vol. 33, p. 933 sur Gallica.

☺ --Lvcvlvs (d) 19 janvier 2013 à 18:54 (CET)Répondre

  J'ai fini par mettre un petit paragraphe sur les différentes unités composées lors de la mobilisation. --Lvcvlvs (d) 20 janvier 2013 à 19:25 (CET)Répondre
  pour le fascicule de mobilisation (téléversé sur Commons) ! --Lvcvlvs (d) 9 février 2013 à 15:21 (CET)Répondre

Remarque suite à relecture modifier

1- En lisant l'intro, je me suis posé la question "Comment de temps a pris la mobilisation (initiale)?

2- "Le recrutement du personnel de la Marine nationale est différents, basé sur l'inscription maritime : les hommes exerçant la navigation maritime ou fluviale sont astreints au service dans l'« armée de mer »12, avec un service de cinq ans en temps de paix. Mais comme la flotte a besoin de techniciens qualifiés, le recrutement s'étend sur l'ensemble du territoire, l'inscription maritime fournissant que la moitié des effectifs de la flotte en cas de mobilisation". La tournure me parait un peu bizarre. J'imagine qu'on prend des techniciens en dehors de la marine marchande et fluviale dans le cadre de la mobilisation générale.

3- "le courrier n'arrive plus pendant la même période", laquelle?

4-"Quant aux insoumis et déserteurs antérieurs à la mobilisation, une amnistie leur est proposée s'ils rejoignent." rejoignent quoi? Il manque la fin de la phrase.

Fin de ma relecture. Skiff (d) 23 janvier 2013 à 07:34 (CET)Répondre

  Merci ! --Lvcvlvs (d) 23 janvier 2013 à 12:04 (CET)Répondre

Tirailleurs sénégalais modifier

Bonsoir,
Vous avez rajouté un paragraphe sur le recrutement des tirailleurs sénégalais dans l'article Mobilisation française de 1914 ; comme aucune de ces unités de tirailleurs n'est présente en métropole durant tout le mois d'août 1914 et que les populations de l'AOF ne sont pas concernées par les mesures de mobilisation décrétées le 1er août, votre passage semble hors-sujet. J'envisage donc de retirer cette contribution. Cordialement, --Lvcvlvs (d) 25 janvier 2013 à 18:54 (CET)Répondre

J'ai provisoirement déplacé mon ajout dans la section "appels ultérieurs". Si c'est hors sujet ici, quel est l'article qui conviendrait ? Mobilisation française de 1915-1918 Recrutements français de la première guerre mondiale ?
Y a-t-il eu une mobilisation en Afrique (dans le but d'ouvrir un front en Afrique contre les colonies allemandes ?) il me semble me souvenir que l'idée d'un tel front africain de la première guerre mondiale est évoquée dans la pièce "Il est minuit, Docteur Schweitzer" et dans le film "Out of Africa". Mais je n'ai aucune notion des dates. Teofilo 25 janvier 2013 à 19:11 (CET)Répondre
Ok pour le déplacement dans « appels ultérieurs », où j'avais fait trop court sur les troupes coloniales, mais il faudrait montrer l'évolution de la méthode de recrutement à partir de 1915. Je vais voir ce que je trouve d'équivalent sur les tirailleurs algériens, marocains, tunisiens, malgaches, tonkinois et annamites, ainsi que sur les unités levées aux Antilles, en Guyane, à La Réunion, en Inde et dans le Pacifique. Le problème est que l'article commence à être trop long à mon goût... J'envisage depuis une semaine de déplacer certaines parties dans d'autres articles (réserve militaire, territoriale, service militaire, plan XVII, etc.) tout en laissant un résumé.
Pour l'évolution du recrutement des troupes coloniales en général, en dehors de l'article Troupes coloniales, une idée serait de créer Forces armées françaises lors de la Première Guerre mondiale, où on pourrait mettre les questions de recrutement, d'effectifs, d'organisation et de doctrine d'emploi. Si l'aventure vous tente, on peut le travailler à quatre mains.
Contre les colonies allemandes d'Afrique, d'Asie et du Pacifique, les combats démarrent dès août 1914, avec les troupes d'active (infanterie coloniale et tirailleurs indigènes) et avec le soutien des alliés (Britanniques, Japonais et Australiens) : il n'y a pas de mobilisation aux colonies (même pas aux Antilles, en Guyane ou à La Réunion). La levée massive en AOF, en Algérie et dans les vieilles colonies commence en 1915, à destination des fronts français et d'Orient. --Lvcvlvs (d) 25 janvier 2013 à 19:46 (CET)Répondre
Je viens de voir qu'il existe un article Colonies dans la Première Guerre mondiale qui est pas mal, mais c'est un découpage qui n'est peut-être pas le meilleur. Je vois aussi que dans l'article général Première Guerre mondiale la partie "Colonies" est sous le titre "front intérieur" ce qui ne me parait pas être la bonne place. Par ailleurs, Eugène-Jean Duval écrit L'épopée des tirailleurs sénégalais, 2005, page 124: « Grâce à une préparation logistique méthodique, notamment en matière de transport maritime, les renforts sénégalais sont acheminés dès le mois d'août 1914 sur le sol français. (...) L'artillerie coloniale mixte stationnée au Maroc embarque à Casablanca le 10 août 1914 et dès la fin du mois d'août prend part à la bataille de la Marne. » Teofilo 25 janvier 2013 à 20:30 (CET)Répondre
 
