Taninges

commune française du département de la Haute-Savoie

Taninges
Taninges
Mairie.
Blason de Taninges
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Auvergne-Rhône-Alpes
Département Haute-Savoie
Arrondissement Bonneville
Intercommunalité Communauté de communes des Montagnes du Giffre
(siège)
Maire
Mandat
Gilles Peguet
2020-2026
Code postal 74440
Code commune 74276
Démographie
Gentilé Jacquemards
Population
municipale
3 465 hab. (2021 en augmentation de 1,61 % par rapport à 2015)
Densité 81 hab./km2
Géographie
Coordonnées 46° 06′ 29″ nord, 6° 35′ 32″ est
Altitude Min. 609 m
Max. 2 000 m
Superficie 42,7 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Taninges
(ville isolée)
Aire d'attraction Cluses
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cluses
Législatives Sixième circonscription
Localisation
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Liens
Site web taninges.fr

Taninges est une commune française située dans le département de la Haute-Savoie, en région Auvergne-Rhône-Alpes.

Géographie modifier

Cartographies de la commune
 
  La commune avec l'emplacement de la mairie dans le département
 
Carte OpenStreetMap
 
Carte topographique
1 : carte dynamique ; 2 : carte OpenStreetMap ; 3 : carte topographique

Taninges est située dans la moyenne vallée du Giffre, sur la RD 907 menant à Samoëns à l'Est et Mieussy[1] à l'Ouest au carrefour de la RD 902 menant de Cluses aux Gets.

Communes limitrophes modifier

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Taninges est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[2],[3],[4]. Elle appartient à l'unité urbaine de Taninges, une unité urbaine monocommunale[5] de 3 465 habitants en 2021, constituant une ville isolée[6],[7].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Cluses, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 12 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[8],[9].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (82,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (83 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (56,8 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,3 %), zones agricoles hétérogènes (7,6 %), zones urbanisées (4,5 %), terres arables (3,8 %), espaces ouverts, sans ou avec peu de végétation (3,1 %), prairies (1,4 %), eaux continentales[Note 3] (0,6 %)[10].

L'IGN met par ailleurs à disposition un outil en ligne permettant de comparer l’évolution dans le temps de l’occupation des sols de la commune (ou de territoires à des échelles différentes). Plusieurs époques sont accessibles sous forme de cartes ou photos aériennes : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

Toponymie modifier

Taningio et Taningis (1263), Tagningio en (1445), Tanninges (1793), Taninge (1806), Tanninge (Bulletin des lois de 1861).

La forme Taningio est une dérivation en -ingio[11] faite sur un nom d'origine celte. En gaulois tanno- signifie chêne[12]. Dans la langue celte continentale, Taningio est le domaine de Tanno, c'est-à-dire le domaine du gaulois "Duchêne" ou le domaine du chêne. Les arbres avaient une dimension sacrée chez les Celtes (le chêne en particulier)[13]. Chez les celtes, le druide est celui qui a la connaissance du chêne, c'est-à-dire de l'arbre qui représente symboliquement la totalité du monde"[14]. La présence celte a été marquante dans cette vallée où se trouvait un Mediolanon. Ce toponyme très fréquent dans l'ère celte continentale désignait un centre (medio) gaulois[15]. Il s'agissait probablement d'un centre religieux[15].

En francoprovençal, le nom de la commune s'écrit Tanyinzhe (graphie de Conflans) ou Taninjo / Tagninjo (ORB)[16].

Histoire modifier

L'histoire ancienne de Taninges semble difficile à détailler, faute de documents. Ainsi, les premiers documents fournis nous datent du XVe siècle.

Antérieurement, la paroisse était celle de Flérier, et un grand éboulement du Marcelly au XIIe ou XIIIe siècle aurait enseveli le village situé sur les coteaux sous le Marcelly, poussant à fonder la chapelle de Flérier partiellement datée du XIIIe siècle[17] : « L'église était anciennement au bourg ; des ravins, soit éboulements, l'ayant détruite avec la majeure partie du bourg, on fut forcé de profiter de l'église de Fleyrier qui appartenait à des moines » (Requête de M. Jean-François Orsat, Maire, à M. le Préfet du Léman en 1804)[18].

En 1457, Taninges obtient par exemple le marché du jeudi et la foire d'avril. Plus tard, en 1696 les foires du et du sont accordées a la commune par le Prince, notamment pour récompenser leur bon comportement durant la guerre[18]. Le , le roi Charles-Albert confère à Taninges le titre et les privilèges de ville[18].

