Tréhorenteuc

commune française du département du Morbihan

Tréhorenteuc
Tréhorenteuc
La mairie de Tréhorenteuc en 2019
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Bretagne
Département Morbihan
Arrondissement Pontivy
Intercommunalité Ploërmel Communauté
Maire
Mandat
Michel Gortais
2020-2026
Code postal 56430
Code commune 56256
Démographie
Gentilé Tréhorenteucois
Population
municipale
114 hab. (2021 en diminution de 2,56 % par rapport à 2015)
Densité 21 hab./km2
Population
agglomération
5 592 hab.
Géographie
Coordonnées 48° 00′ 32″ nord, 2° 17′ 16″ ouest
Altitude 93 m
Min. 69 m
Max. 155 m
Superficie 5,42 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Ploërmel
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ploërmel
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Tréhorenteuc
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Tréhorenteuc

Tréhorenteuc [tʁeɔʁɑ̃tœk] est une commune française située dans le département du Morbihan, en région Bretagne et à la frontière avec l'Ille-et-Vilaine.

Avec à peine plus de 100 habitants, c'est la deuxième plus petite commune de son département. Terre d'agriculture, Tréhorenteuc subit un important exode rural au cours du XXe siècle, mais aussi un fort accroissement de sa fréquentation touristique grâce à la légende arthurienne. Après 1942, l'abbé Gillard restaure l'église communale qui se fait connaître sous le nom de « chapelle du Graal », et fait visiter le Val sans retour.

En 1996, la commune a obtenu le Label "Communes du Patrimoine Rural de Bretagne" pour la richesse de son patrimoine architectural et paysager[réf. nécessaire].

Géographie modifier

Communes limitrophes de Tréhorenteuc
Néant-sur-Yvel
  Paimpont
Ille-et-Vilaine
Loyat Campénéac

La commune de Tréhorenteuc s'étend sur 542 hectares, pour une altitude de 92 mètres au niveau du bourg[1]. Elle touche la forêt de Paimpont, assimilée à la légendaire forêt de Brocéliande. La proximité d'un site populaire de cette forêt, le Val sans Retour (qui doit son nom à la fée Morgane), en a fait une destination touristique prisée. Tréhorenteuc est entourée de landes et des collines du Val sans retour, dont les plus élevées culminent à 240 et 256 mètres[1]. Les pierres de schiste rouge typique de cette région de Bretagne s'y trouvent en abondance[2], particulièrement à la carrière située au lieu-dit la Troche.

Hydrographie modifier

Trois ruisseaux traversent la commune. La Grenouillère et le Rauco proviennent de la forêt de Paimpont, le ruisseau des Rouliers prend source à Pertuis-Néanty. Ils se rejoignent près de la commune et se jettent plus loin dans l'Yvel, à hauteur de Néant-sur-Yvel[2].

Quartiers et lieux-dits modifier

La commune compte plusieurs quartiers : le Pâtis, les Ruées, le Gué Ronçin, les Vignes, Gautro et Rue neuve, ainsi que le village la Touche-Robert, et des hameaux ou lieux-dits qui en dépendent : Trébotu, la Troche, le Terrier, le Val aux Fauvettes, la Tenue, le Champ au Mur, Bellevue et le Mazerin[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique franc, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Bretagne orientale et méridionale, Pays nantais, Vendée, caractérisée par une faible pluviométrie en été et une bonne insolation[4]. Parallèlement l'observatoire de l'environnement en Bretagne publie en 2020 un zonage climatique de la région Bretagne, s'appuyant sur des données de Météo-France de 2009. La commune est, selon ce zonage, dans la zone « Intérieur Est », avec des hivers frais, des étés chauds et des pluies modérées[5].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 827 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 6,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Ploërmel à 12 km à vol d'oiseau[6], est de 12,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 767,2 mm[7],[8]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[9].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Tréhorenteuc est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[10],[11],[12].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Ploërmel, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 19 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[13],[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (62 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (61,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (38,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (22,7 %), forêts (15,3 %), prairies (14,5 %), zones agricoles hétérogènes (9,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la commune est attesté sous la forme Trehorentuc en 1330, Tregaranteuc et Treharanteuc en 1444[16].

Le nom de Tréhorenteuc est un toponyme d'origine britonnique : les noms en « Tré » désignent des exploitations agricoles en vieux breton. Leurs sens a par la suite évolué pour désigner une subdivision paroissiale[17]. D'après la communauté de communes de Mauron en Brocéliande, qui ne cite pas ses sources, ce nom signifierait « pays de la charité »[18]. D'après Jacky Ealet, la commune est historiquement connue sous un autre nom, « Trégarantec », qui signifierait « l'habitation aimable »[19].

