Brosimum rubescens
Description de cette image, également commentée ci-après
Echantillon type de Ferolia guianensis Aubl. (synonyme de Brosimum rubescens) collecté par Aublet en Guyane
Classification APG III (2009)
Règne Plantae
Clade Angiospermes
Clade Dicotylédones vraies
Clade Noyau des Dicotylédones vraies
Clade Rosidées
Clade Fabidées
Ordre Rosales
Famille Moraceae
Tribu Dorstenieae
Genre Brosimum
Sous-genre Ferolia

Espèce

Brosimum rubescens
Taub., 1890[1]

Synonymes

  • Alicastrum rubescens (Taub.) Taub.
  • Brosimum angustifolium Ducke
  • Brosimum brevipedunculatum Ducke
  • Brosimum caloxylon Standl.
  • Brosimum lanciferum Ducke
  • Brosimum longistipulatum Ducke
  • Brosimum paraense Huber
  • Brosimum platyneurum Ducke
  • Ferolia guianensis Aubl.,1775 - Basionyme
  • Parinari guyanensis Fritsch
  • Piratinera lancifera (Ducke) Benoist
  • Piratinera paraensis (Huber) Benoist
  • Piratinera rubescens (Taub.) Pittier[2]

Brosimum rubescens est une espèce de plantes à fleurs de la famille des Moraceae.

C'est un arbre néotropical.

Il est connu dans les Guyanes sous les noms de Satiné rubané, Bois d'arc, Bois de lettre, Bois satiné, Lettre rubané, Lettre ravané, Lettres rouges, Satiné gris, Satiné rubané (Créole/Français)[3], Pairi seine (Palikur), Siton-paya (Paramaka)[4], Ndokali, Weti paya (Aluku)[5], Satijnhout (Hollandais), Doekaliballi ibiberoebaria (Arawak)[6].

Au Venezuela, on le nomme Cajimán, Guanacaste, Marima, Palo de Brasil (Espagnol), Fuiyu, Wadimashu (Yekwana), Wãrãke duthæ (Piaroa), Wishoguatemosi (Yanomami)[7].

Ailleurs, il est connu sous les noms de Amapa rana, Falso pao brasil, Pau rainha, Conduru, Muirapiranga (Portugais du Brésil), Satine, Satine rubane, Satine rouge, Siton paya (Français), Satinwood (Guyana), Legno satino, Ferolia (Italien), Palo de oro (Espagnol), Doekaliballi, Satijnhout, Satinwood, Bloodwood (Anglais)[8].

Description modifier

Brosimum rubescens est un arbre de la canopée, ou émergent, généralement monoïque, atteignant 30-40 m de haut, pour 1 m de diamètre, et produisant un latex blanc.

Les rameaux feuillés, épais de 1-2(-3) mm, sont anguleux, et couverts d'une pubescence éparse à dense, de couleur jaunâtre à grisâtre. Le bois parfait est de couleur rouge foncé plus ou moins veiné de noir et très lourd (densité : 0.95-1.05)[9].

Le limbe mesure 2-13 x 1-6,5(7) cm, est coriace à subcoriace, de forme elliptique à étroitement elliptique, lancéolée ou obovale à étroitement obovale (souvent plus larges à l'extrémité inférieure), avec un apex court à longuement acuminé, la base aiguë à obtuse, les marges entières. La face adaxiale (au-dessus) est glabre, avec la nervure primaire presque plane. La face abaxiale (en dessous) est glabre à légèrement pubescent, généralement à poils pluricellulaires à tête oblongoïde, avec des aréoles peu poilues, parfois avec une pubescence dense sur la nervure primaire légèrement saillantes à planes. On compte 10-22 paires de nervures secondaires. La nervation tertiaire est réticulée (non parallèle). Les stipules sont fusionnées, connées, entièrement amplexicaules, longues de (0,5–)1-2,5(-4) cm, presque glabres à pubérulentes à subveloutées apprimées, en forme d'éventail, sans nervation proéminente. Le pétiole est long de 0,2 à 1,3 cm, avec le périderme persistant au séchage (épiderme non desquamé).

