Lubersac
Lubersac (Libèrçac en occitan) est une commune française dans le département de la Corrèze en région Nouvelle-Aquitaine.
Lubersac | |||||
Maison Renaissance. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Corrèze | ||||
Arrondissement | Brive-la-Gaillarde | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes du Pays de Lubersac-Pompadour (siège) |
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Maire Mandat |
Philippe Gonzalez 2020-2026 |
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Code postal | 19210 | ||||
Code commune | 19121 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Lubersacois[1] | ||||
Population municipale |
2 253 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 39 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 26′ 34″ nord, 1° 24′ 14″ est | ||||
Altitude | Min. 285 m Max. 441 m |
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Superficie | 57,46 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Hors attraction des villes | ||||
Élections | |||||
Départementales | Canton d'Uzerche | ||||
Législatives | Deuxième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Corrèze
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Liens | |||||
Site web | ville-lubersac.fr | ||||
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Géographie
modifierLocalisation
modifierLubersac est située entre Uzerche 14 km et Arnac-Pompadour 6 km et à une cinquantaine de kilomètres des villes de Tulle, Brive et Limoges, sur des plateaux assez échancrés. Elle est limitrophe du département de la Haute-Vienne.
Accès par l'A20 sortie 44.
Lubersac est, à vol d'oiseau, distante de :
Ville | Distance | Ville | Distance |
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Limoges | 44,5 km | Paris | 386,5 km |
Poitiers | 151 km | Clermont-Ferrand | 136 km |
Bordeaux | 169,5 km | Toulouse | 204,5 km |
Orléans | 276,5 km | Nantes | 301 km |
Lyon | 269,5 km | Montpellier | 283 km |
Rennes | 378,5 km | Dijon | 349 km |
Marseille | 396 km | Besançon | 407,5 km |
Rouen | 445,5 km | Caen | 437 km |
Reims | 468,5 km | Lille | 590 km |
Metz | 545 km | Strasbourg | 594,5 km |
Communes limitrophes
modifierClimat
modifierHistoriquement, la commune est dans une zone de transition entre les climats océaniques aquitain et limousin[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,2 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,6 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 137 mm, avec 13,1 jours de précipitations en janvier et 7,8 jours en juillet[5]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique installée sur la commune est de 11,7 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 130,6 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 1 | 0,7 | 3,1 | 5 | 8,3 | 11,5 | 13,1 | 13,1 | 9,9 | 7,7 | 3,8 | 1,6 | 6,6 |
Température moyenne (°C) | 4,5 | 5 | 8,2 | 10,6 | 14,1 | 17,5 | 19,3 | 19,4 | 15,9 | 12,5 | 7,7 | 5,2 | 11,7 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,9 | 9,3 | 13,3 | 16,1 | 20 | 23,5 | 25,6 | 25,7 | 21,9 | 17,3 | 11,5 | 8,7 | 16,7 |
Record de froid (°C) date du record |
−11,4 31.01.10 |
−15,3 09.02.12 |
−12,1 01.03.05 |
−4,3 22.04.1991 |
−1,4 14.05.1995 |
2,9 01.06.11 |
5,1 17.07.00 |
3,8 29.08.1998 |
0,1 25.09.02 |
−5 25.10.03 |
−9,9 22.11.1998 |
−12,2 24.12.01 |
−15,3 2012 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17,8 30.01.1992 |
24 27.02.19 |
25 19.03.05 |
28,8 30.04.05 |
31,8 25.05.17 |
38,2 27.06.19 |
38,7 25.07.19 |
38,5 04.08.03 |
34,3 12.09.22 |
30,9 01.10.23 |
22,5 07.11.15 |
17,5 17.12.15 |
38,7 2019 |
Précipitations (mm) | 103 | 82,8 | 85,2 | 103,1 | 98,1 | 86,5 | 68,3 | 78,2 | 86,8 | 105 | 117,4 | 116,2 | 1 130,6 |
Urbanisme
modifierTypologie
modifierAu , Lubersac est catégorisée commune rurale à habitat dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle est située hors unité urbaine[10] et hors attraction des villes[11],[12].
