Saint-Vaast-en-Chaussée

commune française du département de la Somme

Saint-Vaast-en-Chaussée
Saint-Vaast-en-Chaussée
La mairie.
Blason de Saint-Vaast-en-Chaussée
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CA Amiens Métropole
Maire
Mandat
Marc Vignolle
2020-2026
Code postal 80310
Code commune 80722
Démographie
Population
municipale
489 hab. (2021 en diminution de 2,78 % par rapport à 2015)
Densité 104 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 58′ 15″ nord, 2° 12′ 23″ est
Altitude Min. 20 m
Max. 95 m
Superficie 4,72 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Flixecourt
Législatives 4e circonscription de la Somme
Localisation
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte topographique de France
Saint-Vaast-en-Chaussée
Géolocalisation sur la carte : France
Voir sur la carte administrative de France
Saint-Vaast-en-Chaussée
Géolocalisation sur la carte : Somme
Voir sur la carte topographique de la Somme
Saint-Vaast-en-Chaussée
Géolocalisation sur la carte : Hauts-de-France
Voir sur la carte administrative des Hauts-de-France
Saint-Vaast-en-Chaussée
Liens
Site web aucun

Saint-Vaast-en-Chaussée est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Localisation modifier

Communes limitrophes modifier

  Vignacourt  
La Chaussée-Tirancourt N Vaux-en-Amiénois
O    Saint-Vaast-en-Chaussée    E
S
Saint-Sauveur
 
Cliquer sur la carte pour agrandir.

Situé sur le plateau qui domine la vallée de la Somme, rive nord, le village est traversé par la route départementale no 12, très fréquentée, 6 700 véhicules par jour en 2021[1].

Son territoire est traversé par l'autoroute A16 et l'ex-RN 1 (actuelle RD 1001).

En 2019, la localité est desservie par la ligne d'autocars no 27 (Vignacourt - Amiens) du réseau inter-urbain Trans'80[2].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 724 mm, avec 11,4 jours de précipitations en janvier et 8,6 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Glisy à 17 km à vol d'oiseau[5], est de 11,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 646,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Vaast-en-Chaussée est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[9],[10],[11].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[12],[13].

Les réseaux ont été mis en souterrain, l'assainissement collectif a été réalisé, une nouvelle mairie est construite. Quatre lotissements ont été créés par les municipalités qui se sont succédé, transformant la collectivité en une commune périurbaine[14].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (81,1 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (81,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (81,1 %), forêts (10,6 %), zones urbanisées (8,3 %)[15]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Saint-Vast-en-Chaussée apparaît dans les textes dès le XIe siècle, sous la forme latine Sanctus Vedastus[16].

Saint-Vaast est un hagiotoponyme qui fait référence à Vaast d'Arras, Saint Vaast ou saint Waast en picard et en wallon (prononcer [sɛ̃ vɑ]), ou Sint-Vaast en néerlandais, saint Vedast sous une forme savante issue du latin Vedastus, voire Wedastus, ou saint Gaston en français († Arras 540), évêque de la Gaule franque. Il est le premier évêque et le saint patron d'Arras et de son diocèse.

Le terme en-Chaussée s'explique par l'existence de la chaussée Brunehaut, très ancienne route Amiens-Abbeville qui passe au sud du territoire communal[17].

Histoire modifier

Saint-Vaast était une seigneurie, attestée depuis le XIIIe siècle[16]

Le lieu était, sous l'Ancien Régime un petit village qui comptait environ 200 habitants au XVIIIe siècle[16].

L'aspect actuel de Saint-Vast remonte essentiellement au XIXe siècle[16].

En 2018, la commune et celle de Vaux-en-Amiénois envisagent de fusionner. L'employé municipal de Vaux sera d'ailleurs mis à disposition de Saint-Vaast pour la moitié de son temps de travail dès 2018, moyennant le remboursement de cette prestation par la commune bénéficiaire[18],[19].

Politique et administration modifier

Rattachements administratifs et électoraux modifier

La commune se trouve dans l'arrondissement d'Amiens du département de la Somme (département). Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 2012 de la quatrième circonscription de la Somme.

