Ranville

commune française du département du Calvados

Ranville
Ranville
Le clocher de l'église.
Blason de Ranville
Blason
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Normandie
Département Calvados
Arrondissement Lisieux
Intercommunalité Communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge
Maire
Mandat
Jean-Luc Adelaïde
2020-2026
Code postal 14860
Code commune 14530
Démographie
Gentilé Ranvillais
Population
municipale
1 982 hab. (2021 en augmentation de 11,6 % par rapport à 2015)
Densité 235 hab./km2
Géographie
Coordonnées 49° 13′ 55″ nord, 0° 15′ 23″ ouest
Altitude Min. 1 m
Max. 49 m
Superficie 8,42 km2
Unité urbaine Ranville
(ville-centre)
Aire d'attraction Caen
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Cabourg
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Ranville
Liens
Site web www.ranville.fr

Ranville est une commune française, située dans le département du Calvados en région Normandie, peuplée de 1 982 habitants[Note 1].

Géographie modifier

Ranville se situe à 6 km au nord-est de Caen à 49° 13′ 55″ N, 0° 15′ 23″ O.

Bien que la commune fasse partie de l'aire urbaine de Caen et qu'elle soit limitrophe de la communauté urbaine de Caen la Mer, elle ne fait pas partie de cette dernière. En 1997, elle est intégrée à la communauté de communes Campagne et Baie de l'Orne qui fusionne avec deux autres communauté de communes en 2017 pour former la communauté de communes Normandie-Cabourg-Pays d'Auge.

Le , la commune passe alors de l'arrondissement de Caen à celui de Lisieux[1].

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique et est dans la région climatique Normandie (Cotentin, Orne), caractérisée par une pluviométrie relativement élevée (850 mm/a) et un été frais (15,5 °C) et venté[3]. Parallèlement le GIEC normand, un groupe régional d’experts sur le climat, différencie quant à lui, dans une étude de 2020, trois grands types de climats pour la région Normandie, nuancés à une échelle plus fine par les facteurs géographiques locaux. La commune est, selon ce zonage, exposée à un « climat des plateaux abrités », correspondant à la plaine agricole de Caen à Falaise, sous le vent des collines de Normandie et proche de la mer, se caractérisant par une pluviométrie et des contraintes thermiques modérées[4].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 12 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 664 mm, avec 11,3 jours de précipitations en janvier et 7,1 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Sallenelles à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 11,8 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 735,8 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Ranville est une commune urbaine[Note 2],[9]. Elle fait en effet partie des communes denses ou de densité intermédiaire, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[10],[11]. Elle appartient à l'unité urbaine de Ranville, une agglomération intra-départementale regroupant trois communes[12] et 3 883 habitants en 2017, dont elle est ville-centre[13],[14].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Caen, dont elle est une commune de la couronne[Note 3]. Cette aire, qui regroupe 296 communes, est catégorisée dans les aires de 200 000 à moins de 700 000 habitants[15],[16].

La commune, bordée par la baie de Seine, est également une commune littorale au sens de la loi du , dite loi littoral[17]. Des dispositions spécifiques d’urbanisme s’y appliquent dès lors afin de préserver les espaces naturels, les sites, les paysages et l’équilibre écologique du littoral, comme le principe d'inconstructibilité, en dehors des espaces urbanisés, sur la bande littorale des 100 mètres, ou plus si le plan local d’urbanisme le prévoit[18],[19].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (61,8 % en 2018), néanmoins en diminution par rapport à 1990 (69,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,3 %), zones urbanisées (16 %), mines, décharges et chantiers (11,2 %), prairies (8,6 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (6,5 %), zones agricoles hétérogènes (5,9 %), eaux continentales[Note 4] (2,8 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,7 %)[20]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de la localité est cité sous les formes Ranvilla en 1066 (Fauroux 231)[21] ; Ranvilla en 1087 (Lucien Musset, Abbayes caennaises, 8)[21] ; [Osulfus de] Ranvilla en 1142-1164 (Cartulaire de Saint-Evroult, f° 113 v°)[21] ; Ranvilla au XIIe siècle (Recueil des actes de Henri II roi d'Angleterre et duc de Normandie) ; Raanvilla en 1240 - 1250[21] ; Ranville au XVIIIe siècle (carte de Cassini).

Il s'agit d'une formation médiévale en -ville au sens ancien de « domaine rural ». Le premier élément Ran- représente sans doute un anthroponyme selon le cas le plus fréquent.

