Clermont-l'Hérault

commune française du département de l'Hérault
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Clermont l'Hérault
Clermont-l'Hérault
L'église Saint-Paul de Clermont-l'Hérault.
Blason de Clermont l'Hérault
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Hérault
Arrondissement Lodève
Intercommunalité Communauté de communes du Clermontais
(siège)
Maire
Mandat
Gérard Bessière
2020-2026
Code postal 34800
Code commune 34079
Démographie
Gentilé Clermontais[1]
Population
municipale
9 269 hab. (2021 en augmentation de 6,95 % par rapport à 2015)
Densité 285 hab./km2
Population
agglomération
10 565 hab. (2017)
Géographie
Coordonnées 43° 37′ 41″ nord, 3° 25′ 59″ est
Altitude Min. 40 m
Max. 322[2] m
Superficie 32,49 km2
Type Commune urbaine
Unité urbaine Clermont-l'Hérault
(ville-centre)
Aire d'attraction Montpellier
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Clermont-l'Hérault
(bureau centralisateur)
Législatives Cinquième circonscription
Localisation
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Liens
Site web ville-clermont-herault.fr

Clermont-l'Hérault (en occitan Clarmont d'Erau) est une commune française située dans le centre du département de l'Hérault en région Occitanie.

Exposée à un climat méditerranéen, elle est drainée par la Lergue, le Salagou, le Garel, le Ronel, le ruisseau de Creissels, le ruisseau du Lieutre et par divers autres petits cours d'eau. La commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (« le Salagou ») et huit zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Clermont-l'Hérault est une commune urbaine qui compte 9 269 habitants en 2021, après avoir connu une forte hausse de la population depuis 1975. Elle est ville-centre de l'agglomération de Clermont-l'Hérault et fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier. Ses habitants sont appelés les Clermontais ou Clermontaises.

Géographie modifier

Chef-lieu de canton, Clermont-l'Hérault est situé à 48 km environ à l'ouest de Montpellier[3], à mi-chemin entre la mer Méditerranée au sud et le parc national des Cévennes au nord.

Hydrographie modifier

La Lergue, le Salagou, le ruisseau des Servières sont les principaux cours d'eau qui traversent la commune.

Communes limitrophes modifier

Les communes limitrophes sont Le Bosc, Brignac, Canet, Celles, Ceyras, Lacoste, Liausson, Mourèze, Nébian, Octon et Villeneuvette.

Communes limitrophes de Clermont-l'Hérault
(Distances : à vol d'oiseau / par la route)[4]
Celles
(8.21 / 22,91 km)
Lacoste
(2.31 / 3,73 km)
Ceyras
(2.93 / 4,42 km)
Liausson (4.98 / 6,74 km)
Mourèze (6.00 / 7,66 km)
  Brignac
(3.42 / 5,25 km)
Villeneuvette
(3.00 / 3,42 km)
Nébian
(2.20 / 3,61 km)
Canet
(5.46 / 6,84 km)

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen franc, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[5]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[6].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 14,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 779 mm, avec 6,8 jours de précipitations en janvier et 2,7 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Saint-André-de-Sangonis à 6,16 km à vol d'oiseau[7], est de 15,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 652,4 mm[8],[9]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[10].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Réseau Natura 2000 modifier

 
Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive oiseaux :, effectuant la transition entre la plaine languedocienne et les premiers contreforts de la montagne Noire et du Larzac. Outre l'aigle de Bonelli, trois autres espèces d'oiseaux ont également été prises en compte dans la délimitation de la ZPS, l'Outarde canepetière, le Blongios nain et le Busard cendré[12], d'une superficie de 12 794 ha, effectuant la transition entre la plaine languedocienne et les premiers contreforts de la montagne Noire et du Larzac. Outre l'aigle de Bonelli, trois autres espèces d'oiseaux ont également été prises en compte dans la délimitation de la ZPS, l'Outarde canepetière, le Blongios nain et le Busard cendré[13].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Cinq ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[14] :

