Dingy-en-Vuache

commune française du département de la Haute-Savoie

Dingy-en-Vuache
Dingy-en-Vuache
Tunnel du Vuache.
Blason de Dingy-en-Vuache
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Saint-Julien-en-Genevois
Intercommunalité Communauté de communes du Genevois
Maire
Mandat
Éric Rosay
2020-2026
Code postal 74520
Code commune 74101
Démographie
Population
municipale
756 hab. (2021 en augmentation de 17,57 % par rapport à 2015)
Densité 105 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 05′ 34″ nord, 5° 56′ 43″ est
Altitude Min. 510 m
Max. 1 002 m
Superficie 7,18 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Genève - Annemasse (partie française)
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Saint-Julien-en-Genevois
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Dingy-en-Vuache
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Dingy-en-Vuache
Géolocalisation sur la carte : Haute-Savoie
Voir sur la carte topographique de la Haute-Savoie
Dingy-en-Vuache
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
Voir sur la carte administrative d'Auvergne-Rhône-Alpes
Dingy-en-Vuache

Dingy-en-Vuache est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie modifier

Dingy-en-Vuache se trouve sur les pentes du Vuache et de la montagne de Sion, dans le Nord-Ouest de la Haute-Savoie. Un chemin monte au Golet du Pet, un petit col, et permet ensuite de descendre de l'autre côté sur Arcine ou de suivre le chemin de crête (un GR) qui va de Chaumont à la chapelle Sainte-Victoire de Chevrier. La colline morainique des Plans, presque inhabitée, sépare le terroir communal en deux ensembles : les hameaux de Dingy et Raclaz d'un côté, ceux de Bloux et Jurens de l'autre. La plupart des habitations se trouve à l'altitude de 400-600 mètres.

La commune est traversée par l'autoroute A40 (Bourg-en-Bresse à Genève).

Les communes limitrophes sont Vulbens, Valleiry, Chênex, Savigny, Arcine.

Communes limitrophes modifier

  Vulbens Valleiry  
Clarafond-Arcine N Chênex
Jonzier-Épagny
O    Dingy-en-Vuache    E
S
Savigny Chaumont

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Dingy-en-Vuache est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[1],[2],[3].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française), dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 158 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[4],[5].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (84,5 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (84,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (35,3 %), zones agricoles hétérogènes (29,3 %), terres arables (19,9 %), forêts (15,5 %)[6].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie modifier

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Dinzhi, selon la graphie de Conflans[7].

Histoire modifier

Préhistoire modifier

À la fin de la Préhistoire (Néolithique), le Vuache était peuplé par des peuples connaissant le métal et l’agriculture. Il y avait deux « monuments mégalithiques, aujourd'hui disparus, mais localisables grâce à la Mappe Sarde ; il s'agit de « pierres à cupules » »[8]. Il s’agit de gros blocs de granit où les hommes de la fin de la Préhistoire gravaient des coupes et des rainures, peut-être en raison d’un culte des étoiles lié à l’agriculture.

Gaulois et Gallo-Romains modifier

Le nant (ruisseau) de la Vosogne porte un nom celtique désignant une source divinisée. Le mot « Jurens » aussi pourrait venir du gaulois et désigner un bois sur une colline. Dingy pourrait signifier « sous les bois ». Mais ces étymologies ne sont pas sûres.

La commune fut peuplée sous l’empire romain. Selon une autre étymologie, le toponyme « Dingy » viendrait du nom d’un propriétaire gallo-romain se nommant Tincius ou Dimiacus.

Moyen Âge modifier

Les limites du territoire correspondent à l’ancienne paroisse. Ce découpage date des VIe – IXe siècles. Dingy a la forme d’un ruban, du Vuache au Mont Sion. Les hameaux actuels (Bloux, Dingy, Jurens, Raclaz) existaient déjà, mais leur emplacement a peut-être varié. La hauteur des Plans, inhabitée depuis plusieurs siècles, coupe en deux le territoire.

Raclaz et Dingy se trouvaient sur le chemin de Vulbens à Chaumont. En 1239, on signale une « maladière » (établissement de soins) à Dingy.

Dès le XIVe siècle, les seigneurs du Vuache (Vulbens) avaient des droits sur Dingy et Raclaz. Au XVe, les seigneurs de Faramaz possédaient des parcelles et des droits sur Raclaz. La maison-forte de Raclaz date du XVe siècle. Peut-être appartint-elle à une famille noble, puis aux seigneurs de Faramaz avant de passer aux Collomb et aux Blancheville.

En 1439, une forge est tenue par les frères Pugin à Raclaz.

Un autre chemin allait de Savigny à Valleiry par Jurens. Bloux et Jurens relevaient des seigneurs d’Epagny et des hospitaliers de Cologny (Vulbens). Ces hameaux dépendaient du mandement de Chaumont.

Temps Modernes modifier

Au XVIe siècle, la seigneurie du Vuache est coupée en deux, une partie relevant de Vulbens et l’autre de Savigny. Les deux sont réunifiées au XVIIe par les seigneurs de Faramaz qui ont fait fortune. Le « Plot » était un nom de lieu à l’ouest du chemin de Dingy d’en haut à Murcier. En 1521 et 1531, il y avait un pilori, aux confins des mandements du Vuache et de Chaumont.