Occupation des sols
modifierL'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (82,9 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (82,7 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : prairies (42,8 %), zones agricoles hétérogènes (36,5 %), forêts (13,7 %), zones urbanisées (3,4 %), terres arables (3,4 %), cultures permanentes (0,3 %)[13].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Transport routier
modifierRisques majeurs
modifierLe territoire de la commune de Lubersac est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[14]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[15].
Risques naturels
modifierLe retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 12,6 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (26,8 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 1 329 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 16 sont en aléa moyen ou fort, soit 1 %, à comparer aux 36 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[16],[Carte 2].
Concernant les feux de forêt, aucun plan de prévention des risques incendie de forêt (PPRIF) n’a été établi en Corrèze, néanmoins le code de l’urbanisme impose la prise en compte des risques dans les documents d’urbanisme. Le périmètre des servitudes d'utilité publique et des zones d'obligation légale de débroussaillement pour les particuliers est quant à lui défini pour la commune dans une carte dédiée[17].
Risque particulier
modifierDans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Lubersac est classée en zone 2, à savoir zone à potentiel radon faible mais sur lesquelles des facteurs géologiques particuliers peuvent faciliter le transfert du radon vers les bâtiments[18].
Toponymie
modifierLe nom de Lubersac vient de Luperciacum[19] : domaine de Lupercus, un propriétaire gallo-romain.
Histoire
modifierÉpoque romaine
modifierLes traces d'occupation remontent à l'antiquité romaine. On a en effet retrouvé aux alentours de Lubersac, dans certains villages, dans les champs, des tegulae, tuiles à rebord datant des Gallo-Romains. Récemment (2010), lors de fouilles opérées sous l’église, on a trouvé d’autres plaques, ainsi que des morceaux d’enduit, des sarcophages et une pièce de monnaie avec un portrait d’Hadrien, empereur romain du Ier-IIe siècle apr. J.-C.
À l’époque gallo-romaine, Lubersac se trouvait déjà sur des itinéraires importants :
- la voie Lemovicana qui permettait de se rendre du Nord au Sud du Limousin ;
- la route des métaux (de l’Armorique à la Méditerranée) ;
- la route Ségur-Uzerche et Salon-la-Tour.
Époque féodale
modifierEn 1093, Hugues de Lubersac accorde une charte de commune aux habitants, avant d'entrer dans les ordres en se faisant moine. En 1993, pour célébrer le 9e centenaire de cette charte, l'une des rues de la ville reçut le nom de Hugues de Lubersac.
Comme souvent, les noms actuels de certaines rues rappellent encore les privilèges des seigneurs, les corps de métiers et les traditions de l'époque médiévale.
- rue du Colombier : privilège d'élever des moine;
- rue des Prés Clos ;
- impasse des Fours-Banaux ;
- la rue du Pré de Ceyrat (en occitan : la cera, qui signifie la cire, pourrait indiquer la présence de ruches) ;
- un pré du Vivier (élevage de poisson), aujourd'hui disparu.
Politique et administration
modifierTendances politiques et résultats
modifierListe des maires
modifierPopulation et société
modifierDémographie
modifierLes habitants sont appelés les Lubersacois[1].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[21]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[22]. En 2021, la commune comptait 2 253 habitants[Note 1], en évolution de +1,21 % par rapport à 2015 (Corrèze : −0,86 %, France hors Mayotte : +1,84 %). |
Développements récents
modifierDepuis 2003, la ville connait un certain développement et notamment l'agrandissement du lotissement de la Faucherie. Des grands magasins se sont installés au nord et sud de la ville.
Sports
modifierLa ville possède en son centre un stade de football, le stade Jean-Nexon. Ce stade est bordé de courts de tennis et fait face à un gymnase et à un terrain d’entraînement. Elle possède également un stade de rugby, où le club surnommé "Luborgnac" (regroupement des équipes de rugby de Orgnac-sur-Vézère, et de Lubersac) évolue en deuxième série, ainsi qu'une piscine équipée d'un petit bassin destiné aux enfants, d'un bassin possédant 3 toboggans, et d'un grand bassin. Un espace aqua-récréatif faisant face au plan d'eau complète l'offre pour les adepte de marche, de course à pied et de pêche.