  • l'« embouchure de la rivière du Salagou » (24 ha), couvrant 2 communes du département[15] ;
  • le « massif de la Ramasse » (391 ha), couvrant 3 communes du département[16] ;
  • les « plateaux de l'Auverne et du puech Rouch » (800 ha), couvrant 5 communes du département[17] ;
  • les « Ruffes du Salagou » (1 170 ha), couvrant 5 communes du département[18] ;
  • la « vallée de la Lergue » (225 ha), couvrant 8 communes du département[19] ;

et trois ZNIEFF de type 2[Note 3],[14] :

  • le « bassin du Salagou » (8 089 ha), couvrant 12 communes du département[20] ;
  • le « cours moyen de l'Hérault et de la Lergue » (976 ha), couvrant 22 communes du département[21] ;
  • le « massif de Mourèze et la plaine agricole et garrigues de Péret » (8 126 ha), couvrant 13 communes du département[22].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Clermont-l'Hérault est une commune urbaine, car elle fait partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 4],[23],[I 1],[24]. Elle appartient à l'unité urbaine de Clermont-l'Hérault, une agglomération intra-départementale regroupant 3 communes[I 2] et 10 565 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[I 3],[I 4].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Montpellier, dont elle est une commune de la couronne[Note 5]. Cette aire, qui regroupe 161 communes, est catégorisée dans les aires de 700 000 habitants ou plus (hors Paris)[I 5],[I 6].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (40,3 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (49,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : cultures permanentes (23,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (20,2 %), zones agricoles hétérogènes (16,2 %), forêts (14,9 %), eaux continentales[Note 6] (12,4 %), zones urbanisées (9,1 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (2,3 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (0,8 %), prairies (0,3 %)[25]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Clermont-l'Hérault est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à trois risques technologiques, le transport de matières dangereuses et le risque industriel et la rupture d'un barrage, et à deux risques particuliers : le risque minier et le risque de radon[26]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[27].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Lergue et le Salagou. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1990, 1994, 2003, 2006, 2014, 2015, 2016 et 2019[28],[26].

Clermont-l'Hérault est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies (PDPFCI) a été approuvé en juin 2013 et court jusqu'en 2022, où il doit être renouvelé. Les mesures individuelles de prévention contre les incendies sont précisées par deux arrêtés préfectoraux et s’appliquent dans les zones exposées aux incendies de forêt et à moins de 200 mètres de celles-ci. L’arrêté du réglemente l'emploi du feu en interdisant notamment d’apporter du feu, de fumer et de jeter des mégots de cigarette dans les espaces sensibles et sur les voies qui les traversent sous peine de sanctions. L'arrêté du rend le débroussaillement obligatoire, incombant au propriétaire ou ayant droit[Note 7],[29].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Clermont-l'Hérault.

La commune est vulnérable au risque de mouvements de terrains constitué principalement du retrait-gonflement des sols argileux[30]. Cet aléa est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 63,5 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (59,3 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 2 343 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 2 218 sont en aléa moyen ou fort, soit 95 %, à comparer aux 85 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[32].

Risques technologiques modifier

La commune est exposée au risque industriel du fait de la présence sur son territoire d'une entreprise soumise à la directive européenne SEVESO[33].

Le risque de transport de matières dangereuses sur la commune est lié à sa traversée par des infrastructures routières ou ferroviaires importantes ou la présence d'une canalisation de transport d'hydrocarbures. Un accident se produisant sur de telles infrastructures est susceptible d’avoir des effets graves sur les biens, les personnes ou l'environnement, selon la nature du matériau transporté. Des dispositions d’urbanisme peuvent être préconisées en conséquence[34].

La commune est en outre située en aval du Barrage du Salagou, un ouvrage de classe A[Note 8] sur le Salagou, mis en service en 1968 et disposant d'une retenue de 102 millions de mètres cubes. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[36].

Risque particulier modifier

L’étude Scanning de Géodéris réalisée en 2008 a établi pour le département de l’Hérault une identification rapide des zones de risques miniers liés à l’instabilité des terrains[37]. Elle a été complétée en 2015 par une étude approfondie sur les anciennes exploitations minières du bassin houiller de Graissessac et du district polymétallique de Villecelle. La commune est ainsi concernée par le risque minier, principalement lié à l’évolution des cavités souterraines laissées à l’abandon et sans entretien après l’exploitation des mines[38].

Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Clermont-l'Hérault est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[39].

Toponymie modifier

La commune a été connue sous les variantes : via publica mercatorum Claromontensium (vers 1140), apud Claromontem castrum (1158), lo castel de Clarmon (1168), Clermont de Lodève (1529), etc

Selon Combarnous : clarum montem, hauteur orientée vers le soleil levant[40].

En 1790, le nom est devenu Clermont-l'Hérault[41].

Histoire modifier

 
Calendrier julien. Leudaire de la juridiction de Clermont (XIVe siècle).

La commune de Clermont-l'Hérault est occupée depuis la Protohistoire : durant l'âge du fer (VIIIe – IIe siècle av. J.-C.), Clermont constitue avec « La Ramasse » l'un des principaux oppida de la Celtique méditerranéenne[42].

Durant les années 2000, en collaboration avec l'Inrap, des fouilles archéologiques ont démontré son importance durant l'Antiquité[43]. Il existait alors une agglomération principale de cinq à six hectares ainsi qu'une zone habitée périphérique de 12 hectares. Les vestiges d'un établissement thermal ont été mis au jour.

La ville était anciennement dénommée Clermont-Lodève. Toute proche, la manufacture des draps de Villeneuvette[44] fut créée, ou plutôt relancée, en 1667 par Colbert pour développer l'industrie du drap en France, en profitant des eaux de la Dourbie.

Lors de la Révolution française, les citoyens de la commune se réunissent au sein de la société révolutionnaire, baptisée « société des amis de la liberté », créée en décembre 1790[45] et par réaction, une société contre-révolutionnaire se constitue en [45].

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1837 ? Jean Delpon    
1940 ? M. Barral ? Président de la délégation spéciale, à la suite de la dissolution du conseil municipal[46]
1949 1971 Jean Rouaud Rad. Conseiller général
mars 1971 2001 Marcel Vidal PS Sénateur (1980-2006), conseiller général
mars 2001 2014 Alain Cazorla PS Conseiller général
mars 2014 2020 Salvador Ruiz DVG[47] Professeur
juin 2020 En cours Gérard Bessière[48],[49] DVC  

Démographie modifier

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
4 8885 2245 6945 8376 1996 5826 2946 1346 180
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
6 2326 4056 0505 8705 9645 4505 1915 0795 083
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
5 2805 1405 1775 3815 6165 6575 4265 1955 314
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
5 5386 2095 4825 9266 0416 5327 2147 3958 322
2018 2021 - - - - - - -
8 9629 269-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[50] puis Insee à partir de 2006[51].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018, la commune compte 4 172 ménages fiscaux[Note 9], regroupant 8 967 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 17 870 [I 7] (20 330  dans le département[I 8]). 36 % des ménages fiscaux sont imposés[Note 10] (45,8 % dans le département).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 9] 11,4 % 14,6 % 16,1 %
Département[I 10] 10,1 % 11,9 % 12 %
France entière[I 11] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 5 181 personnes, parmi lesquelles on compte 71,5 % d'actifs (55,4 % ayant un emploi et 16,1 % de chômeurs) et 28,5 % d'inactifs[Note 11],[I 9]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est supérieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Montpellier, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 12]. Elle compte 4 753 emplois en 2018, contre 4 445 en 2013 et 4 052 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 2 939, soit un indicateur de concentration d'emploi de 161,7 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 51,8 %[I 13].

Sur ces 2 939 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 1 344 travaillent dans la commune, soit 46 % des habitants[I 14]. Pour se rendre au travail, 80,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 3,6 % les transports en commun, 11,7 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 4,1 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 15].

Activités hors agriculture modifier

Secteurs d'activités modifier

1 204 établissements[Note 12] sont implantés à Clermont-l'Hérault au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 13],[I 16].

