Villotte-sur-Aire

commune française du département de la Meuse

Villotte-sur-Aire
Villotte-sur-Aire
L'entrée du village en venant de Gimécourt.
Blason de Villotte-sur-Aire
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meuse
Arrondissement Commercy
Intercommunalité Communauté de communes De l'Aire à l'Argonne
Maire
Mandat
Nathalie Meunier
2020-2026
Code postal 55260
Code commune 55570
Démographie
Population
municipale
217 hab. (2021 en augmentation de 14,21 % par rapport à 2015)
Densité 16 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 51′ 35″ nord, 5° 20′ 32″ est
Altitude Min. 257 m
Max. 362 m
Superficie 13,96 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Dieue-sur-Meuse
Législatives Première circonscription
Localisation
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Villotte-sur-Aire
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Villotte-sur-Aire

Villotte-sur-Aire est une commune française de Lorraine située dans le département de la Meuse, en région Grand Est. Communément appelé Villotte, ce village est entouré de Gimécourt au sud, de Ville-devant-Belrain et de Nicey-sur-Aire au nord.

Géographie modifier

Données modifier

  • Surface : 13,96 km2 (1 396 hectares)
  • Altitude minimum : 257 m
  • Altitude maximum : 362 m
  • Altitude moyenne : 310 m
  • Altitude de la mairie : 270 m
  • Coordonnées géographiques sexagésimales (WGS84) :
    • Latitude : 48° 51' 33 nord
    • Longitude : 05° 20' 31 est
  • Coordonnées géographiques décimales :
    • Latitude : 48.859 degrés (48.859° nord)
    • Longitude : 5.342 degrés (5.342° est)
  • Coordonnées en Lambert 93 du chef-lieu :
    • X : 8 718 hectomètres
    • Y : 68 647 hectomètres

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[2].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 030 mm, avec 13,9 jours de précipitations en janvier et 9,8 jours en juillet[1]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Chaumont_sapc », sur la commune de Chaumont-sur-Aire à 10 km à vol d'oiseau[3], est de 10,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 850,0 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 41,1 °C, atteinte le ; la température minimale est de −15,5 °C, atteinte le [Note 1],[4],[5].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[6]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Villotte-sur-Aire est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[8],[9],[10]. La commune est en outre hors attraction des villes[11],[12].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (67,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (68 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (46,4 %), forêts (30,1 %), prairies (21 %), zones urbanisées (2,4 %)[13]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Village qui s'est appelé Villotte-devant-Belrain, puis Villotte-devant-Saint-Mihiel. Le nom "Villotte" est un diminutif du terme "ville" au sens ancien de « domaine rural » ou « village ».

Histoire modifier

Avant 1790, Villotte dépendait :

Actuellement : archiprêtré et arrondissement de Commercy. Doyenné et canton de Pierrefitte.

Durant la Première Guerre mondiale, Villotte, de par sa proximité avec le front du Saillant de Saint-Mihiel, est devenu un village de garnison. Pendant toute la durée des hostilités, le village a accueilli un nombre important d'unités combattantes ainsi qu'un important dispositif sanitaire, puisqu'au fil des ans le service de santé des armées a mis en place un hôpital de campagne qui comportait, en 1918, près de 450 lits.

Dimanche . C'est dans un village abandonné par ses habitants que se déroulent de farouches combats entre les troupes allemandes et les troupes françaises qui tentent désespérément de traverser la Meuse. Bombardé par l'artillerie allemande, une partie du village est détruite. À leur retour d'exode, les habitants ne pourront que constater les dégâts matériels considérables. Sur les 120 habitations qui constituaient à l'époque le village, 31 étaient totalement détruites et 12 endommagées mais réparables. À la Libération, Villotte figurait sur la liste des 55 communes sinistrées de la Meuse.

