Saint-Léger-lès-Domart

commune française du département de la Somme

Saint-Léger-lès-Domart
Saint-Léger-lès-Domart
L'hôtel de ville.
Blason de Saint-Léger-lès-Domart
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Hauts-de-France
Département Somme
Arrondissement Amiens
Intercommunalité CC Nièvre et Somme
Maire
Mandat
Michel Henry
2020-2026
Code postal 80780
Code commune 80706
Démographie
Gentilé Léolégariens ou Léolégarois
Population
municipale
1 827 hab. (2021 en diminution de 1,62 % par rapport à 2015)
Densité 259 hab./km2
Géographie
Coordonnées 50° 03′ 00″ nord, 2° 08′ 18″ est
Altitude Min. 22 m
Max. 131 m
Superficie 7,05 km2
Type Commune rurale
Unité urbaine Saint-Léger-lès-Domart
(ville-centre)
Aire d'attraction Amiens
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Flixecourt
Législatives 1re circonscription de la Somme
Localisation
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Saint-Léger-lès-Domart

Saint-Léger-lès-Domart est une commune française située dans le département de la Somme, en région Hauts-de-France.

Géographie modifier

Localisation modifier

Saint-Léger se trouve à peu près à égale distance d'Abbeville et Amiens. Le village peut être rejoint à partir de l'ancienne route nationale 1.

Communes limitrophes modifier

Nature du sol et du sous-sol modifier

Le sol et le sous-sol sont de nature tertiaire, le diluvium des plateaux. Sous la couche végétale de 30 cm d'épaisseur, on trouve des terrains du crétacé successivement : craie glauconieuse, craie marneuse, craie blanche, craie jaune. Dans la vallée on rencontre des terrains bieffeux[1].

Relief, paysage, végétation modifier

Le relief de la commune se caractérise par la présence de vallées, d'un plateau et de collines[1].

La commune de Saint-Léger-lès-Domart est incluse dans la zone naturelle d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) de type 1, « cours de la Nièvre, de la Domart et de la Fieffes ».

Hydrographie modifier

Saint-Léger-lès-Domart est arrosée par la Lanche petite rivière qui prend sa source à 6 km de la commune, sa largeur est de 5 m. Cette petite rivière conflue avec la Nièvre à la sortie du village de Saint-Léger. La Nièvre est un affluent de la rive droite de la Somme.

La nappe souterraine est située à 12 m en dessous du niveau du sol[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Côtes de la Manche orientale, caractérisée par un faible ensoleillement (1 550 h/an) ; forte humidité de l’air (plus de 20 h/jour avec humidité relative > 80 % en hiver), vents forts fréquents[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 13,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 753 mm, avec 11,8 jours de précipitations en janvier et 8,3 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Bernaville à 9 km à vol d'oiseau[4], est de 10,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 877,3 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Saint-Léger-lès-Domart est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 1],[8],[9],[10]. Elle appartient à l'unité urbaine de Saint-Léger-lès-Domart, une agglomération intra-départementale regroupant 7 communes[11] et 7 327 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[12],[13].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction d'Amiens, dont elle est une commune de la couronne[Note 2]. Cette aire, qui regroupe 369 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[14],[15].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,5 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (76,2 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (64,3 %), forêts (14,7 %), zones urbanisées (11,8 %), prairies (5,4 %), zones agricoles hétérogènes (3,8 %)[16]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Habitat modifier

Saint-Léger-lès-Domart est une composante de la nébuleuse urbaine de la vallée de la Nièvre qui s'est constituée à partir du XIXe siècle avec l'implantation des usines textiles Saint Frères et la création de cités ouvrières, telle la cité Saint-Jean.

Voies de communication et transports modifier

Saint-Léger est traversée par la route départementale 12 reliant Amiens à Domart-en-Ponthieu.

  • Transports en commun routiers : la localité est desservie par la ligne d'autocars no 24 (Doullens - Domart-en-Ponthieu), la ligne no 55 (Domart-en-Ponthieu - Amiens) et la ligne no 28 (Saint-Léger - Flixecourt - Amiens) du réseau inter-urbain Trans'80, Hauts-de-France, tous les jours sauf le dimanche et les jours fériés[17].

Toponymie modifier

Le nom de la localité est attesté sous les formes S. Leodegarius (1109) ; Saint Ligier (1301) ; S. Loix (1592) ; S. Leger (1646) ; S. Léger l’Espinoy (1753) ; S. Léger l’Epinoy (1764) ; S. Leger-en-Ponthieu (17..) ; S. Leger-Epinoy (1826-31) ; S. Léger-les-Domart (1857)[18],[1].