Les inflorescences sont généralement bisexuées : 1(-3) fleurs femelles et des fleurs mâles peu nombreuses à nombreuses. Elles sont de forme (sub)globuleuses, subturbinées à hémisphériques, mesurent 0,2-0,8 cm de diamètre, avec un réceptacle pubérulent, et un pédoncule pubérulent, long de 0,2 à 1,2 cm.

Les fleurs staminées (mâles) ont un périanthe ± réduit, pubérulent, haut de 0,1-0,5 mm de haut, et sont en 3-5 parties, avec 1-3 petites étamines (le filet long de 0,2-0,8 mm, et les anthères mesurant 0,2-0,3 x 0,25-0,4 mm, avec un connectif large et renflé).

Les fleurs pistillées (femelles) comportent style pubérulent, long d'environ 1 mm, un stigmate long de 0,1 à 0,8 mm, et quelques dizaines de bractées pubérulentes jaunâtres à blanches, de 0,4-1,2 mm de diamètre.

Les infructescences sont (sub)globuleuses, atteignant 1-1,5 cm de diamètre, généralement à 1 fruit, devenant rougeâtre à maturité[7],[4],[3],[6].

L'espèce varie dans l'indumentum, la longueur des stipules et les caractères des inflorescences (dimensions, nombre de fleurs et bractées), mais reste plutôt homogène dans la région des Guyanes, et du bassin amazonien inférieur, mais diffère dans le bassin supérieur de l'Amazone[6].

Répartition modifier

Brosimum rubescens est répandu en Amérique du sud tropicale depuis le Panama, jusqu'au Brésil (bassin amazonien jusque près de Rio de Janeiro) en passant par la Colombie, le Venezuela (Bolívar, Amazonas), le Guyana, le Suriname, la Guyane, l'Équateur, le Pérou, et la Bolivie[4],[7],[6].

Écologie modifier

Brosimum rubescens croît dans les forêts hautes sempervirentes de terre ferme (non inondées), et au Venezuela autour de 100–200(–1 200) m[7],[4]. On le rencontre au Suriname dans les forêts de l'intérieur et la pourtour des savanes[6].

En Guyane, Brosimum rubescens fleurit en septembre, et fructifie en novembre[3].

La phénologie reproductive, la production et la disponibilité des graines de Brosimum rubescens a été étudiée au Brésil. La floraison a lieu en fin de saison sèche et la fructification en début de saison des pluies. Ses graines sont fortement prédatées par des Scolytidae, des Curculionidae et dans une moindre mesure par des vertébrés frugivores[10]. Les fruits de Brosimum rubescens sont consommés par les singes capucins, les perroquets et les insectes[7].

La classification taxonomique de Brosimum rubescens a été révisée en 2020[11]

À l'est du Mato Grosso (Brésil), dans la zone de transition entre le Cerrado et l'Amazonie, on trouve des forêts monodominées par Brosimum rubescens[12], qui ont été étudiées sous divers aspects :

Utilisation modifier

Brosimum rubescens produit une gomme abondante, servant pour calfater la coque des embarcations[7]. Ses fruits sont comestibles[19].

Le bois de Brosimum rubescens est un bois précieux, à l'aubier blanc, dur et compact, deux fois plus étendu que le cœur, qui est d'un beau rouge panaché de jaune, résistant naturellement aux termites et aux champignons[8]. Ses propriétés mécaniques ont été étudiées[20]. On l'utilise pour fabriquer des arcs traditionnels, des caractères d'imprimerie d'où ses noms de Bois d'arc et Bois de lettre[4]. Il est recommandé pour l'ébénisterie (meubles de luxe), la marqueterie (placage tranché), le tournage, les escaliers intérieurs, les lambris intérieur, la lutherie, la sculpture, la charpente lourde, les boiseries, les manches d'outils (bois résilient) et les utilisations haut de gamme[8].
NB : sa sciure et ses poussières peuvent provoquer des allergies ou une salivation intense[21].