Pour expliquer cet élément, Albert Dauzat propose le nom de personne germanique Rado sans citer de formes anciennes, explication reprise par François de Beaurepaire plus récemment, qui compare à Ragny dans le même département[21]. Il contiendrait, selon lui, le même anthroponyme[21]. Cependant, Ernest Nègre et René Lepelley préfèrent Rando[22],[23].

Pourtant, le même Ernest Nègre qui mentionne, à propos de Ransart (Pas-de-Calais, Ransart 1169), le nom de personne Hramnus cité par Marie-Thérèse Morlet[24],[22] n'y songe pas en ce qui concerne Ranville, malgré l'absence dans les formes anciennes d'un [d].

Remarque : Ni Ernest Nègre, ni René Lepelley ne tiennent compte du fait que Ranville se situe dans l'aire de diffusion de la toponymie anglo-scandinave et qu'il est appuyé par des microtoponymes régionaux tels que Rantot (Manche, Digulleville, Derantot 1825 - 1866, c'est-à-dire « la ferme de Rantot »[25]), associé à l'appellatif -tot issu du l'ancien scandinave topt, toft « établissement, ferme » et Randal (Manche, le Vrétot, Bois de Randal 1456) associé à l'ancien scandinave dal, accusatif de dalr « val, vallée »[26], sans doute apparenté au Randal norvégien, Sogn og Fjordane) qui contiennent également un élément Ran-. Or, il existe aussi un nom de personne norrois Randr (ou vieux danois Rand)[27] et le nom de personne féminin vieux norrois Rán[28]. En Normandie, les noms en -tot ont souvent leur équivalent en -ville (cf. Cidetot / Cideville ; Chiffretot / Chiffreville ; Épretot / Épreville ; Colleville / Colletot, etc.), voire en un autre élément d'origine scandinave. Si l'assimilation probable de [d] de Rand avec le [t] de -tot et le [d] de -dal va de soi, en revanche, Ernest Nègre et René Lepelley suppose que [d] ait pu s'amuïr aussi tôt dans Ranville sans laisser de trace. Cela se vérifie effectivement pour Branville (Eure) qui est attesté sous la forme Branville dès le XIe siècle et pour Branmesnil (Seine-Maritime, hameau disparu autour de La Poterie-Cap-d'Antifer, Branmaisnil vers 1040 chez Jean Adigard des Gautries, 1956 p. 230), deux noms qui présentent un contexte phonétique analogue /ran/ et qu'on compare avec Branville (Seine-Maritime, Saint-Aubin-Épinay) désigné Brant villa en 1025. Bran- s'explique en effet par le nom de personne scandinave Brandr[29],[21].

La ressemblance avec Ranville (Charente, Aranvilla 1254) et avec Rainville (Vosges, Rainovilla Xe siècle) est fortuite[22].

Histoire modifier

Une voie antique reliant Pont-Audemer et Bayeux passait sur le territoire de la commune ; les voyageurs devaient emprunter un bac à Ranville afin de traverser l'Orne jusqu'au port de Bénouville et poursuivre leur route. L'Orne ne suivait toutefois pas son cours actuel. Jusqu'à l'époque moderne, le cours de l'Orne effectuait de nombreux méandres. En 1679, l'Orne fut redressée entre les carrières de Ranville et Clopée à Mondeville[30]. Lors de la construction du canal de Caen à la mer, ouvert à la navigation en 1857, l'Orne fut redressée entre Ranville et le corps de garde de Sallenelles ; l'ancien lit du fleuve fut en partie repris par le canal (entre Pegasus Bridge et le déversoir du Maresquier)[31],[32],[Note 5]. De ce fait, l'ancien bac se trouvait à proximité de l'actuel pont de Bénouville, connu également sous le nom de Pegasus Bridge[33].

Un domaine agricole (« ville » cf. vilain) s'est sans doute développé avant l'existence de la commune. Au cours des siècles, l'économie de la commune repose sur trois activités principales :

  • l'extraction de la pierre de Caen qui était ensuite acheminée, vers l'Angleterre notamment, par l'Orne (la rue des Carrières à Longueval rappelle ce passé),
  • l'exploitation des ressources fluviales à Longueval (pratiquée par les sablonniers et les pêcheurs) et qui périclita avec l'ouverture du canal de Caen à la mer,
  • l'agriculture, notamment sur les marais asséchés aux XIXe et XXe siècles.