Lors des débats sur l'avenir du duché de Savoie, en 1860, la population est sensible à l'idée d'une union de la partie nord du duché à la Suisse. Une pétition circule dans cette partie du pays (Chablais, Faucigny, Nord du Genevois) et réunit plus de 13 600 signatures[Note 4], dont 452 pour la commune[21],[22]. Le duché est réuni à la suite d'un plébiscite organisé les 22 et où 99,8 % des Savoyards répondent « oui » à la question « La Savoie veut-elle être réunie à la France ? »[23].

Politique et administration modifier

Tendances politiques et résultats modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
1878 1879 Joseph Tetaz Conservateur Notaire
Conseiller général de Taninges (1871 → 1883)
Les données manquantes sont à compléter.
? ? Roger Brand DVD Vétérinaire
Conseiller général de Taninges (1958 → 1973)
1977 1986 Ernest Nycollin CD puis UDF-Rad.
puis DVD
Cadre bancaire
Conseiller régional (1992 → 1998)
Conseiller général de Taninges (1973 → 2008)
Président du conseil général (1998 → 2008)
1986 mai 2020 Yves Laurat DVG Géomètre
mai 2020 En cours
(au septembre 2020)
Gilles Péguet[24]   Vice-président de la CC des Montagnes du Giffre (2020 → )

Population et société modifier

 
Le village au pied du pic de Marcelly.

Démographie modifier

Les habitants de la commune sont appelés les Jacquemards[25]., bien que le gentilé originel fut Taningeois. Il semblerait que l'utilisation du nom Jacquemard soit un hommage à un Jacques Montant originaire du village, fondeur de marc, d'où le surnom de « Jacques le Marc », puis Jacquemard, qui aurait été à la tête d'un soulèvement contre le duc de Savoie, vers 1470[26].

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[27]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[28].

En 2021, la commune comptait 3 465 habitants[Note 5], en augmentation de 1,61 % par rapport à 2015 (Haute-Savoie : +5,99 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1822 1838 1848 1858 1861 1866
2 2542 6712 6843 2573 0203 1882 7362 7652 640
1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911
2 4572 3972 2532 3022 1972 2032 2492 2252 144
1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975
1 9131 9252 0721 9701 9262 0281 9692 1092 354
1982 1990 1999 2006 2011 2016 2021 - -
2 6822 7913 1403 3943 3813 4063 465--
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[29] puis Insee à partir de 2006[30].)
Histogramme de l'évolution démographique

Manifestations culturelles et festivités modifier

  • Juillet : Festigrat's, festival alternatif de musique alternative et de guitares.

Enseignement modifier

La commune de Taninges est située dans l'académie de Grenoble. En 2017, elle administre un groupe scolaire primaire, maternelle et élémentaire, situé sur la route de Mélan, regroupant 324 élèves[31].

La commune accueille le collège Jacques Brel avec 431 élèves, qui propose notamment une section sportive scolaire option ski alpin, nordique et surf[31],[32].

Économie modifier

Entreprises modifier

Agro-alimentaire
  • Usine Peguet Savoie Salaison (spécialisée dans la salaison de charcuterie)[33].
  • Usine raffin (Fabrication de charcuterie en gros)
Décolletage
  • Jenatton
Magasins et commerces

Tourisme modifier

  • Tourisme d'hiver avec la station de sports d'hiver de Praz de Lys - Sommand.
  • Tourisme vert, construction de cabane dans les bois.

En 2016, la capacité d'accueil de la commune, estimée par l'organisme Savoie Mont Blanc, est de 9 369 lits touristiques répartis dans 1 526 structures[Note 6]. Les hébergements se répartissent comme suit : 205 meublés ; 3 résidences de tourisme ; 3 Hôtels ; une structure d'hôtellerie de plein air ; un centre ou village de vacances et quatre chambres d'hôtes[34].

La commune dispose de trois restaurants : "Le Marronnier", "L'os à Moelle", "La Crémaillère".