On a étudié la variation de la capacité d'imprégnation du bois de Brosimum rubescens au traitement CCA[22].

Brosimum rubescens est utilisé dans la médecine traditionnelle péruvienne sous le nom de Palo de sangre[23]. On en a extrait des substances originales dérivées de chalcone et de prényl-coumarine, que l'on a nommées palodesangren A-E, et qui présentent un puissant effet inhibiteur sur la liaison entre la 5α-dihydrotestostérone et un récepteur aux androgènes[24],[25]

Les extraits de Brosimum rubescens présenteraient une activité antipaludique[26].

Brosimum rubescens est aussi utilisé dans la pharmacopée Xavántes[15].

L'extraits de sciure de bois de Brosimum rubescens Taub. (qui contient des coumarines) présente des propriétés antifongiques[27], et a été utilisé avec succès pour lutter contre anthracnose sur les manguiers et les papayers causée par Colletotrichum gloeosporioides (Penz.) Penz. & Sacc. en Colombie[28].

Les analyses chimiques de l'aubier et du duramen de Brosimum rubescens indiquent un teneur élevée du bois en xanthilethine, en triterpènes 3β-acétoxy-oléan-12-ène-28-al et β-sitostérol[29].

Protologue modifier

 
Brosimum rubescens (pl. 372) d'après Aublet, 1775
Les fruits & les feuilles ſont repréſentés de grandeur naturelle. - 1. Bourgeon enveloppé d'une ſtipule. - 2. Baie. Noyau coupé en travers[30].

En 1775, le botaniste Aublet propose pour Ferolia guianensis (synonyme de Brosimum rubescens), le protologue suivant[30] :

« FEROLIA Guianenſis. (Tabula 372.)
Ferolia arbor, ligno in modum marmoris variato. Barer. Franc. Equin. pag. 51.[31]

Arbor ſexaginta-pedalis, adcacumen ramoſiſſima ; ramis in medio erectis, in circuitu nine indè divaricatis, ramulis gracilibus. Folia alterna, brevi petiolata, glabra, ovata, acuminata, ſuprà viridia, inferne candicantia : ex eorum axillis exfurgit gemma oblonga, tenuis, ariſtata. Fructus racemoſi, axillares & terminates, luteſcentes.

Cortex vulneratus ſuccum fundit lacteum. Lignum trunci internum diverts coloribus variegatur ; maximè ab Europæis expetitur.

Fructum ferebat menſe Maio.

Habitat in ſylvis déſertis & ſuprà colles Comitatûs de Gêne


LE FÉROLE de la Guiane. (Planche 372.)

Le tronc de cet arbre s'élève à quarante ou cinquante pieds, ſur environ trois pieds de diamètre. Il pouſſe à l'on ſommet un grand nombre de branches ; celles du centre ſont perpendiculaires, & les autres ſont horiſontales & s'étendent en tout ſens. Elles ſont chargées d'une multitude de rameaux grêles & garnis de feuilles alternes, ſeſſiles, liſſes, entières, vertes en deſſus, & blanchâtres en deſſous, ovales, & terminées par une longue pointe. Elles ont à leurs aiſſelles un bourgeon enveloppé d'une écaille terminée par un long filet.

Les fruits naiſſent à l'extrémité des rameaux, en forme de grappes. Ce ſont des baies ſèches, comprimées, arrondies, pointillées, ridées, bordées d'un feuillet membraneux. l'écorce eſt verdâtre & mince ; elle couvre un noyau ride, boſſelé & oſſeux. Il eſt à deux loges, & chacune contient une amande, mais il arrive ſouvent qu'une des deux avorte.

Les fruits & les feuilles ſont repréſentés de grandeur naturelle.

