Bias (Lot-et-Garonne)
Bias [bjas] est une commune du sud-ouest de la France, située dans le département de Lot-et-Garonne (région Nouvelle-Aquitaine).
Bias | |||||
Église Notre-Dame. | |||||
Blason |
|||||
Administration | |||||
---|---|---|---|---|---|
Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Lot-et-Garonne | ||||
Arrondissement | Villeneuve-sur-Lot | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération du Grand Villeneuvois | ||||
Maire Mandat |
Xavier Llopis 2023-2026 |
||||
Code postal | 47300 | ||||
Code commune | 47027 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Biassais | ||||
Population municipale |
2 971 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 239 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 25′ 02″ nord, 0° 40′ 12″ est | ||||
Altitude | Min. 42 m Max. 76 m |
||||
Superficie | 12,45 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Villeneuve-sur-Lot (banlieue) |
||||
Aire d'attraction | Villeneuve-sur-Lot (commune de la couronne) |
||||
Élections | |||||
Départementales | Canton de Villeneuve-sur-Lot-2 | ||||
Législatives | Troisième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Lot-et-Garonne
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
| |||||
Liens | |||||
Site web | http://www.mairie-de-bias.fr | ||||
modifier |
Géographie
modifierLocalisation
modifierCommune de l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot située dans son unité urbaine sur le Lot à quatre kilomètres à l'ouest de Villeneuve-sur-Lot.
Communes limitrophes
modifierLes communes limitrophes sont Lédat, Allez-et-Cazeneuve, Casseneuil, Pujols, Sainte-Colombe-de-Villeneuve, Sainte-Livrade-sur-Lot et Villeneuve-sur-Lot.
Hydrographie
modifierLa commune est traversée par le Lot et son affluent la Masse.
Climat
modifierHistoriquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Aquitaine, Gascogne, caractérisée par une pluviométrie abondante au printemps, modérée en automne, un faible ensoleillement au printemps, un été chaud (19,5 °C), des vents faibles, des brouillards fréquents en automne et en hiver et des orages fréquents en été (15 à 20 jours)[3].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 785 mm, avec 9,5 jours de précipitations en janvier et 6,8 jours en juillet[4]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Cancon à 13,72 km à vol d'oiseau[5], est de 13,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 852,4 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Bias est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Villeneuve-sur-Lot[Note 1], une agglomération intra-départementale regroupant treize communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 2],[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot, dont elle est une commune de la couronne[Note 3],[11]. Cette aire, qui regroupe 34 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[12],[13].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (74 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (87,5 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (48,4 %), zones urbanisées (18 %), terres arables (17,1 %), cultures permanentes (8,5 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (5,3 %), eaux continentales[Note 4] (2,7 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Risques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Bias est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à deux risques technologiques, le transport de matières dangereuses et la rupture d'un barrage[15]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[16].
Risques naturels
modifierCertaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment le Lot et la Masse de Pujol . La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1993, 1999, 2003 et 2009[17],[15].
Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des glissements de terrain et des tassements différentiels[18].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[19]. La totalité de la commune est en aléa moyen ou fort (91,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national)[Carte 2]. Depuis le , en application de la loi ELAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 5],[20].
Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989, 1991, 2003, 2005, 2009, 2011 et 2012 et par des mouvements de terrain en 1999[15].
Risque technologique
modifierLa commune est en outre située en aval des barrages de Grandval dans le Cantal et de Sarrans en Aveyron, des ouvrages de classe A[Note 6]. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture de cet ouvrage[22].
Toponymie
modifierLe toponyme est documenté sous les formes anciennes Bias (1264), Vias (1271)[23]…
Histoire
modifierLe nom ancien de la commune est Biars, que l'on lit dans un acte de 1265 des archives de l'évêché d'Agen (H 362), portant une transaction entre l'évêque et les abbés de Moissac et d'Eysses (Villeneuve-sur-Lot). Ce dernier se fait attribuer le quart de la dîme de la paroisse de Bias.
