Mauvages

commune française du département de la Meuse

Mauvages
Mauvages
Vue du village depuis une colline le surplombant.
Blason de Mauvages
Héraldique
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Grand Est
Département Meuse
Arrondissement Commercy
Intercommunalité Communauté de communes des Portes de Meuse
Maire
Mandat
Pierre-Alexandre Dabit
2020-2026
Code postal 55190
Code commune 55327
Démographie
Gentilé Malvagiens [1]
Population
municipale
244 hab. (2021 en diminution de 11,59 % par rapport à 2015)
Densité 12 hab./km2
Géographie
Coordonnées 48° 35′ 40″ nord, 5° 33′ 16″ est
Altitude 339 m
Min. 275 m
Max. 402 m
Superficie 21,11 km2
Type Commune rurale
Aire d'attraction Commune hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton de Ligny-en-Barrois
Législatives Première circonscription
Localisation
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Mauvages

Mauvages est une commune française située dans le département de la Meuse, en région Grand Est. Elle doit sa notoriété principalement à sa fontaine-lavoir de style néo-égyptien et au tunnel de Mauvages sur le canal de la Marne au Rhin, le second plus long tunnel fluvial de France, qui relie la localité à Demange-aux-Eaux.

Géographie modifier

Localisation modifier

Mauvages est située dans le sud du département de la Meuse, à 76 km de la sous-préfecture Verdun, 22 km du chef-lieu d'arrondissement Commercy et 12 km au nord du chef-lieu de canton Gondrecourt-le-Château. La ville importante la plus proche est Nancy, située à 59 km à l'est dans le département voisin de Meurthe-et-Moselle.

La localité se trouve dans la vallée de la Méholle, sur le bief de partage entre le bassin de la Meuse et celui de la Seine. Ses environs sont vallonnés et boisés. Elle s'étend sur 2 000 hectares dont 500 hectares de forêt communale soumise à l'Office national des forêts. La commune est à seulement 18 km du parc naturel régional de Lorraine. Située à 295 mètres d'altitude, la rivière le Vidus est le principal cours d'eau qui la traverse.

Représentations cartographiques de la commune
Carte OpenStreetMap
Carte topographique

Communes limitrophes modifier

Climat modifier

En 2010, le climat de la commune est de type climat de montagne, selon une étude du Centre national de la recherche scientifique s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[2]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Lorraine, plateau de Langres, Morvan, caractérisée par un hiver rude (1,5 °C), des vents modérés et des brouillards fréquents en automne et hiver[3].

Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,5 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 16,4 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 001 mm, avec 13 jours de précipitations en janvier et 9,6 jours en juillet[2]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, « Erneville aux Bois_sapc », sur la commune d'Erneville-aux-Bois à 19 km à vol d'oiseau[4], est de 9,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 021,5 mm. La température maximale relevée sur cette station est de 39,4 °C, atteinte le ; la température minimale est de −24,2 °C, atteinte le [Note 1],[5],[6].

Les paramètres climatiques de la commune ont été estimés pour le milieu du siècle (2041-2070) selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre à partir des nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020[7]. Ils sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].

Urbanisme modifier

Typologie modifier

Mauvages est une commune rurale, car elle fait partie des communes peu ou très peu denses, au sens de la grille communale de densité de l'Insee[Note 2],[9],[10],[11]. La commune est en outre hors attraction des villes[12],[13].

Occupation des sols modifier

L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (57,7 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (55,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : terres arables (47,6 %), forêts (35,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (5,7 %), prairies (5,4 %), zones agricoles hétérogènes (4,7 %), zones urbanisées (1,3 %)[14]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].

 
Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

Toponymie modifier

Le nom de Mauvages – mentionné pour la première fois en 1011 comme Malvagia[15] – viendrait de malva, la mauve, une plante qui y abondait autrefois.

Histoire modifier

Au VIIIe siècle, – en 762 ou 766[16]Pépin le Bref donne la terre de Mauvages à l'abbaye de Gorze.

Michel de Montaigne passe une nuit à Mauvages en 1580, lors de son voyage vers l'Italie. Il doit s'arrêter dans ce « petit village » « à cause de la colique », avant de reprendre la route de Vaucouleurs et Domrémy-sur-Meuse[17].

Le village est dévasté par les Suédois au cours de la guerre de Trente Ans.