En 1996, un Lubersacois participe au tour de France qu'il termine à la 129e place, il s'agit de Jean-Luc Masdupuy. Ce dernier est issu d'une famille de cyclistes. Chaque année pour le lundi de la fête à Lubersac, un grand prix cycliste est organisé, il porte le nom de Danièle Masdupuy, qui fut pendant longtemps la cheville ouvrière du club cycliste local.
Économie
modifierCulture locale et patrimoine
modifierLieux et monuments
modifierPlusieurs bâtiments présentent un intérêt culturel et patrimonial pour la ville et la région.
Maison Renaissance
modifierLa maison Renaissance est située sur la place de l'Horloge, en plein centre du bourg. Connue comme maison des archiprêtres dès le XIe siècle, ses arcades et sa façade sculptée datent de la Renaissance (fin XVe siècle) et sont l'œuvre d'artistes italiens. Les archiprêtres l'ont occupée jusqu'en 1790. Elle abrite ensuite la mairie de 1847 à 1955. En 1881, on construit sur sa toiture un clocheton destiné à recevoir l'horloge du clocher de l'ancienne église Saint-Hilaire.
Elle est classée monument historique en 2003[25].
Château du Verdier
modifierLe château du Verdier ou château de Lubersac[26] est situé à la sortie de Lubersac, sur la route de Pompadour, où il a été reconstruit en 1850 après l'incendie qui l'a détruit en 1848[26]. Le parc du château, auparavant privé, est devenu ouvert au public au cours de l'année 2022.
Église Saint-Étienne
modifierL'église Saint-Étienne de Lubersac a été bâtie vers le milieu du Xe siècle. Elle est de style roman, et comporte de nombreuses traces d'art sacré, tel des décors peints d'une grande richesse. Elle est classée aux monuments historiques depuis 1910[27].
Église Saint-Hilaire
modifierL'église Saint-Hilaire fut bâtie au XIIe siècle. Elle se trouvait derrière la maison Renaissance. En 1776, à la suite d'un orage au cours duquel la foudre tombe sur le clocher, son état de délabrement est tel qu'on l'interdit au culte. La Révolution la transforme en lieu d'assemblée mais elle est finalement en grande partie démolie, ne gardant debout que son clocher. Ce dernier, déjà en mauvais état, s'écroule finalement en 1879 lors d'une violente tempête.
Personnalités liées à la commune
modifier- Famille de Lubersac, famille subsistante de la noblesse française qui prouve sa noblesse depuis l'année 1267[28]. À cette famille appartiennent Jean-Baptiste-Joseph de Lubersac, Guy de Lubersac, Raoul de Lubersac.
- Aubin Bigorie du Chambon, né à Lubersac le (au n° 14 actuel de la rue Saint-Jean), député girondin à la Convention.
- Joseph Souham, né le et mort le à Versailles, général d'Empire ; il contribua à organiser la Révolution française dans la ville de Lubersac.
- Joseph Jules de Foucauld, né au château de Lubersac le et mort à Metz (Moselle) le , officier et député français.
- Arthur Mugnier, né en 1853 à Lubersac et mort en , prêtre catholique connu pour avoir participé pendant très longtemps à la vie mondaine et littéraire de Paris.
- Marc Doussaud, né le à Lubersac, où il est mort le , homme politique français.
- Pierre Bernotte, né à Lubersac le et mort à Limoges le , peintre français.
- Jean Nexon, ancien médecin de la ville ; son nom a été donné au stade de football en hommage aux services qu'il a rendus à la commune.
Héraldique
modifierBlason | De gueules au loup passant d'or. |
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Détails | Blason communal depuis le 11 juillet 1983. Ce blasonnement, dont l'énoncé ne semble pas très conforme aux usages héraldiques, serait celui, selon Malte-Brun[29], d'un des premiers seigneurs de la ville, nommé Louparsat (de l'occitan limousin, lou parça, qui signifie le loup percé), lieutenant des comtes de Limoges, qui aurait « délivré la contrée d'un loup sauvage ». Adopté le 29 novembre 1985. |
Pour approfondir
modifierBibliographie
modifierArticles connexes
modifier- Liste des communes de la Corrèze
- Liste des anciennes communes de la Corrèze
- Liste des monuments historiques de la Corrèze
Liens externes
modifierNotes et références
modifierNotes et cartes
modifier- Notes
- Population municipale légale en vigueur au 1er janvier 2024, millésimée 2021, définie dans les limites territoriales en vigueur au 1er janvier 2023, date de référence statistique : 1er janvier 2021.