Saint-Léger est un hagiotoponyme qui fait référence à Léger d'Autun ou Léodegard (en latin Leodegarius) né vers 616 et mort en 678 ou 679 dans la région de Doullens en Picardie dont il fut l'évêque. L'église de la commune lui est dévouée.

La préposition « lès » permet de signifier la proximité d'un lieu géographique par rapport à un autre lieu. En règle générale, il s'agit d'une localité qui tient à se situer par rapport à une ville voisine plus grande. La commune de Saint-Léger indique qu'elle se situe près de Domart-en-Ponthieu.

Histoire modifier

Antiquité modifier

L'archéologie aérienne a révélé la présence de vestiges d'enclos antiques sur le territoire communal[19].

Moyen Âge modifier

Époque moderne modifier

Des actes administratifs du XVIIe siècle mentionnent le village et le château. Le seigneur de Saint-Léger était alors le chevalier Nicolas Henry Le Roy[1].

Époque contemporaine modifier

Les conscrits venaient demander de tirer le bon numéro à l'arbre de la Croix Notre-Dame pour ne pas partir à la guerre, à Saint-Léger-lès-Domart[20].

En 1836, l'activité textile à Saint-Léger était encore modeste. On constate une forte augmentation entre 1836 à 1851 : on passa de 6 à 109 fileuses, de 2 à 14 tisserands et 64 ouvriers tisserands et deux fabricants de toile.

La création, en 1861, de la filature et tissage de jute Saint Frères à Harondel, dans la commune voisine de Berteaucourt-les-Dames stimula la croissance démographique de Saint-Léger-lès-Domart entre 1875 et 1925. En 1872, on comptait 55 fileuses, 228 tisserands et tisseuses et 4 employés de fabrique dans la commune. En 1881, on comptait 866 ouvriers de fabrique et 13 tisserands.

En 1874, fut construite la voie ferrée de Longpré-les-Corps-Saints à Canaples et la gare de Saint-Léger. La cité Saint-Charles fut construite aux abords de la gare et comptait 50 logements en 1881. L’extension de l'agglomération se fit ensuite sur la route nouvelle reliant Saint-Ouen à Saint-Léger. Une deuxième phase de construction agrandit la cité Saint-Charles ; en 1906, elle comptait 128 logements.

En 1878, à cause de l'accroissement de la population, la capacité d'accueil de l'école était insuffisante. En hiver, elle était alors fréquentée par plus d'une centaine d'élèves, répartis dans la salle de classe et dans la cuisine de l'instituteur ! À partir de 1900, la municipalité loue le château voisin et y transféra l'école de garçons. La commune fit l'acquisition du bâtiment en 1904 et y installa également la mairie et la poste.

Une salle des fêtes est construite en 1928 et, en 1932, une nouvelle mairie[21].

Politique et administration modifier

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mai 2020 Daniel Laurent   Vice-président de la CC Nièvre et Somme (2017 → 2020)
mai 2020[22] En cours
(au 29 mai 2020)
Michel Henry   Vice-président de la CC Nièvre et Somme (2020 → )

Jumelages modifier

  West Mersea (Grande-Bretagne) depuis 1992

Population et société modifier

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2006[24].

En 2021, la commune comptait 1 827 habitants[Note 3], en diminution de 1,62 % par rapport à 2015 (Somme : −0,98 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
368383421420485489499510538
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
5455456018371 1251 4041 5741 5541 716
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
2 0541 9701 7891 6571 6711 4771 5561 4961 640
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2011 2016
1 7622 1262 1051 9401 7161 7581 7511 8711 853
2021 - - - - - - - -
1 827--------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[25] puis Insee à partir de 2006[26].)
Histogramme de l'évolution démographique

Enseignement modifier

L'école primaire Dolto/Ferry compte 298 élèves à la rentrée scolaire 2017. Elle est située dans l'académie d'Amiens, en zone B pour les vacances scolaires[27].