Je n'ai pu, pendant tout le temps que j'ai parcouru l'intérieur des terres de la Guiane, me procurer la ſatiſfaction d'obſerver les fleurs de cet arbre, qui n'eſt pas même connu des plus anciens Créoles, quoique ſon bois ſoit une branche de leur commerce. Ceux qui le font, vont chercher cet arbre dans les vieilles forêts ; & pour pouvoir le connoitre ils ſont des entailles ſur tous les troncs qu'ils trouvent renverſés depuis longtemps ſur la terre, qui ſont dépouillés de leur écorce, & dont l’obier eſt entièrement détruit. Avec une eſpèce de ſerpe droite, qu'ils ſuſpendent au poignet, & que pour cette raiſon ils appellent manchette, ils enlèvent des copeaux qu'ils poliſſent avec leur couteau, & ayant reconnu la nature du bois qu'ils déſirent, ils le marquent pour le faire débiter, & enſuite le tranſporter à leurs habitations. Il ne doit point paroitre étonnant qu'ils ne connoiſſent pas cet arbre ſur pied, puiſqu'ils n'attaquent que des vieux troncs abatus.

L'écorce de cet arbre eſt liſſe & cendrée ; lorſqu'on l'entaille elle répand un ſuc laiteux. Si un arbre à trois pieds & diamètre, l'obier du tronc en a plus de deux ; il eſt blanc, dur, peſant & compacte. Le bois intérieur eſt dur, peſant, & d'un beau rouge panache de jaune ; il prend un beau poli, & reſſemble à du ſatin ; ce qui lui a fait donner le nom de BOIS SATINÉ. Il eſt auſſi nommé BOIS DE FEROLE, du nom d'un ancien Gouverneur de Caïenne, qui a été le premier à l'introduire dans le commerce.

J'ai trouvé un ſeul de ces arbres chargé de fruit, au mois de Mai, dans la forêt qui eſt près du ſault de la rivière d'Aroura. »

— Fusée-Aublet, 1775.