Bivouac de spahis marocains à Ribécourt en 1915.
Oui, il y a une foule de choses à faire, de quoi remplir des années de travail...
Pour les premières unités sénégalaises envoyées en métropole, se sont des troupes d'active (non mobilisées) qui ne sont pas prévues dans les plans de concentration et qui sont arrivées tardivement après la mobilisation (et qui ne rejoignent qu'à la fin août). On peut effectivement le rajouter à la fin de l'article.
Le Corps d'occupation du Maroc (composé principalement de troupes provenant d'Algérie) comportait avant la guerre six régiments de marche coloniaux (avec chacun un bataillon d'infanterie coloniale, c'est-à-dire des métropolitains issus des 3e, 13e et 23e RIC, et deux bataillons de tirailleurs sénégalais issus des 1er et 2e RTS), un escadron de spahis sénégalais et deux groupes mixtes d'artillerie coloniale (mixtes car composés de batteries montées et de montagne).
Début août 1914, le ministère et l'état-major raclent les fonds de tiroir et récupèrent des troupes au Maroc, malgré les protestations de Lyautey : on organise et on envoie en métropole la division marocaine et plusieurs unités non-endivisionnées, dont trois régiments de marche coloniaux (soit six bataillons sénégalais) : ceux-ci n'arrivent sur le front qu'à la fin d'août, après la bataille des frontières.
Pour les autres unités de tirailleurs sénégalais, il y a le 1er RTS à Saint-Louis-du-Sénégal, le 2e à Kati (Mali), le 3e à Grand-Lahou (Côte d'Ivoire) et le 4e à Dakar ; cinq autres bataillons formant corps sont à Tombouctou (Mali), à Zinder (Niger), à Majunga (Madagascar), à Colomb-Béchar et à Orléansville (Algérie) ; les compagnies de ces RTS et de ces BTS sont très dispersées, chacune dans une ville. Ces RTS ne fournissent des bataillons qu'après la mobilisation (à partir de septembre).
Source : Répartition et emplacement des troupes de l'armée française, Paris, Imprimerie nationale, . --Lvcvlvs (d) 25 janvier 2013 à 22:18 (CET)Répondre
Dans la mesure où le décret de 1912 de mon ajout est là pour réglementer un service militaire valable en temps de paix (la paix en métropole) (ou pour fournir des effectifs à Lyautey etc. dans l'empire), il est peut-être effectivement hors sujet ici. Apparemment ce décret a été insuffisant puisque dans la suite des pages du livre de Duval il est beaucoup question de volontaires (une notion sur laquelle il conviendrait de poser un regard critique, ce qui est une difficulté supplémentaire). Donc mon ajout en dit peut-être soit trop soit trop peu. Si c'est plus simple, n'hésitez pas à le supprimer. Je ne pense pas avoir le temps de beaucoup plus me pencher sur cette question. Pardon pour le dérangement. Teofilo 25 janvier 2013 à 23:15 (CET)Répondre
J'ai rajouté un paragraphe couvrant toutes les troupes coloniales, en y laissant votre ajout (pertinent pour 1914 et 1915). Quant aux volontaires, effectivement plus ou moins : parfois forcés, parfois achetés (cent francs à l'incorporation + allocation à la famille, en période de famine ce n'est pas rien), s'y rajoute dans certains cas l'octroi de la citoyenneté. Merci pour votre aide ! --Lvcvlvs (d) 26 janvier 2013 à 09:57 (CET)Répondre