Le « Chemin de l’abbé » part de la maison-forte de Raclaz, va jusqu’au nant du Moulin ou de la Faverge et poursuit jusqu’à l’église (l’autoroute l’a coupé).

Au XVIe, la famille Groz de Raclaz donne plusieurs serviteurs au seigneur de Vulbens. Il en reste une maison avec la date de 1624. Des notaires exercent à Raclaz et Jurens aux XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles. À la fin du XVIIe siècle, les Collomb s’installent à Bloux. Les Dupraz, bourgeois d’Annecy, arrivent à Bloux et Jurens. Au XVIIIe siècle, ils édifient à Jurens une chapelle, actuellement disparue.

Époque contemporaine modifier

La première fruitière se trouvait en amont du nant dit de Routeran, dans la maison de la Monime, surnom d’une Monique Burlat. Vers 1885, à l’initiative d’Eugène Chatenoud, une fruitière plus fonctionnelle fut construite de l’autre côté du ruisseau. Vers 1925 il y avait un téléphone ; on comptait alors 36 sociétaires.
En 1889 fut construite l’école de Raclaz.
En 1900, il y a à Raclaz une forge tenue par un Chatenoud. Une épicerie fonctionne à Raclaz de 1896 à 1943. Plusieurs cafés sont ouverts : café Vuetaz, café La Platte. La vogue de Raclaz se tint de 1850 à 2000.
En 1907, inauguration de la nouvelle route de Raclaz à Dingy, construite grâce au député Fernand David, radical.
En 1900, installation de la ligne électrique.
Le monument aux morts de 1914-1918 porte une inscription très sobre.

En 1932, des agriculteurs fondent la Coopérative laitière agricole de Bloux-Jurens-Les Morraines.
En 1957, elle compte 19 sociétaires. Elle fonctionne jusqu’en 1971.

Pendant la dernière guerre, la ligne de démarcation passe entre La Fontaine et Raclaz. En 1944, Bloux est incendié par les soldats allemands.
Aux municipales de 1945, les électeurs élisent Juliette Groz, communiste (1899-1953), qui devient la première femme-maire du département. Elle se présente aux élections cantonales où elle arrive en deuxième position, mais démissionne en 1947 pour raisons de santé.

En 1976, construction de l’autoroute.
À partir des années 1980, la population augmente. De nombreux frontaliers travaillent à Genève.
En 2000, fermeture des anciennes écoles de Jurens et Raclaz. Construction d’un centre scolaire en face de la mairie.
En 2010, déplacement du monument aux morts.

Source : recherches de Philippe Duret

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
mars 2001 mars 2008 François Python PS ...
mars 2008 ... Éric Rosay ... ...
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

Les habitants de la commune sont appelés les Dingeois[9].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[10]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[11].

En 2021, la commune comptait 756 habitants[Note 3], en augmentation de 17,57 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
217291299304411517445431448
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
426448405402387384385358334
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
273264255249248253220226250
1982 1990 1999 2006 2008 2013 2018 2021 -
256336395513546644701756-
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[12] puis Insee à partir de 2006[13].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Maison-forte de Raclaz

Il s'agit d'une maison seigneuriale de la fin du Moyen Âge. À Raclaz, à partir du carrefour de la croix une route monte. Comme la pente est forte, elle tourne mais autrefois le chemin était rectiligne. Sur la droite se trouve la maison-forte. On la date du XVe siècle. Le rez-de-chaussée contient un four à pain, une gigantesque meule et des placards en blocs taillés. À l'étage, il y a des fenêtres à accolades doubles ou à linteau trilobé. Une grande cheminée chauffe le bâtiment. Une galerie court au premier étage. À l'angle nord-est se trouvait une tour carrée dont le sommet a été rasé : on dit que les soldats bernois du XVIe siècle en seraient responsables. Non loin se trouvait un puits. En dessous, il y avait des granges et un four. En 1730, la maison appartenait à l'abbé Pierre-Humbert de Blancheville, frère du seigneur du Vuache. Les Anciens racontaient qu'il se rendait à l'église de Dingy par le petit chemin aujourd'hui coupé par l'autoroute.

  • L'ancienne église placée sous le patronage de saint Pierre[14].

Jadis, Dingy avait son église. En 1481, elle est dédiée à saint Pierre parce qu'elle dépend de la cathédrale Saint-Pierre de Genève. Au XVIe siècle, elle fut reconstruite et placée sous la protection de saint Christophe. On peut encore admirer son portail ogival, surmonté d'une date : 1554. Les paroissiens manquaient d'argent pour les réparations. Faute d'entretien, l'église se dégrade au XVIIIe siècle. À la Révolution, elle brûle en partie. En thermidor an XI [juillet 1803], l'évêque réunit les paroisses de Dingy et Chevrier à Vulbens. Toutefois, on continua quelque temps d'inhumer. En 1851, les Collomb d'Arcine font ériger au carrefour un croix portant l'inscription « pietate domini darsine 1851 » (pieusement érigé par les seigneurs d'Arcine). Et dessous, « Venez à moi vous tous chargés de misère, Crux ave ». Puis le cimetière devint un jardin jusqu'en 1930 on y remontait encore des ossements. La nef servait d'étable. On creusa une fosse à purin à l'extérieur, à l'endroit où se trouvait le chœur. Il n'y a donc plus ni église ni cimetière à Dingy. On va à l'église de Vulbens ou de Valleiry et l'on se fait enterrer à Vulbens.