Comme souvent dans la plaine de Caen, l'habitat ne s'organisait pas autour de l'église paroissiale (église Notre-Dame-des-Prés de Mondeville, église Saint-Hilaire de Cairon par exemple). La commune était éclatée entre plusieurs hameaux plus ou moins regroupés[34] :

  1. l'église,
  2. le Bas de Ranville,
  3. le Hom,
  4. le Mariquet,
  5. Longueville,
  6. la Basse-Écarde,
  7. Longueval.
 
Les hameaux de Ranville.

En 1860, les Ranvillais décidèrent de démolir leur église, jugée vétuste et trop exiguë. Ils conservèrent seulement le clocher des XIe et XIIe siècles qui subsiste encore aujourd'hui à côté de la nouvelle église.

Après le percement du canal et le redressement de l'Orne, un bac fut établi sur le nouveau cours du fleuve[31]. En 1869-1870, il fut remplacé par un pont-tournant[35]. En 1892, le pont fut renforcé lors de la construction de la ligne des chemins de fer du Calvados entre Bénouville et la gare de Dives - Cabourg. Celle ligne disposait de plusieurs arrêts sur la commune : pont de Ranville, Ranville et ferme de l'Écarde[35]. Le service est interrompu le .

Lors de l'opération Tonga, le , le nom de code de la capture du pont de Ranville, nommé Horsa bridge, était Euston 2 (Euston 1 était la prise du pont de Bénouville, ou Pegasus Bridge, sur le canal de l'Orne). Ranville a été le premier village de France libéré le par le 13e bataillon parachutiste britannique (13th Parachute Battalion) commandé par le lieutenant-colonel Peter Luard. Le clocher médiéval de l'église a été le théâtre d'un fait tragique : un tireur allemand embusqué au sommet a abattu trois parachutistes britanniques, avant d'être lui-même tué. Il repose aujourd'hui auprès de ses victimes dans le cimetière paroissial à quelques mètres du clocher.

Le château du Heaume ou du Hom, un manoir à un étage, servit ensuite de quartier-général à la 6th Airborne Division.

Dans les années 1970, le pont-tournant a été détruit pour être remplacé par l'actuel ouvrage fixe.

Après la Seconde guerre mondiale, la commune, qui avait connu une population relativement stable au XIXe siècle et au début du XXe siècle, connait une forte croissance démographique (621 habitants en 1946 contre 1 896 habitants en 1999). L'habitat pavillonnaire se développe et les anciens hameaux se trouvent alors réunis dans un espace urbain peu dense. Seuls la ferme de la Basse-Écarde et le hameau de Longueval restent vraiment à l'écart de cet ensemble[36].

Économie modifier

La ville abrite une cimenterie de Ciments français, filiale du groupe italien Italcementi[37].

Politique et administration modifier

 
L'hôtel de ville.

Liste des maires modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
octobre 1947 août 1949 César Doix    
août 1949 septembre 1949 Pierre Contentin   Président de la délégation spéciale
septembre 1949 mars 1977 Comte Gaël de Rohan-Chabot   Administrateur de sociétés
mars 1977 1986
(démission)
Charles Bouhier    
décembre 1986 mars 2001 Georges Bouilly   Ancien receveur des Postes
mars 2001 En cours Jean-Luc Adélaïde[38] SE Technicien retraité

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[39]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[40].

En 2021, la commune comptait 1 982 habitants[Note 6], en augmentation de 11,6 % par rapport à 2015 (Calvados : +1,02 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
633640616640682774800820682
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
714720645626616600540488496
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
503508519600526553545621682
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
8831 0051 5191 6901 6811 8961 7751 7501 633
2015 2020 2021 - - - - - -
1 7761 9621 982------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[41] puis Insee à partir de 2006[42].)
Histogramme de l'évolution démographique

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

  • L'église Notre-Dame-de-l'Assomption (clocher du XIe-XIIe protégé par l'Association Sauvegarde du Patrimoine de Ranville et rénové en 2007-2008).
  • Le cimetière civil où reposent des militaires français et britanniques tombés pendant la bataille de Normandie.
  • Le cimetière militaire du Commonwealth où reposent notamment les premiers parachutistes britanniques et canadiens décédés à partir du .
  • Le château de Guernon-Ranville, dit aussi château de Ranville.
  • Le château du Hom.
  • Le château du Mariquet.
  • Le manoir du XVIe, rue de la Grange-aux-Dimes.
  • La grange aux dîmes qui dépendait de l'abbaye aux Dames.
  • Le moulin à vent, témoignage de l'importance de l'activité céréalière de la région.
  • Le lavoir sur l'Aiguillon.
  • Le Mémorial Pegasus, entre l'Orne et le canal, dans le parc duquel a été installé le pont historique.
  • Le monument aux morts, situé dans le cimetière, surmonté de la statue du Poilu au repos, réalisée par Étienne Camus.