Secteur d'activité Commune Département
Nombre % %
Ensemble 1 204 100 % (100 %)
Industrie manufacturière,
industries extractives et autres
80 6,6 % (6,7 %)
Construction 129 10,7 % (14,1 %)
Commerce de gros et de détail,
transports, hébergement et restauration
356 29,6 % (28 %)
Information et communication 23 1,9 % (3,3 %)
Activités financières et d'assurance 49 4,1 % (3,2 %)
Activités immobilières 64 5,3 % (5,3 %)
Activités spécialisées, scientifiques et techniques
et activités de services administratifs et de soutien
176 14,6 % (17,1 %)
Administration publique, enseignement,
santé humaine et action sociale
213 17,7 % (14,2 %)
Autres activités de services 114 9,5 % (8,1 %)

Le secteur du commerce de gros et de détail, des transports, de l'hébergement et de la restauration est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 29,6 % du nombre total d'établissements de la commune (356 sur les 1204 entreprises implantées à Clermont-l'Hérault), contre 28 % au niveau départemental[I 17].

Entreprises et commerces modifier

Les cinq entreprises ayant leur siège social sur le territoire communal qui génèrent le plus de chiffre d'affaires en 2020 sont[52] :

  • Nigautan, hypermarchés (23 597 k€)
  • Diffusion Automobile Clermontaise - Dac, commerce de voitures et de véhicules automobiles légers (12 363 k€)
  • Celestin Materiaux, commerce de gros (commerce interentreprises) de bois et de matériaux de construction (9 239 k€)
  • Le Marcory, construction d'autres bâtiments (9 208 k€)
  • Comptoir Agricole Leon Valette Et Cie, commerce de gros (commerce interentreprises) de produits chimiques (6 457 k€)

Clermont-l'Hérault est place commerciale d'envergure au cœur de l'Hérault, accueillant plus de 800 entreprises[53]. Le marché du mercredi et le tourisme avec le camping du lac du Salagou sont des moteurs pour l'économie clermontaise.

Le marché du mercredi matin existe depuis le Moyen Âge. Une centaine de commerçants s'y retrouve pour proposer des produits locaux et alimentaires, vêtements et fleurs, etc.

En 2012, un important centre logistique de Système U est créé, recrutant plus de 100 emplois temps plein et 50 saisonniers.

Malgré ces atouts, le taux de chômage est au-dessus des 20 %, avec un taux à 20,5 % en 2014[54].

Agriculture modifier

La commune est dans le « Soubergues », une petite région agricole occupant le nord-est du département de l'Hérault[55]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 14] sur la commune est la viticulture[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 274 157 130 49
SAU[Note 15] (ha) 1 076 1 166 812 747

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 274 lors du recensement agricole de 1988[Note 16] à 157 en 2000 puis à 130 en 2010[57] et enfin à 49 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 82 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 67 % de ses exploitations[58],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1076 ha en 1988 à 747 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 4 à 15 ha[57].

Jumelages modifier

Clermont-l'Hérault est jumelée avec :

Culture et festivités modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

À proximité

Galerie modifier

Personnalités liées à la commune modifier

Cinéma modifier

Héraldique modifier

Les armoiries de Clermont-l'Hérault se blasonnent ainsi : d'argent à la fasce de gueules accompagnée de deux mouchetures d'hermines en chef et d'un tourteau aussi de gueules en pointe, au chef d'azur chargé de deux fleurs de lys d'or.

Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[11].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  5. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  6. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  7. Le débroussaillement s'applique notamment aux abords de constructions, chantiers, travaux ou installations sur une largeur de 50 mètres (selon un principe du droit des assurances, tout propriétaire est tenu d’assurer la protection de ses biens), et de 5 mètres de part et d’autre des voies privées y donnant accès.
  8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[35].
  9. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  10. La part des ménages fiscaux imposés est le pourcentage des ménages fiscaux qui ont un impôt à acquitter au titre de l'impôt sur le revenu des personnes physiques. L'impôt à acquitter pour un ménage fiscal correspond à la somme des impôts à acquitter par les foyers fiscaux qui le composent.
  11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  13. Le champ de ce tableau couvre les activités marchandes hors agriculture.
  14. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  15. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  16. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[56].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
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Références modifier

Site de l'Insee modifier

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Autres sources modifier

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Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

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Fonds d'archives modifier

  • Fonds : Archives communales de Clermont-l'Hérault (1789-2010) [169,7 ml]. Clermont-l'Hérault : Mairie de Clermont-l'Hérault (présentation en ligne).

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