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • La chartreuse de Mélan est une ancienne abbaye en partie détruite par un incendie en 1967. Elle conserve encore intacts trois bâtiments d'origine, datant du XIIIe et du XVIe siècle. Des concerts et des expositions d'arts contemporains y sont organisés toute l'année[35] ;
  • Maison forte des Buchilles (1475 attestée) ;
  • Maison forte de Flérier (attestée) ;
  • Église Saint-Jean-Baptiste de Taninges, construite de 1825 à 1832 et pensée par l'architecte Prosper Dunant dans un style néo-grec, l'Eglise mesure 49 mètres de long 11 de large et accueille le Carillon de Taninges[18].   Inscrit MH (2015) ;
  • Le carillon de Taninges est installé dans le clocher de l'église. De par son importance, il est le premier carillon de la Haute-Savoie et le cinquième de la région Auvergne-Rhône-Alpes avec 3 tonnes, de 40 et bientôt 50 cloches. Le clocher abrite également un bel ensemble de volée de 3 cloches qui avoisine les 5 000 kg ;
  • La chapelle de Jacquicourt, objectif de promenade et point de vue ;
  • La chapelle Notre-Dame du Vieux Chalet ;
    • En 1941, le Père Jean Noël Philippe curé des paroisses de Sathonay, créé une colonie de vacances, pour des enfants en difficulté, traumatisés par la guerre qui perdure, l'abbé Philippe rencontre le curé de Taninges, c'est ici à l'alpage de Bonnavaz un endroit paisible, qu'il achète un des chalets pour le transformer en centre de vacances. En 1947, le Père Jean Noël Philippe décide de bâtir une chapelle, construite sur l'emplacement d'un ancien édifice religieux. En , la colonie de vacances est vendue. En 1998, un couple de la commune de Taninges s'installe dans ce hameau, rénove la chapelle qui a été à l'abandon plusieurs années, qui sont devenus propriétaire. L'édifice est de style traditionnel moderne.[réf. souhaitée] ;
  • Chapelle de Flérier.
  • Le monument aux morts de la guerre de 1870-1871, statue en fonte inauguré en 1902, œuvre des Fonderies Durenne[36].
  • La fontaine, inscrite aux Monuments historiques depuis 1931[37].
  • Maisons fortes ou manoir : des anciennes familles de Taninges, de Fleyrier, du Fresnay, des Buchilles, des Graveruel et d'Avonay.
  • Le Parcours d'art contemporain du Giffre, Sentier art et nature, le long du Giffre propose des œuvres majeures qui s'inscrivent en écho à l’histoire du site. œuvres in situ avec Marie Goussé, Sébastien Lacroix, Régine Raphoz, l'installation du Délesteur sur la Pointe de Uble[38] et l'installation La cabine téléphonique sur le lampadaire (Le phare urbain) de Benedetto Bufalino en 2016.
  • La maison du Patrimoine, située rue des Arcades reconstituant les métiers d'autrefois, avec des objets d'époque, des reconstitutions de lieux et un film documentaire.
  • La Chapelle Saint-Anne, dédiée à la Vierge-Marie, construite en 1583, cette chapelle accueillait chants, fêtes et vêpres (1727) fondées par la comtesse de Taninges Marguerite d'Arestel. Cette Chapelle fut également "temple de la raison" et hébergeait les assemblées populaires à la suite de la révolution[18]. Aujourd'hui, cette chapelle appartient à des propriétaires privés et a été l'objet de rénovation.
  • Espaces verts et fleurissement. En 2014, la commune de Taninges bénéficie du label « ville fleurie » avec « une fleur » attribuée par le Conseil national des villes et villages fleuris de France au concours des villes et villages fleuris[39].

Personnalités liées à la commune modifier

  • François Basthard-Bogain, prêtre, curé de la paroisse de 1932 à 1967. Grand mutilé de la guerre 1914-1918, résistant, il fut arrêté par la Gestapo et emprisonné à la prison Montluc à Lyon. Titulaire de la Croix de guerre avec deux palmes, de la médaille militaire et de la Légion d'honneur. Musicien, il décide de la construction du carillon.
  • Serge Fiorio, artiste peintre qui a vécu à Taninges de 1924 à 1940.
  • Jean-François Grange, né à Taninges le 20 septembre 1842, formé aux Ponts et Chaussées puis géomètre à Genève où «il a consacré dix-huit années à la confection du cadastre de la Ville»[40].
  • Joseph Mogenier dit "La France", né à Taninges le 6 juillet 1837, militant républicain[41].

Héraldique modifier

  Blason
Écartelé en sautoir : aux 1er et 4e de gueules à trois filets en chevron d'argent, ceux du chef renversés, accolés aux traits de partition, aux flancs d'azur ; l'azur chargé de deux léopards lionnés d'argent soutenant un écu rond de gueules à la croix d'argent et à la filière du même brochant en cœur[42].
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Henri Baud, Jean-Yves Mariotte, Alain Guerrier, Histoire des communes savoyardes : Le Faucigny, Roanne, Éditions Horvath, , 619 p. (ISBN 2-7171-0159-4), p. 567-590 « Taninge », p.561-566 « Le canton de Taninge ».