Notes et références modifier

  1. Tropicos.org. Missouri Botanical Garden., consulté le 26 janvier 2022
  2. (en-US) « Brosimum rubescens Taub. - synonyms », Tropicos, Saint Louis, Missouri, Missouri Botanical Garden (consulté le )
  3. a b et c (en) Scott A. Mori, Georges Cremers et Carol Gracie, Guide to the Vascular Plants of Central French Guiana : Part 2. Dicotyledons, vol. 76, New York Botanical Garden Pr Dept, coll. « Memoirs of the New York Botanical Garden », , 776 p. (ISBN 978-0-89327-445-0), p. 519
  4. a b c d et e (en) c. c. Berg) et A.R.A. GORTS-VAN RIJN (eds.), Flora of the Guianas : Series A: Phanerogams. Fascicle 11 - 20. ULMACEAE - 21. MORACEAE - 22. CECROPIACEAE - 23. URTICACEAE - 26. CASUARINACEAE, D-6240 Koenigstein/Federal Republic of Germany, Koeltz Scientific Books, , 226 p. (ISBN 978-3-87429-330-3), p. 26-27
  5. Marie Fleury, "BUSI-NENGE" - LES HOMMES-FORÊT : Essai d'etnobotanique chez les Alukus (Boni) en Guyane Française, université de Paris 6, coll. « thèse de doctorat », (lire en ligne)
  6. a b c d et e (en) A. A. Pulle, FLORA OF SURINAME : DIALYPETALAE, vol. II, PART l, Leiden, E. J. BRILL - FOUNDATION VAN EEDENFONDS - c/o Royal Tropical Institute, Amsterdam, , 1-500 p., p. 216-217
  7. a b c d e et f (en) Cornelis C. Berg, Julian A. Steyermark (eds.), Paul E. Berry (eds.), Kay Yatskievych (eds.) et Bruce K. Holst (eds.), Flora of the Venezuelan Guayana, vol. 6 - Liliaceae–Myrsinaceae, St. Louis, MISSOURI BOTANICAL GARDEN PRESS, , 803 p. (ISBN 9780915279814), p. 725
  8. a b et c (en) CIRAD, « SATINE », TROPIX 7 - © 1998-2011,‎ , p. 4 (lire en ligne)
  9. Pierre DÉTIENNE, Paulette JACQUET et Alain MARIAUX, Manuel d'identification des bois tropicaux : Tome 3 Guyane française, Quae, (lire en ligne), p. 146
  10. Luis Eduardo Rivera, María Cristina Peãuela et Flavio Moreno, « Intra annual seed production and availability of two morphotypes of Brosimum rubescens taubert in forests of the Colombian Amazon » [« Producción y disponibilidad intra anual de semillas de dos morfotipos de Brosimum rubescens Taubert en bosques de la amazonía colombiana »], Biota neotrop., vol. 14, no 4,‎ (DOI 10.1590/1676-06032014007313)
  11. (en) ELLIOT M. GARDNER, LAUREN AUDI, QIAN ZHANG, HERVÉ SAUQUET, ALEXANDRE K. MONRO et NYREE J.C. ZEREGA, « Phylogenomics of Brosimum Sw. (Moraceae) and allied genera, including a revised subgeneric system », bioRxiv,‎ (DOI 10.1101/2020.05.15.098566)
  12. (en) B. S. MARIMON, J. M. FELFILI et M. HARIDASAN, « STUDIES IN MONODOMINANT FORESTS IN EASTERN MATO GROSSO, BRAZIL: I. A FOREST OF BROSIMUM RUBESCENS TAUB », Edinburgh Journal of Botany, vol. 58, no 1,‎ , p. 123-137 (DOI 10.1017/S096042860100049X)
  13. (pt) BEATRIZ SCHWANTES MARIMON, « DINÂMICA DE UMA FLORESTA MONODOMINANTE DE BROSIMUM RUBESCENS TAUB. E COMPARAÇÃO COM UMA FLORESTA MISTA EM NOVA XAVANTINA-MT », Tese apresentada ao Departamento de Ecologia da Universidade de Brasília, BRASÍLIA,‎ , p. 263 (lire en ligne)
  14. (en) Beatriz Schwantes Marimon, Jeanine M. Felfili, Christopher William Fagg, Ben Hur Marimon-Junior, Ricardo K. Umetsu, Claudinei Oliveira-Santos, Paulo S. Morandi, Herson S. Lima et André R.Terra Nascimentoe, « Monodominance in a forest of Brosimum rubescens Taub. (Moraceae): Structure and dynamics of natural regeneration », Acta Oecologica, vol. 43,‎ , p. 134-139 (DOI 10.1016/j.actao.2012.07.001)
  15. a et b (en) Beatriz Schwantes Marimon et Jeanine Maria Felfili, « Ethnobotanical comparison Of “Pau Brasil” (Brosimum Rubescens Taub.) forests in a Xavante Indian and a non-Xavante community in eastern Mato Grosso State, Brazil », Economic Botany, vol. 55,‎ , p. 555–569 (DOI 10.1007/BF02871718, lire en ligne)
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  17. (pt) Beatriz Schwantes Marimon, Jeanine Maria Felfili, Ben Hur Marimon Júnior, Augusto César Franco et Christopher William Fagg, « Desenvolvimento inicial e partição de biomassa deBrosimum rubescens Taub. (Moraceae) sob diferentes níveis de sombreamento », Acta bot. bras., vol. 22, no 4,‎ , p. 941-953 (lire en ligne)