Au XVIIe siècle, Antoinette de Vigneulles, épouse de Jean-Louis de Monteval, est dame de Mauvages. Leur fils Charles-Gabriel épouse Claude-Eléonore de Vassinhac-Imécourt. Il meurt en 1744 et sa veuve est dame de Mauvages jusqu'à sa mort, en 1780. La seigneurie passe alors par héritage à Alexandre du Boulet, marquis de Maranvielle, mari de Scholastique de Monteval, fille de Charles-Gabriel et Claude-Eléonore[18].

À partir de , un camp des troupes américaines de l'American Expeditionary Force (AEF) abritant l'état-major d'un régiment du génie et le poste de commandement d'une brigade d'artillerie est implanté dans la commune, ainsi qu'un hôpital pour les blessés légers et une antenne de Young Men's Christian Association (YMCA). La ligne ferroviaire qui passe à proximité joue un rôle important dans le ravitaillement et l'approvisionnement du front.

Les troupes américaines s'entraînent au tir au canon et obusier ainsi qu'au lancer de grenades dans les environs du village. Elles sont instruites par une compagnie du 52e bataillon de chasseurs alpins de la 47e division française.

La commune connaît l'occupation dès le et ce malgré la résistance du 332e régiment d'infanterie entre Mauvages et Rosières-en-Blois du 16 au pour couvrir le canal de la Marne au Rhin.

Libérée le , la commune retrouve le calme du monde rural. Une stèle commémorative de la Seconde Guerre mondiale est érigée à la sortie du village en direction de Rosières-en-Blois : 8 noms de soldats français y sont inscrits.

Politique et administration modifier

Liste des maires successifs
Période Identité Étiquette Qualité
Les données manquantes sont à compléter.
mars 2001 mars 2008 Louis Magdziarek    
mars 2008 mai 2020 Philippe Dieulin    
mai 2020 En cours Pierre-Alexandre Dabit [19]   Agriculteur

Population et société modifier

Démographie modifier

Évolution démographique modifier

L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[20]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[21].

En 2021, la commune comptait 244 habitants[Note 3], en diminution de 11,59 % par rapport à 2015 (Meuse : −4,57 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

Évolution de la population  [ modifier ]
1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
6856836726346306396301 024687
1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
647620636610588569541899549
1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
569522631591423384355354354
1962 1968 1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012
325304218191238236258261287
2017 2021 - - - - - - -
259244-------
De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
(Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[22] puis Insee à partir de 2006[23].)
Histogramme de l'évolution démographique

On remarque un pic de la population de Mauvages au recensement de 1846 avec 1 024 personnes, en pleine période du chantier du Tunnel de Mauvages (1841-1846).

Pyramide des âges modifier

La population de la commune est relativement jeune. En 2018, le taux de personnes d'un âge inférieur à 30 ans s'élève à 35,9 %, soit au-dessus de la moyenne départementale (32,4 %). À l'inverse, le taux de personnes d'âge supérieur à 60 ans est de 20,0 % la même année, alors qu'il est de 29,6 % au niveau départemental.

En 2018, la commune comptait 128 hommes pour 127 femmes, soit un taux de 50,2 % d'hommes, légèrement supérieur au taux départemental (49,51 %).

Les pyramides des âges de la commune et du département s'établissent comme suit.

Pyramide des âges de la commune en 2018 en pourcentage[24]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,8 
90 ou +
3,1 
2,3 
75-89 ans
7,8 
14,6 
60-74 ans
11,6 
22,3 
45-59 ans
27,9 
20,8 
30-44 ans
17,1 
16,2 
15-29 ans
15,5 
23,1 
0-14 ans
17,1 
Pyramide des âges du département de la Meuse en 2020 en pourcentage[25]
HommesClasse d’âgeFemmes
0,7 
90 ou +
2,2 
7,4 
75-89 ans
10,9 
19,6 
60-74 ans
19,9 
20,9 
45-59 ans
20,1 
17,6 
30-44 ans
16,8 
16,7 
15-29 ans
13,9 
17,1 
0-14 ans
16,2 

Économie modifier

Le village dispose d'un unique commerce qui est une boulangerie faisant épicerie, fruits et légumes, dépôt de gaz, etc. Les activités principales de la commune restent l'agriculture et le commerce de bestiaux qui exploitent la moitié du territoire. L'autre moitié est réservée à la sylviculture. On y trouve aussi de l'artisanat dans le meuble et la mécanique.

Culture locale et patrimoine modifier

Lieux et monuments modifier

Édifices civils modifier

 
Fontaine-lavoir du Déo.
Fontaines et lavoirs
Au cours de la première moitié du XIXe siècle, une grande vague d'hygiénisation touche les campagnes meusiennes et nombre de villages rivalisent d'ambition et d'originalité dans la construction de fontaines et de lavoirs. Mauvages en possède une dizaine.