Le camp de Bias
modifierAvant la Deuxième Guerre mondiale et après la défaite de 1940, les travailleurs vietnamiens recrutés ou enrôlés de force au Vietnam au titre de la "contribution des colonies à l'effort de guerre" et envoyés en France pour travailler dans les usines (notamment les usines d'armement) vécurent dans l'ancien camp militaire situé au lieu-dit Paloumet dans la commune de Bias. Certains de ces Vietnamiens y furent détenus pour avoir exprimé leur sympathie pour les mouvements d'indépendance du Viêt Nam. Après la guerre, beaucoup préférèrent rester en France, mais la plupart d'entre eux sont rentrés au pays.
Deux ans après Dien Bien Phu et les accords de Genève de 1954, cet ancien camp militaire composé de longs baraquements exigus aux toits d'éverite a été réutilisé pour accueillir des rapatriés d'Indochine, la plupart d'origine vietnamienne ou eurasienne.
Les rapatriés du camp de Bias vivaient dans un confort particulièrement rudimentaire, de quelques aides accordées par l'État, de la cueillette des fruits et légumes (haricots verts, tomates) chez les agriculteurs de la vallée du Lot et du travail à la chaîne dans les conserveries locales (Casseneuil, Villeneuve-sur-Lot). Leurs enfants étaient scolarisés dans l'école installée dans deux bâtiments du camp par des instituteurs chevronnés et idéalistes.
Au début des années soixante, les derniers habitants de ce CARI (Camp d'Accueil des Rapatriés d'Indochine), devenu entre-temps CAFI (Camp d'Accueil des Français d'Indochine), durent quitter leurs logements pour s'installer dans différentes villes de la région (Villeneuve-sur-Lot, Agen, Bordeaux) ou au CAFI de Sainte-Livrade-sur-Lot, commune limitrophe où résident encore aujourd'hui, en partie dans de nouveaux logements, quelques familles et des vieillards d'origine vietnamienne.
En 1962, à la suite des accords d'Évian qui mirent fin à la guerre d'Algérie, le camp dans lequel habitaient auparavant les rapatriés d'Indochine accueillit des réfugiés harkis et leurs familles arrivant d'Algérie. Le camp de transit et de reclassement, qui devait être provisoire, dura plus de vingt ans. Après plusieurs manifestations de mécontentement de ses habitants et des marches de protestation contre leurs conditions de vie et le manque de considération dont ils faisaient l'objet, certaines familles quittèrent le camp. La plupart des anciens bâtiments devenus vétustes et insalubres furent détruits et à la place furent construits de modestes pavillons sociaux où habitent aujourd'hui plusieurs familles de la communauté harkie, dont la famille de la chanteuse Chimène Badi.
Héraldique
modifierBlason | Taillé : au premier d'azur plain, au second de gueules à la croix cléchée, vidée et pommetée de douze pièces d'or ; à la barre d'argent chargée de trois oiseaux volant de sable, brochant sur la partition[24]. |
|
---|---|---|
Détails | Le statut officiel du blason reste à déterminer. |
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierDémographie
modifierL'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1936. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[28]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2004[29].
En 2021, la commune comptait 2 971 habitants[Note 7], en diminution de 2,97 % par rapport à 2015 (Lot-et-Garonne : −0,66 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
Économie
modifierLieux et monuments
modifier- Monument aux morts par le sculpteur Antoine Bourlange[32].
- Château de Favols, inscrit au titre des monuments historiques en 1981[33], extension à la totalité du bâtiment et aux abords en décembre 2015.
- Domaine de Senelles, inscrit au titre des monuments historiques en 2012[34].
-
Monument aux morts.
-
Domaine de Senelles
-
Château de Favols.
- Église Notre-Dame. Elle est inscrite à l'Inventaire général du patrimoine culturel[35].