Relecture de Borvan53 modifier

 
Schéma fournissant les trajets approximatifs des lignes ferroviaires. --Lvcvlvs (d) 3 février 2013 à 14:53 (CET)Répondre

Bel article. Pour moi, le BA est acquis. L'article ne me semble pas trop long. L'AdQ serait tout à fait possible avec un dernier coup de collier il ne manquerait peut-être que :

  • une carte avec les mouvements ferroviaires de concentration vers le Nord-Est (comme tu le proposes), qui serait préférable au tableau. C'est long, mais pas compliqué avec toutes les cartes vectorielles existant sur Commons. Y délimiter les zones relatives aux corps d'armées serait aussi judiceux (quitte à faire double emploi avec File:Organisation militaire françaises 1907.png) ;
Tu as raison, je vais prendre le temps de la faire ; mon problème est de tracer les limites des régions militaires (elles ne correspondent pas parfaitement aux départements). Pour avoir le tracé précis des dix lignes, il faut que je fouille le Journal des marches et opérations de chaque division (voir chaque brigade ou régiment) : ça sens le TI ! Une solution serait de mettre le détail en ligne sur mon site (servant de source secondaire), puis de mettre le résultat graphique sur Commons...
Compilation des JMO en cours, résultats mis en ligne sur Wikiversité : v:Recherche:Mobilisation_de_1914. --Lvcvlvs (d) 3 février 2013 à 15:47 (CET)Répondre
Je vois que tu as la matière première! Ce n'est pas du TI de résumer un journal sur un graphique... car si un changement de média était un TI, tout wikipédia serait du TI. Mais alors une carte doit être référencée : pour moi, le paragraphe « source » de la description sur Commons est là pour ça. Borvan53 (d) 3 février 2013 à 18:40 (CET)Répondre
En projet ! J'envisage qu'une ébauche dans un premier temps.
Oui, oui, une ébauche sera bien assez. On n'est pas tenu de construire un Thème de Qualité pour justifier un label... Borvan53 (d) 3 février 2013 à 18:40 (CET)Répondre
Mobilisation française de 1939 ☺ --Lvcvlvs (d) 6 février 2013 à 18:29 (CET)Répondre
  1939 est effectivement plus exact. Borvan53 (d) 6 février 2013 à 22:24 (CET)Répondre
  • le contenu des galleries est judicieusement chosi. Par contre quelques illustrations sur la gauche sont moins pertinentes ;
Sur la gauche ? Lesquelles ?
  Sur la droite...
Lesquelles sont à virer ? La carte de Vidal-Lablache sera remplacée à terme par la future carte du transport.
« Inspection des chambres » « Le Rêve » « Unité d'infanterie française en manœuvre » « 12e compagnie du 1er régiment de ligne en 1911 » « Infanterie française avançant en ligne » et « Une escadre française en rade de Toulon » agrémentent plus l'article qu'elles ne l'enrichissent. C'est un choix esthétique qui t'appartient. Moi, j'aurai mis deux images de moins et je me serai imposé des images directement liées à la mobilisation. Mais, encore une fois, c'est toi qui décides.
Oui, c'est discutable. Je voulais montrer par ces images l'ambiance militariste de la France d'avant 1914, puis le départ pour le combat ; j'ai rajouté dans les légendes de ces images une phrase de justification. Et j'avoue, j'aime Detaille... Il me permet de mettre un petit peu de couleur. --Lvcvlvs (d) 2 février 2013 à 07:22 (CET)Répondre
  • tu peux aussi référencer les notes avec la syntaxe {{#tag:ref|balblabla<ref>références</ref>|group=n}}.
Miam !  