En gallo, langue parlée historiquement sur le territoire de la commune, le nom est Téurhenteu[20]. La forme bretonne proposée par l'Office public de la langue bretonne est Trec'horanteg[21].

Histoire modifier

L'occupation du territoire de Tréhorenteuc remonte du Néolithique à l'âge du bronze, comme en témoignent les monuments mégalithiques des environs[22]. Une église aurait été fondée au VIIe siècle, pour concurrencer le centre druidique de la Butte-aux-Tombes[18]. La commune reste très longtemps rurale : elle ne possède aucune route en macadam jusque dans les années 1950[23], et si l'électrification du bourg central est décidée le 26 mai 1929, il faut attendre 1942 pour que les finances communales permettent aux habitants d'avoir l'électricité chez eux[24].

Construction de l'économie touristique modifier

 
La grande mosaïque de l'Église Sainte-Onenne de Tréhorenteuc

Après les années 1940, l'histoire de Tréhorenteuc se mêle à la légende arthurienne. Par son action, l'abbé Gillard popularise la mystique du Val sans retour, notamment à travers sa célèbre expression « la porte est en dedans »[25]. Percevant la beauté du lieu et le potentiel de la légende arthurienne christianisée[26], dès 1943, il fait éditer à ses frais de petits guides de visite aux « éditions du Val »[27]. Son sens de la communication et sa personnalité construisent la notoriété de ce petit village, qui attire dès lors des visiteurs depuis toute la France. L'abbé Gillard assiste dans le même temps au déclin de l'économie agricole et à un exode rural massif. En favorisant le tourisme, il permet à la commune de trouver de nouveaux débouchés[28]. Moins qu'un lieu de culte, l'église Sainte-Onenne devient un centre culturel, « faute d'habitants »[29], où l'on peut aujourd'hui admirer une belle mosaïque, le « Cerf blanc » réalisée en 1955 par Jean Delpech d'après un dessin d'Odorico, et un grand vitrail présentant des éléments majeurs de la légende arthurienne.

Dans les années 1970 et 1980, plusieurs actions de valorisation du patrimoine sont menées dans ce sens[28]. La création de l'"Association de sauvegarde du Val sans retour", en 1979, vise à nettoyer les abords du village pour éloigner les risques d'incendie. En 1990 est érigé l'Arbre d'Or à l'entrée du Val sans retour. En 2000, la mairie est rénovée et une salle des fêtes est créée dans l'ancienne école[30].

Une statue en bronze de l’abbé Gillard a été placée le devant l’église du Graal à Tréhorenteuc ; elle a été volée le [31].

Politique et administration modifier

Située dans le département du Morbihan en région Bretagne, Tréhorenteuc se rattache au canton de Mauron et à l'arrondissement de Vannes. Un tiers de sa limite communale forme une frontière avec le département voisin d'Ille-et-Vilaine [1].

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
avant 1988 23 mai 2020 Michel Jallu Apparenté PCF  
23 mai 2020 En cours
(au 30 mai 2020)
Michel Gortais[32]   2e adjoint de son prédécesseur

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[33]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[34].

En 2021, la commune comptait 114 habitants[Note 3], en diminution de 2,56 % par rapport à 2015 (Morbihan : +3,21 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
150201234240232256265278239
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
212219232217211226230244245
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
241227218230231215189188162
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
157142110109126117112110110
2015 2020 2021 - - - - - -
117113114------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[35] puis Insee à partir de 2006[36].)
Histogramme de l'évolution démographique

C'est la commune la moins peuplée du Morbihan, avec 112 habitants recensés en 2005[1]. Comme l'explique Jacky Ealet, la fréquentation touristique a augmenté avec le lien de la commune à la légende arthurienne, tandis que les usages agricoles ont reculé et avec eux, le nombre des habitants[37].

Enseignement modifier

La commune a longtemps disposé d'un établissement scolaire, installé le 12 aout 1796 dans le presbytère. Malgré la pénurie d'enseignants, il se maintient et passe même par un déménagement dans un bâtiment mixte, construit en 1882 pour servir à la fois d'école et de mairie. L'exode rural et le désenclavement de la commune ont finalement entraîné la fermeture de l'école primaire en 1986, alors qu'il ne reste plus que 7 enfants scolarisés[38]. Ces enfants suivent désormais l'enseignement primaire dans la commune voisine de Néant-sur-Yvel[39].