Du au , au lieu-dit Au Cimetière , des fouilles effectuées pour le compte de la Direction des Antiquités Historiques de Lorraine ont permis la mise au jour d'une nécropole et d'une dizaine de fosses d'habitat qui semblaient appartenir à la période gallo-romaine précoce. Ces vestiges avaient été révélés lors de labours profonds.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
1664 1667 Marc Viard    
1695 1695 Claude Collin    
1710 1710 Fery Viard    
1736 1752 Nicolas Montardier    
1752 1752 Nicolas Hardy    
1753 1768 Nicolas Montardier    
1769 1769 Didier Billoz    
1769 1784 Dominique Herbillon    
1787 1787 Nicolas Montardier    
1788 1788 Didier Thiebaud    
1788 1789 Nicolas Varnusson    
1792 1794 Christophe Mercier    
1801 1801 Nicolas Montardier    
1804 1806 Étienne Millot    
1809 1809 Nicolas Montardier    
1810 1810 Étienne Millot    
1810 1813 Jean Joseph Rampont    
1813 1813 Étienne Millot    
1814 1814 Jean Montardier    
1815 1821 Jean Nicolas Varnusson    
1821 1831 Étienne Millot    
1831 1838 Benoît Badier    
1838 1843 Claude Hardy    
1843 1855 Benoît Badier    
1855 1871 Étienne Adolphe Raulx   Conseiller général du canton de Pierrefitte-sur-Aire (1880-1886)
1871 1876 Claude Nicole Bouquet    
1876 1884 Étienne Adolphe Raulx   Conseiller général du canton de Pierrefitte-sur-Aire (1880-1886)
1884 mai 1908 Alexandre Louis Devilliers    
mai 1908 décembre 1919 Charles Edmond Lalmand    
décembre 1919 avril 1930 René Leblan    
avril 1930 octobre 1949 Gustave Hubert Saintin    
octobre 1949 mai 1950 Jean Polmard    
mai 1950 mai 1959 Gaston Polmard    
mai 1959 mars 1971 Pol Leblan    
mars 1971 janvier 1973 Charles Ruzé    
janvier 1973 février 1986 Jean Decheppe Droite Conseiller Général du Canton de Pierrefitte-sur-Aire (1970-1985)
février 1986 janvier 1988 Bernard Dedieu    
janvier 1988 février 1988 Maurice Polmard    
mars 1988 février 2001 Ernest Rimlinger Droite  
mars 2001 avril 2007 Michel Jeanvoine PS  
avril 2007 En cours
(au 17 avril 2014)
Nathalie Meunier    

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[14]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[15].

En 2021, la commune comptait 217 habitants[Note 3], en augmentation de 14,21 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
380413418439469515528527525
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
517485461399381335338337313
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
289289268247213212210182190
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2008 2013
166139317340215209190184193
2018 2021 - - - - - - -
205217-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[16] puis Insee à partir de 2006[17].)
Histogramme de l'évolution démographique

Économie modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Église et Statue de Jeanne d'Arc.
  • Une statue de Jeanne d'Arc est érigée sur la place centrale.

La statue de cette sainte et héroïne nationale, symbole, après la défaite de 1870, de la patrie que l'on défend, a été offerte à la commune par deux de ses enfants, les abbés Jean-Baptiste et François Victor Raulx et fait office de monument aux morts du village.

  • Église Saint-Ludmer ou Lumier, datée de 1762, date de sa reconstruction.

L’église de Villotte placée sous le vocable de saint Lumier[18], patron de la paroisse, réparée plusieurs fois en 1694 et en 1710 (Arch. Dép. cote 4H88) a été reconstruite en 1762. Dominant le village, elle est érigée sur un tertre, tout comme les dolmens qui, à l’époque du culte druidique, surplombaient les lieux environnants ; ne dit-on pas que c’est sur la montagne sacrée que la parole fut révélée ? On accède au parvis et à l’ancien cimetière par un escalier en pierre de dix marches, autrefois encadré de deux pilastres surmontés chacun d’un pinacle. Ces deux éléments ont aujourd’hui disparus, probablement détruits lors du bombardement de 1940.