Après avoir été rattachée au canton de Picquigny de 1793 à 1801, la commune intègre cette année-là le canton de Villers-Bocage[20]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, elle fait désormais partie du canton de Flixecourt.

Intercommunalité modifier

La commune était membre de la communauté de communes Bocage Hallue, créée fin 1999.

Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République du , qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants, la préfète de la Somme propose en un projet de nouveau schéma départemental de coopération intercommunale (SDCI) qui prévoit la réduction de 28 à 16 du nombre des intercommunalités à fiscalité propre du Département.

Ce projet prévoyait la « fusion des communautés de communes du Bernavillois, du Doullennais et de Bocage Hallue », le nouvel ensemble de 34 661 habitants regroupant 70 communes[21]. À la suite de l'avis favorable du Doullennais, du Bernavillois, de l'avis défavorable de Bocage-Hallue (dont une partie des communes souhaitait rejoindre la communauté d'agglomération Amiens Métropole), la commission départementale de coopération intercommunale donne un avis favorable à la fusion en [22],[23].

Celle-ci intervient le , créant la communauté de communes du Territoire Nord Picardie à laquelle la commune se retrouve intégrée en 2017, contre son gré[24].

Elle obtient de la quitter pour intégrer la communauté d'agglomération dénommée Amiens métropole le [25],[26],[27],[28].

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs[29]
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
    Henri Dècle[réf. nécessaire]    
Les données manquantes sont à compléter.
1971 2001 Marcel Courtin[14]    
mars 2001 2008 André Damagnez    
mars 2008[30] En cours
(au 1/6/2020)
Marc Vignolle   Réélu pour le mandat 2020-2026[31]

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[32]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[33].

En 2021, la commune comptait 489 habitants[Note 3], en diminution de 2,78 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
470526616644738735748757701
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
732748727713692607565522485
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
421348300260224208221186172
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
229281347484528563522512518
2015 2020 2021 - - - - - -
503485489------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[20] puis Insee à partir de 2006[34].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

Pour l'année scolaire 2016-2017, les enfants sont scolarisés au sein du regroupement pédagogique (RPI) de Saint-Vaast-en-Chaussée et de Vaux-en-Amiénois[18]. Le syndicat intercommunal scolaire (SISCO) gère une école publique, maternelle et élémentaire de 40 élèves, située en zone B, dans l'académie d'Amiens[35].

Un ensemble scolaire a été construit par les deux communes[14].

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Située au cœur du village, à côté de la mairie, l'église est placée sous le vocable de saint Vaast. Elle remonte à 1833, comme l'atteste la date portée sur sa façade. C'est un édifice de style néo-classique, à vaisseau unique, construit en lits alternés de briques et pierres calcaires, pour les élévations nord et sud et en calcaire seul pour la façade principale[37].
D'un plan simple et d'un intérieur assez sobre, l'église possède un maître-autel réalisé en 1844 et des verrières illustrant la dévotion à saint Vaast, exécutées par la maison Bazin en 1875. Deux verrières, saint Jean-Baptiste et sainte Thérèse d'Avila, sont signées « Veuve Nicolas Lorin, Chartres », Marie Françoise Dian à sa naissance, datées entre 1882 et 1889 et répertoriées dans l'Inventaire général du patrimoine culturel (baies 9 et 10)[38].
La cloche, fondue en 1861, est en acier, ce qui est assez rare pour être souligné[39].

Personnalités liées à la commune modifier

Héraldique modifier

  Blason
De gueules à deux têtes de mulet de profil affrontées et accolées, la première de sable oreillée et chevelée d'argent, la seconde d'argent, oreillée et chevelée de sable.
Détails
La première apparition du blason semble dater de 1998. Il a ensuite été repris en plusieurs circonstances[40],[41].
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Sur les autres projets Wikimedia :