  18. (pt) Marimon Júnior, Ben Hur, « Relação entre diversidade arbórea e aspectos do ciclo biogeoquímico de uma floresta monodominante de Brosimum rubescens Taub. e uma floresta mista no Leste Mato-grossense », Tese (Doutorado em Ecologia)-Universidade de Brasília, Brasília,‎ , p. 274 (lire en ligne)
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  20. (es) Max Alejandro Triana-Gómez, Gladis González Roso et Segundo Demetrio Paspur Posso, « ESTUDIO DE LAS PROPIEDADES MECÁNICAS DE LA MADERA DE PALOSANGRE (BROSIMUM RUBESCENS TAUB.), PROCEDENCIA: LETICIA, AMAZONAS », Revista Colombia Forestal, vol. 11,‎ , p. 149-164 (lire en ligne)
  21. P. Détienne, D. Fouquet et B. Parant, « les bois guyanais - propriétés et utilisation », Bois et Forêts des Tropiques, no 219 sépcial Guyane,‎ , p. 219-143 (lire en ligne)
  22. Ceci Sales-Campos, Basilio Frasco Vianez et Maria Silvia de Mendonça, « Estudo da variabilidade da retenção do preservante CCA tipo A na madeira de Brosimum rubescens Taub. Moraceae - (pau-rainha) uma espécie madeireira da região Amazônica » [« Retention ariability study of the timber preservative CCA type A on Brosimum rubescens Taub. Moraceae - (pau-rainha) wood »], Rev. Árvore, vol. 27, no 6,‎ (DOI 10.1590/S0100-67622003000600011)
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  25. (en) Osamu Shirota, Setsuko Sekita, Yutaka Hirayama, Yusuke Hakamata, Tatsuo Hayashi, Takuma Yanagawa et Motoyoshi Satake, « Two chalcone-prenylcoumarin diels-alder adducts from Brosimum rubescens », Phytochemistry, vol. 47, no 7,‎ , p. 1381-1385 (DOI 10.1016/S0031-9422(97)00761-9)
  26. (pt) MARTHA PATRICIA ALBA SANDOVAL et LUIS ENRIQUE CUCA SUÁREZ, « IDENTIFICACIÓN DE METABOLITOS SECUNDARIOS DE Brosimum rubescens (MORACEAE), DETERMINACIÓN DE ACTIVIDAD ANTIMALÁRICA », Scientia et Technica Año XIII, vol. 33,‎ , p. 129-131 (ISSN 0122-1701, lire en ligne)
  27. (es) Alenguer Alva, María Fachín-Espinar, Paolo López-Del Águila, Karina Arzubialdes et Wilfredo Gutiérrez, « ACTIVIDAD ANTIFUNGICA DEL EXTRACTO DE Brosimum rubescens (Palisangre) », II Encuentro Científico de la Amazonía Peruana Artículos Originales, vol. 2, no 2,‎ (DOI 10.22386/ca.v2i2.33, lire en ligne)
  28. Janio Martinez, Andrés Gomez, Cesar Ramirez, Jesús Gil et Diego Durango, « Controlling anthracnose by means of extracts, and their major constituents, from Brosimum rubescens Taub », Biotechnology Reports, vol. 25,‎ , e00405 (DOI 10.1016/j.btre.2019.e00405)
  29. (pt) Willian Hayasida, Maria da Paz Lima, Claudete Catanhede Nascimento et Antonio Gilberto Ferreira, « Resíduos madeireiros do alburno de pau-rainha (Brosimum rubescens): investigação de metabólitos secundários e alguns aspectos tecnológicos » [« Residues of sapwood of "pau-rainha" (Brosimum rubescens): investigation of secondary metabolites and some technological aspects »], Acta Amaz., vol. 41, no 2,‎ (DOI 10.1590/S0044-59672011000200014, lire en ligne)
  30. a et b Jean Baptiste Christian Fusée-Aublet, HISTOIRE DES PLANTES DE LA GUIANE FRANÇOISE, rangées suivant la méthode sexuelle, avec plusieurs mémoires sur les différents objets intéreſſants, relatifs à la culture & au commerce de la Guiane françoiſe, & une Notice des plantes de l'Iſle de France. volume II, Londres et Paris, P.-F. Didot jeune, Librairie de la Faculté de Médecine, quai des Augustins, (lire en ligne), p. 7-9
  31. Pierre Barrère, ESSAI SUR L'HISTOIRE NATURELLE DE LA FRANCE EQUINOXIALE. OU DÉNOMBREMENT Des Plantes, des Animaux, & des Minéraux, qui ſe trouvent dans l'Iſle de Cayenne, les Iſles de Remire, sur les Côtes de la Mer, & dans le Continent de la Guyane. AVEC Leurs noms differens, Latins, François, & Indiens, & quelques Obſervations ſur leur uſage dans la médecine et dans les arts., PARIS, PIGET, (lire en ligne [PDF])

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