Voilà ce qu'il manquerait peut-être pour atteindre l'article parfait. Qoiqu'il en soit, selon moi, le niveau BA est confortablement atteint! Borvan53 (d) 31 janvier 2013 à 20:38 (CET)Répondre

Merci ! --Lvcvlvs (d) 31 janvier 2013 à 20:45 (CET)Répondre

Relecture modifier

Bonjour, avec un peu de retard, j'ai relu l'article... Il est très bien et pourrait, amha, viser l'AdQ.

J'ai juste une question et une remarque.

  1. La question porte sur le transport par le train du mobilisé vers son dépôt. Dans ce cas, qui paye le voyage ? C'est gratuit, remboursé ? Le fascicule de mobilisation permet-il de voyager gratis ? Comment se font payer les compagnies de chemin de fer ?
  2. Pour la flotte, l'ordre "d'allumage des bâtiments" gagnerait peut-être à être précisé. En disant par exemple qu'il s'agit d'allumer les chaudières, fonctionnant au charbon, et qu'il faut près d'une dizaine d'heures (je pourrais retrouver les durées précises) pour chauffer l'eau et pour que la vapeur ait atteint une pression suffisante pour mouvoir le bâtiment.

Donc, juste des bricoles pour un très bel article. A+ --Alcide Talon blabla ? 18 février 2013 à 12:54 (CET)Répondre

Il faut effectivement que je le rajoute : le trajet est gratuit pour le mobilisé, car la majorité des moyens des différentes compagnies privées ferroviaires est réquisitionnée ; la chose avait été prévue dès le milieu XIXe lors de l'attribution des lignes par l'État. Par contre lors du service militaire, l'aller et le retour était seulement à demi-tarif.
La quasi-totalité de la flotte française était encore au charbon ; il faut que je vérifie pour les derniers-nés, sous-marins ou torpilleurs, qui sont sûrement passé au mazout comme les Britanniques. Merci ! --Lvcvlvs (d) 18 février 2013 à 13:39 (CET)Répondre
Même si la chauffe est au mazout, ce sont toujours des machines à vapeur. Il faut du temps pour monter en pression.   --Alcide Talon blabla ? 18 février 2013 à 14:24 (CET)Répondre
C'est juste. On tombe pile sur la période de changement de carburant. Par exemple pour les derniers nés de la flotte, les quatre dreadnoughts de la classe Courbet, le Courbet (en service depuis septembre 1913), le Jean Bart (depuis juin 1913), le France (mis en service le 15 juillet 1914) et le Paris (en service le 1er août 1914), la propulsion est assurée par des turbines à vapeur Parsons, dont la vapeur est fournie par 24 chaudières Belleville, brûlant du charbon mais avec pour certaines des pulvérisateurs à huile auxiliaires. Stock théorique à bord : 2 700 tonnes de charbon (bonjour la manutention !) et 310 tonnes de mazout. --Lvcvlvs (d) 18 février 2013 à 18:12 (CET)Répondre
La question du ravitaillement en charbon des flottes, à l'orée du vingtième siècle, est un sujet qui mériterait son article, amha ! Il y a énormément de choses à dire, et sur des plans très divers.   --Alcide Talon blabla ? 19 février 2013 à 10:46 (CET)Répondre
Avec l'importance des bases outre-mer et de leur approvisionnement ! D'où l'intérêt des mines indochinoises et australiennes... --Lvcvlvs (d) 19 février 2013 à 18:55 (CET)Répondre

Abus de langage modifier

"La seconde et dernière fois" est une tautologie : si c'est la seconde, c'est qu'il n'y en a pas eu d'autre.--SammyDay (d) 12 avril 2013 à 15:25 (CEST)Répondre

C'est juste, expression corrigée. --Lvcvlvs (d) 12 avril 2013 à 15:49 (CEST)Répondre

Quelques précisions modifier

Excellent article que je suis en train de lire, mais qui appelle quelques réflexions de ma part :

1.- Dans le chapitre déroulement, le premier paragraphe est intitulé "Appel sous les drapeaux". L'appel sous les drapeaux concerne les jeunes gens devant effectuer leur service militaire. Je pense que l'intitulé "Rappel des réservistes" conviendrait mieux. En effet, les jeunes gens effectuant leur service sont déjà sous les drapeaux, ceux de la réserve et de la territoriale sont rappelés au service actif.