Sans style particulier et sans réelle valeur du point de vue archéologique, son implantation et son orientation ne sont pas dus au hasard mais relèvent du symbolisme médiéval et sont conformes aux constitutions apostoliques. En effet, depuis des temps reculés, sauf rares exceptions, l’Église catholique romaine oriente ses églises suivant un axe allant du levant au couchant du soleil. Le chœur de l’église de Villotte, comme pour toutes les anciennes églises, est orienté vers la lumière, vers le point du lever du soleil au jour de l’anniversaire du saint à qui est dédié le sanctuaire.

Le porche franchi, on entre de plain-pied dans la nef par une large porte orientée à l’ouest et couverte par les boiseries de la tribune sur laquelle, jadis, étaient installées les orgues (voir plus loin le paragraphe concernant cet instrument). De là s’offre au regard une perspective d’ensemble de l’intérieur de l’église. Celle-ci est donc constituée d’une nef rectangulaire divisée en quatre travées avec voûte en plein cintre supportée par des colonnes monolithes à chapiteaux, de deux bas-côtés et d’un transept non saillant. Le baptistère est placé sur le côté nord, près de l’entrée de la nef ; celui qui veut entrer dans les voies de la religion chrétienne, qui vient du monde des ténèbres – le nord – doit être baptisé, purifié, avant de connaître l’embrasement de la lumière. Au sol, une sorte de pavé mosaïque noir et blanc symbolise les joies et les peines. Les dalles blanches signifiant les pensées et les actes faits pour l’amour de Dieu et les bonnes actions, les dalles noires pour les mauvaises. Le sol des bas-côtés est, quant à lui, recouvert de grandes dalles de pierre. Le chœur, auquel on accède par deux marches est prolongé par une abside semi-circulaire, l’ensemble a été reconstruit et allongé vers 1845. Autrefois, le chœur et la nef étaient séparés par une petite grille (autrefois appelée "prône") qui a disparu au cours des ans. Le maître-autel, surélevé de trois marches, symbole de la Sainte Trinité - le Père, le Fils et l’Esprit Saint - est surmonté de deux anges en adoration. Sur les murs de l’abside, on peut voir de simples panneaux de chêne qui constituent le mobilier. L’ensemble de l’édifice est éclairé par des fenêtres romanes ébrasées. Les vitraux, ne sont plus d’origine. Détruits, lors du bombardement de , ils ont été remplacés en plusieurs étapes à partir de 1947. À l’extérieur, entre chaque fenêtre, de part et d’autre du bâtiment, les murs en pierres sont consolidés par trois épais contreforts destinés à contenir la poussée des voûtes. Dans le transept, près du mur du collatéral nord, se trouve un autel dédié à saint Joseph. À l’opposé, également dans le transept, près du mur du collatéral Sud, on peut voir un autre autel dédié à la Vierge Marie. Cet autel est surmonté par un tabernacle en pierre sur lequel repose une statue très ancienne, retrouvée dans le cimetière, et qui fut restaurée en 1956 par M. Leroy, sculpteur à Chauvoncourt, et qui provient très probablement de l’ancienne église. Au pied, on peut voir une dalle funéraire, en marbre noir, gravée en l’honneur de l’abbé Nicolas-Basile Laviron décédé le et dont le cœur repose dans la table de marbre de l’autel. On peut y voir un cœur enflammé avec, de part et d’autre, un ange en adoration.

Quant au clocher carré, massif, il est néanmoins intéressant par sa rustique simplicité. Sa flèche, symbole de l’élan de l’âme des fidèles, de la foi qui s’élève vers Dieu, est surmontée d’un coq. Composé de plusieurs pièces de cuivre ou de tôles martelées et soudées, cet animal, emblème chrétien de la vigilance et de la prière, est le symbole universel de la lumière naissante puisqu’il annonce par son chant matinal le lever du jour. C’est aussi le coq gaulois, symbole le l’appartenance à la nation française. Celui de Villotte a connu plusieurs mésaventures. Le premier a été arraché en même temps que la flèche, en 1915, par un ballon dirigeable allemand et remplacé en 1920. Après 81 ans de bons et loyaux services il était nécessaire d’intervenir à nouveau et c’est en juin 2001 qu’un nouveau coq a été installé.