Vie locale
modifierEnseignement
modifierCulture et festivités
modifierSports
modifierClub de rugby à XIII : le Loustalet-Bias XIII.
Personnalités liées à la commune
modifier- François Peltier, (1955-), artiste peintre français.
- Chimène Badi (1982-) y a vécu son enfance.
Voir aussi
modifierArticles connexes
modifier- Camps de transit et de reclassement pour les harkis
- Auriolles Festival
- Liste des communes de Lot-et-Garonne
- Anciennes communes de Lot-et-Garonne
- Harki
Liens externes
modifierNotes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Une unité urbaine est, en France, une commune ou un ensemble de communes présentant une zone de bâti continu (pas de coupure de plus de 200 mètres entre deux constructions) et comptant au moins 2 000 habitants. Une commune doit avoir plus de la moitié de sa population dans cette zone bâtie.
- Dans une agglomération multicommunale, une commune est dite de banlieue lorsqu'elle n'est pas ville-centre, à savoir que sa population est inférieure à 50 % de la population de l’agglomération ou de la commune la plus peuplée. L'unité urbaine de Villeneuve-sur-Lot comprend une ville-centre et douze communes de banlieue.
- La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
- Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
- Dans les zones classées en aléa moyen ou fort, différentes contraintes s'imposent :
- au vendeur d'informer le potentiel acquéreur du terrain non bâti de l’existence du risque RGA ;
- au maître d’ouvrage, dans le cadre du contrat conclu avec le constructeur ayant pour objet les travaux de construction, ou avec le maître d'œuvre, le choix entre fournir une étude géotechnique de conception et le respect des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire ;
- au constructeur de l'ouvrage qui est tenu, soit de suivre les recommandations de l’étude géotechnique de conception, soit de respecter des techniques particulières de construction définies par voie réglementaire.
- Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[21].
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le ).
Références
modifier- Carte IGN sous Géoportail
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Orthodromie entre Bias et Cancon », sur fr.distance.to (consulté le ).
- « Station Météo-France « Cancon » (commune de Cancon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Station Météo-France « Cancon » (commune de Cancon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
- « La grille communale de densité », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « Unité urbaine 2020 de Villeneuve-sur-Lot », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune de Bias ».
- « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Villeneuve-sur-Lot », sur le site de l'Insee (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur le site de l'Insee, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Bias », sur Géorisques (consulté le ).
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le ).
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque inondation.
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Mouvements de terrain.
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le ).
- « Sols argileux, sécheresse et construction », sur www.ecologie.gouv.fr (consulté le ).
- Article R214-112 du code de l’environnement
- « Dossier départemental des risques majeurs de Lot-et-Garonne », sur www.lot-et-garonne.gouv.fr (consulté le ), chapitre Risque rupture de barrage.
- Bénédicte Boyrie-Fénié, avec la collaboration d’André Bianchi, Pèire Boissière, Patrice Gentié et Maurice Romieu, Dictionnaire toponymique des communes - Lot-et-Garonne, Pau, Éditions Cairn, , 320 p. (ISBN 978-2-35068-231-0)..
- Armorial de France
- Bias perd son maire [1], sur ladepeche.fr (article du 22 août 2000)
- « Jean-Pierre Seuves à Bias », Sud Ouest édition Dordogne/Lot-et-Garonne, , p. 19.
- Décès en cours de mandat, « Lot-et-Garonne : la commune de Bias sous le choc après la disparition subite du maire Jean-Pierre Seuves », ladepeche.fr, 27 décembre 2022
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- « Inventaire général : Monument aux morts de la guerre 1914-1918 dit La Victoire », notice no IA47001801, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Château de Favols », notice no PA00084076, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Domaine de Senelles, dit " Maison des Assiettes " », notice no PA47000084, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
- « Eglise paroissiale Notre-Dame », sur www.pop.culture.gouv.fr (consulté le ).