La plus célèbre est la fontaine-lavoir du Déo. De plan demi-circulaire, c'est une réalisation de l'architecte barisien Théodore Oudet, en 1831. Elle est classée au titre des monuments historiques depuis 1988[26]. En parallèle une autre vague ayant touché le pays, celle de l'égyptomanie, stimulée à la fois par la campagne de Bonaparte en Égypte et les travaux de Champollion, architectes et ingénieurs y puisent volontiers leur inspiration. À Mauvages, Oudet se serait inspiré de deux édifices parisiens pour créer la fontaine du Déo.

 
L'entrée du tunnel canal.
Tunnel-canal
Le village est situé sur le canal de la Marne au Rhin à l'entrée du tunnel de Mauvages, localement connu sous la dénomination « la voûte ». Creusé sur une longueur de 4 877 mètres, il permet au canal de la Marne au Rhin de passer de la vallée de la Meuse à celle de la Marne sans multiplier le nombre des écluses. Il fut réalisé entre 1841 et 1846, puis reconstruit de 1911 à 1922, avec une interruption pendant la guerre. Une partie de la voûte s'est effondrée en 1959.
 
Château de Mauvages
Château
De taille modeste, le château date du XVIIIe siècle, malgré des allures médiévales[27]. Celui d'origine, édifié au XVe siècle, a été détruit. En 1628, Antoine de Gâtinois et Renée de Lovigny, sa femme, ont cédé la forteresse à Charles de Vigneulles. Antoinette, sa fille, et son époux Jean-Louis de Monteval font bâtir, en 1704, le château qui existe encore[28],[18]. Il ne reste aujourd'hui que le corps de logis, le portail, certaines parties des dépendances et une tour percée d'une canonnière.
Maisons classées
La localité a conservé plusieurs maisons du XVIIIe siècle et du début du XIXe siècle[29]. La mairie-école occupe le corps de logis d'une ancienne ferme du XVIIIe siècle transformée entre 1832 et 1836.

Édifices religieux modifier

 
Église Saint-Pantaléon.
Église Saint-Pantaléon
le domaine a appartenu à l'abbaye de Gorze en Moselle.
Le portail roman est inscrit aux Monuments historiques depuis 1935[30]. L'église abrite une fresque monumentale de 1547 – seul vestige d'un ensemble de peintures murales –, l'Ecce Homo[31]. C'est une fresque rectangulaire verticale en plein cintre de 180 cm sur 68 cm, dont l'auteur est inconnu. Sur fond architectural, elle met en scène trois personnages : le Christ, au centre, poignets liés, tenant un roseau, entouré de Pilate qui le présente à la foule et d'un homme sur le point de le frapper. Un phylactère déroulé au-dessus des donateurs porte cette inscription : « ECCE HOMO 1547 VIAS TUAS DNE DEMONSTRA MIHI ». La peinture a fait l'objet d'un classement par les Monuments historiques le [32].
Dans l’église, un vitrail réalisé par A. Schmidt-Besch et offert par les familles des victimes de la Grande Guerre, représente une apparition du Christ à un soldat mourant enveloppé dans le drapeau tricolore qui devient son linceul. Une plaque reprend également les noms de soldats morts au Champ d'honneur.
Un retable et l'abside datent également du XVIe siècle. L'église elle-même a été reconstruite au XVIIIe siècle.
 
Chapelle Notre-Dame de Bonne Espérance.
Ermitage de la Visitation
la chapelle Notre-Dame de Bonne-Espérance est dotée d'un chevet plat, d'un campanile sur la première travée de la nef et d'un auvent en façade. Elle date de la fin du XVIe siècle. Elle fut incendiée pendant la guerre de Trente Ans, restaurée en 1674 comme en témoigne la date gravée sur le portail. Vendue comme bien national, elle fut rachetée par les habitants du village, agrandie et plusieurs fois restaurée. Le logement du chapelain fut agrandi entre 1834 et 1855. C'est un lieu de pèlerinage, mais la chapelle ne fait pas l'objet d'une protection par les Monuments historiques[33].
Croix de chemin
on trouve à Mauvages plusieurs croix de chemin remarquables, comme celles de la Chapelle (1818), du Virée (1861) ou de la Ruelle, qui fut érigée en 1864 par Alphonse Verneau, architecte à Commercy[34],[35],[36].

