Meyronne

commune française du département du Lot

Meyronne
Meyronne
Meyronne et la Dordogne.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Lot
Arrondissement Gourdon
Intercommunalité Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne
Maire
Mandat
Jean-Luc Baladre
2020-2026
Code postal 46200
Code commune 46192
Démographie
Population
municipale
258 hab. (2021 en diminution de 11,34 % par rapport à 2015)
Densité 32 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 52′ 40″ nord, 1° 34′ 42″ est
Altitude Min. 90 m
Max. 285 m
Superficie 8,04 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Souillac
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Souillac
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Meyronne
Liens
Site web http://www.meyronne.fr/

Meyronne est une commune française, située dans le nord du département du Lot en région Occitanie. Elle est située dans la Vallée de la Dordogne et non loin du causse de Gramat, le plus vaste et le plus sauvage des quatre causses du Quercy.

Exposée à un climat océanique altéré, elle est drainée par la Dordogne, le ruisseau de Rignac et par divers autres petits cours d'eau. Incluse dans le bassin de la Dordogne, la commune possède un patrimoine naturel remarquable : un site Natura 2000 (la « vallée de la Dordogne quercynoise »), deux espaces protégés (le « cours lotois de la Dordogne » et les « falaises lotoises (rapaces) ») et trois zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique.

Meyronne est une commune rurale qui compte 258 habitants en 2021, après avoir connu un pic de population de 564 habitants en 1856. Elle fait partie de l'aire d'attraction de Souillac. Ses habitants sont appelés les Meyronnais ou Meyronnaises.

Géographie modifier

Commune située sur la rive gauche de la Dordogne, à une dizaine de kilomètres à l'est de Souillac.

Communes limitrophes modifier

Communes limitrophes de Meyronne[1]
Creysse
Saint-Sozy   Montvalent
Lacave Rocamadour

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat du Bassin du Sud-Ouest, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 12,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,7 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 905 mm, avec 10,7 jours de précipitations en janvier et 6,7 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020 la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Gourdon à 22 km à vol d'oiseau[4], est de 13,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 823,0 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].

Milieux naturels et biodiversité modifier

Espaces protégés modifier

La protection réglementaire est le mode d’intervention le plus fort pour préserver des espaces naturels remarquables et leur biodiversité associée[8],[9].

La commune fait partie du bassin de la Dordogne, un territoire reconnu réserve de biosphère par l'UNESCO en juillet 2012[10],[11].

Deux autres espaces protégés sont présents sur la commune :

Réseau Natura 2000 modifier

 
Site Natura 2000 sur le territoire communal.

Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d'intérêt écologique élaboré à partir des directives habitats et oiseaux, constitué de zones spéciales de conservation (ZSC) et de zones de protection spéciale (ZPS)[Note 1]. Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la directive habitats : la « vallée de la Dordogne quercynoise »[15], d'une superficie de 5 567 ha, qui présente des milieux aquatiques d'intérêt majeur et de un important éventail des milieux alluviaux qui abritent, outre un nombre significatif d'espèces de l'annexe II, de nombreuses espèces localisées à rares aux niveaux régional ou national[16].

Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique modifier

L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire. Deux ZNIEFF de type 1[Note 2] sont recensées sur la commune[17] :

  • « la Dordogne quercynoise » (2 081 ha), couvrant 24 communes dont deux en Corrèze, deux en Dordogne et vingt dans le Lot[18], qui comprend de nombreuses espèces déterminantes (soixante-six animales et cinquante végétales) ;
  • les « rocher Sainte-Marie, puech d'Aussel, vallon du Limon et combes tributaires » (369 ha), couvrant 3 communes du département[19]

et une ZNIEFF de type 2[Note 3],[17] : la « vallée de la Dordogne quercynoise » (8 758 ha), couvrant 28 communes[Note 4] : deux en Corrèze, deux en Dordogne et vingt-quatre dans le Lot[20].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Meyronne est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 5],[21],[I 1],[22].

Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Souillac, dont elle est une commune de la couronne[Note 6]. Cette aire, qui regroupe 11 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[I 2],[I 3].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (54 % en 2018), une proportion identique à celle de 1990 (54 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (40,7 %), terres arables (34,9 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (13,3 %), zones urbanisées (6,8 %), eaux continentales[Note 7] (4,3 %)[23]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Risques majeurs modifier

Le territoire de la commune de Meyronne est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), inondations, feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage[24]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[25].

Risques naturels modifier

Certaines parties du territoire communal sont susceptibles d’être affectées par le risque d’inondation par débordement de cours d'eau, notamment la Dordogne et le ruisseau de Rignac. La cartographie des zones inondables en ex-Midi-Pyrénées réalisée dans le cadre du XIe Contrat de plan État-région, visant à informer les citoyens et les décideurs sur le risque d’inondation, est accessible sur le site de la DREAL Occitanie[26]. La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1989, 1992, 1993 et 1999[27],[24].