Au pied du clocher, dans le porche, subsistent encore, gravées dans le marbre et la pierre, quelques pages de l'histoire de cette église. Dans un angle, face à l'entrée de la nef, on remarque :

Un buste en fonte sur un socle de pierre, datant de 1938, élevé à la mémoire de monseigneur Emile-Christophe Enard.

Une plaque de l'ancienne église, datée 1750, dont voici le retranscription : "Anne Hardy fille de Jean Hardy et de Françoise Pierrot vivants habitants de cette paroisse a fondé deux messes hautes l'une du très Saint-Sacrement à dire annuellement et à perpétuité chaque jeudy de chacun mois de l'année à la fin de laquelle se doit donner la bénédiction, et le lendemain l'autre messe haute de requiem pour le repos de son âme et de celle de ses père mère et parents, de laquelle fondation il est passé acte pardevant Me. Hannecart et son confrère notaires entre Me. Miedard advocat es siège de Bar son exécuteur testamentaire et les fabriciens de cette église le 5 aoust 1750.

Dans le porche, également, contre le mur sud, face à l'entrée, se trouve un monument funéraire rappelant l'obit fait, en 1724, par Jean Pierrot et Lucie Collignon, de douze messes annuelles du Saint-Sacrement. Ce monument, datant également de l'ancienne église, est surmonté de deux anges en adoration devant le Saint-Sacrement exposé ; au soubassement, on y voit les insignes de la mort (2 os entrecroisés surmonté d'un crâne).

Dans ce même clocher, tout en haut, dans l’enchevêtrement des poutres, on trouve celles qui ponctuent le rythme de la vie du village, qui annoncent les événements, tristes ou joyeux, qui invitent à la prière, qui signalent les dangers et les incendies, ce sont les cloches. Elles sont mises en place, l’ensemble pesant un peu plus de deux tonnes, le de 1885 :

Sous l’apostolat de l’abbé Quetsch, Curé de Villotte.
Sous l’administration de MM. : Me
Raulx Adolphe, Conseiller Général.
Devilliers Alexandre, Maire de Villotte.
Thirion Jules, Adjoint.
Les Conseillers Municipaux : A.Enard, C.Lalmand, C.Chaillon, C.Thirion, M.François, T.Nicolas.
La plus petite se nomme VICTORIA.
Parrain : E.ENARD DN.GONDRECOURT.
Marraine: V.HENRION, EP. C.THIRION.
La moyenne a pour nom VICTORINE.
Parrains : G.VILLAUME / R.LARCHER.
Marraine: V.THIRION, Vve. H.MAGINOT
La grosse porte le nom de FLORENTINE.
Parrain : J-B.RAULX DN. VAUCOULEURS.
Marraine: F.THONIN, Vve. E.MILLOT

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
D'argent à la croix enhendée de gueules, au chef d'azur chargé de trois fleurs de lys d'or et à la champagne ondée d'azur.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Souvenirs de Villotte - Histoires et anecdotes d'un village Meusien par René Ripot (2007)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  2. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  3. « Orthodromie entre Villotte-sur-Aire et Chaumont-sur-Aire », sur fr.distance.to (consulté le ).
  4. « Station Météo-France « Chaumont_sapc », sur la commune de Chaumont-sur-Aire - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  5. « Station Météo-France « Chaumont_sapc », sur la commune de Chaumont-sur-Aire - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  12. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  14. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  15. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  16. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  17. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  18. Saint-Lumier : Évêque de Châlons vers 580, successeur de son frère Saint-Elaphe, est né à Limoges en 545 en pleine période mérovingienne. Canonisé le 15 novembre 1062 par l’évêque Roger II. Ses reliques, ou du moins ce qu'il en reste après profanation lors de la Révolution, ont été déposées en la cathédrale Saint-Étienne de Châlons.