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

Notes modifier

Cartes modifier

Références modifier

  1. « Six caméras et un terrain multisport », Courrier picard,‎ , p. 12.
  2. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  3. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  4. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  5. « Orthodromie entre Saint-Vaast-en-Chaussée et Glisy », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Station Météo-France « Amiens-Glisy » (commune de Glisy) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. a b et c Benoît Delespierre, « La nouvelle mairie a été inaugurée », Courrier picard,‎ , p. 13.
  15. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  16. a b c et d « Présentation de la commune », notice no IA80000336, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  17. Stéphane Gendron, La toponymie des voies romaines et médiévales : les mots des routes anciennes, Errance, , p. 52.
  18. a et b « Mariée à Amiens et peut-être à Saint-Vaast-en-Chaussée : Après avoir rejoint Amiens Métropole, la commune de Vaux-en-Amiénois planche sur une fusion avec le village voisin », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  19. « Fusionner pour prendre son avenir en main : Un rapprochement avec Vaux-en-Amiénois est envisagé, qui pourrait déboucher sur un projet commun à terme », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  20. a et b Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  21. « Coopération intercommunale : La préfète présente un nouveau schéma départemental » [doc], Communiqué de presse, Préfecture de la Somme, (consulté le ).
  22. Benoît Delespierre, « Pour Bocage-Hallue, ce sera avec Doullens et Bernaville », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne).
  23. « Arrêté préfectoral du 15 avril 2016 portant projet de périmètre de la communauté de communes issue de la fusion de la communauté de communes du Bernavillois, de la communauté de communes du Doullennais et de la communauté de communes Bocage-hallue », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2016-031,‎ , p. 85-87 (lire en ligne [PDF]).
  24. Bakhti Zouad, « De nouvelles communes dans Amiens Métropole ? : Neuf nouvelles communes pourraient bientôt intégrer la métropole », Le Courrier Picard,‎ (lire en ligne).
  25. « Procès-verbal de la séance du 29 septembre 2017 de la formation restreinte de la commission départementale de la coopération intercommunale » [PDF], Préfecture de la Somme (consulté le ).
  26. Benoît Delespierre, « Divorces, mariages forcés et frustrations : La décision du préfet d’autoriser certaines communes et pas d’autres à changer d’intercommunalité passe mal par endroits. Tour d’horizon », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ).
  27. « Procès-verbal du Conseil de la communauté d'agglomération du 9 novembre 2017 » [PDF], sur http://www.amiens.fr/ (consulté le ), p. 6-7.
  28. « Arrêté préfectoral du 12 décembre 2017 portant extension du périmètre de la communauté d'agglomération Amiens Métropole aux communes de Cardonnette, Querrieu, Saint-Vast-en-Chaussée, Vaux-en-Amiénois, Ferrières et Seux à compter du  », Recueil des actes administratifs de la préfecture de la Somme, nos 2017-086,‎ , p. 120-122 (lire en ligne [PDF], consulté le ).
  29. « Les maires de Saint-Vaast-en-Chaussée », sur http://www.francegenweb.org (consulté le ).
  30. « Liste des maires de la Somme », sur http://www.somme.pref.gouv.fr, (consulté le ).
  31. « Un troisième mandat pour le maire de Saint-Vaast-en-Chaussée », Le Courrier picard,‎ (lire en ligne, consulté le ) « Sans surprise, Marc Vignolle a été réélu dans sa fonction de maire de Saint-Vaast-en-Chaussée, mardi soir, lors de l’installation du nouveau conseil municipal. Conseil municipal qui est passé de 15 à 11 membres, à cause d’une démographie en baisse (moins de 500 habitants) ».
  32. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  33. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  34. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  35. L'école sur le site de l'éducation nationale.
  36. Oswald Macqueron, « Aquarelle : Eglise et école de Saint-Vast-en-Chaussée, canton de Villers-Bocage, d'après nature, 31 mai 1868. », Documents numérisés, fonds Macqueron, Bibliothèque municipale d'Abbeville (consulté le ).
  37. « Église paroissiale Saint-Vaast », notice no IA80000185, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  38. « Ensemble de 2 verrières : Saint Jean-Baptiste et sainte Thérèse d'Avila (baies 9 et 10) », notice no IM80000278, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  39. Itinéraires du Patrimoine, livret N°181. Direction régionale des Affaires culturelles de Picardie, Amiens
  40. "L'Gazette éd chés Djiseux", éditée à Boves (80), , p. 16.
  41. « Le blason dans l'Armorial de France ».