Meyronne est exposée au risque de feu de forêt. Un plan départemental de protection des forêts contre les incendies a été approuvé par arrêté préfectoral le pour la période 2015-2025. Les propriétaires doivent ainsi couper les broussailles, les arbustes et les branches basses sur une profondeur de 50 mètres, aux abords des constructions, chantiers, travaux et installations de toute nature, situées à moins de 200 mètres de terrains en nature de bois, forêts, plantations, reboisements, landes ou friches. Le brûlage des déchets issus de l’entretien des parcs et jardins des ménages et des collectivités est interdit. L’écobuage est également interdit, ainsi que les feux de type méchouis et barbecues, à l’exception de ceux prévus dans des installations fixes (non situées sous couvert d'arbres) constituant une dépendance d'habitation[28].

 
Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Meyronne.

Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des affaissements et effondrements liés aux cavités souterraines (hors mines), des éboulements, chutes de pierres et de blocs et des tassements différentiels[29]. Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].

Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 52,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (67,7 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 222 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 215 sont en aléa moyen ou fort, soit 97 %, à comparer aux 72 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[31],[Carte 2].

Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[30].

Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par la sécheresse en 1989 et par des mouvements de terrain en 1999[24].

Risques technologiques modifier

La commune est en outre située en aval des barrages de Saint-Étienne-Cantalès et de Bort-les-Orgues, des ouvrages de classe A[Note 8] disposant d'une retenue de respectivement 133 millions[33] et 477 millions de mètres cubes[34],. À ce titre elle est susceptible d’être touchée par l’onde de submersion consécutive à la rupture d'un de ces ouvrages[35].

Toponymie modifier

Les mentions anciennes de la localité sont : capellania de Mayrana vers 1325[36]

L'étymologie de ce toponyme issu du gaulois accentué à la latine sur la pénultième, Matrôna "déesse mère des sources"[37],[38], cf. la Marne (rivière). Le toponyme a peut-être désigné le gouffre du Limon situé sur ce territoire[39].

Histoire modifier

Auparavant, les communes Saint-Sozy, Meyronne et Mayrac ne faisait qu'une mais la commune de Meyronne a été créée en 1845 et la commune de Mayrac en 1946.

L'école primaire du village a fermé en faute d'un effectif suffisant.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs[40]
Période Identité Étiquette Qualité
1847 1851 Dunoyer    
1851 1877 Jean Leymarie    
1878 1886 Charles Geraud    
1887 1888 Antoine Verdier    
1888 1895 Jean Pierre Arlet    
1896 1903 Jean Baptiste Maury    
mars 2001 mai 2020 Gilles Liébus LREM Hôtelier restaurateur
conseiller départemental (2015-2021)
Président de la Communauté de Communes
mai 2020[41] En cours Jean-Luc Baladre    
Les données manquantes sont à compléter.

Démographie modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[42]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[43].

En 2021, la commune comptait 258 habitants[Note 9], en diminution de 11,34 % par rapport à 2015 (Lot : +0,89 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1846 1851 1856 1861 1866 1872 1876
465544542564564546535524479
1881 1886 1891 1896 1901 1906 1911 1921 1926
515526513450410414401355332
1931 1936 1946 1954 1962 1968 1975 1982 1990
305312288312297251222201210
1999 2006 2008 2013 2018 2021 - - -
269295302287273258---
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[44] puis Insee à partir de 2006[45].)
Histogramme de l'évolution démographique

Au début du XXe siècle, Meyronne comptait 414 habitants[46].

Économie modifier

Revenus modifier

En 2018, la commune compte 124 ménages fiscaux[Note 10], regroupant 251 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 850 [I 4] (20 740  dans le département[I 5]).

Emploi modifier

Taux de chômage
2008 2013 2018
Commune[I 6] 5 % 10,5 % 8 %
Département[I 7] 7,3 % 8,9 % 9,6 %
France entière[I 8] 8,3 % 10 % 10 %

En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 150 personnes, parmi lesquelles on compte 81,3 % d'actifs (73,3 % ayant un emploi et 8 % de chômeurs) et 18,7 % d'inactifs[Note 11],[I 6]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Souillac, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 3],[I 9]. Elle compte 39 emplois en 2018, contre 51 en 2013 et 54 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 112, soit un indicateur de concentration d'emploi de 34,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 50,6 %[I 10].

Sur ces 112 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 31 travaillent dans la commune, soit 28 % des habitants[I 11]. Pour se rendre au travail, 86,6 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 5,4 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 12].