Personnalités liées à la commune modifier

  • Antoinette de Vigneulles, fille de Charles de Vigneulles et Antoinette de Bildstein, dame de Mauvages, décédée le 9 décembre 1725 et inhumée dans le chœur de l'église[37].
  • Jean-Charles Pellerin (Imagerie d'Épinal) dont le père, Nicolas Pellerin, était originaire de Mauvages.
  • Auguste Lepage, homme de lettres, est né à Mauvages le .
  • Auguste Grosdidier député sous la IIIe République, est né à Mauvages le .
  • Noël Lancien, compositeur (prix de Rome), directeur de conservatoires et chef d'orchestre, mort à Mauvages en 1999.

Héraldique modifier

  Blason
D'or à deux tours de gueules soutenues par une trangle d'azur abaissée, au caducée de pourpre brochant sur le tout.
Détails
Le statut officiel du blason reste à déterminer.

Voir aussi modifier

Bibliographie modifier

  • Gaston Frussotte (abbé), Ermitage de la Visitation et Chapelle de Notre-Dame de Bonne Espérance, à Mauvages (Meuse), Impr. de Ch. Laurent, Verdun, 1888, 16 p.
  • Henri Lemoine, Département de la Meuse : dictionnaire des communes, Comédit, Paris, 1991, p. 288 (ISBN 2-909112-04-7) (reproduction en fac simile de l'édition de 1909)
  • Francine d'Oliveira-Rezende, Les Lavoirs et fontaines de la Meuse, CPE, Romorantin, 2008 (ISBN 9782845035805)

Articles connexes modifier

Liens externes modifier

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Notes et références modifier

Notes modifier

  1. Les records sont établis sur la période du au .
  2. Selon le zonage des communes rurales et urbaines publié en novembre 2020, en application de la nouvelle définition de la ruralité validée le en comité interministériel des ruralités.
  3. Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.

Cartes modifier

  1. IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).

Références modifier

  1. https://www.habitants.fr/meuse-55
  2. a et b Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501,‎ (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
  3. « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
  4. « Orthodromie entre Mauvages et Erneville-aux-Bois », sur fr.distance.to (consulté le ).
  5. « Station Météo-France « Erneville aux Bois_sapc », sur la commune d'Erneville-aux-Bois - fiche climatologique - période 1991-2020. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  6. « Station Météo-France « Erneville aux Bois_sapc », sur la commune d'Erneville-aux-Bois - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le )
  7. « Les nouvelles projections climatiques de référence DRIAS-2020. », sur drias-climat.fr (consulté le )
  8. « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.com, (consulté le )
  9. « Typologie urbain / rural », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  10. « Commune rurale - définition », sur le site de l’Insee (consulté le ).
  11. « Comprendre la grille de densité », sur www.observatoire-des-territoires.gouv.fr (consulté le ).
  12. « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
  13. Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
  14. « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le )
  15. H. Lemoine, Département de la Meuse : dictionnaire des communes, Comédit, Paris, 1991, p. 288
  16. Abbé Frussotte, Ermitage de la Visitation et Chapelle de Notre-Dame de Bonne Espérance, à Mauvages (Meuse), 1888
  17. Journal de voyage de Michel de Montaigne en Italie par la Suisse et l'Allemagne en 1580 et 1581, cité dans : Jean Goulemot, Paul Lidsky et Didier Masseau, Le Voyage en France, tome I, p.80, Robert Laffont, Bouquins.
  18. a et b Revue politique et littéraire: revue bleue, Bureau des revues, (lire en ligne), p. 92
  19. « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
  20. L'organisation du recensement, sur insee.fr.
  21. Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
  22. Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
  23. Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
  24. Insee, « Évolution et structure de la population en 2018 - Commune de Mauvages (55327) », (consulté le ).
  25. Insee, « Évolution et structure de la population en 2020 - Département de la Meuse (55) », (consulté le ).
  26. « Fontaine-lavoir du Déo », notice no PA00106582, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  27. Notice no IA00036182, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  28. Le patrimoine des communes de la Meuse, Flohic éditions, (ISBN 978-2-84234-074-2, lire en ligne)
  29. Notice no IA00036166, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  30. « Église Saint-Pantaléon », notice no PA00106581, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  31. Notice no IM55006616, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  32. Notice no PM55000398, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Palissy, ministère français de la Culture.
  33. Notice no IA00036185, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  34. Notice no IA00036186, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  35. Notice no IA00036187, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  36. ,Notice no IA00036188, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture.
  37. « Actes en ligne - Marie-Antoinette de VIGNEULLES - Acte de sépulture - Geneanet », sur www.geneanet.org (consulté le )