  • L'ancienne école de Raclaz

À Dingy il y avait jadis deux écoles, l'une entre Bloux et Jurens, l'autre à Raclaz en bas. À Raclaz, l'école fut édifiée en 1882. La salle de classe faisait 43 m2. Au-dessus, un logement de trois pièces. En bas, un jardin. L'eau se trouvait alors au bachat, dehors. Le conseil municipal se réunissait à l'école et l'instituteur y tenait le secrétariat de mairie. Michel Boitard, ancien instituteur, raconte qu'en 1941 « il n'y avait pas de cour et la récréation se passait à proximité de l'école, sur la route. [...] Quand un paysan passait avec son attelage de bœufs, il s'arrêtait toujours pour échanger quelques mots pendant que les enfants surveillaient ses bêtes ». L'école est fermée depuis quelques années, une école plus moderne ayant été bâtie à côté de la mairie.

  • Café La Platte

À l'entrée de Raclaz lorsque l'on vient de La Fontaine, la grande maison sur la droite, après la carrosserie, était vers 1900 un café tenu par Emile Martinet, ancien cheminot de Bellegarde. Le lieu était appelé la Platte en raison d'une grande pierre plate au bord du ruisseau, sur laquelle les femmes faisaient la lessive.

  • L'ancienne fruitière de Raclaz-Dingy

Le principe d'une fruitière (coopérative laitière) consiste à mettre en commun le lait produit. Le producteur reçoit une somme correspondant à la vente, déduction faite des sommes nécessaires pour entretenir le bâtiment et les machines. Cette somme investie devient la propriété de chacun. Vers 1885, à l'initiative d'Eugène Chatenoud, une fruitière fut construite entre Raclaz et Dingy, non loin de l'épicerie, de l'école, de la forge et du café Vuétaz. Le revenu paysan s'améliora. On comptait alors trente-six sociétaires venant livrer leur lait. Au début des années 1980, la fruitière ferma et devint une habitation. L'ancienne étable aux cochons servit d'atelier de menuiserie.

  • L'ancienne fruitière de Bloux-Jurens

Pendant longtemps les cultivateurs de ces hameaux descendaient leur lait à Valleiry. Ce n'était guère pratique. En 1932, plusieurs agriculteurs fondèrent la « Coopérative laitière agricole de Bloux-Jurens-Les Morraines à Dingy-en-Vuache ». Les bâtiments, impressionnants, furent construits en amont de la route, non loin de l'école. En 1957, on compte dix-neuf sociétaires. En 1971, la fruitière décida de fusionner avec celle de Valleiry. Les locaux furent loués à un menuisier.

  • Une croix de mission (XIXe siècle), à côté de l'ancienne école de Raclaz.
  • L'ancienne forge de Raclaz, à droite en montant, à côté de la croix.
  • L'ancien café Vuetaz de Raclaz, entre le bassin et la forge.
  • Le monument aux morts, jadis à côté de la forge de Raclaz, a été déplacé à côté de la mairie.

Source : textes de Philippe Duret in « Echos saléviens » numéros 2, 3, 5 et 6.

Personnalités liées à la commune modifier

  • Juliette Groz (1899-1953), communiste, élue maire en 1945. Première femme-maire de Haute-Savoie.

Héraldique modifier

Les armes de Dingy-en-Vuache se blasonnent ainsi :

De gueules au chevron d'argent accompagné, en chef à dextre, d'une dent de chien au naturel posée en barre, à senestre, à une jonquille aussi au naturel posée en bande, et en pointe, à une tête de chamois d'or.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Frédéric Raynaud avec la collaboration de Danielle Foy, Bruna Maccari-Poisson, Claude Olive, Louis de Roguin, Le Château et la seigneurie du Vuache, Lyon, Service régional de l'archéologie, , 147 p. (ISBN 978-2-906190-10-8, lire en ligne)
  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Jean-Bernard Challamel, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes. Le Genevois et Lac d'Annecy (Tome III), Roanne, Éditions Horvath, , 422 p. (ISBN 2-7171-0200-0).

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références modifier

  1. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  2. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  3. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  4. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Genève - Annemasse (partie française) », sur insee.fr (consulté le ).
  5. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  6. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  7. Lexique Français - Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 16
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  8. Raynaud, 1992, p. 9-18, Chapitre 1. Cadre géographique et historique (Lire en ligne).
  9. « Dingy-en-Vuache », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
  10. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  11. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  12. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  13. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  14. Raynaud, 1992, p. 19-38, « Chapitre 2. La seigneurie du Vuache » (Lire en ligne).