2.- dans le 2ème paragraphe de cette même partie il est écrit que"le transport de tous ces réservistes et territoriaux de leur domicile à leur dépôt d'affectation se fait essentiellement par voie ferrée....". Je conteste cette phrase car la loi de juillet 1873 prévoit un recrutement régional. Ceci pour éviter les longs déplacements qui avaient eu lieu lors de la guerre de 1870. En fait les réservistes rejoignent très souvent un régiment qui se trouve assez près de chez eux, ce qui a pour avantage de désengorger les compagnies de chemin de fer qui sont occupée par la réalisation des marches pour mettre rapidement en place la couverture comme vous l'indiquez et ensuite la concentration des troupes. D'autre part, il ne faut pas oublier qu'à cette époque les gens marchaient beaucoup, notamment dans les campagnes. C'est parce que le soldat était un bon marcheur que certaines unités ont pu monter en Belgique, puis retraiter jusqu'à la Seine et tout ceci à pied en portant leur barda.

3.- A la fin du chapitre Habillement et équipement il est écrit que "la mise en route vers la frontière se fait dès qu'un régiment est à plein de son effectif et de son équipement". Non le départ vers la frontière se fait selon une planification. Ce qui est imposé au régiment c'est d'être à effectif complet avec tout son matériel. Les perceptions de matériel sont planifiées dès le temps de paix; ce qui peut être fluctuant, ce sont les effectifs. Or, il y a plus de réservistes convoqués pour compléter les unités actives que nécessaire. Le régiment sera donc en temps voulu au complet, les effectifs en suppléments étant gardé au centre mobilisateur et ils seront affectés soit au régiment de réserve, soir serviront de volant pour compléter les pertes du régiment.

Ne voulant pas entrer dans une guerre d'édition je préfère proposer ici des modifications et que la discussion ait lieu sur cette page au lieu de "revert" souvent violent. Je continuerai à faire part de mes réflexions concernant cet article qui est "de qualité" à mon sens. Ces propositions visent à l'améliorer...— Le message qui précède, non signé, a été déposé par 80.13.186.8 (discuter)