Santé modifier

Il n'existe aucun médecin généraliste et aucune pharmacie à Tréhorenteuc, les plus proches se trouvant dans les villages voisins de Néant-sur-Yvel et Campénéac.

Économie modifier

La commune est essentiellement tournée vers le tourisme[1] ; elle possède notamment un office de tourisme qui dessert tout le canton et plusieurs gîtes ruraux. Une halle d'accueil est destinée à recevoir les visiteurs, et l'ancien presbytère est aménagé pour recevoir des randonneurs. Toute l'année, de nombreux groupes scolaires et des autocaristes sont de passage[30].

Culture et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Manoir des Rues-Neuves modifier

 
Le manoir des Rues-Neuves.

Le manoir des Rues-Neuves[40] ou château de Gerwan dont on peut associer le nom à celui d'un prince breton du IXe siècle. Restauré depuis son inscription au titre des monuments historiques, ce manoir est lié à plusieurs légendes de la forêt de Brocéliande et a servi de décor pour un téléfilm avec Jean Markale.
Ce bâtiment présente une double porte charretière et piétonne. Il est aussi accosté d’une tourelle d’escalier polygonale. Une loggia donne accès à la cour. Dans cette cour, une belle porte moulurée du XVIe siècle se mélange parmi les bâtiments de la ferme.

Jardin aux Moines modifier

 
Le Jardin aux Moines.

Le Jardin aux Moines est un site mégalithique, au croisement de la route menant à Mauron et de celle reliant Paimpont à Néant-sur-Yvel. Il est rattaché à cette dernière commune, mais sa légende l'associe au vil seigneur Gastern de Tréhorenteuc. Menant une chasse le jour de la Toussaint, ce mauvais seigneur aurait été pétrifié et changé en pierres blanches avec son équipage, et les moines corrompus qui l'accompagnent. Ce tertre néolithique mesure 25 sur 6 mètres, et remonte à une période située entre 3 000 et 2 000 ans av. J.-C. Les fouilles ont révélé des céramiques et des pointes de flèche en silex[41].

Val sans retour modifier

Le Val sans retour est un prolongement naturel du massif forestier de Paimpont, dont l'entrée est située près de Tréhorenteuc. À l'origine, il porte le nom de val de Rauco et sert de lieu de pacage pour les animaux. La localisation du légendaire Val sans retour, domaine de la fée Morgane dans la légende arthurienne, s'y substitue vers 1850[Note 4]. Des poteaux indicateurs placés durant la seconde moitié du XIXe siècle entérinent cette nouvelle identité[42], que Félix Bellamy fixe définitivement dans les années 1890[43]. Le Val sans retour, situé administrativement dans le département d'Ille-et-Vilaine, compte différents points d'intérêt comme la création artistique l’Arbre d'Or, le site mégalithique dit Hotié de Viviane ou Tombeau des druides, le siège de Merlin ou Roche Dentelée (une roche sculptée par l'érosion).

Église Sainte-Onenne ou chapelle du Graal modifier

 
L'église Sainte-Eutrope Sainte-Onenne de Tréhorenteuc aussi nommée « Église du Graal ».

Tréhorenteuc possède une église unique en son genre, dont la restauration et la popularité découlent de l'action de l'abbé Gillard. Alors que l'édifice est en ruine, l'abbé est envoyé dans ce petit édifice en pleine campagne en 1942, en raison de conflits avec sa hiérarchie[28]. Il restaure l'église à ses frais. Le premier vitrail dit « de la Table ronde » est réalisé et posé en 1943 par le peintre verrier nantais Henri Uzureau. En 1945, l'abbé est aidé par deux prisonniers allemands, l'ébéniste Peter Wissdorf, qui fabrique les bancs et la voûte en coque de bateau ainsi qu'un artiste peintre, Karl Rezabeck, qui réalise quatre tableaux représentant à la fois le monde celte, la légende arthurienne et le christianisme. Dans cette église, les vitraux, les tableaux et la mosaïque du Cerf blanc au collier d'or (le cernunnos des Celtes), entouré par quatre lions (symbolisant les Quatre évangélistes) créée par l'artiste contemporain Jean Delpech, représentent des éléments de ces trois mondes que l'abbé veut en harmonie. Pour cela, il trouve un tronc commun entre ces trois mondes, qui est le Graal. Ce dernier est fréquemment représenté, c'est pourquoi l'église porte aussi le nom de chapelle du Graal. Elle est dédiée à sainte Onenne[44].