- Cartes
- IGN, « Évolution comparée de l'occupation des sols de la commune sur cartes anciennes », sur remonterletemps.ign.fr (consulté le ).
- « Cartographie interactive de l'exposition des sols au retrait-gonflement des argiles », sur infoterre.brgm.fr (consulté le )
Références
modifier- Voir sur habitants.fr.
- Carte IGN sous Géoportail
- « Observatoire régional sur l'agriculture et le changement climatique (ORACLE) en Nouvelle-Aquitaine. » [PDF], sur haute-vienne.chambre-agriculture.fr, (consulté le ), p. 2.
- « Zonages climatiques en France métropolitaine. », sur pluiesextremes.meteo.fr (consulté le ).
- Daniel Joly, Thierry Brossard, Hervé Cardot, Jean Cavailhes, Mohamed Hilal et Pierre Wavresky, « Les types de climats en France, une construction spatiale », Cybergéo, revue européenne de géographie - European Journal of Geography, no 501, (DOI 10.4000/cybergeo.23155, lire en ligne, consulté le )
- « Station Météo-France commune de Voutezac) - fiche climatologique - période 1991-2020 », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Station Météo-France commune de Lubersac) - fiche de métadonnées. », sur donneespubliques.meteofrance.fr (consulté le ).
- « Climadiag Commune : diagnostiquez les enjeux climatiques de votre collectivité. », sur meteofrance.fr, (consulté le ).
- « La grille communale de densité », sur le site de l’Insee, (consulté le ).
- Insee, « Métadonnées de la commune ».
- « Base des aires d'attraction des villes 2020. », sur insee.fr, (consulté le ).
- Marie-Pierre de Bellefon, Pascal Eusebio, Jocelyn Forest, Olivier Pégaz-Blanc et Raymond Warnod (Insee), « En France, neuf personnes sur dix vivent dans l’aire d’attraction d’une ville », sur insee.fr, (consulté le ).
- « CORINE Land Cover (CLC) - Répartition des superficies en 15 postes d'occupation des sols (métropole). », sur le site des données et études statistiques du ministère de la Transition écologique. (consulté le ).
- « Les risques près de chez moi - commune de Lubersac », sur Géorisques (consulté le )
- BRGM, « Évaluez simplement et rapidement les risques de votre bien », sur Géorisques (consulté le )
- « Retrait-gonflement des argiles », sur le site de l'observatoire national des risques naturels (consulté le )
- « Risque de feu de forêt près de chez moi, sur la commune de Lubersac », sur Géorisques (consulté le )
- « Cartographie du risque radon en France. », sur le site de l’IRSN, (consulté le )
- Yves Lavalade, Dictionnaire des communes de la Creuse, La Geste, 2022, p.125 (commune Lupersat sitant le lien avec Lubersac), 248 p. (ISBN 979-10-353-1852-9).
- « Répertoire national des élus (RNE) - version du 24 juillet 2020 », sur le portail des données publiques de l'État (consulté le ).
- L'organisation du recensement, sur insee.fr.
- Calendrier départemental des recensements, sur insee.fr.
- Des villages de Cassini aux communes d'aujourd'hui sur le site de l'École des hautes études en sciences sociales.
- Fiches Insee - Populations légales de la commune pour les années 2006, 2007, 2008, 2009, 2010, 2011, 2012, 2013, 2014, 2015, 2016, 2017, 2018, 2019, 2020 et 2021.
- Arrêté du 1er décembre 2003, Base Mérimée : Maison Renaissance.
- Marie-Madeleine Macary, Châteaux en Limousin. La Corrèze, Limoges, éditions René Dessagne, 1972 (BNF 34703389).
- « Église Saint-Étienne », notice no PA00099793, sur la plateforme ouverte du patrimoine, base Mérimée, ministère français de la Culture
- Régis Valette, Catalogue de la noblesse française subsistante, 2002, page 129.
- Un loup d'or passant en champ de gueules, Malte-Brun, La France illustrée, 1882.