  1. Ça me semble judicieux.
  2. Ça ne me paraît pas contradictoire : c’est en 1913 que le réseau ferré français a atteint son extension maximale, avec les nombreux tramways ruraux. Que les rappelés rejoignent à pied ou à cheval, ou en voiture à cheval, la gare la plus proche, pour prendre un train qui les conduire à la préfecture ou sous-préfecture où se trouve leur dépôt, ne fait pas forcément un trajet de nature à engorger le réseau. Par contre, tous les spécialistes (artilleurs, marins, génie...) utilisent le train. En conclusion, l’essentiel des déplacements des rappelés de 1914 peut être à la fois fait en train, et occasionner moins de déplacements (car il se fait pour beaucoup à courte distance). Ce n’est qu’une supposition, mais ça me paraît aussi logique que votre raisonnement, et ça ne transforme pas les paysans français en petits marcheurs. À voir ce que disent les historiens pour trancher, ou pour préciser.
  3. Là, il me semble que c’est pinailler sur les mots pour une part : d’une part, vous ne prenez en compte que le cas des régiments d’active ; ensuite, vous indiquez qu’« il est planifié que le régiment doit partir à une certaine date, et au complet » ce qui me semble équivalent à « La mise en route vers la frontière se fait dès qu'un régiment est à plein de son effectif et de son équipement. », la planification en moins.
Je complèterai donc le troisième point en indiquant la contrainte de la planification et si source il y a, qu’est-ce qui est fait pour les régiments de réserve (puisqu’eux partent non pas forcément à plein, mais selon planification, quel que soit l’effectif). Le tout étant à sourcer. azoée (discuter) 21 janvier 2014 à 07:41 (CET)Répondre
Merci de ces remarques, qui sont très enrichissantes. N'hésitez pas à corriger l'article lui-même si vous avez des sources, sinon la page de discussion est effectivement le bon endroit pour confronter les points de vue.
  1.   C'est effectivement mieux ainsi !
  2. On pourrait rajouter une note résumant le sujet. Le recrutement est théoriquement local, à l'échelon de la subdivision militaire pour les régiments d'infanterie, mais le nombre de subdivisions n'a pas évolué en même temps que la démographie : les différents dépouillements de registres matricules régimentaires montrent des réservistes majoritairement locaux dans l'infanterie, mais avec de fortes minorités venant d'autres départements. J'ai croisé des témoignages de réservistes parisiens qui dépendent de dépôts à l'autre bout du pays, mais se sont des cas isolés. Les hommes de la cavalerie et des armes savantes sont évidemment avec des origines encore plus diversifiées. Quant aux paysans bons marcheurs, là aussi les témoignages disent plutôt le contraire ; la question a été justement évoquée par un historien, je crois pouvoir sourcer ça.
  3. Je pense que vous avez raison, l'unité part selon la planification ; je viens de modifier la formulation, mais il faut encore trouver les sources nécessaires. Le hic est que je rêverais de mettre la main sur le détail de la mobilisation, train par train et unité par unité... Ça serait très utile pour faire la refonte de l'article sur le plan XVII (n'hésitez pas, au passage, à donner un coup de main) !
En vous remerciant encore une fois. --Lvcvlvs (discuter) 21 janvier 2014 à 11:40 (CET)Répondre
Ici, on écrit (p. 536) comme extraordinaire que des communes soient situées à plus de 30 km de toute gare. Pour les Alpes du Sud, l’article confirme la bonne desserte existante en 1914 (qui était quasiment à son apogée). azoée (discuter) 21 janvier 2014 à 23:09 (CET)Répondre
Oui, le maillage du réseau était très serré ; selon le plan Freycinet, chaque chef-lieu de canton devait être raccordé. Beaucoup de lignes ont été démontées ensuite avec le développement de la concurrence routière. --Lvcvlvs (discuter) 22 janvier 2014 à 07:23 (CET)Répondre

Peut-être serait-il aussi judicieux de préciser dans l'introduction qu'il s'agit de la première mobilisation de l'armée française depuis que le service militaire est obligatoire. L'article concernant la mobilisation allemande précise que des mobilisations ont déjà eu lieu en 1859, 1966, 1870. Pour la France, c'est la première mobilisation de la nation en armes. En 1870, la mobilisation concernait une armée de métier (loi Niel). - 27 janvier 2014

Rajout de la parenthèse : « C'est la première fois qu'une mobilisation générale est décrétée en France (en 1870, seule l'armée de métier est mobilisée) ; la seconde fois a eu lieu en 1939. » --Lvcvlvs (discuter) 27 janvier 2014 à 20:21 (CET)Répondre

Très bien - Merci. J'ai regardé l'article de mobilisation allemande. Est-ce que vous vous en occupez? Dans l'affirmative, je vous ferai part de mes remarques

Je suis le principal contributeur, mais pas le propriétaire ! Vraiment n'hésitez pas, ça sera plus efficace, il suffit juste de sourcer ce qui doit l'être (ça aide pour vérifier). Si vraiment il y a des ajouts délicats, on pourra en parler en PdD. J'insiste : allez-y sans crainte ! --Lvcvlvs (discuter) 29 janvier 2014 à 21:35 (CET)Répondre

En anglais modifier

Boun jour, avez-vous cet article en anglais?

Merica,

Bonjour. Il n'existe qu'en version française (pas d'interwiki sur la colonne gauche de la page). Il faut demander à la version anglaise pour une traduction. Celette (discuter) 6 décembre 2016 à 21:51 (CET)Répondre

Liens externes modifiés modifier

Bonjour aux contributeurs,

Je viens de modifier 1 lien(s) externe(s) sur Mobilisation française de 1914. Prenez le temps de vérifier ma modification. Si vous avez des questions, ou que vous voulez que le bot ignore le lien ou la page complète, lisez cette FaQ pour de plus amples informations. J'ai fait les changements suivants :

SVP, lisez la FaQ pour connaître les erreurs corrigées par le bot.

Cordialement.—InternetArchiveBot (Rapportez une erreur) 1 avril 2018 à 17:53 (CEST)Répondre

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