Activités hors agriculture modifier

18 établissements[Note 12] sont implantés à Meyronne au [I 13]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 27,8 % du nombre total d'établissements de la commune (5 sur les 18 entreprises implantées à Meyronne), contre 13,5 % au niveau départemental[I 14].

Agriculture modifier

La commune est dans la vallée de la Dordogne », une petite région agricole occupant du petite partie (7 communes) du nord du territoire du département du Lot[47]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 13] sur la commune est la polyculture et/ou le polyélevage[Carte 4].

1988 2000 2010 2020
Exploitations 22 11 13 11
SAU[Note 14] (ha) 652 541 559 555

Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 22 lors du recensement agricole de 1988[Note 15] à 11 en 2000 puis à 13 en 2010[49] et enfin à 11 en 2020[Carte 5], soit une baisse de 50 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 60 % de ses exploitations[50],[Carte 6]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 652 ha en 1988 à 555 ha en 2020[Carte 7]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 30 à 50 ha[49].

Culture et festivités modifier

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

 
Grotte chapelle Notre Dame du Rocher Sainte-Marie
  • Église Saint-Sulpice des XVe et XVIe siècles chapelle et chœur inscrit par arrêté du aux monuments historiques[51]. Le saint est célébré le 29 janvier.
  • Les gouffres du Limon : au lieu-dit le Limon, à 1,5 km au sud-est de Meyronne, à l'altitude 105 mètres, s'ouvrent deux résurgences : le Goul Naou et le Goul Baou[52]. En 1953, Guy de Lavaur a montré par coloration que les eaux viennent des gouffres de Réveillon et du Saut de la Pucelle.
  • Dolmens des Devinaudes : le site comporte 3 dolmens. Ils ont été fouillés par Armand Viré qui y a trouvé des fragments de poterie brune et noire ainsi que des fragments de polissoirs. L'ensemble des sépultures avait fait l'objet de violations antérieures à une date indéterminée[53].
  • Notre Dame du Rocher Sainte-Marie : dominant la Vallée de la Dordogne et le village de Meyronne, une falaise abrite une grotte qui fut transformée en chapelle depuis le Haut Moyen Âge. Visiteurs et pèlerins ont pour habitude de faire sonner la cloche qui se trouve a l’entrée de la grotte. En face du pont de pierre qui enjambe le ruisseau du Limon, un sentier longe un chemin de croix pour aboutir à l’oratoire[54].

Personnalités liées à la commune modifier

Voir aussi modifier

Références modifier

Site de l'Insee modifier

  1. « Commune rurale - définition » (consulté le ).
  2. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », (consulté le ).
  3. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », (consulté le ).
  4. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 à Meyronne » (consulté le ).
  5. « REV T1 - Ménages fiscaux de l'année 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  6. a et b « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 à Meyronne » (consulté le ).
  7. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans le Lot » (consulté le ).
  8. « Emp T1 - Population de 15 à 64 ans par type d'activité en 2018 dans la France entière » (consulté le ).
  9. « Base des aires d'attraction des villes 2020 », sur site de l'Insee (consulté le ).
  10. « Emp T5 - Emploi et activité en 2018 à Meyronne » (consulté le ).
  11. « ACT T4 - Lieu de travail des actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi qui résident dans la commune en 2018 » (consulté le ).
  12. « ACT G2 - Part des moyens de transport utilisés pour se rendre au travail en 2018 » (consulté le ).
  13. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 à Meyronne » (consulté le ).
  14. « DEN T5 - Nombre d'établissements par secteur d'activité au 31 décembre 2019 dans le Lot » (consulté le ).