Personnalités liées à la commune modifier

Jumelages modifier

Ranville est jumelée avec :

Héraldique modifier

Les armes de la commune de Ranville se blasonnent ainsi :

D'azur au clocher du lieu d'argent ajouré d'or et accompagné en chef senestre d'un écusson de gueules chargé de deux léopards d'or armés et lampassés d'azur, l'un au-dessus de l'autre.

Les deux léopards d'or sur champ de gueules rappellent les armes de la Normandie.

Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Population municipale 2021.
  2. Selon le zonage publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  4. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  5. L'ancien cours du fleuve se retrouve dans les limites administratives entre les communes de Ranville, Bénouville et Ouistreham.
  6. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  • Altitudes, coordonnées, superficie : IGN[43].
  1. « Recueil des actes administratifs du 22 décembre 2016 » [PDF], sur le site de la préfecture du Calvados (consulté le ).
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. GIEC normand, Le climat en Normandie : présentation et évolution, , 18 p. (lire en ligne), p. 2
  5. « Orthodromie entre Ranville et Sallenelles », sur fr.distance.to (consulté le ).
  6. « Station Météo-France « Sallenelles » (commune de Sallenelles) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  7. « Station Météo-France « Sallenelles » (commune de Sallenelles) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
  9. « Zonage rural », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune urbaine-définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Unité urbaine 2020 de Ranville », sur insee.fr (consulté le ).
  13. « Base des unités urbaines 2020 », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. Vianney Costemalle, « Toujours plus d’habitants dans les unités urbaines », sur insee.fr, (consulté le ).
  15. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  16. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  17. « Les communes soumises à la loi littoral. », sur observatoire-des-territoires.gouv.fr, (consulté le ).
  18. « La loi littoral »(Archive.orgWikiwixArchive.isGoogleQue faire ?), sur collectivites-locales.gouv.fr (consulté le ).
  19. « Loi relative à l’aménagement, la protection et la mise en valeur du littoral. », sur cohesion-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  20. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
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  22. a b et c Ernest Nègre, Toponymie générale de la France, Librairie Droz, Genève, p. 946, n° 16975 [lire en ligne].
  23. René Lepelley, Dictionnaire étymologique des noms de commune de la Normandie, éditions Charles Corlet, Presses Universitaires de Caen, Caen, 1996, p. 206b
  24. Marie-Thérèse Morlet, NPAG I, p. 135a.
  25. Dominique Fournier, « Élément -tot », Wikimanche (lire en ligne).
  26. Jean Renaud, Vikings et noms de lieux de Normandie. Dictionnaire des toponymes d'origine scandinave en Normandie, éditions OREP, 2009 (ISBN 978-2-915762-89-1), p. 47.
  27. Site de Nordic Names : nom de personne Randr (lire en anglais) [1].
  28. Site de Nordic Names : nom de personne Rán (lire en anglais) [2].
  29. François de Beaurepaire (préf. Marcel Baudot), Les Noms des communes et anciennes paroisses de l'Eure, Paris, A. et J. Picard, , 221 p. (ISBN 2-7084-0067-3, OCLC 9675154), p. 76.
  30. Journal d'un bourgeois de Caen 1652-1733 [(fr) texte intégral (page consultée le 29 mai 2008)].
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  32. René Streiff, « Le port de Caen et le canal de Caen à la mer », Études normandes, no 16,‎ , p. 269-296 (lire en ligne).
  33. « Emplacement de l'ancien bac sur l'Orne » sur Géoportail.
  34. Cadastre de la commune de Ranville, 1826 – Tableau d'assemblage, Archives du Calvados, cote 3P/1978 [lire en ligne].
  35. a et b H. Magron, Guide illustré du tramway de Caen à la mer. Caen, Ouistreham, Hermanville, Lion-sur-Mer, Luc-sur-Mer, Ranville, Sallenelles, Le Home-Varaville, Cabourg, Dives., Caen, impr. Ch. Valin, 1899, pp. 44-16 [lire en ligne].
  36. « Comparaison de photos aériennes », sur IGN – Remonter le temps (consulté le ).
  37. (en) Italcimenti.
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  39. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  40. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  41. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  42. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  43. « Ranville sur le site de l'Institut géographique national » [archive du ] (archive Wikiwix).

Voir aussi modifier

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Articles connexes modifier

Liens externes modifier