Personnalités liées à la commune modifier

Henri Gillard, le recteur de Tréhorenteuc qui a reconstruit l'église, est sans conteste la personnalité la plus marquante de la commune. Réhabilité par sa hiérarchie, il fut enterré en 1979 sous l'église qu'il avait restaurée[28]. Il a écrit un grand nombre d'ouvrages[45].

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  4. M. Cayot Delandre cite le Val sans retour dans le chapitre consacré à Tréhorenteuc, dans le livre Le Morbihan, son histoire et ses monuments paru en 1847. Il est certain que le Dictionnaire historique et géographique de la province de Bretagne, paru en 1853, place le Val sans retour près de Tréhorenteuc et non plus de Paimpont.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b c d et e Ealet 2008, p. 8.
  2. a b et c Ealet 2008, p. 7.
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  5. « Les zones climatiques en Bretagne. », sur bretagne-environnement.fr, (consulté le ).
  6. « Orthodromie entre Tréhorenteuc et Ploërmel », sur fr.distance.to (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Ploërmel » (commune de Ploërmel) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Station Météo-France « Ploërmel » (commune de Ploërmel) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  9. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  10. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  12. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  13. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Ploërmel », sur insee.fr (consulté le ).
  14. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Corine Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  16. Hervé Abalain, Noms de lieux bretons - Page 109, Editions Jean-paul Gisserot, (ISBN 2877474828).
  17. Jean-Yves Le Moing, Les noms de lieux bretons de Haute-Bretagne, Coop Breizh, (ISBN 2-903708-04-5 et 978-2-903708-04-7, OCLC 236056804, lire en ligne), p. 190
  18. a et b « Tréhorenteuc » (consulté le ).
  19. Ealet 2008, p. 33.
  20. Erwan Vallerie, Diazezoù studi istorel an anvioù-parrez = Traité de toponymie historique de la Bretagne, An Here, (ISBN 2-86843-153-4 et 978-2-86843-153-0, OCLC 63764620), p. 225
  21. Office public de la langue bretonne, Liste officielle des formes normalisées des communes de Bretagne, page 25 Office public de la langue bretonne
  22. Ealet 2008, p. 14.
  23. Ealet 2008, p. 83.
  24. Ealet 2008, p. 99.
  25. Ealet 2008, p. 146.
  26. Ealet 2008, p. 148.
  27. Ealet 2008, p. 149.
  28. a b c et d Ealet 2008, p. 11.
  29. Gillard 1971, p. 4.
  30. a et b Ealet 2008, p. 12.
  31. « Tréhorenteuc. La statue de l'abbé Gillard a été volée », sur Journal Ouest-France, (consulté le ).
  32. « Municipales à Tréhorenteuc. Les élections du maire Michel Gortais et des adjoints, en famille », sur Ouest-France, (consulté le ).
  33. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  34. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  35. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  36. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  37. Ealet 2008, p. 166.
  38. Ealet 2008, p. 85-89.
  39. Ealet 2008, p. 91.
  40. Architecture de Tréhorenteuc - Base Mérimée
  41. Jacques Briard, Dolmens et menhirs de Bretagne, Paris, éditions Jean-Paul Gisserot, , 64 p. (ISBN 2-87747-042-3 et 978-2877470421, lire en ligne), p. 15-16.
  42. Ealet 2008, p. 165.
  43. Calvez 2010, p. 6.
  44. Jacky Ealet, Tréhorenteuc en Brocéliande, Les oiseaux de papier, (ISBN 978-2-916359-28-1).
  45. Yves Guilloux, Le triskell et l'écharpe : la transceltique d'un maire breton, Coll. Une mémoire, éditions Cheminements, 2004, (ISBN 2844782515 et 9782844782519), p. 250

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Bibliographie modifier

  • Jacky Ealet, Tréhorenteuc en Brocéliande, Ploërmel, Les oiseaux de papier, coll. « De Brocéliande à... », , 207 p. (ISBN 978-2-916359-28-1)  
  • Marcel Calvez, « Druides, fées et chevaliers dans la forêt de Brocéliande : de l'invention de la topographie légendaire de la forêt de Paimpont à ses recompositions contemporaines », Festival international de géographie. Programme scientifique, Saint-Dié-des-Vosges,‎ (lire en ligne)  
  • Henri Gillard, Vérités et légendes de Tréhorenteuc, St. Joachim, , 48 p.

Articles connexes modifier

Liens externes modifier