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  4. Cette pétition réunit plus de 13 651 signatures dans des villages de la partie nord (aujourd'hui la Haute-Savoie) : 60 communes du Faucigny, 23 du Chablais savoyard et 13 aux environs de Saint-Julien-en-Genevois, soutenue par l’Angleterre[19],[20].
  5. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  6. La structure Savoie Mont Blanc, pour ces données statistiques de capacité d'accueil en termes de lits touristiques d'une station ou d'une commune, additionne les établissements marchands, qui appartiennent au secteur de l'hôtellerie, et les hébergements non marchands, qui n'impliquent donc pas de transaction commerciale comme les résidences secondaires[34].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution de l'occupation des sols de la commune sur cartes et photos aériennes anciennes. », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ). Pour comparer l'évolution entre deux dates, cliquer sur le bas de la ligne séparative verticale et la déplacer à droite ou à gauche. Pour comparer deux autres cartes, choisir les cartes dans les fenêtres en haut à gauche de l'écran.

Références modifier

  1. « Google Maps », sur Google Maps (consulté le ).
  2. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  3. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  4. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Unité urbaine 2020 de Taninges », sur insee.fr (consulté le ).
  6. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  7. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  8. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Cluses », sur insee.fr (consulté le ).
  9. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  10. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  11. Xavier Delamarre, Les noms des Gaulois, Les Cent Chemins, (ISBN 978-1-5468-6932-0 et 1-5468-6932-8, OCLC 1023509935, lire en ligne), p. 45.
  12. Xavier Delamarre, Dictionnaire de la langue gauloise : une approche linguistique du vieux-celtique continental, Éditions Errance, (ISBN 978-2-87772-631-3 et 2-87772-631-2, OCLC 1055598056, lire en ligne), p. 289.
  13. Xavier Delamarre, Les noms des Gaulois, dl 2017 (ISBN 978-1-5468-6932-0 et 1-5468-6932-8, OCLC 1013539963, lire en ligne), pp. 58-59.
  14. Xavier Delamarre, Les noms des Gaulois, Les Cent Chemins, (ISBN 978-1-5468-6932-0 et 1-5468-6932-8, OCLC 1013539963, lire en ligne), p. 356.
  15. a et b Xavier Delamarre, Les noms des Gaulois, Les Cent Chemins, (ISBN 978-1-5468-6932-0 et 1-5468-6932-8, OCLC 1023509935, lire en ligne), p. 51.
  16. Lexique Français : Francoprovençal du nom des communes de Savoie : Lé Kmoune in Savoué, Bruxelles, Parlement européen, , 43 p. (ISBN 978-2-7466-3902-7, lire en ligne), p. 15
    Préface de Louis Terreaux, membre de l'Académie de Savoie, publié au Parlement européen à l'initiative de la députée Malika Benarab-Attou.
    .
  17. « Chapelle de Flérier »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur memoire-alpine.com (consulté le ).
  18. a b c d et e Hippolyte Tavernier, Taninges et ses environs, Paris, Le livre d'Histoire-Lorisse, , 162 p. (ISBN 978-2-84373-857-9 et 2-84373-857-1).
  19. Luc Monnier, L'annexion de la Savoie à France et la politique suisse, 1860, A. Jullien, , p. 98.
  20. Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 163.
  21. Manifestes et déclarations de la Savoie du Nord, Genève, Imprimerie-Lithographie Vaney, , 152 p. (lire en ligne).
  22. Paul Guichonnet (préf. Henri Baud), Histoire de l'annexion de la Savoie à la France et ses dossiers secrets, Roanne, Éditions Horvath, , 354 p. (ISBN 978-2-7171-0235-2), p. 167.
  23. Paul Guichonnet, Nouvelle encyclopédie de la Haute-Savoie : Hier et aujourd'hui, La Fontaine de Siloé, , 399 p. (lire en ligne), p. 18.
  24. Stéphane Grosjean, « Avec l'élection de Gilles Péguet, une page se tourne à Taninges », L'Essor savoyard,‎ (lire en ligne).
  25. « Taninges », sur le site de mutualisation des Archives départementales de la Savoie et de la Haute-Savoie - sabaudia.org (consulté en ), Ressources - Les communes.
  26. Alexandra Collomb, « Ces drôles de noms d'habitants », Le Messager (France),‎ (Article consulté le 5 septembre 2012)
  27. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  28. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  29. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  30. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
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  37. « Fontaine », notice no PA00118449, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. Sentier art et nature du Giffre - divers artistes - Taninges (74), sur le site artsenpaysages-aura.com.
  39. « Les villes et villages fleuris », sur le site officiel du « Concours des villes et villages fleuris » (consulté le ).
  40. Journal de Genève du 16 janvier 1910.
  41. Voir César Duval, avant-propos à Les francs-tireurs du Mont-Blanc dans la Revue savoisienne, 43e année (1902), pages 18-22.
  42. « 74 276 - Taninges (Haute Savoie) », sur le site armorialdefrance.fr (consulté en ).