Autres sources modifier

  1. Carte IGN sous Géoportail
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le )
  4. « Orthodromie entre Meyronne et Gourdon », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Gourdon » (commune de Gourdon) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Gourdon » (commune de Gourdon) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le )
  8. « Les espaces protégés. », sur le site de l'INPN (consulté le )
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  13. « les « falaises lotoises (rapaces) » - fiche descriptive », sur le site de l'inventaire national du patrimoine naturel (consulté le ).
  14. Réseau européen Natura 2000, Ministère de la transition écologique et solidaire
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  25. BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
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  30. a et b « Liste des cavités souterraines localisées sur la commune de Meyronne », sur http://www.georisques.gouv.fr/ (consulté le )
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  34. « barrage de Bort-les-Orgues », sur www.barrages-cfbr.eu (consulté le )
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  36. PROU (M.) PERRIN (C H-Ed.) Pouillés de la province de Bourges, (1961-1962), p. 450C.
  37. NEGRE (E.) Dictionaire toponymique général d e la France (1990), t. 1, p. 120.
  38. DELAMARRE (X.) Dictionnaire de la langue Gauloise (2003), p. 220.
  39. Gaston Bazalgues, À la découverte des noms de lieux du Quercy : Toponymie lotoise, Gourdon, Éditions de la Bouriane et du Quercy, , 127 p. (ISBN 2-910540-16-2), p. 116.
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  43. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
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  45. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  46. Le Lot chapitre Centres d'excursion p. 234 - Armand Viré - Réédition de l'ouvrage de 1907 - (ISBN 2-7455-0049-X).
  47. « Les régions agricoles (RA), petites régions agricoles(PRA) - Année de référence : 2017 », sur agreste.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  48. Présentation des premiers résultats du recensement agricole 2020, Ministère de l’agriculture et de l’alimentation, 10 décembre 2021
  49. a et b « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans la commune de Meyronne - Données générales », sur recensement-agricole.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  50. « Fiche de recensement agricole - Exploitations ayant leur siège dans le département du Lot » (consulté le ).
  51. Église Notice no PA00095167, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  52. « Le Limon n°1 ou Goul Naou », sur plongeesout.com (consulté le ).
  53. Armand Viré, « Dolmens et Tumuli du Lot », Bulletin de la Société préhistorique de France, no Tome 8, N.5,‎ , p. 348-352 (< lire en ligne).
  54. « Meyronne : notre patrimoine 2  - Commune de Meyronne dans le Lot (Quercy), vallée de la Dordogne », sur meyronne.fr (consulté le ).

Notes et cartes modifier

  • Notes
  1. Dans les sites Natura 2000, les États membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[14].
  2. Les ZNIEFF de type 1 sont des secteurs d’une superficie en général limitée, caractérisés par la présence d’espèces, d’association d’espèces ou de milieux rares, remarquables, ou caractéristiques du milieu du patrimoine naturel régional ou national.
  3. Les ZNIEFF de type 2 sont de grands ensembles naturels riches, ou peu modifiés, qui offrent des potentialités biologiques importantes.
  4. Pour cette ZNIEFF, l'INPN compte 30 communes dont trois en Corrèze et 25 dans le Lot mais le territoire de la ZNIEFF ne fait que tangenter ceux d'Altillac en Corrèze et de Puybrun dans le Lot, comme le montre la carte du site.
  5. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  6. La notion d'aire d'attraction des villes a remplacé en octobre 2020 l'ancienne notion d'aire urbaine, pour permettre des comparaisons cohérentes avec les autres pays de l'Union européenne.
  7. Les eaux continentales désignent toutes les eaux de surface, en général des eaux douces issues d'eau de pluie, qui se trouvent à l'intérieur des terres.
  8. Le classement des barrages est fonction de deux paramètres : hauteur et volume retenu[32].
  9. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
  10. Un ménage fiscal est constitué par le regroupement des foyers fiscaux répertoriés dans un même logement. Son existence, une année donnée, tient au fait que coïncident au moins une déclaration indépendante de revenus et l’occupation d’un logement connu à la taxe d’habitation.
  11. Les inactifs regroupent, au sens de l'Insee, les élèves, les étudiants, les stagiaires non rémunérés, les pré-retraités, les retraités et les autres inactifs.
  12. L'établissement, au sens de l’Insee, est une unité de production géographiquement individualisée, mais juridiquement dépendante de l'unité légale. Il produit des biens ou des services.
  13. L'orientation technico-économique est la production dominante de l'exploitation, déterminée selon la contribution de chaque surface ou cheptel à la production brute standard.
  14. Les données relatives à la surface agricole utilisée (SAU) sont localisées à la commune où se situe le lieu principal de production de chaque exploitation. Les chiffres d'une commune doivent donc être interprétés avec prudence, une exploitation pouvant exercer son activité sur plusieurs communes, ou plusieurs départements voire plusieurs régions.
  15. Le recensement agricole est une opération décennale européenne et obligatoire qui a pour objectif d'actualiser les données sur l'agriculture française et de mesurer son poids dans l'agriculture européenne[48].
  • Cartes
  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
  2. « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
  3. Agence nationale de la cohésion des territoires, « Carte de la commune dans le zonage des aires d'attraction de villes. », sur l'observatoire des territoires (consulté le ).
  4. « Recensement agricole 2020 - Carte de la spécialisation de la production agricole par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  5. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée (SAU) moyenne par commune », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  6. « Recensement agricole 2020 - Carte du nombre d'exploitations et de la surface agricole utilisée par département », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).
  7. « Recensement agricole 2020 - Carte de la surface agricole utilisée (SAU) par commune et de la SAU moyenne », sur stats.agriculture.gouv.fr (consulté le ).

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