Économie modifier

Activités économiques et de services modifier

L'industrie textile a pratiquement disparu, subsistent des activités artisanales et commerciales de proximité.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • Château : édifié en brique et pierre, en 1632, pour François de Groiselier, seigneur de Saint-Léger, sous la forme d'un long corps de logis cantonné de trois pavillons. C'est aujourd'hui une école primaire communale.
  • Église Saint-Léger
  • Mairie : réalisée en 1932, sur les plans de l'architecte amiénois, Claude-Antonin Dory[28].
  • Salle des fêtes : construite en 1928 sur les plans de Claude-Antonin Dory qui réalisa également le décor de mosaïque et de sgraffite de la façade. Ce décor allégorique représente, un paysage idyllique dans lequel trois femmes ayant chacune comme attribut, un livre, une flûte ou une flûte de pan[29].
  • Arbre de la Croix de Notre-Dame de Bonne-Garde : arbre classé monument naturel, le [30]. Ce tilleul serait âgé de plus de 600 ans. Il est situé au nord du village en bordure du chemin menant au bois de Saint-Léger[31]. Le calvaire qui se trouvait à côté a été déplacé dans l'église au début du XXe siècle. Le tronc mesure 5,55 mètres de circonférence, sa hauteur est de 18 mètres. Sous le Second Empire, les habitants venaient en procession plusieurs fois dans l'année, notamment pour les Rogations auprès de cet arbre[32].

Héraldique modifier

Le blason de Saint-Léger-lès-Domart a été créé en 1992 à l'occasion du jumelage de la commune avec West Mersea, ville du canton d'Essex, en Grande-Bretagne. Le , est inaugurée une stèle sur laquelle sont sculptés les blasons des deux localités[33].

Blasonnement :

  • Coupé au premier, d'azur au soleil d'or ; au second, d'or au tilleul arraché de sinople ; à la divise ondée d’argent brochant sur la partition.
    • La divise ondée représente la Nièvre, rivière qui a fait tourner jusqu'au XIXe siècle les roues de plusieurs moulins à farine, dont le moulin Clapet.
    • L'arbre représente le tilleul de la Croix de Notre-Dame de Bonne-Garde.
    • Le soleil, symbole de vie, peut rappeler la tradition des processions.

Ornement extérieur :

  • Croix de guerre 1939-1945 avec étoile de bronze « Pour les actes de courage, d'abnégation et de résistance face à l'occupation. Pour les morts et les destructions suite aux violents combats de 1940 et les bombardements de 1944. Pour les habitants tués ou déportés »[34].

Personnalités liées à la commune modifier

  • Anatole Jovelet, sénateur, décédé à Saint-Léger. Une rue porte son nom.
  • Robert Tyrakowski (1944-2008), entraîneur de l'équipe du foot du village (ES Harondel, 1990-1994).

Pour approfondir modifier

Articles connexes modifier

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Liens externes modifier

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  2. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. a b c d et e M. Boulenger, instituteur, « Notice géographique et historique sur la commune »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur recherche.archives.somme.fr, (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Saint-Léger-lès-Domart et Bernaville », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Bernaville » (commune de Bernaville) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Typologie urbain / rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  9. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  10. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  11. « Unité urbaine 2020 de Saint-Léger-lès-Domart », sur insee.fr (consulté le ).
  12. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « Liste des communes composant l'aire d'attraction de Amiens », sur insee.fr (consulté le ).
  15. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
  17. « Le réseau Trans'80 en ligne ».
  18. Jacques Garnier, Dictionnaire topographique de la Somme, t. 1, Paris / Amiens 1867 - 1878, p. 269 (lire en ligne sur DicoTopo) [1].
  19. Michel de La Torre, Guide de l'art et de la nature Somme, Paris, Nathan, 1985 (ISBN 9 782 092 863 800).
  20. Philippe Domont et Édith Montelle, Histoires d'arbres : des sciences aux contes, Paris, Office National des Forêts, , 256 p. (ISBN 2-84207-281-2), p.166.
  21. « Inventaire général du patrimoine - Saint-Léger-lès-Domart » (consulté le ).
  22. Olivier Bacquet, « Michel Henry succède à Daniel Laurent à Saint-Léger-les-Domart : Maire depuis 2001, Daniel Laurent cède son écharpe à son ancien premier adjoint, avec beaucoup d'émotions », Le Journal d'Abbeville,‎ .
  23. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  24. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  25. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  26. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  27. « L'école sur le site du ministère de l'éducation nationale. »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  28. « La mairie sur l'inventaire des Hauts-de-France ».
  29. « La salle des fêtes sur l'inventaire des Hauts-de-France ».
  30. « Le tilleul sur Legifrance »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?).
  31. « Le tilleul sur données.picardie » [PDF] (consulté le ).
  32. « L'arbre sur krapooarboricole ».
  33. « Le blason dans l'Armorial des villes et villages de France (Jacques Dulphy) ».
  34. Jacques Béal, Hommes et combats en Picardie 1939-1945, Amiens, Martelle-Editions, 1998, (ISBN 2-87 890-035-9) pp. 162-163